Ubraye

Ubraye est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ne doit pas être confondu avec Ubaye.

Ubraye

Ubraye.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Claude Roustan
2020-2026
Code postal 04240
Code commune 04224
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2018 )
Densité 2,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 33″ nord, 6° 41′ 51″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 1 938 m
Superficie 35,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Ubraye
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Ubraye
Géolocalisation sur la carte : France
Ubraye
Géolocalisation sur la carte : France
Ubraye

    Le nom de ses habitants est Ubrayens[1].

    Géographie

    Localisation

    Ubraye et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    La commune est composée de 5 petits villages : Ubraye (à 949 m d'altitude[2]), Rouainette (à 1 230 m d'altitude[2]), Laval, Jaussier et le Touyet (qui est une paroisse à partir de 1807[3]).

    Les villages d’Ubraye et de Rouainette sont des villages perchés.

    La seule route d'accès au Touyet est construite en 1954, l’électricité n’arrive qu’en 1958[4], le téléphone en 1934 (une cabine financée par le conseil général) et la télévision en 1962 (antenne de Valberg)[5].

    Hameaux

    • Laval,
    • Rouainette,
    • Le Touyet,
    • Jaussiers.

    Environnement

    La commune compte 960 ha de bois et forêts[1].

    Géologie et relief

    • La Bernarde (1 941 m),
    • Sommet de la Pène.

    Voies de communications et transports

    Pont abandonné sur la RD 10[6].

    Voies routières

    La commune est desservie par la route départementale RD 10.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Risques naturels et technologiques

    La commune d’Ubraye est exposée à trois risques naturels[7] :

    • feu de forêt,
    • inondation,
    • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[8].

    La commune d’Ubraye n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[9] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] ; le Dicrim n’existe pas[10].

    Sismicité

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Ubraye est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[11], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[12] :

    • torrent la galange,
    • ravins de farney, de chabre mourte, du riou, de la combe garnier, de la fouent, du tuvéras, de chambre fache, des jardins, de la basse, de saint-jean, de paillon,
    • ruisseaux de laval, la bernade.

    Toponymie

    Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1125 (Bertrannus de Ubraia), est issu d’un nom de personne gaulois, Eburos ou Eburus, avec le suffixe -aco, signifiant ainsi terre d’Eburos. C’est un des très rares cas où le suffixe -aco a été féminisé[13],[14],[15].

    Économie

    Agriculture

    Patrimoine agricole :

    Commerces

    Patrimoine artisanal et industriel :

    Histoire

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1125[24]. L’église et les revenus qui en dépendaient relevaient des évêques d’Entrevaux[25] et la seigneurie était aux comtes de Provence[25]. Elle passe ensuite aux Pontevès, puis à la branche des Clary-Pontevès (1408-Révolution). La dîme alors perçue était d’un treizième des récoltes (le treizain)[26]. L’abbaye Saint-Eusèbe d'Apt a été propriétaire d’un prieuré à Ubraye[27].

    La communauté relève d’abord de la viguerie de Castellane, puis de celle d’Annot quand celle-ci est créée[25],[28].

    Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Enchastrayes[29].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien d’Ubraye est achevé[30].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Ecartelé, au 1er et 4e, d’azur à une bande d’or, accompagné de deux étoiles du même, une en chef et une en pointe, au 2e de gueules, à un pont à deux arches d’or, maçonné de sable, et au 3e, d’or à un loup ravissant d’azur, armé et lampassé de gueules.[31],[32]

    Politique et administration

    Mairie d'Ubraye.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1862 1891 Auguste Reboul    
    1891 1896 Benjamin Reboul    
    1896 1903 Jean Mandine    
    1903 1904 Joseph Clenchard    
    1904 1905 Ferdinand Trabaud    
    1905 1908 Philippe Sauvaire    
    1908 1925 Ferdinand Trabaud    
    1925 1943 Joseph Philip    
    1943 1945 Michel Olive Germain    
    1945 1977 Émile Boule    
    1977 1989 Eugène Duprat    
    1989 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Claude Roustan[34],[35],[36]   Retraité de la fonction publique

    Intercommunalité

    Ubraye a fait partie, de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière ; celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes du sud-est du département pour constituer, le , la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

    Urbanisme

    Typologie

    Ubraye est une commune rurale[Note 1],[37]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[38],[39]. La commune est en outre hors attraction des villes[40],[41].

    La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[42].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,5 %), prairies (2,5 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[44].

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2018, Ubraye comptait 96 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Ubraye). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    637628530558599566590609639
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    606666657605538522509507444
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    423357332330280248218179152
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009
    1118977594310485110104
    2014 2018 - - - - - - -
    8996-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Évolution démographique avant 1793
    1302 1315 1471
    85 feux[47]75 feux21 feux
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[24])

    L’histoire démographique d’Ubraye, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période de 1811 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée, et assez rapide, puisque dès 1911, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[48]. Le mouvement de recul se poursuit tardivement, et ne s’interrompt que dans les années 1980. Depuis, la population s’est stabilisée autour d’une centaine d’habitants.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Comme de nombreuses communes du département, Ubraye se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà trois écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, au village chef-lieu et aux hameaux du Touyet et de Jaussiers. De plus, en limite communale, une école existe au hameau de Rouaine, appartenant à la commune d’Annot[49]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, et ne concerne pas Ubraye[50]. La première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, n’est pas appliquée[51]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Ubraye sont scolarisées.

    Lieux et monuments

    Le village, pour se défendre des coups de main et des attaques impromptues, est construit tourné vers la place centrale, les façades extérieures formaient une enceinte défensive[52].

    Église Saint-Julien d'Ubraye.
    Église Saint-Pons du Touyet.

    L’église paroissiale, placée sous l’invocation de saint Julien, au village d’Ubraye, est d’architecture romane ; construite dans la seconde moitié du XIIIe siècle, elle a été reprise de nombreuses fois, jusqu’à la dernière restauration dans les années 1970. La nef, formée de trois travées voûtées en berceau, s’achève par une abside en cul-de-four. Le bas-côté nord est voûté d’arêtes. L’église est dotée d’un clocher-tour avec une cloche de 1764[53], de plan carré[54]. Elle a conservé dans son mobilier :

    Enfin, l’église possédait un plat de quête en cuivre repoussé, du XVe ou du XVIe siècle, classé au titre objet, mais qui a disparu[60].

    Il y a une autre église, sous la titulature de Saint-Pons, au Touyet[25] : deux bustes-reliquaires, et un Christ naïf figurent dans son mobilier[25] ; l’église Saint-Sébastien de Rouainette, sous le patronage de saint Louis, était une succursale de Rouaine (commune d’Annot)[25].

    Il y a de nombreuses chapelles : Saint-Joseph à Rouainette[61] (en ruines, seconde moitié du XVIIe siècle[62])[25], Saint-Barthélemy à Laval[25], Notre-Dame de la Rivière[63] à l'est d’Ubraye, restaurée en 2008[25], Notre-Dame des Neiges[64] dans la montagne (en ruines), le prieuré Saint-Martin à Jaussiers (en ruines ou disparu[25]), romane à Ubraye et au Touyet, la chapelle Sainte-Anne, actuellement maison[65].

    Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

    Personnalités liées à la commune

    Sources

    Bibliographie

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton d’Annot », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013.
    2. Autheman, op. cit., p.  4.
    3. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    4. Autheman, p. 19.
    5. Roger Autheman, Le Touyet d'Ubraye : haut village de nos Alpes du Sud, canton d'Annot, éditions Lou Sourgentin, Nice, 1991, p. 32.
    6. « pont », notice no IA04001522, base Mérimée, ministère français de la Culture
    7. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 1er septembre 2012.
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98.
    10. Formulaire de recherche « Copie archivée » (version du 25 mai 2012 sur l'Internet Archive), base Dicrim, consultée le 1er septembre 2012.
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    12. L'eau dans la commune
    13. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 358
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 3198, p. 204.
    15. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 48.
    16. « rucher », notice no IA04001345, base Mérimée, ministère français de la Culture
    17. « rucher dit lou Rouchas », notice no IA04001344, base Mérimée, ministère français de la Culture
    18. « Borie du Fontani », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture
    19. « tuilerie », notice no IA04001346, base Mérimée, ministère français de la Culture
    20. Moulin à farine
    21. « moulin à farine lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04000812, base Mérimée, ministère français de la Culture
    22. « four à pain », notice no IA04001325, base Mérimée, ministère français de la Culture
    23. « four à pain lieu-dit Rouainette », notice no IA04001324, base Mérimée, ministère français de la Culture
    24. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 204.
    25. Daniel Thiery, « Ubraye », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 1er septembre 2012.
    26. Autheman, op. cit., p. 10.
    27. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
    28. Hubert-Alexis Jaillot, La Provence divisée en ses Vigueries et Terres adjacentes.
    29. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
    30. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    31. Banque du Blason
    32. Terres de Lumière : Ubraye, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    33. 1862-1989 : Autheman, op. cit., p. 45.
    34. Claude Roustan est l’un des 500 élus qui ont parrainé François Hollande (PS) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012.
    35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013.
    36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires « Copie archivée » (version du 22 octobre 2014 sur l'Internet Archive) », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    37. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    39. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    44. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècles, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 17.
    48. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
    49. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    50. Labadie, op. cit., p. 16.
    51. Labadie, op. cit., p. 18.
    52. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 297
    53. Cloche de l'église paroissiale Saint-Julien
    54. Raymond Collier, op. cit., p. 116.
    55. Raymond Collier, op. cit., p. 474.
    56. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
    57. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
    58. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
    59. Arrêté du 1er avril 1909, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
    60. Arrêté du 23 mars 1937, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
    61. « chapelle Saint-Joseph », notice no IA04001338, base Mérimée, ministère français de la Culture
    62. cf. registres paroissiaux de Rouainette, succursale d'Ubraye, aux Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence (réf. 1MI5/0184 BMS1727-1793, p.63), "Mémoire des Messes de fondation de Saint-Sébastien de Rouainette" : la chapelle Saint-Joseph est mentionnée comme construite en application de la volonté testamentaire d'Angelin Goujon dit Mouton (testament de 1669) par ses héritiers Maximin Goujon et Honoré et Jacques Chalvé "à la tête de [la] terre" qu'Angelin Goujon a léguée à l'Eglise.
    63. « chapelle Notre-Dame de la Rivière », notice no IA04001339, base Mérimée, ministère français de la Culture
    64. « chapelle Notre-Dame des Neiges », notice no IA04001337, base Mérimée, ministère français de la Culture
    65. « chapelle Sainte-Anne, actuellement maison », notice no IA04001336, base Mérimée, ministère français de la Culture
    66. Plaque commémorative
    67. « oratoire », notice no IA04001332, base Mérimée, ministère français de la Culture
    68. « croix de chemin et oratoires d'Ubraye », notice no IA04001376, base Mérimée, ministère français de la Culture
    69. « croix monumentale, lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04001333, base Mérimée, ministère français de la Culture
    70. « croix monumentale, lieu-dit Rouainette », notice no IA04001331, base Mérimée, ministère français de la Culture
    71. « croix monumentale, lieu-dit Jaussiers », notice no IA04001330, base Mérimée, ministère français de la Culture
    72. « canal d'irrigation », notice no IA04001341, base Mérimée, ministère français de la Culture
    73. « fontaine lavoir, lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04001328, base Mérimée, ministère français de la Culture
    74. « fontaine lavoir », notice no IA04001327, base Mérimée, ministère français de la Culture
    75. « lavoir lieu-dit Rouainette », notice no IA04001326, base Mérimée, ministère français de la Culture
    76. « lavoir du Fournas », notice no IA04001329, base Mérimée, ministère français de la Culture
    77. Fédération Nationale de la Pêche en France
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