Villars-Colmars

Villars-Colmars est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Villars.

Villars-Colmars

Église paroissiale.
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Laurent Roux
2020-2026
Code postal 04370
Code commune 04240
Démographie
Population
municipale
248 hab. (2018 )
Densité 6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 03″ nord, 6° 36′ 18″ est
Altitude Min. 1 164 m
Max. 2 642 m
Superficie 40,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Villars-Colmars
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Villars-Colmars
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Villars-Colmars

    Le nom de ses habitants est Villarois[1].

    Géographie

    Localisation

    Villars-Colmars et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    C'est un village aux portes du parc national du Mercantour.

    Les communes limitrophes de Villars-Colmars sont Allos, Colmars, Beauvezer, Thorame-Basse et Prads-Haute-Bléone.

    Géologie et relief

    Paysage depuis 1 300 m d'altitude.
    Barre de Maraval.

    Surplombé par la « Gardette » et la « Croix du Puy », la commune comporte un hameau, Chasse, dans le vallon du même nom.

    De nombreux sommets dépassent les 2 000 m d'altitude. Le point culminant est le Sommet du Caduc (2 650 m)[2].

    Voies routières

    La commune est desservie par la route départementale 2 Thorame-Haute / Colmars-les-Alpes[3].

    Transports en commun

    • Lignes régulières, navettes inter-vallées : Société Haut Verdon Voyage[4] (HVV) / réseau de transport en commun de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Zou !
    • Le train des Pignes[5].

    Hydrographie

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6],[7]:

    • Le Verdon,
    • Ravins du jets des eaux et de juan,
    • Torrent la chasse.

    Environnement

    La commune compte 551 ha de bois et forêts[1].

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Allos-Colmars auquel appartient Villars-Colmars est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Villars-Colmars est également exposée à quatre autres risques naturels[9] : avalanche ; feu de forêt ; inondation ; mouvement de terrain.

    La commune de Villars-Colmars n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10].

    Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2006 pour les risques d’avalanche, d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme[10] ; le Dicrim n’existe pas[11].

    La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle en 1994 pour des inondations et des coulées de boue (en septembre et en novembre)[9].

    Sous-bois dans le vallon de Chasse.

    Climat

    Selon la classification de Köppen et Geiger, le climat chaud et tempéré y est classé Cfb[12].

    Toponymie

    Le nom du village est le pluriel de l’occitan vilar, désignant un village ou un hameau[13] ; selon les Fénié, la forme spécifique Villars+nom de village indique qu’il s’agit à l’origine d’un village dépendant de Colmars[14].

    Économie

    Agriculture

    • Michel Barbaroux, agriculteur[15] propriétaire exploitant[16].
    • En partenariat avec la SAFER, la commune a pris des mesures pour maîtriser le foncier agricole afin de faciliter l’installation de jeunes agriculteurs[17].
    • Le sentier thématique “Amountagna”, histoire d’un chemin[18].

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces et services de proximité[23] : Petit Casino, restaurants, institut de beautés, station service[24]...
    • Scierie du Mézelin[25].

    Histoire

    Le nom du peuple installé dans la haute vallée du Verdon n'est pas certain, mais il peut s’agir des Eguiturii[26]. À la fin de l'Empire romain, la haute vallée du Verdon dépend de la civitas et de l’évêché de Thorame[27].

    Sous l'Ancien Régime, le village de Villars et le village d'altitude Chasse faisaient partie de la communauté de Colmars qui était un fief dépendant des comtes de Provence[28]. En tant que membres de la communauté de Colmars, les habitants des deux villages ont bénéficié de l'octroi du consulat à Colmars par le comte Raimond Bérenger V, le [29], privilèges étendus lors de la guerre de l'Union d'Aix, qui dure de 1382 à 1387. Voir l'article Colmars pour plus de détails sur les négociations des privilèges liés au consulat.

    Villars dépendait aussi de Colmars pour l'économie : les cordeillats (grosse toile de laine tissée à domicile) produits à Villars étaient vendus lors de la foire de septembre, qui suivait celle de Colmars[30].

    En 1690, un détachement de l’armée piémontaise assiège Colmars et incendie Villars[31],[32].

    Révolution française

    La commune a été constituée en 1792 à la suite d'un différend entre les deux villages concernant le blé produit par les habitants de Villars. En , alors que la crise frumentaire à l’origine de la Révolution persiste, le maire de Colmars vient à Villars y prendre du grain qu’il y stocke, pour le déplacer à Colmars. Les habitants de Villars s’y opposent, et seule l’intervention de la troupe (Colmars était un bourg militaire) permet le transport. Cet accrochage, qui se double d’un second le [33] déboucha sur la scission en deux communes de Colmars et Villars-Colmars en [34].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[35].

    XIXe siècle

    La commune connaît un certain essor industriel grâce au tissage de la laine. En 1813, il y a quatre usines textiles employant 67 ouvriers[36]. Par la suite, cette activité se modernise : une fabrique est ouverte en 1832 par Honoré Roux, sur le modèle de la fabrique Honnorat de Saint-André-de-Méouilles[37]. Deux fabriques emploient ensuite entre 10 et 15 ouvriers[38] et ferment avant 1900[39].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1827, le cadastre dit napoléonien de Villars-Colmars est achevé[40].

    Héraldique

    D’or au bourg de gueules, ajouré de sable, bâti au bord d'un lac d'argent sur une terrasse de sinople. [41],[42]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945   Louis Giraud[43]    
             
    1971[44]   André Guirand    
      mars 2002 René Damiano[44]    
    mars 2002 mars 2008 Charles Simian[44]    
    mars 2008 juin 2020[45] André Guirand[46],[47] UMP-LR[48] Retraité gérant de scierie[44]
    28 juin 2020 En cours Laurent Roux   Artisan

    Intercommunalité

    Villars-Colmars fait partie :

    Urbanisme

    La commune dispose[49],[50] :

    Typologie

    Villars-Colmars est une commune rurale[Note 1],[53]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[54],[55]. La commune est en outre hors attraction des villes[56],[57].

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[58].

    Budget et fiscalité

    Les comptes 2008 à 2019 de la commune s’établissent comme suit [59],[60]:

    Évolution des finances de Villars-Colmars (en k€).
    Postes 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
    Produits de fonctionnement 488 440 450 523 501 501 641 486 497 508 524 897
    Charges de fonctionnement 392 312 350 399 373 393 457 381 371 372 368 684
    Ressources d’investissement 398 276 375 411 223 456 239 579 146 162 188 431
    Emplois d’investissement 243 414 408 346 413 198 565 375 123 192 152 243
    Dette 304 427 525 554 619 682 704 742 653 579 534 544
    Source : Ministère de l’Économie et des Finances[61]:

    Fiscalité 2019

    • Taux d’imposition Taxe d’habitation : 9,97 %
    • Taxe foncière sur propriétés bâties : 6,60 %
    • Taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,29 %
    • Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 %
    • Cotisation foncière des entreprises : 0,00 %
    • Montant total des dettes dues par la commune : 579 000 euros. Population légale : 258 habitants, soit 2 070 euros par habitant.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : Médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 950 [62].

    Population et société

    Démographie

    En 2018 , Villars-Colmars comptait 248 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2005, 2010, 2015, etc. pour Villars-Colmars). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600581754634685678672649602
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    604570532518501500406373319
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    287268280216192175136125131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    9410797141203209228253256
    2018 - - - - - - - -
    248--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)

    L’histoire démographique de Villars-Colmars est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de perte de population de longue durée. En 1891, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population[65]. Le mouvement de perte se poursuit jusqu’aux années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance sans remonter au-delà des 50 % du maximum historique.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Comme de nombreuses communes du département, Villars-Colmars se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons au village chef-lieu et au hameau de Chasse[66]. Les filles ne sont pas concernées, la loi Falloux ne s’appliquant pas dans les petites communes[67].

    Les établissements d'enseignements les plus proches sont[68] :

    • écoles maternelles et primaires : Thorame-Haute[69], Colmars-les-Alpes[70] et Allos.
    • collèges : le collège René-Cassin à Saint-André-les-Alpes, Annot, Barcelonnette,
    • Lycées : Barcelonnette.

    Santé

    Les professionnels et établissements de santé[71] les plus proches sont à Colmars-les-Alpes : Cabinets médicaux, kinesthésie, Infirmières, Dentiste, Pharmacie[72].

    Hôpitaux et cliniques les plus proches[73] :

    Équipements sportifs

    • Parcours-sportif-santé[77].
    • Site d'escalade en falaise.
    • Centre Équestre « Le Verdon à cheval »[78].

    Cultes

    Culte catholique[79] dépendant du Diocèse de Digne, Doyenne Var et Verdon, Paroisses du secteur Haut Verdon-Val d’Allos-Val d’Issole[80].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L’église paroissiale Saint-Sévère ou de la Transfiguration[81], ou encore du Saint-Sauveur[82], romane, est agrandie en 1833. Elle comporte une nef de quatre travées voûtées d’arêtes, mais imitant les croisées d’ogives. Les clefs de voûte sont ornées d’une rosace. Du côté sud, un bas-côté flanque la nef ; les têtes d’anges qui ornent les impostes sont du XVIIe siècle. La tour du clocher est construite contre le chœur[81],[83],[84];
    • L'église Saint-Raphaël, restaurée avec la participation de la Fondation du patrimoine, se trouve au hameau de Chasse[85] ;
    • La chapelle Saint-Blaise[86] ou de la Visitation est couverte de bardeaux[82]. Elle compte dans son mobilier un retable en bois doré, du XVIIe siècle, qui est classé monument historique au titre objet[87], un ciboire d’argent, de la même époque, et deux calices d’argent, du XVIIIe siècle, également classés. Les deux calices sont l’œuvre d’un orfèvre de Digne, Jean-Pierre Castor ; l'un d’eux a été volé[88],[89] ;
    • La chapelle Saint-Pierre est située à l'écart de Chasse[82] ;
    • Neuf oratoires sont dispersés sur le territoire de la commune (1 à Chasse), l’oratoire Notre-Dame-de-la-Garde datant de 1750[90].

    Autres patrimoines

    • Lavoirs, fontaines, vieilles portes, cadrans solaires, passages voûtés pavés, vieilles maisons en pierre et maisons récemment restaurées et paysages constituent le décor très pittoresque de ce village[91].
    • Les cadrans solaires[92] :
      • Le cadran solaire[93],[94] de la maison communale date de 1699 (elle servait alors d’école[95]). Il est orné d’un riche décor végétal aux couleurs vives (rouges, bruns, jaunes, beiges) et ne porte pas de légende[96]. Il est inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[97].
      • Montée Saint-François. Devise : "Tempus fugit" "Le temps s'enfuit".
      • Nouveau cadran peint de l'église. Devise : "Ainsi va le temps"
      • Un autre cadran moderne est orné d’un arbre, sous les rayons horaires, avec les montagnes en fond et des oiseaux[96].
    • Dans l'hôtel du Chaffaut, un grand poêle de chauffage en faïence de Moustiers-Sainte-Marie, œuvre de Joseph III Fouque sur commande du conseil général (1838), a été acheté par l’hôtel quand le conseil général se désista. Il est signé et classé[98].
    • Le sentier thématique « Amountagna »[99].
    • Monument aux morts[100].

    Personnalités liées à la commune

    • Christian Darasse, auteur de bande dessinée, né dans la commune.
    • Christian Marty, commandant de bord du Concorde accidenté le , repose au cimetière depuis le . Le 26 février 1982 Christian Marty fut l'un des premiers véliplanchistes à traverser l'Atlantique, d'où son surnom de « Lindbergh de la planche ». Qu'il a raconté dans son livre « l'Atlantique à mains nues » Editions du chêne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton d’Allos-Colmars », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    2. Le relief
    3. Lieux et itinéraires : Villars-Colmars
    4. Société HVV
    5. Chemins de fer de Provence
    6. L'eau dans la commune
    7. Évaluations des ressources hydrauliques sur les sites des stations de sport d'hiver prévus dans les Alpes méridionales : projet de Super Chasse Villars-Colmars]
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    9. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 8 juillet 2011, consultée le 7 septembre 2012
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
    11. Formulaire de recherche « Copie archivée » (version du 25 mai 2012 sur l'Internet Archive), base Dicrim, consultée le 7 septembre 2012
    12. Table climatique de Villars-Colmars
    13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 26 207, p 1437
    14. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 65.
    15. Foires agricoles de Saint André les Alpes : Brebis, 3eme prix Michel Barbaroux
    16. Agriculteur propriétaire exploitant
    17. La politique agricole de la commune
    18. Le sentier thématique “Amountagna”
    19. Camping Le Haut Verdon
    20. Cabane pastorale aménagée
    21. L'hôtel restaurant Le Martagon
    22. Itinéraire Villars-Colmars / Saint-André-les-Alpes
    23. Commerces
    24. Station service de Villars-Colmars
    25. Villars Colmars inauguration de la scierie du Melezin
    26. Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
    27. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    28. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 207.
    29. Raymond Collier, « Un exemple de privilèges municipaux sous l’Ancien Régime, en Provence : Colmars-les-Alpes, Allos, Beauvezer », Provence historique, tome 25, no 100, 1975, p. 193.
    30. Mireille Mistral, L’industrie Drapière dans la Vallée du Verdon, thèse de doctorat d’État en Sciences économiques, Académie d’Aix-en-Provence, Nice, 1951, 231 p., p. 72.
    31. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    32. Henri Ribière, « Colmars-les-Alpes », in Amis des forts Vauban de Colmars et Association Vauban, Vauban et ses successeurs dans les Alpes de Haute-Provence, Association Vauban, Paris, 1992, p. 94.
    33. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, (no)307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 11.
    34. Historique de Villars-Colmars
    35. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, (no)307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Deux siècles d’activités préfectorales », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012.
    37. Mireille Mistral, L’industrie Drapière dans la Vallée du Verdon, thèse de doctorat d’État en Sciences économiques, Académie d’Aix-en-Provence, Nice, 1951, 231 p., p. 119.
    38. Mireille Mistral, op. cit., p. 141 et 145.
    39. Mireille Mistral, op. cit., p. 191.
    40. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    41. Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
    42. Haut-Verdon Val d'Allos : Villars-Colmars, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    43. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    44. F. R., « André Guirand brigue un nouveau mandat », La Provence, 19 mars 2014, p. 13.
    45. Le préfet confère l'honorariat à André Guirand, en qualité d'ancien maire
    46. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013
    47. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    48. André Guirand
    49. PLU sur www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/
    50. PLU Villars-Colmars
    51. PLU
    52. plan de prévention des risques naturels prévisibles
    53. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    54. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    55. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    56. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    57. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    58. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon« Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    59. Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Villars-Colmars
    60. Villars-Colmars : la dette en 2016
    61. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2019)
    62. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    63. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    65. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    66. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    67. Labadie, op. cit., p. 16.
    68. Écoles, lycées et collèges
    69. École maternelle et primaire de Thorame-Haute
    70. École maternelle et élémentaire
    71. Professionnels et établissements de santé
    72. Services de santé
    73. Hôpitaux et cliniques
    74. Centre hospitalier de Dignes-les-Bains
    75. Itinéraire Villars-Colmar / Digne-les-Bains
    76. Établissement EHPAD (maison de retraite)
    77. Parcours-sportif-santé
    78. Centre de tourisme équestre
    79. Église de la transfiguration (Saint Sévère)
    80. Paroisses du secteur Haut Verdon - Val d’Allos - Val d’Issole
    81. Raymond Collier, op. cit., p. 189-190.
    82. Daniel Thiery, « Villars-Colmars », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 6 septembre 2012
    83. Le mobilier de l'église paroissiale de la Transfiguration puis Sainte-Sévère
    84. Villars-Colmars, Val d'Allos
    85. Chasse, hameau dépendant de Villars-Colmars
    86. Le mobilier de la chapelle de la Nativité puis Notre-Dame-des-Lumières puis Saint-Blaise
    87. Arrêté du 5 octobre 1989, Notice no PM04000587, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 mars 2009.
    88. Arrêté du 13 juin 1988, Notice no PM04000496, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 mars 2009
    89. Arrêté du 13 juin 1988, Notice no PM04000495, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 mars 2009.
    90. Raymond Collier, op. cit., p. 450.
    91. Villars-Colmar et son patrimoine architectural et paysager
    92. Les cadrans solaires
    93. maison commune (ancienne), cadran solaire
    94. Patrimages DRAC PACA : cadran solaire
    95. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 448.
    96. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN 2-7449-0309-4), p. 91.
    97. Arrêté du 29 novembre 1948, Notice no PA00080506, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 mars 2009
    98. Arrêté du 30 mai 1997, Notice no PM04000821, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 mars 2009
    99. Le sentier thématique « Amountagna »
    100. Monument aux morts
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