Trosly-Breuil

Trosly-Breuil est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Breuil.

Trosly-Breuil

La gare de Lamotte-Breuil au début du XXe siècle.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Sylvain Goupil
2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60647
Démographie
Gentilé Troslysiens Breuillois
Population
municipale
2 072 hab. (2018 )
Densité 189 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 57″ nord, 2° 58′ 04″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 126 m
Superficie 10,98 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Trosly-Breuil
(ville-centre)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-1
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : Oise
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : France
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : France
Trosly-Breuil
Liens
Site web trosly-breuil.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Trosly-Breuil est située dans l'Oise, dans le canton de Compiègne-1. Elle se trouve à l'orée de la forêt de Compiègne (forêt domaniale). La superficie de la commune est de 1098 hectares dont 580 hectares boisés[1].

    Les cinq communes limitrophes sont :

    Communes limitrophes de Trosly-Breuil
    Rethondes Berneuil-sur-Aisne
    Compiègne
    Vieux-Moulin Cuise-la-Motte

    Relief et hydrographie

    L'altitude de la commune est d'environ 40 m, le point le plus bas (34 m) est à l'ouest sur l'Aisne et le point le plus haut (134 m) est au sud-ouest le mont Saint-Mard[2].

    La commune est bordée par la rivière Aisne, son module y est de 65,4 m3/s, son bassin versant de 7 940 km2. Elle est traversée par les rus de Breuil, de Géromé, de la Grande Voirie d'Héran, du Marais de la Motte et de Vandy[1].

    Climat

    Le climat de Trosly-Breuil est de type « tempéré océanique humide » (Cfb). La station météorologique la plus proche est celle de Creil.

    Relevé météorologique de Creil 1981-2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 3,2 4,7 8,3 11 13,1 12,9 10,3 7,6 3,9 1,4 6,6
    Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,8 11,6 14,9 18,7 21,9 24,7 24,6 20,6 15,6 10,1 6,5 15,3
    Source : Station homologuée Météo-France[3]

    Accès routier

    la RN 31 traverse Trosly-Breuil, la reliant à Soissons et Compiègne. En 2008, le trafic est de 13 600 véhicules par jour, dont 3500 poids lourds et 30 convois exceptionnels. La route départementale 547 dont le trafic en 2008 est de 757 véhicules par jour, dont 15 poids lourds.

    La commune dispose de huit arrêts de bus. Les six arrêts de la RN 31, dont deux avec abris, sont dédiés à la ligne Compiègne - Soissons. Le service de bus effectue ce trajet aller-retour plusieurs fois par jour, 6 jours sur 7[4].

    Accès ferroviaire

    La voie ferrée Rochy-Condé Soissons est en service jusqu'à la gare appartenant à la société Weylchem à Trosly-Breuil.

    Les gares les plus proches sont celles de Soissons (28 km), Villers-Cotterêts (25 km), Compiègne (11 km), et La Ferté-Milon (34 km) :

    Infrastructures navigables

    L'Aisne est une rivière navigable. Le trafic annuel en 2006 est de 2 400 bateaux de commerce et 600 bateaux de plaisance.

    Risques naturels et technologiques

    Selon le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Oise, Trosly-Breuil est concernée par trois risques : inondation, risque industriel et séisme[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Trosly-Breuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trosly-Breuil, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[9] et 5 818 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %), terres arables (18,5 %), zones urbanisées (12,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %), prairies (0,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Français : Un extrait de la carte de Cassini.

    Breuil, d’origine gauloise, désignait un « petit bois » [16] ou un « petit bois entouré d’une haie »[réf. nécessaire].

    Histoire

    Le Moyen Âge

    Breuil était une terre du fisc, domaine foncier mérovingien constitué d'ancienne terre du fiscus, que le maire Ebroïn fit donner à l’abbaye Saint-Médard de Soissons en 656. Dotation confirmée en 858 par Charles-le-Chauve. Trosly, qu’on surnomme Trosly-aux-Bois et Trosly-le-Chanvre, était une maison royale sous les Carlovingiens. On connaît des ordonnances de Carloman rendues dans ce lieu au mois de [17].

    En 909, sous la présidence d'Hervé, l'archevêque de Reims, le concile de Trosly propose d'octroyer un territoire aux Vikings. Le territoire prit le nom de Normandie. Ce concile aboutit à la première tentative internationale de créer des "lois de la Guerre" c'est la paix de Dieu. Ce mouvement eut une très grande importance car il aboutit à la définition des droits et devoirs des trois ordres et fonda les bases morales de la société médiévale occidentale. Trois autres conciles se tiennent à Trosly. Lors du concile de 921 présidé par Hervé, le concile lève l'excommunication de Erlebald, comte de Castrice, préalablement décidée par ce même Hervé. En 924, l'évêque de Cambrai Étienne donne l'absolution au comte Isaac qui avait incendié l'un de ses châteaux. Enfin, en 927, le comte Herluin obtint son absolution[18].

    Le roi Lothaire tint en un placitum ou réunion des états du royaume. En , Louis VII affranchit les hommes du roi à Trosly.

    En 1258, la terre de Trosly dépendait des seigneurs d’Attichy. Le château royal de Trosly, ou se tint plusieurs conciles et assemblées de la nation, fut détruit par les Normands. Le château était situé près du village entre la route de Soissons et la rivière d’Aisne.[réf. nécessaire]

    Breuil fut brûlée dans la Grande Jacquerie en 1359. La terre appartenait aux seigneurs de Cuise. L’église fut incendiée et le château assiégé. L’église a été reconstruite au XVIe siècle.

    Le XVIIe siècle

    Les habitants de Trosly obtinrent très vite le droit de pacage et le droit d’usage de la forêt. Ce droit fut concédé par lettres royales en . Il fut confirmé par Henri IV en février 1609 puis par Louis XIII et par Louis XIV en 1648[17].

    Au XVIIe siècle, les chanvriers filassiers de Béthisy produisent et distribuent un chanvre prêt-à-filer de grande qualité. Pour compléter leur offre, ils achètent à Trosly et dans la vallée de l'Aisne un chanvre gris plus commun auquel ils donnent le nom de chanvre Picard[19].

    Héraldique

    Blason
    De sinople à quatre crosses d'or rangées en fasce, celle de dextre avec son vélum, les trois de senestre contournées, les deux du milieu abaissées et surmontées d'une couronne à l'antique du même[20].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1839 1845 Louis-Antoine Labie    
     ? mars 2001 Guy Sautret    
    mars 2001 mai 2002[21]
    (démission)
    Claude Mendez SE  
    juin 2002[22] mars 2008 Jean-Yves Lardeux    
    mars 2008 mai 2020 Claude Mendez SE Retraité
    Réélu en 2014[23]
    mai 2020 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Sylvain Goupil SE Comptable, ancien premier adjoint
    Vice-président de la CC des Lisières de l'Oise

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 2 072 habitants[Note 4], en diminution de 1,66 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    790838854836884869883888885
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    840824779741721741668700698
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8729861 0499981 2271 2381 1801 1431 414
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 5241 9632 0981 9722 0342 1642 0552 0812 096
    2018 - - - - - - - -
    2 072--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune vieillit. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % en 2011 contre 19,6 % en 2006. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2011, la suivante :

    • 48,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 19,8 %, 45 à 59 ans = 25,8 %, plus de 60 ans = 18,7 %) ;
    • 51,3 % de femmes (0 à 14 ans = 15,8 %, 15 à 29 ans = 17,2 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 24 %, plus de 60 ans = 24,9 %).
    Pyramide des âges à Trosly-Breuil en 2011 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90  ans ou +
    1,5 
    5,1 
    75 à 89 ans
    8,9 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,5 
    25,9 
    45 à 59 ans
    24,0 
    19,8 
    30 à 44 ans
    18,1 
    17,8 
    15 à 29 ans
    17,2 
    17,8 
    0 à 14 ans
    15,8 
    Pyramide des âges de l'Oise en 2011 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,9 
    75 à 89 ans
    7,7 
    12,7 
    60 à 74 ans
    12,8 
    20,7 
    45 à 59 ans
    20,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    20,6 
    19,0 
    15 à 29 ans
    17,8 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Lieux de cultes

    Trosly-Breuil dispose de deux lieux de culte catholique et fait partie de la paroisse de la Vallée de l'Aisne appartenant au diocèse de Beauvais, lui-même membre de la province ecclésiastique de Reims. La commune utilise deux lieux de culte : l'église Saint Hilaire et la chapelle Notre-Dame-de-l'Arche qui dessert la communauté de l'Arche.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 750 , ce qui plaçait Trosly-Breuil au 8 765e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[30].

    Emploi

    En 2011, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 426 personnes, parmi lesquelles on comptait 74,1 % d'actifs dont 68,5 % ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs[a 1].

    On comptait 1 244 emplois dans la zone d'emploi, contre 1241 en 2006. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 978, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 127,2 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi par habitant actif[a 2].

    Entreprises et commerces

    Au , Trosly-Breuil comptait 103 établissements : 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 10 dans l'industrie, 19 dans la construction, 63 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[a 3].

    En 2013, dix entreprises ont été créées à Trosly-Breuil[a 4], dont six par des autoentrepreneurs[a 5].

    Culture locale et patrimoine

    Personnalités liées à la commune

    • Adolphe Clément, né en 1855 à Pierrefonds, devient Adolphe Clément-Bayard en 1909. Il est l'un des plus grands industriels français du début du XXe siècle. Il construira notamment six dirigeables dans ses hangars de la Motte-Breuil.
    • Jean Vanier, en 1964, c'est à Trosly-Breuil que Jean Vanier fait venir deux handicapés mentaux Philippe Seux et Raphaël Simi, dans une maison qu'il appelle l'Arche. Trosly-Breuil devient ainsi le noyau de la communauté de l'Arche.
    • Élodie Gossuin, (Miss France et Miss Europe 2001) a grandi et réside à Trosly-Breuil.
    • Thomas Philippe, prêtre dominicain mort à Trosly-Breuil en 1993, accompagnateur de la communauté de l’Arche pendant environ vingt-cinq ans, mais dont la réputation a été ternie à la suite de scandales d’abus sexuels au sein de l’Église, révélés environ vingt ans après sa mort.

    Décoration

    Une Croix de guerre 1914-1918.

    La commune a reçu la Croix de guerre 1914-1918.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Trosly-Breuil: Sur les traces des premiers agriculteurs, Bruno Bréart, Didier Lamotte ; APPAH, 1990.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Insee

    1. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    2. EMP T5 - Emploi et activité.
    3. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2011.
    4. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    5. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2013.

    Autres références

    1. « GT Enjeux du 7 juin 2011 », sur picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    2. « géoportail », sur le portail des territoires et des citoyens (consulté le ).
    3. « Données climatiques », sur MétéoFrance (consulté le ).
    4. Offre cogérée par les services de transport axonais (lignes CAP363 et STEPA) et isariens (lignes OiseMobilité 25 et 26) - tarif normal : - horaires 2013/2014 : http://www.cita.asso.fr/ficheshoraires/Ligne_363_cap_verso.pdf + http://www.cita.asso.fr/ficheshoraires/Ligne_compiegne_soissons_stepa_verso.pdf + http://www.oise-mobilite.fr/ftp/FR_documents/Ligne%2025%202013-2014.pdf + http://www.oise-mobilite.fr/ftp/FR_documents/Ligne%2026%202013-2014.pdf
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Trosly-Breuil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 257
    16. Histoire du duché de Valois, Vol.3
    17. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=17848
    18. « Le maire démissionne », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)
      « Claude Mendez, le maire de Trosly-Breuil, a envoyé sa lettre de démission au préfet de l'Oise. Un courrier daté de mardi et en attente de traitement par les services préfectoraux. ».
    19. « Jean-Yves Lardeux est le nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)
      « Les 19 conseillers municipaux de Trosly-Breuil ont donc choisi leur nouveau maire, vendredi soir, au premier tour de scrutin, par 15 voix en faveur de Jean-Yves Lardeux, qui était jusqu'alors premier adjoint, et 4 voix au profit de l'ancien maire, Claude Mendez ».
    20. « Trosly-Breuil », Cartes de France (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Évolution et structure de la population à Trosly-Breuil en 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur site de l'Insee (consulté le ).
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