Ventron

Ventron ([vɛntʁɔ̃] ) est une commune de moyenne montagne située dans le département des Vosges en région Grand Est. Elle fait partie de l'unité urbaine de La Bresse, de la Communauté de communes des Hautes Vosges et se situe dans le Massif des Vosges.

Ventron

L'ermitage Frère Joseph.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté de communes des Hautes Vosges
Maire
Mandat
Brigitte Vanson
2020-2026
Code postal 88310
Code commune 88500
Démographie
Gentilé Véternat(e)s
Population
municipale
835 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 56′ 28″ nord, 6° 52′ 24″ est
Altitude 631 m
Min. 570 m
Max. 1 204 m
Superficie 24,97 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Bresse
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Bresse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Ventron
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Ventron
Géolocalisation sur la carte : France
Ventron
Géolocalisation sur la carte : France
Ventron
Liens
Site web www.ventron.fr

    Ses habitants sont appelés les Véternats .

    Géographie

    Situation de Ventron.
    Village de Ventron, vu de la route de Frère-Joseph.

    La commune est située à km de Cornimont dont elle partage le code postal, à 13 km du Thillot, à 30 km de Remiremont et 30 km de Thann. Le col du Page (957 m) permet de rejoindre Bussang par une route forestière. Ventron est aussi limitrophe de l'Alsace, relié à la vallée de la Thur par le col d'Oderen. Son point culminant est le Grand Ventron, à 1 204 m d'altitude, où le large panorama s'accompagne d'une table d'orientation. Le point le plus bas accuse 570 m, en direction de Travexin. Le ruisseau qui traverse le village est simplement nommé le Ventron[1], il est affluent gauche de la Moselotte.

    Au pied du sommet du Haut du Rouge Gazon (1 108m) se trouve la station de ski de Frère-Joseph. De taille modeste, la station propose toutefois 11 pistes très variées dans un paysage resté authentique et sauvage. [2]

    C'est l'une des 188 communes[3] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Communes limitrophes de Ventron
    Cornimont Kruth
    Cornimont Fellering
    Le Ménil Bussang

    Urbanisme

    Typologie

    Ventron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Bresse, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[7] et 10 788 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), prairies (4,5 %), zones urbanisées (1,3 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    On trouve les formes anciennes suivantes au XVIe siècle : Winterau, Wynterau (dans un document datant de 1579), Winteraw pour le Grand Ventron en 1582, Wintheraw pour Ventron en 1594. Ensuite, la localité est attestée au XVIIIe siècle sous les formes Ventus rotundus en 1768, et Vennetron ou Ventron sur la carte de Cassini. La prononciation de Ventron est « Vèn-tron » (vɛntʁɔ̃).

    La forme alémanique tardive Winterau s'interprète a priori comme un composé reposant sur les éléments Winter- signifiant « hiver » et -au « prairie, pré », d'où le sens global de « prairie, pré d'hiver ». La forme moderne Ventron résulte d'un phénomène de francisation.

    Cependant, les spécialistes ne tiennent pas compte de ces formes tardives qu'ils rejettent comme étant liées à l'étymologie populaire. Peut-être s'agit-il du nom de personne germanique Winther, suivi du suffixe -onem[14] mais le toponymiste François de Beaurepaire considère que les noms de personnes germaniques ne sont jamais suivis du suffixe -onem[15]. Il pourrait s'agir encore du nom de personne germanique Wineraus pris absolument et remplacé plus tard par le nom de personne germanique Wintro(n)[16].

    Histoire

    Les origines de Ventron remonteraient à l'époque des défrichements effectués après le Xe siècle par des pâtres venus du versant oriental et qui élevèrent des huttes et des étables d'hiver.

    En 1571, M. d'Elley de Maillanne, seigneur de Ventron, affranchit les habitants du droit de mainmorte vis-à-vis des héritages immobiliers. En 1617, Jean des Porcellets de Maillane, évêque et comte de Toul, seigneur de Ventron, étend cette dérogation aux biens meubles et immeubles. Il fait également ériger une chapelle sous l’invocation de saint Claude. Celle-ci est agrandie et convertie en église en 1730. Détruite, elle est remplacée en 1842 par l’église actuelle.

    Ventron dépendait, jusqu’au début du XVIIIe siècle du bailliage des Vosges et du ban de Vagney. En 1751, la commune dépendait du bailliage de Remiremont et en 1790, du district de Remiremont et du canton de Cornimont.

    L’ancienne mairie, sous le nom de corps de garde, date de 1790. En 1824, la commune achète un immeuble, qui abrite à la fois l’école mixte, la mairie et le presbytère. Pour remplacer la précédente tombée en ruine, une nouvelle mairie, comprenant une nouvelle école, un bureau de poste et télégraphe, est construite en 1880.

    Au fil de son histoire, de par sa position stratégique au pied du col d'Oderen, frontière allemande jusque 1914, le village a connu et subi de nombreux conflits. Lors de la dernière guerre, en 1940, la crête secondaire qui passe par le Grand Ventron, le Felsach, le col d'Oderen est souvent citée comme un itinéraire privilégié par les soldats français qui fuyaient du nord vers la zone libre. À cette occasion, à la chaume du Grand Ventron, le chalet du club alpin français cachait, restaurait, habillait cette armée en fuite avec la complicité du village.

    En , les troupes de libération s'infiltraient et prenaient position sur les sommets nord de la commune : Tomteux, Écharges. Les forces allemandes s'arc-boutaient sur le massif sud du col d'Oderen à la Ronde Brûche, entre les deux, dans la vallée, les habitants : hommes, femmes, enfants, pour échapper aux tirs dont ils étaient les objets, s'installèrent et organisèrent leur vie dans les caves des maisons sur la période qui couvre la mi- au . Les combattants des deux camps ne supportaient aucun mouvement dans la vallée, et les victimes civiles furent nombreuses qui sortaient imprudemment en pleine journée. Cette vie souterraine s'interrompit le par la déportation des hommes valides en Allemagne et par l'évacuation, le lendemain, des femmes, des enfants et des vieillards en zone libérée, à l'ouest du département des Vosges. Cette évacuation qui s'est déroulée sous les bombes, dans une tempête de neige, laissait à l'abandon, pour de longs mois, habitats, mobiliers, cheptels aux mains des occupants, des libérateurs, des trafiquants, mais elle mettait aussi en évidence la capacité d'entre-aide des communes de l'Ouest vosgien en faisant naître des amitiés jamais démenties : Tignécourt, Blevaincourt

    Au retour, au printemps 1945, toutes les familles du village étaient ruinées, les biens anéantis. Alors, Ventron s'est remis au travail.

    Pour ces raisons, le , la commune de Ventron a été citée à la Croix de guerre avec étoile d'argent[17] :

    « Petite commune de la montagne qui s'est trouvée pendant plusieurs semaines en pleine zone de combat. A payé un lourd tribut à la cause de la Liberté. Sa population a fait preuve d'un magnifique courage et du plus pur patriotisme. »

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant décembre 1729 avant décembre 1729 Dominique Géhin [18]    
    avant novembre 1730 entre mai 1731 et décembre 1731 Nicolas Claude Colin [18]    
    entre mai et décembre 1731 avant mai 1734 Michel Valroff [18]    
    avant février 1733 avant février 1733 Claude Géhin [18]    
    entre décembre 1731 et mai 1734 avant janvier 1735 Jacque Thomas [18]    
    mars 1896 1904 Désiré Constant Louis    
    mars 1904 1933 Paul Victor Germain    
    mars 1933 1947 Claude Germain   Industriel
    mars 1947 1950 Marcel Dessieux    
    mars 1950 mars 1977 Claude Germain   Industriel
    mars 1977 mars 1989 Maurice Mailly (1919-2009)   Retraité de l'Armée
    mars 1989 mars 2001 Fernande Gillet    
    mars 2001 mars 2008 Jacques Lambert PS  
    mars 2008 En cours
    (au 18 février 2015)
    Jean-Claude Dousteyssier SE Cadre BTP retraité

    Finances locales

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 250 000 , soit 1 335  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 939 000 , soit 1 002  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 417 000 , soit 445  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 266 000 , soit 284  par habitant ;
    • endettement : 278 000 , soit 297  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 20,48 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 13,36 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 17,26 %.

    Jumelages

    Ventron est jumelée avec Plounéventer, commune du Finistère, depuis le [20].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2018, la commune comptait 835 habitants[Note 2], en diminution de 5,44 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    1 0191 0751 1301 1661 3241 3461 2921 4031 306
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 4051 3331 3401 3441 3461 3961 4691 4511 443
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 3801 2691 2321 2051 2329531 0491 016970
    1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 -
    915970900979930926857835-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La station de sports d'hiver de Frère-Joseph, dont le domaine empiète sur la commune du Ménil, est située juste au-dessus de Ventron. Elle comporte un télésiège et huit téléskis qui desservent une douzaine de pistes de ski dont une noire. Le domaine est également traversé par 16 km de pistes de ski de fond et des chemins de randonnée à pied ou en raquettes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Claude.
    Le musée du textile.
    Le hameau du Petit Chéty.
    Ermitage de frère Joseph.

    Édifices religieux

    • Ermitage du Frère Joseph, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [25], constitué d'une petite chapelle et de l'habitation de l'ermite Frère Joseph Formet qui y vécut au XVIIIe siècle, né dans la Haute-Saône en 1724, mort en 1784 après 30 ans de recueillement sur une hauteur de Ventron.
    • Église Saint-Claude[26],[27], datée de 1841[28].
    La chapelle funéraire de Frère Joseph dans l'église Saint-Claude[29],[30].
    • Monuments commémoratifs[31].

    Autres monuments et sites

    Événements

    • Janvier
    • Juillet
      • Feu de la Saint-Jean tous les derniers samedis de juillet, organisé par les conscrits.
      • Le dernier dimanche du mois de juillet, pèlerinage en plein air devant la chapelle de l'ermitage Frère-Joseph.
    • Août
      • Marché artisanal tous les premiers dimanches d'août avec une affluence moyenne de 5 000 visiteurs.
      • Course du Grand Tétras avec arrivée à proximité de la station de ski.
    • Septembre
    • Décembre
      • Marché de Noël.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Thiébaut Géhin, industriel et fondateur des FTS (Filatures et Tissages de Saulxures) et homme politique.
    • Jean des Porcellets de Maillane, de la célèbre et illustre Maison de Provence du même nom.
    • Pierre-Joseph Formet (1724-1784), ermite plus connu sous le nom de Frère Joseph. Le pape Léon XIII l'a décrété vénérable le .
    • Les trois sœurs, Thérèse, Marguerite et Anne-Marie Leduc, skieuses de l'équipe de France aux JO de Squaw Valley (É.-U.) en 1960, sont véternates. Elles sont les benjamines d'une fratrie de onze ayant tous participé à des compétitions de haut niveau. Thérèse Leduc a donné son nom à une piste de ski bleue du domaine skiable[35].
    • Claude Poletti, chef d'orchestre et chef de chœurs, premières études de piano avec Cécile Antoine (Saulxures-sur-Moselotte) puis avec le maître François Cholé (Conservatoire de Nancy). Directeur de conservatoire : Belfort, Vannes, et le Conservatoire national de région de Metz. Il crée et dirige en 1995 la première entreprise européenne de numérisation de textes musicaux Euro Musique Systèmes qui deviendra américaine en 2001 et porte désormais le nom de Make Music. Claude Poletti est organiste de la cathédrale de Vaison-la-Romaine et directeur artistique du Chœur européen de Provence[36].
    • Mité, né à Ventron le et décédé le [37].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Taillé : au 1er d'or (d'argent) à la crosse épiscopale de sable, mouvant de la partition au 2e d'azur au lion léopardé d'argent (d'or).
    Commentaires : la crosse rappelle que Jean des Porcellets, évêque de Toul, affranchit les habitants du lieu en 1617. Le lion léopardé est extrait des armes de Charles François, comte de Serre, qui donna ses forêts aux habitants de Ventron en 1704 ; ce meuble se retrouve sur le blason de Pagny-sur-Moselle.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. ZNIEFF 410030149 – Ruisseau de Ventron amont et aval du ruisseau des Vinterges
    2. « Ermitage Resort - Ski & Loisirs », sur www.ermitage-resort.com (consulté le ).
    3. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de La Bresse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 705b.
    15. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 114.
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    17. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    18. Archives départementales des Vosges
    19. Les comptes de la commune de Ventron « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    20. Le comité de jumelage, qui unit les communes de Plounéventer et Ventron dans les Vosges
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Ermitage du frère Joseph », notice no PA00125547, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. L'église Saint-Claude
    27. Les vitraux de l'église Saint-Claude
    28. L’intervention de la Fondation du patrimoine en faveur de l’église Saint-Claude de Ventron
    29. La chapelle funéraire de Frère Joseph dans l'église Saint-Claude
    30. Quêter pour la restauration de la chapelle de Ventron
    31. Monument aux Morts, Carré de corps restitués aux familles
    32. La fontaine de la Verseuse
    33. Musée du Textile des Vosges
    34. (fr) Le musée du textile
    35. Thérèse leduc, skieuse olympique, Dictionnaire des vosgiens célèbres
    36. La première chorale de Vaison la Romaine a été créée en 1968. Depuis octobre 2000, Claude POLETTI dirige ce chœur qui a pris le nom de Chœur Européen
    37. « Biographie de Mité », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
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