Trampot
Trampot est une commune française localisée à l’extrémité occidentale du département des Vosges. Située dans la région historique et culturelle de Lorraine, cette commune fait partie depuis 2016 de la région administrative Grand Est.
Trampot | |
Intersection de la Grande Rue et de la Rue de Grand en février 2019 | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Ouest Vosgien |
Maire Mandat |
Didier Maginel 2020-2026 |
Code postal | 88350 |
Code commune | 88477 |
Démographie | |
Gentilé | Trampotins, Trampotines |
Population municipale |
94 hab. (2018 ) |
Densité | 7,2 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 21′ 45″ nord, 5° 26′ 15″ est |
Altitude | 384 m Min. 364 m Max. 441 m |
Superficie | 13,14 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Neufchâteau (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Neufchâteau |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Ses habitants sont appelés les Trampotins et les Trampotines.
Géographie
Localisation
Trampot est limitrophe du département de la Haute-Marne et de la Champagne-Ardenne.
Il se situe à 23 km de Neufchâteau, 28 km de Joinville et 42 km de Chaumont.
Le village est le plus occidental du département des Vosges ainsi que le seul de ce département à faire partie du bassin versant de la Seine.
Communes limitrophes
Morionvilliers Haute-Marne 1,9 km |
Grand 4,6 km |
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N | Brechainville 3,7 km | |||
O Trampot E | ||||
S | ||||
Chambroncourt Haute-Marne 2,5 km |
Aillianville Haute-Marne 3,8 km |
Relief et géologie
Le territoire communal comporte une forêt dans laquelle se trouvent des dolines résultant de la dissolution du calcaire par l'eau acide. Il s'agit d'un phénomène karstique rare connu au niveau national.
Voies de communication et transports
L’ancienne route nationale 427 relie Trampot à Aillianville (4 km) en direction de Liffol-le-Grand (13 km) et à Germay (9 km) vers Thonnance-lès-Joinville (27 km). Cette route est notamment entourée par une allée d'arbres sur le territoire de la commune divisée en deux parties : une allée d'un kilomètre en direction de Joinville et une allée de deux kilomètres vers Neufchâteau où la route passe à proximité du hameau de la Ferme d'Audeuil.
Le village est également traversé par la route départementale 19 qui le relie à Grand (4 km) et à Leurville (6 km). Cette route prolongée par la route départementale haut-marnaise 225 qui suit un tracé rectiligne vers Leurville date de l'époque gallo-romaine et permettait de relier la cité voisine d'Andésina à l'Ad Fines.
Les habitations prennent la forme d'un village-rue lorrain typique que compose la Grande Rue. Il s'agit d'une section commune entre l'ancienne Route Nationale 427 et la route départementale 19 qui se séparent à chaque extrémité du village. Deux rues se détachent perpendiculairement de cet axe principal au niveau de la mairie : la rue de Morionvilliers au nord et la rue Morée au sud.
Trampot est également relié aux villages voisins de Chambroncourt et Bréchainville par des routes communales, et ce dernier village est relié à la Ferme d'Audeuil de la même manière. Une route goudronnée relie également les habitations à la forêt communale.
Urbanisme
Typologie
Trampot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Neufchateau dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), forêts (30,5 %), prairies (15 %), zones urbanisées (1,9 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
Trampot
La première mention de Trampot date de 1158, sous l'appelation de « Temprou ». Aucun document officiel n’explique l’origine de ce nom.
Ce nom a par la suite évolué à de nombreuses reprises pour former le nom Trampot :
- Le « u » final a été supprimé en 1172 donnant le toponyme « tempro ».
- Quelques années plus tard, le « r » fut déplacé après le « t » formant l’appellation « trempo ».
- Le village prit successivement le nom de « Trempos » en 1180 et « Trempol » en 1882.
- Le « e » fut remplacé par un « a » en 1225 et le « r » reprit sa position initiale donnant l’appellation « Tamprou » auquel fut rajouté le « r » en deuxième position en 1252 alors que le village prend le nom de « Tramprou-en-Ornois », en référence à la région naturelle d'Ornois dans laquelle se trouve Trampot.
- La commune devient simplement « Tramprou » un siècle plus tard.
- En 1364, le second « r » est supprimé et le village prend le nom de « Trampou », puis la dernière lettre de ce nom évolue pour former les toponymes « Trampol » en 1490, « Trampod » en 1530 et enfin « Trampot » en 1565.
Audeuil
Le lieu dit de la « Ferme d'Audeuil » est rattaché à la commune de Trampot depuis le XIIe siècle.
Ce nom vient du latin, aqua ductum, qui signifie l'endroit où on peut trouver de l'eau. Cette origine semble provenir du fait que ce hameau se situait entre la forêt de Trampot qui comporte un plateau karstique et la cité gallo-romaine voisine d'Andésina.
Dans sa monographie « Trampot. État d’une communauté à la veille de la Révolution de 1789 », Joseph Chicanaux, instituteur et maire de Trampot de 1900 à 1905, indique que cette ferme était appelée Andois en 1243, Audeu lors de l'apparition des actes d'état civil en 1669 et Odeu en 1731. Des documents plus anciens relèvent les toponymes Auedoiz en 1158, lorsque la ferme a été cédée à l'abbaye de Mureau et Awedois en 1241[8].
Histoire
Avant la Révolution française
Sous l'Ancien régime, le hameau de Trampot dépendait de la généralité de Châlons et de l'élection de Chaumont[9]. Concernant son église, dédiée aux saints Pierre et Paul, elle dépendait du diocèse de Toul[9].
Avant la Révolution française, le village dépendait des seigneurs de Grand et de l'église de l'Abbaye de Mureau.
Depuis le XIIe siècle, le lieu dit Ferme d'Audeuil est rattaché à la commune.
Les actes d'état-civil commencèrent en 1669. L'école du village est apparue dix ans plus tard.
En 1786, la commune vend un quart de ses réserves de bois pour financer la reconstruction de son église.
Révolution Française et XIXe siècle
L'église Saint-Pierre et Saint-Paul a été construite entre 1789 et 1791, sous la direction de François-Nicolas Lancret[10].
Le lavoir est ensuite construit en 1825, cinq ans avant la mairie et l'école du village.
La Route Nationale 427 reliant Joinville à Neufchâteau est construite en 1839 et constitue la Grande Rue du village.
Entre le et le , une épidémie de choléra a tué 30 Trampotins.[11]
XXe et XXIe siècles
Pendant la Première Guerre mondiale, un aérodrome de l'armée américaine se trouvait au lieu-dit de la Ferme d'Audeuil[12].
Le monument rendant hommage aux trampotins morts pour la France pendant ce conflit est inauguré en novembre 1924.
Le , lors de l'invasion allemande de la France, sept militaires français furent tués sur le territoire de la commune. Une plaque installée en 1996 devant le monument aux morts leur rend hommage.
Le village fut le premier des Vosges à être libéré de l'occupation allemande le 1er septembre 1944[13].
La Route Nationale 427 a été déclassée en 1972 et l'école du village est fermée depuis 1986, faute d'effectif suffisant.
En avril 2012, Trampot a attiré l'attention des médias en raison de la présence d'un loup aux alentours du village[14].
La municipalité refuse un projet éolien en 2021.
- Plan de l'aérodrome de Trampot en 1918
- Localisation de l'aérodrome de Trampot en 1918
Politique et administration
Budget et fiscalité 2014
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[15] :
- total des produits de fonctionnement : 58 000 €, soit 572 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 73 000 €, soit 716 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 150 000 €, soit 1 469 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 48 000 €, soit 466 € par habitant.
- endettement : 0 €, soit 0 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 18,50 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 15,68 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Un document communiqué par la municipalité aux trampotins en janvier 2021 fait état de 99 habitants dans la commune en 2020.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].
En 2018, la commune comptait 94 habitants[Note 3], en diminution de 3,09 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
En 2017, on compte dans la population de 15 à 64 ans, 66,7% d'actifs occupant un emploi, 4,4% de demandeurs d'emplois et 28,0% d'inactifs (étudiants et retraités)
Sur la population active de Trampot, 64,5% ont sont sous statut de Contrat à Durée Indéterminée, 9,7% de Contrat à Durée Déterminée, 25,8% sont des Indépendants et 9,7% sont des employeurs.
41,9% des actifs travaillent sur le territoire de la commune. Trampot compte 14 établissement actifs : 5 entreprises agricoles, 1 entreprise industrielle, 2 entreprises de construction, 3 services de commerces et de transports et 3 administrations publiques[23].
Culture locale et patrimoine
L'église Saint-Pierre et Saint-Paul
L'église de Trampot a été construite pendant la Révolution Française, entre 1789 et 1791. Elle se situe au cœur du village, entourée par le cimetière communal et à proximité immédiate de la mairie et de la salle des fêtes. L'architecte chargé de sa construction était François-Nicolas Lancret, membre de l'Académie Royale d'Architecture.
L'église est composée d'une nef et de deux bas côtés, son abside forme un pentagone et elle est couverte de voûtes d'arêtes et d'ogives. L'intérieur du bâtiment, d'une hauteur allant jusqu'à 11,4 m comprend une corniche qui ceinture entièrement la nef, y compris le chœur polygonal. A l'extérieur, la pente présente une pente de 45 degrés par souci d'équilibre. L’élévation appartient à l'ordre toscan, et est ornée de motifs végétalisants. Le fronton de l'église porte la devise « Tabernaculum Domus Dei », qui peut être traduite en français par « La demeure de Dieu [est] le tabernacle ».
Deux objets de l'église communale proviennent de l'Abbaye de Mureau : une vierge et un saint-évêque, tous deux en pierre polychromique qui sont inscrits au titre de monuments historiques. Par arrêté du 3 septembre 2010, l'intégralité du bâtiment a été classé monument historique.[10]
Le site spéléologique
L’acidité de l’eau dissout le calcaire, donnant naissance à des phénomènes karstiques (dolines, avens, conduits souterrains, sources, résurgences, etc.), telles que les nombreuses dolines en cours de formation en forêt de Trampot. Ces formes singulières de « doline-perte » sont désignées localement sous le nom de « fontaines », phénomènes particuliers dont plusieurs exemples ont été inventoriés à ce jour dans la forêt de Trampot[24],[25],[26],[27].
La quatrième plus longue cavité naturelle du département des Vosges se trouve dans la forêt de Trampot : la gouffre Hadès, dont le développement est de 1 379 m[28].
Le lavoir
Le lavoir de Trampot a été construit en 1825.
Il s'agit d'un lavoir clos qui se situe à l'extrémité ouest du village en direction de Leurville.
Le bâtiment est couvert d'un toit à long pats en tuile plate et le gros œuvre a été réalisé à partir de calcaire et de moellon.[29]
Le citerneau municipal
Le citerneau municipal est composée de trois bassins voutés de 360 m3. Ils se situent à proximité immédiate de la mairie et de l'église.
L'ouvrage a été réalisé en 1884. Son objectif était d'une part d'alimenter en eau le lavoir communal, et d'autre part de constituer une réserve incendie.[30]
Le monument aux morts
Le monument aux morts de Trampot comporte le nom des treize trampotins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale et du trampotin tué au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Le monument a été inauguré en 1924 en présence de deux députés des Vosges et du sous-préfet de Neufchâteau.
Une plaque installée devant le monument depuis 1996 rend hommage aux sept militaires français tués sur le territoire de la commune lors de l’invasion allemande, le 17 juin 1940.
La mairie
La mairie de la commune a été construite en 1830 à proximité immédiate de l'Eglise Saint-Pierre et Saint-Paul.
L'école du village se trouvait dans ce bâtiment jusqu'à sa fermeture en 1986.
Au rez de jardin du bâtiment se trouve la salle des fêtes du village.
Personnalités liées à la commune
- François-Nicolas Lancret, architecte de l'église de Trampot
- Lucien Cordier a réalisé plusieurs publications consacrées aux phénomènes karstiques de la forêt de Trampot.
Héraldique
Blasonnement :
Parti : au 1er d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent, au 2e coupé au I d'azur à l'épée basse d'or brochant sur deux clefs de même passées en sautoir, au II de sinople au sapin d'argent.
Commentaires : La bande aux alérions indique que Trampot est une commune de Lorraine. Les clefs et l'épée indiquent que saint Pierre et saint Paul sont les patrons de la paroisse. Le sapin évoque bien sûr le département des Vosges[31]. |
Manifestations culturelles
La fête communale a lieu chaque année le 3ème dimanche de juillet et un repas des ainés se déroule le dernier dimanche d'octobre.
Des activités d'initiation à des jeux de cartes et à la gymnastique sont proposés à la population tous les mois par une élue municipale à la salle communale.
3 à 4 messes se déroulent chaque année à l'église communale, le 3ème dimanche de juillet et le dernier dimanche d'octobre, et certaines années le dernier dimanche de décembre ainsi qu'une fois au cours du printemps.
Galerie
- Entrée du village depuis Grand
- Entrée du village depuis Aillianville
- Entrée du village depuis Germay
- Entrée du village depuis Leurville
- Le village vu depuis le sud
- Le hameau de la Ferme d'Audeuil vu depuis le nord
- La Grande Rue en direction de l'est
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Trampot sur le site de l'Institut géographique national
- Trampot sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Neufchâteau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- https://champagneoulorraine.wordpress.com/2014/11/26/audeuil-au-pays-des-deuilles/
- Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
- « Eglise Saint-Pierre Et Saint-Paul De Trampot », sur Fondation du patrimoine (consulté le ).
- « Trampot. Choléra : 31 morts en 1854 », sur www.vosgesmatin.fr (consulté le ).
- « Un bel hommage pour le centenaire », Vosges Matin, (lire en ligne).
- « Trampot, premier village libéré des Vosges », Vosges Matin, (lire en ligne).
- Textes : Philippe MARQUE., « environnement », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Les comptes de la commune de Neufchâteau « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
- « Archives départementales des Vosges », sur archives.vosges.fr.
- « Le relevé des cimetières », sur francegenweb.org.
- « Maire de Trampot (88350) - Nom, âge, date de naissance, profession du maire de Trampot », sur Mon-maire (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-88477
- « Trampot », sur IKARE, inventaire des phénomènes karstiques et des écoulements en milieu calcaire (université de Lorraine) (consulté le ).
- Devos A. (1996) - « Hydrologie et aménagements hydrauliques de la Saulx et de l'Ornain (Lorraine) », sur université de Lorraine (consulté le ), Thèse de doctorat mention Géographie, CEGUM, université de Metz, 461 p.
- Jacquemin D. & Gamez P. (1994) - « Inventaire souterrain du bois de Trampot - ISBT 1re partie », Hadès, les cahiers spéléologiques de Lorraine (ISSN 0181-1029), no 8, Cercle lorrain de recherches spéléologiques, Nancy, p. 7-49.
- Péry E. (2020) - « Nouvelles recherches spéléologiques sur les secteurs de Trampot (88), Orquevaux et Aillianville (52) », Spéléo L (ISSN 0758-3974), no 27, Ligue Grand Est de spéléologie, Tomblaine, p. 107-116.
- Jacquemin D. (1994) - « Rétrospective d'une découverte », Hadès, les cahiers spéléologiques de Lorraine (ISSN 0181-1029), no 8, Cercle lorrain de recherches spéléologiques, Nancy, p. 63-67.
- « Lavoir, abreuvoir », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Presbytère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Site de l'UGCL
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