Tremblay-en-France

Tremblay-en-France est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Tremblay.

Tremblay-en-France

La mairie

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Paris Terres d'Envol
Maire
Mandat
François Asensi
2020-2026
Code postal 93290
Code commune 93073
Démographie
Gentilé Tremblaysiens
Population
municipale
36 230 hab. (2018 )
Densité 1 615 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 00″ nord, 2° 34′ 20″ est
Altitude 84 m
Min. 58 m
Max. 117 m
Superficie 22,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tremblay-en-France
(bureau centralisateur)
Législatives 11e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Tremblay-en-France
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Tremblay-en-France
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Tremblay-en-France
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Tremblay-en-France
Liens
Site web http://www.tremblay-en-france.fr

    Ses habitants sont appelés les Tremblaysiens.

    Géographie

    Localisation

    Tremblay-en-France est la commune la plus vaste du département de Seine-Saint-Denis avec ses 2 244 hectares. Située à 25 km de Paris, elle est limitée par le Val-d'Oise au Nord-Ouest et la Seine-et-Marne à l'Est. Tremblay qui culmine à une altitude moyenne de 85 m au Vieux-Pays et à 60 m sur les rives de l'Ourcq, appartient géographiquement à la Plaine de France qui est découpée par les vallées de la Marne, de la Seine et de l'Oise.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes de Tremblay-en-France sont :

    Hydrographie

    Le Sausset

    Un petit ruisseau, le Sausset, draine la commune.

    Le canal de l'Ourcq passe au sud de Trembaly-en-France.

    Voies de communication et transports

    L'autoroute A104 depuis le depuis Pont Avenue Général Pouderoux en 2020.

    La ville est principalement accessible par l'autoroute A104, par la RN 3, par la RD 115 (Route des Petits Ponts) et la station de RER du Vert-Galant, en liaison directe depuis la gare du nord.

    L'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle a une partie de son territoire dans la commune de Tremblay-en-France.

    La commune dispose de trois gares du RER B et une gare de TGV :

    En 1998, la Ville de Tremblay a mis en place le service Filéo qui permet aux employés de la plate-forme aéroportuaire d'accéder à leur lieu de travail de jour comme de nuit. Un système de navette à la carte qui profite aux propriétaires d'une carte Orange sans majoration.

    Au mois de , Tremblay a lancé son propre réseau de bus, entièrement financé par le budget de la commune, afin de pallier l'insuffisance du maillage en seconde couronne. Appelé T'Bus, ce dispositif fonctionne avec neuf bus, décorés aux couleurs de la ville, qui en sillonnent le territoire. Ce service a trouvé son public, puisque 4 932 voyageurs l'utilisent journellement en 2007, soit une croissance de 37 % depuis le lancement du service. L'achat d'un dixième T'bus est envisagée pour améliorer la desserte du Vieux-Pays[1].

    Fortement impliqué dans le développement de l'offre en transports collectifs[réf. nécessaire], le député-maire François Asensi organise en 2003 les Assises du RER B et créé dans la foulée l'Association des Maires de la ligne B du RER. L'élu tremblaysien, rejoint par la majorité de ses collègues, réclame la modernisation de cette ligne, surnommée « la ligne maudite ». Une modernisation qui a été votée par la Région Île-de-France en 2006 mais qui se heurte au refus de l'État de financer l'opération à 50 % comme il s'y était engagé.

    La ligne de bus CIF 15 dessert la commune de Tremblay-En-France.

    Urbanisme

    Au début du XXIe siècle, Tremblay présente une configuration originale avec un sud urbanisé, un centre villageois entouré de terres agricoles et le nord occupé par les installations aéroportuaires et des zones d'activités économiques (Paris-Nord II). Le village, ou « Vieux Pays » est resté préservé.

    Typologie

    Tremblay-en-France est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].

    Quartiers

    Anciennement dénommée Tremblay-lès-Gonesse, la ville est constituée de trois pôles principaux :

    • la plate-forme aéroportuaire de Paris-Charles-de-Gaulle, située à cheval sur les communes de Roissy et Tremblay ;
    • le Vieux-Pays, ancien village situé au Nord entouré de terres agricoles qui séparent l'aéroport du reste de la ville ;
    • quartier Berthelot ;
    • quartier Ader ;
    • le centre-ville, qui regroupe lui-même six quartiers :
      • quartier du Mikado regroupant Chastillon, Prévert, place de la Paix à avenue du Parc, 8-Mai-1945, Langevin  ;
      • quartier Boulevard Hôtel de ville (Mandela incluse) ;
      • quartier Lénine ;
      • quartier Farge-Cotton  ;
      • quartier Jacques-Callot ;
      • quartier Pierre-Lescot.

    Le reste du territoire de la commune est principalement pavillonnaire avec les quartiers des Cottages, du Bois-Saint-Denis et du Vert-Galant.

    Le Vieux-Pays.

    Tremblay-en-France est également réputée pour sa verdure et ses sites naturels qui ont été sauvegardés de l'urbanisme sauvage des années 1960 et 1970. Ainsi un massif boisé de 70 hectares, hérité des grandes forêts qui couvraient le Nord de l'Île-de-France, fait de Tremblay-en-France une des « villes vertes » de la Seine-Saint-Denis. Une exception confirmée par la présence du canal de l'Ourcq et de ses berges verdoyantes au sud, ainsi que par les rives du Sausset au nord.

    Toponymie

    Trimlidum en 862[10], Tremblacum, Trembleium, Tremblay en 1175, Trembley[11].

    Sous l'Ancien Régime, le village s'appelle Tremblay-en-France ou Tremblay-Saint-Denis.[réf. nécessaire]

    Au XIXe siècle, la commune s'appelle simplement Le Tremblay et se divise en Grand et Petit Tremblay[12] mais qui ne constituent pas des communes indépendantes.

    En 1887, la commune ajoute lès-Gonesse au nom de Tremblay utilisée après la période révolutionnaire. En ancien français, la préposition « lès » signifie « près de », la graphie « Tremblay-les-Gonesses » parfois constatée est donc parfaitement erronée.

    À la fin des années 1980, un référendum local est organisé pour que les habitants de Tremblay se prononcent sur le changement de dénomination de la commune. Située dans le pays de France comme d'autres villages, par exemple sa célèbre voisine Roissy-en-France, le nouveau nom rappelle que la commune est située dans le pays de France, c'est-à-dire dans le cœur de l'Île-de-France.

    La référence à la ville de Gonesse, justifiée à l’origine, en 1790, lors de la constitution de l'ancien département de Seine-et-Oise — il existait une commune homonyme dans le département : Le Tremblay-sur-Mauldre, aujourd’hui dans les Yvelines — avait perdu toute pertinence, le nombre des habitants de Tremblay dépassant celui de Gonesse.

    Par un décret du , publié au Journal officiel du , Tremblay-lès-Gonesse [re-]devient Tremblay-en-France.

    Histoire

    Vases de céramique d'époque gallo-romaine.
    Celui de droite a été découvert à Tremblay.

    Le village tire son nom du latin Tremuletum, le bois de trembles ou peupliers blancs. La France évoquée est le Pays de France, plaine agricole du nord-est de Paris où se situe la ville.

    Le territoire a connu une occupation humaine dès le paléolithique puis durant le néolithique comme l'attestent de nombreux objets trouvés par des cultivateurs ou durant le creusement du canal de l'Ourcq. Le village actuel s'établit autour de la source du Sausset, petite rivière de la plaine de France.

    Il entre dans les possessions de la puissante abbaye de Saint-Denis en 834 à la suite d'un don de Louis le Pieux. L'abbé Suger y bâtit un château et affranchit les habitants.

    Dès le Moyen Âge, le village se répartit entre Petit Tremblay et Grand Tremblay. À cette époque, les habitants vivent de la grande culture céréalière ou de la vente de laine de mouton, vendue en particulier lors de la foire du Lendit à Saint-Denis.

    En 1566, Charles IX permit d'y établir deux foires.

    Située à l'écart des grands axes, la plupart des évènements de l'histoire ne l'atteignent guère et ce jusqu'à la Révolution française. La première évolution importante est la construction du canal de l'Ourcq, décidée par Napoléon Ier, qui permet alors aux paysans de vendre plus facilement leurs productions à Paris.

    En 1870 et 1871, lors de la guerre franco-prussienne, les habitants du village se réfugient à Paris, les récoltes sont pillées[13].

    Durant le siège de Paris le quartier général du XIIIe corps Prussien fut installé au Vert-Galant et celui du prince de Saxe est installé au Tremblay.

    Le , eut lieu l'affaire de la ferme du Tremblay[14][C'est-à-dire ?] où est engagé le régiment des mobiles de la Vienne

    Plaque commémorative des Taxis de la Marne.

    Au XXe siècle, la commune concernée par des évènements de la Première Guerre mondiale : mors de la Bataille de la Marne, les taxis de la Marne partis de Gagny sont inspectés sur la place du village par le général Gallieni.

    À partir des années 1920, la commune connaît, comme beaucoup de ses voisines, une transformation importante avec la construction de lotissements pavillonnaires le long de la voie ferrée Paris-Soissons, sur d'anciennes terres incultes au sud du territoire. Le nord reste alors agricole et mène une vie à part. Une municipalité communiste est élue en 1935.

    Le , un missile balistique V2 s'écrase sur Tremblay-les-Gonesse[15].

    En 1974 est inauguré l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, qui s'étend à l'extrême nord de la commune.

    Politique et administration

    Détail de la mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis et à son arrondissement du Raincy après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 1988 de la onzième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

    Elle faisait partie de 1801 à 1922 du canton de Gonesse, année où elle intègre le canton d'Aulnay-sous-Bois. En 1964, elle est rattachée au canton de Sevran du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient en 1967 le chef-lieu du canton de Tremblay-en-France[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de une à quatre communes.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie depuis 2010 de la communauté d'agglomération Terres de France.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[18].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    Tremblay-en-France fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Paris Terres d'Envol, créé par un décret du [19] et qui regroupe les cinq communes adhérant au SEAPFA (dont les trois communes membres de Terres de France) ainsi que les trois communes qui faisaient partie de la communauté d'agglomération de l'aéroport du Bourget.

    Elle est également membre du syndicat d'équipement et d'aménagement des Pays de France et de l'Aulnoye (SEAPFA).

    Tendances politiques et résultats

    Tremblay-en-France est l'une des communes emblématiques de la Ceinture Rouge qui désigne l'ensemble des municipalités communistes entourant Paris.

    Si ces dernières tendent à être moins nombreuses depuis une trentaine d'années, Tremblay-en-France est solidement détenue par les communistes depuis 1935 et seuls trois maires se sont succédé depuis 1945.

    Dans le même temps, alors qu'il a pris le département aux communistes, le parti socialiste n'est pas parvenu à conquérir la mairie, peinant à dépasser les 10 % des suffrages lors des dernières municipales.

    Ainsi, les élections municipales de 2008 ont consacré la victoire de François Asensi dès le premier tour avec plus de 70 % des voix contre 18,3 % à la droite et 8,6 % au parti socialiste[20].

    Lors des élections municipales françaises de 2014, la liste du maire sortant François Asensi qui regroupe le Front de Gauche et Europe Écologie Les Verts s'impose dès le premier tour avec 68,69 % des voix, largement devant la liste d'union de la droite créditée de 18,89 % des voix et le parti socialiste qui reçoit seulement 9,52 % des suffrages.

    Toutefois, sur la période récente, lorsque le parti communiste présente un candidat, la commune connaît une forte progression du Front national (devenu Rassemblement National en 2018)[réf. nécessaire].

    Ainsi, lors des élections départementales de 2015, le canton de Tremblay (qui regroupe aussi les communes de Montfermeil, Coubron et Vaujours) est le seul du département à voir la qualification du Front National pour le deuxième tour, finalement battu par le duo du front de gauche.

    De même, au premier tour des élections régionales françaises de 2015, c'est la liste du Front National qui est arrivée en tête dans la commune[21]

    Au premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste FG - PCF - LFI - PS - EÉLV - G·s menée par le maire sortant François Asensi remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 728 voix (75,27 %, 35 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement celle LR - SL menée par Emmanuel Naud (1 553 voix, 24,72 %, 4 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 68,38 % des électeurs se sont abstenus[22].

    Liste des maires

    Les maires successifs[23],[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 octobre 1939[25] Gilbert Berger[Note 3],[26] PCF Menuisier, charpentier
    Conseiller général d'Aulnay-sous-Bois (1939 → 1940, 1944 → 1964)
    Suspendu par le Gouvernement Daladier à la suite de la signature du Pacte germano-soviétique
    octobre 1939[25] 1941 Honoré Théricourt[Note 4]   Instituteur, secrétaire de mairie
    Président de la délégation spéciale nommée par le Gouvernement Daladier
    25 avril 1941 1944 Raymond Tétard   Cultivateur
    Nommé conseiller départemental en 1943 par le Gouvernement de Vichy[27].
    Maire nommé par le gouvernement de Vichy
    1944 1944 Maurice Anguerrand   Mécanicien, ancien conseiller municipal
    Président du comité local de libération
    septembre 1944 mars 1965 Gilbert Berger[Note 3],[26] PCF Menuisier, charpentier
    Député de Seine-et-Oise (1946 → 1951)
    Conseiller général d'Aulnay-sous-Bois (1939 → 1940, 1944 → 1964)
    Titulaire de la Médaille de la Résistance
    mars 1965 avril 1991 Georges Prudhomme[28] PCF Ajusteur
    Conseiller général Sevran (1964 → 1967)
    Conseiller général de Tremblay-en-France (1967 → 2001)
    avril 1991 En cours
    (au 27 mai 2020)
    François Asensi PCF, FASE puis
    FG (Ensemble)
    Dessinateur industriel
    Député de la Seine-Saint-Denis (11e circ.) (1981 → 2017[29])
    Président de la CA Terres de France (2010 → 2015)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31],[32],[33]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34],[Note 5]

    En 2018, la commune comptait 36 230 habitants[Note 6], en augmentation de 4,67 % par rapport à 2013 (Seine-Saint-Denis : +5,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    824907927867862838822807753
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    732743767735735720764720756
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7637988378422 0954 3856 1815 8109 510
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    13 78818 48226 84629 64431 38533 88535 34034 45235 691
    2018 - - - - - - - -
    36 230--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'IUT
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    Il y a 14 écoles élémentaires[Quand ?] (Victor Hugo, Brossolette, Anatole France, Curie, Jaurès, Moulin, Cotton, Politzer, Malraux, Balzac, Ferry, Varlin, Rosenberg, Saint Pie X) et 12 écoles maternelles (Desnos, Buisson, Triolet, Labourbe, Cotton, Malraux, Prévert, Langevin, Curie, Anatole france, Casanova, Balzac), 3 collèges (Collège Romain Rolland, Collège Ronsard et Collège Descartes), un lycée général (Lycée Léonard de Vinci (en)), un lycée professionnel (Hélene Boucher (en)) et un IUT (Université Paris 8).

    Culture

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    Ouvert en 1983 et complètement modernisé en 2005, le cinéma Jacques-Tati, situé dans le quartier du Vert-Galant, propose une programmation variée alliant les films d'auteurs aux films "grand public". Le travail avec le jeune public tient une place importante. Des séances scolaires sont organisées tous les jours et le cinéma Jacques-Tati participe aux dispositifs École et Cinéma, Collège au Cinéma et Lycées au Cinéma en partenariat avec l'Éducation nationale. Classé Art et Essai, le cinéma organise régulièrement des avant-premières et des rencontres avec des réalisateurs ou des acteurs. Chaque année au mois de mars, le cinéma organise Terra di cinema, festival du film italien qui, durant trois semaines, propose un panorama des meilleurs films transalpins en présence des réalisateurs et des acteurs. Environ 200 000 spectateurs se pressent tous les ans dans les salles de Jacques-Tati, ce qui en fait le deuxième cinéma public le plus fréquenté de Seine-Saint-Denis, derrière le Méliès de Montreuil. Il est composé de 3 salles : la salle "Jour de fête", la salle "Play Time" et la salle "Parade".

    Tremblay dispose également du théâtre Louis-Aragon dirigé depuis 2006 par Emmanuelle Jouan dont la mission est de redonner une cohérence artistique à la programmation. «Je suis venue à Tremblay par conviction, c’est une municipalité où la culture est encore considérée comme un rouage essentiel du projet pour la ville, et c’est dans ce sens que j’envisage ma fonction. La programmation sera axée sur des artistes pour qui la rencontre avec le public fait partie de l’œuvre. Mon objectif est avant tout de montrer aux Tremblaysiens que le théâtre n’est pas un lieu fermé, uniquement accessible à une certaine catégorie de personnes, mais un lieu pour créer du lien", explique la directrice de l'établissement.

    Les soirs de spectacle, le Café des Artistes, attenant au théâtre, ouvre ses portes avant et après la programmation, pour permettre à la soirée de se prolonger autour d'un verre et d'une petite restauration. Les artistes sont souvent fidèles à ce rendez-vous convivial.

    Bâtiments de l'Espace Jean-Roger Caussimon

    La Scène Jean-Roger Caussimon, hébergée à l'Odéon, centre culturel inauguré en 2001 sur la place du Bicentenaire-de-la-Révolution, est le lieu privilégié des rencontres musicales à Tremblay. La qualité de la programmation jazz et blues en font une salle de concert de réputation régionale. La scène est d'ailleurs un des fers de lance du festival de jazz Banlieue Bleue qui a lieu chaque année en Seine-Saint-Denis. Toutefois, la scène s'ouvre depuis plusieurs années à d'autres couleurs musicales : les artistes de la nouvelle scène française et les artistes Hip-Hop y ont fait une entrée remarquée.

    D'autres structures comme le conservatoire de l'Odéon, le centre social Louise-Michel, l'espace Mikado et l'Espace Jean-Roger Caussimon témoignent de l'engagement culturel de la ville et de la volonté de faire partager les savoirs et de construire le lien social à partir d'un échange culturel fort. En , un équipement destiné aux 18-30 ans ouvrira ses portes dans le centre-ville pour permettre à ses jeunes de concrétiser leurs propres projets artistiques. Ouverture de la médiathèque Boris-Vian en .

    Tremblay organise et participe à de nombreux événements culturels chaque année. L'un des plus marquants a lieu à la fin juin dans le parc du Château Bleu : la fête du chapiteau bleu, consacrée aux arts du cirque et créée en 2006.

    Santé

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    • Trois groupes médicaux[Quand ?] :
      • dans le quartier des Cottages
      • au centre-ville
      • au Vert Galant
    • Hôpital privé du Vert Galant

    Sports

    Le Parc des sports de Tremblay-en-France.
    Stade du Vert-Galant.
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    La commune accueille le Circuit Carole et dispose du Tremblay en France Handball.

    La ville projette la construction à l'horizon 2021 d'une grande salle de 9 800 places, le Colisée[36]. Ancien dirigeant du CSP limoges, Anthony Thiodet souhaite amener le club de Tremblay de la Nationale 2 à l'Euroligue[37].

    Cultes

    Économie

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    Le siège social d'Air France, dans le complexe de Roissypôle et sur les terrains de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle.

    Au cœur d’un nœud de communication de dimension mondiale, Tremblay-en-France dispose d'un fort potentiel économique. Actuellement plus de 1 600 entreprises et 55 000 emplois irriguent le tissu économique local[Quand ?].

    L’emprise de la plate-forme aéroportuaire structure l'économie tremblaysienne. L'activité économique de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle est composée par une zone de fret située à 90 % sur Tremblay et par la cité d'affaires Roissypôle. 557 des 719 entreprises existantes sont implantées sur le territoire de Tremblay.

    Au nord de la ville toujours, le parc d'activités international Paris Nord II regroupe au sein d'un environnement de plans d'eau et d'espaces verts, un centre commercial, un parc des expositions et un parc d'activités de 200 hectares et 577 entreprises.

    À l'entrée du Vieux-Pays, située à 10 minutes de l'aéroport et longée par l'A104, la zone d'activités de Tremblay CDG accueille sur 38 hectares 110 entreprises dans des domaines aussi variés que la mécanique, le bâtiment, la plasturgie, le commerce de gros.

    Actuellement en cours d'étude[Quand ?], le projet d'aménagement de la zone sud de l'aéroport Charles-de-Gaulle confirme la vocation internationale de ce site situé à 25 minutes du centre de Paris tout en lui offrant des perspectives de développement considérables.

    Le territoire sud aéroportuaire est une étendue vaste de 180 hectares reconnu comme un secteur stratégique : le Contrat de Plan État-Région 2007-2013 inscrit le site comme un « territoire de projet de dimension internationale » et le projet de Schéma directeur de la région Île-de-France le consacre « territoire de rayonnement économique international ».

    Son aménagement représente une opportunité foncière exceptionnelle dont la vocation est de permettre le rééquilibrage au Nord-Est du développement de l’Île-de-France, de valoriser les capacités d’accueil en investissements internationaux et de diversifier le tissu économique local.

    Le projet de territoire développé comporte la réalisation d’une zone d’activités internationale de près de 110 hectares accueillant des entreprises à haute valeur ajoutée répondant à des objectifs d’innovation, de formation et d’excellence, ainsi qu’une extension majeure du parc des expositions de Paris-Nord Villepinte dont l’ambition est d’en faire le grand parc français de dimension mondiale (environ 350 000 m2 couverts à terme), associée à une Cité de l’exposition et de la communication et à un pôle hôtelier et de service. À cela, il faut ajouter la construction prochaine d'Aéroville, un pôle de commerces et de services ultra-moderne qui permettra la création de 3 000 emplois.

    Au total, à l'horizon 2011, ce sont plus de 15 000 emplois qui sont attendus à Tremblay-en-France.

    En 2007, le projet de construction d'un centre de commerces et de services au sud de la plate-forme aéroportuaire sur la zone de fret divise et provoque la polémique parmi les habitants et les élus locaux. Baptisé « Aéroville », le projet, dessiné par l'architecte Christian de Portzamparc, s'étend sur une surface de 5 hectares (49 986 m2) et est sorti de terre en 2011, ouvert le . D'un coût estimé à 270 millions d'euros, il doit accueillir une grande surface Auchan « nouveau concept », des boutiques haut de gamme, mais également des services non marchands comme une antenne postale, une garderie et une salle de sport, ainsi qu'un parking de 4 700 places. L'ensemble sera dissimulé par une toiture « ondulant comme un manteau » selon l'architecte et encadré d'un jardin paysager et d'une coulée verte. Selon son concepteur, Unibail, il est conçu pour attirer les touristes dans des boutiques de luxe et les employés de la plate-forme, qui souffrent d'un déficit commercial et de services. Cependant, vu la saturation actuelle des voies d'accès routières à l'aéroport, l'accroissement exponentiel des problèmes de circulation est dénoncée, et les petits commerçants estiment que le projet « transformera les centres-villes des environs en ghettos », le commerce local ne pouvant, selon eux, survivre à cette nouvelle offre, qui s'additionne à une sur-représentation dans le secteur des grandes surfaces, en particulier au nord de la Seine-Saint-Denis (Parinor, Paris-Nord II au sud, centre commercial de Claye-Souilly à l'est)[42],[43]. Ces arguments n'ont toutefois pas été retenus par les commissions départementales puis nationale d'urbanisme commercial. Cette dernière a autorisé en ce projet, qui devrait permettre la création de 2 500 emplois et permettre de mieux satisfaire les besoins des voyageurs ainsi que des nombreux salariés du pôle d'emploi de Roissy-CDG[44].

    Le siège social d'Air France réside dans Roissypôle[45],[46],, Tremblay-en-France[47],[48],[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La ferme Zaffani, ferme du XVIIIe siècle avec pigeonnier.
    La borne de Mortières.
    Monument aux morts de la mairie.

    L'église Saint-Médard fut édifiée à partir de 1543 mais restaurée plusieurs fois successives. En particulier, la façade et les premières travées ont été reconstruites en 1785 par l'architecte Jean-Jacques Cellerier. Un Christ en majesté orne la façade principale depuis 1822. L'église vient de faire l'objet d'une restauration complète entre 1987 et 2007. Elle est classée monument historique depuis 1939[50] et une grande partie du village est protégée par les Bâtiments de France.

    La grange dîmière (9, place de la Mairie, au Vieux-Pays) est accolée à l'église du village et fut fortifiée au Moyen Âge. Elle était le siège de la châtellenie du village. Elle fut édifiée au XIIIe siècle et fut restaurée successivement aux XVe et XVIe siècles ; elle possède une belle charpente de chêne d'une hauteur de 18 mètres, ainsi que des contreforts et des meurtrières. La grange fut classée monument historique en 1939[51].

    Le puits, à gauche de la grange aux dîmes, remonte au XVe siècle et succède à celle construite par l'abbé Suger. L'abreuvoir à proximité date de la même époque mais fut restauré par la suite.

    Des vestiges de fortifications du XIIe siècle sont encore visibles autour du Vieux-Pays. Elles auraient été décidées par l'abbé Suger, puisque l'abbaye de saint-Denis était propriétaire d'une ferme monastique à Tremblay.

    L'ancien bureau de poste en 2020.

    La borne de Mortières est située sur la place de la Mairie (Vieux-Pays). Située sur la route de Roissy, au nord du village sur le fief de Mortières, elle fut déplacée lors de la construction de l'aéroport, au début des années 1970. La fleur de lys qui l'ornait a été remplacée, pendant la Révolution, par un bonnet phrygien. C'est, aujourd'hui, une des très rares bornes ainsi ornées qui subsiste, témoin de l'engagement des habitants pour les idéaux de la Révolution, également matérialisé par le nom que prit à l'époque le bourg, Tremblay-sans-Culotte.

    Le mémorial de la Déportation de Shelomo Selinger, bronze de 132 × 74 × 40 cm, inauguré en 2006 dans le nouveau cimetière intercommunal.

    La mosquée de Tremblay-en-France.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune de Tremblay-en-France se blasonnent ainsi :
    De sinople chaussé d'azur, au tau d'or accosté de deux feuilles d'argent posées l'une en bande et l'autre en barre et brochant sur la partition, au chef d'or chargé d'un lion issant de gueules

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Tremblay-en-France », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).


    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Une avenue de la ville porte le nom de ce maire.
    4. Le site municipal lui donne le nom de Héricourt, Honoré Mauduit.
    5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Source : Quotidien Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis du 2 novembre 2007.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Dans l'inventaire de l'Abbaye de Saint-Denis
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
    13. La 1re occupation allemande de Tremblay : Septembre 1870 sur histoire-tremblay.org
    14. « La ferme du Tremblay propriété des Turgot », Société d'Etudes Historiques de Tremblay-en-France (consulté le ).
    15. Le bombardement de Paris par V2 (septembre-octobre 1944)
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    19. « Décret n° 2015-1660 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Aulnay-sous-Bois », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Résultats des élections régionales de 2015 à Tremblay », Le Monde (consulté le ).
    21. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
    22. Délibérations du conseil municipal, procès-verbaux des résultats des élections municipales.
    23. « Les maires de 1790 à nos jours », Histoire de Tremblay, sur http://www.tremblay-en-france.fr (consulté le ).
    24. « Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais », Le Populaire, no 6076, , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
    25. Nadia Ténine-Michel, « BERGER Gilbert, Jean, Frédéric : Né le 27 mai 1900 à Burelles (Aisne), mort le 28 avril 1977 à Villepinte (Seine-Saint-Denis) ; menuisier charpentier ; militant communiste ; maire de Tremblay-lès-Gonesse (maintenant Tremblay-en-France, Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis), conseiller général de Seine-et-Oise, député (1946-1951) », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis à jour le 21/10/2010 (consulté le ).
    26. Rapports du Préfet au conseil départemental et délibérations du conseil départemental et de son bureau : Deuxième session ordinaire de 1943, Versailles, , 668 p. (lire en ligne), p. 3.
    27. Nadia Tenine-Michel, Association Histoire et mémoire ouvrière en Seine-Saint-Denis, « PRUDHOMME Georges, Victor », Élus de Seine-Saint-Denis, sur http://ahmo.free.fr (consulté le ).
    28. Thomas Poupeau, « Entre l'Assemblée et la mairie, François Asensi choisit Tremblay : Après trente-six ans passés dans l'Hémicycle, l'élu FG a renoncé à se représenter en juin, au profit de Clémentine Autain », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ) « Trente-six ans que sa voix grave et posée résonnait dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. A 71 ans, le député-maire (FG) de Tremblay, François Asensi, a annoncé qu'il ne sera pas candidat aux législatives de juin, préférant se concentrer sur sa ville ».
    29. Gwenael Bourdon et Nathalie Perrier, « François Asensi vise une réélection dès le premier tour », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne).
    30. Gwenael Bourdon, « Municipales : Asensi en confiance à Tremblay », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis, (lire en ligne).
    31. Thomas Poupeau, « Municipales : à Tremblay, une liste investie par LR se frotte à l’indéboulonnable François Asensi : Deux listes sont en lice : celle du maire Front de gauche sortant, élu depuis 1991, soutenu par des formations de gauche, et une équipe investie par LR. », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ) « Indéboulonnable. François Asensi a été élu maire de Tremblay-en-France pour la première fois en 1991, réélu sans arrêt depuis, la plupart du temps dès le premier tour quel que soit le nombre de listes face à lui. Souvent en raflant plus de 60 % des voix, comme en 2008 puis en 2014 ».
    32. Thomas Poupeau, « Miraculé du Covid-19, le maire de Tremblay-en-France reprend les commandes : Atteint du Covid-19 et hospitalisé un mois, dont 10 jours de coma artificiel, François Asensi, le maire (FG) de Tremblay-en-France depuis 29 ans, est désormais opérationnel et doit être installé officiellement ce jeudi », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Nicolas Kohlhuber, « LE PROJET D'UN GRAND CLUB PARISIEN RELANCÉ ? », bebasket.fr, (consulté le ).
    36. Tremblay rêve en grand, le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, Eric Michel, 23 juillet 2017
    37. Eglise Marcel Callo - 93290 TREMBLAY EN FRANCE
    38. Sainte Thérèse du Vert Galant - 93290 TREMBLAY EN FRANCE
    39. Notre Dame du Très Saint Sacrement (Notre Dame des cottages)
    40. Saint Médard (du Vieux Pays) - 93290 TREMBLAY EN FRANCE
    41. Le Parisien du 30 septembre 2007 - Un centre commercial géant au pied des pistes de Roissy
    42. [PDF] L'Écho régional du 3 octobre 2007 : Aéroville, le projet qui fait peur. [PDF].
    43. Gwénael Bourdon, « Tremblay-en-France - Roissy : Aéroville obtient un nouveau feu vert », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, .
    44. [PDF] SIEGE D'AIR FRANCE - ROISSYPOLE. Groupement d'Etudes et de Méthodes d'Ordonnancement (GEMO)
    45. Roissy Charles-de-Gaulle. Tremblay-en-France.
    46. Siège social. Air France. Consulté le 9 février 2010.
    47. Plan interactif. Tremblay-en-France.
    48. "AIR FRANCE, agence à Paris - Roissy / Charles de Gaulle." Air France-KLM. Consulté le 18 juin 2010.
    49. L'église Saint-Médard à Tremblay-en-France : Etude archéologique 2004-2005
    50. Notice no PA00079966, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « Carte ».
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