Sollacaro
Sollacaro est une commune française dans la circonscription départementale de la Corse-du-Sud et le territoire de la collectivité de Corse.
Pour l’article homonyme, voir Antoine Sollacaro.
Sollacaro | |
Vue générale du centre du village. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Collectivité territoriale unique | Corse |
Circonscription départementale | Corse-du-Sud |
Arrondissement | Sartène |
Intercommunalité | Communauté de communes du Sartenais-Valinco |
Maire Mandat |
Jean-Jacques Bartoli 2020-2026 |
Code postal | 20140 |
Code commune | 2A284 |
Démographie | |
Gentilé | Sollacarais |
Population municipale |
369 hab. (2018 ) |
Densité | 15 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 41° 44′ 42″ nord, 8° 54′ 46″ est |
Altitude | 450 m Min. 0 m Max. 814 m |
Superficie | 23,89 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Propriano (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Taravo-Ornano |
Localisation | |
Géographie
Géographie physique
À vol d'oiseau, Sollacaro est à 25 km au sud-est de la préfecture Ajaccio, 14 km au nord de la sous-préfecture Sartène et 8 km au sud-ouest de Petreto-Bicchisano[1], les distances par la route sont presque doublées[2].
Géologie et relief
Le village est situé à 450 m d'altitude dans la vallée du Taravo, en grande partie sur le versant nord-ouest d'une colline, orientation qui le prive du soleil matinal[3], les quartiers historiques et en particulier la tour (Torre) sont situés sur un éperon rocheux et bénéficient du soleil des 8 h en été.
La colline est située entre les RD 302 et 157A d'un côté et la RN 196 de l'autre côté. Il est traversé par la route départementale 302 qui relie le col de Celaccia à Pisciatello (près d'Ajaccio) par Pila-Canale.
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité 1[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :
- fleuve le taravo,
- ruisseaux de petrera, de barcajolo, de candoli, de favale.
Sollacaro dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1000 équivalent-habitants[6].
Climat
Climat méditerranéen classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[7].
Voies routières
En contrebas, sur la RD 57, en direction de Porto Polo, se situent les hameaux de Calvese et, à quelques kilomètres, de Filitosa. Tous deux appartiennent à la commune.
Transports en commun
- Bus[8].
Lignes SNCF
Transports aériens
Urbanisme
Typologie
Sollacaro est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Propriano, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), prairies (10,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), terres arables (1,5 %), zones urbanisées (1 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Histoire
Préhistoire et proto-histoire
L'occupation humaine est attestée dans la vallée du Taravo dès la fin du néolithique et le début de l'âge du bronze. Sur le site archéologique de Filitosa, dans la commune de Sollacaro sur une butte en surplomb de la vallée, ont été trouvées des pointes flèches et de la poterie datant d'environ 3300 avant notre ère. Des statues-menhirs humaines de deux à trois mètres de haut, représentant des visages, armures et épées courtes, y ont été érigés vers 1500 à 1300 avant notre ère, comme gardiens probables surveillant une invasion imminente.
Selon la théorie de Roger Grosjean, archéologue responsable des fouilles systématiques organisées depuis 1954, les Shardanes ou les Torréens, l'un des Peuples de la mer qui déferlent sur les côtes méditerranéennes achevant l'Empire hittite et menaçant l'Égypte antique, envahissent le Sud de la Corse et la Sardaigne.
À Filitosa, les statues-menhirs seront parfois réutilisées comme matériau de construction dans de grandes constructions circulaires, les torre, autour desquelles ont été construites des agglomérations néolithiques fortifiées (castelli).
Du Moyen Âge à l'époque moderne
La construction du village en hauteur, caché de la mer, participe d'une tendance générale en Corse du VIIIe au XVIe siècle afin de se protéger des « pirates barbaresques » qui assaillent les côtes. La construction centrale est une maison forte du XVIe siècle, œuvre d'une famille de notables qui domine alors la Corse, les Colonna d'Istria[18].
Jusqu'à leur réunion dans la commune de Sollacaro en 1853, Sollacaro et Calvese appartiennent à la pieve d'Istria, un découpage administratif antérieur au XIe siècle permettant un mode de vie autarcique[18] .
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2018, la commune comptait 369 habitants[Note 3], en augmentation de 6,34 % par rapport à 2013 (Corse-du-Sud : +5,78 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Malgré sa proximité du littoral, Sollacaro partage avec la plupart des communes rurales de l'intérieur un exode important jusque dans les années 1980[24] avec un solde migratoire de l'ordre de -10‰ entre 1968 et 1982. Depuis, cette tendance s'est inversée avec un solde migratoire de 15‰ sur la période 1990-1990, compensant le solde naturel de -14‰. Ainsi, passant de 448 à 290 habitants en 14 ans (1968–1982), la population s'est stabilisée autour de 324 habitants depuis 1990[23]. Cet inversement de tendance est surtout observé dans le voisinage des grandes villes Ajaccio et Bastia : dans un phénomène de rurbanisation, on assiste au retour des retraités et de certains actifs dans les villages. L'effet reste faible à Sollacaro en raison de sa distance à ces agglomérations[24]. De fait, seuls 44 % des nouveaux arrivants de la décennie 1990-1999 proviennent de la région ; 54 % habitaient en France métropolitaine en 1990. Sept venus de métropole sur dix sont des retraités (44 %) ou d'autres inactifs (28 %)[25], revenant dans leur village d'origine après une carrière professionnelle hors de Corse.[réf. nécessaire]
La population actuelle est particulièrement âgée, les personnes de 60 ans et plus comptant pour près de la moitié (46 %). Cela explique le solde naturel fortement négatif : le taux de natalité est faible (5‰) et celui de mortalité, élevé (19‰)[26].
Après une chute importante de 1968 à 1982 en corollaire de l'exode, le nombre de résidences principales est remonté en 1999 près de son niveau d'origine, avec 2,1 personnes par résidence. Le nombre de résidences secondaires a fortement augmenté au cours de toute la période et dépasse actuellement le nombre de résidences principales[23]. Cela est grande partie lié à l'habitude des anciens Sollacarais d'y conserver une résidence secondaire[27]. Seule deux résidences principales sur dix sont occupées par un locataire (21 %), sept dix (72 %) par leur propriétaire et 7 % à titre gratuit[28] ; plus de neuf sur dix (92 %) sont des maisons individuelles dont le nombre médian de pièces est 3[29] et dont la date de construction date d'avant 1949 (pour 75 %)[30].
En 1999, moins de trois habitants de plus de 15 ans sur dix (28 %) exercent une activité professionnelle : 35 % sont retraités, 6 % à la recherche d'emploi et 31 % sont d'autres inactifs[31], qui sont essentiellement des femmes (75 %)[32] et des étudiants[31]. Le taux de chômage est élevé (16 %), surtout chez les hommes (19 %)[33], et deux chercheurs d'emploi sur trois sont chômeurs de longue durée[34]
Les agriculteurs ne représentent plus que 8 % de la population totale et 20 % des actifs, contre 13 % et 48 % respectivement 9 ans plus tôt ; les artisans et commerçants ne représentent plus que 12 % des actifs ayant un emploi soit une baisse du tiers depuis 1990[31]. La catégorie socio-professionnelle la plus représentée, avec quatre personnes ayant un emploi sur dix, est formée par les employés (38 % des actifs), suivie par les agriculteurs (20 %) puis les professions intermédiaires (19 %)[35],[31]. La diminution des occupations locales (artisanat, commerce, agriculture) s'accompagne par une augmentation du nombre de personnes travaillant à l'extérieur : six personnes sur dix exercent leur activité dans une autre commune (+ 85 % en 9 ans)[36]. Le mode de transport prépondérant est la voiture particulière (85 % des personnes avec un emploi)[37]. En 1999, tous les salariés sont employés à temps plein, près de la moitié (46 %) sont titulaires de la fonction publique, la même proportion d'un contrat à durée indéterminée, et un peu moins d'un sur dix (8 %) a un emploi subventionné.
Les étrangers représentent 1,8 % de la population ; sept habitants sur dix (71 %) sont nés en Corse, ce chiffre tombe à 55 % chez les 25-59 ans[35], tranche d'âge correspondant à l'exode le plus important (des années 1950 aux années 1970) : de nombreux Corses partent travailler en métropole lors des Trente Glorieuses.[réf. nécessaire]
Enseignement
Le fait que de nombreux jeunes suivent leurs études hors de la commune ou sur le continent a eu des conséquences au niveau de l'école primaire du village passant 150 élèves en 1945 à 8 en 1983. Elle a un temps été regroupée avec celle de la commune voisine de Casalabriva (une année sur deux à Sollacaro). Le renouveau démographique a permis au village de récupérer une école à temps plein : elle compte actuellement une vingtaine d'élèves[18].
Le nombre de personnes de plus de 15 ans non scolarisée sans aucun diplôme a diminué de moitié de 1990 à 1999, passant à 22 %. 16 % disposent d'un diplôme équivalent au baccalauréat, au brevet professionnel ou supérieur[38].
Établissements d'enseignements[39] :
- Écoles maternelles à Olmeto, Pila-Canale, Viggianello,
- Écoles à Sollacaro,
- Collèges à Petreto-Bicchisano, Propriano,
- Lycées à Sartène.
Santé
Professionnels et établissements de santé[40] :
- Médecin à Olmeto,
- Pharmacie à Olmeto,
- Hôpital à Sartène.
Cultes
- Culte catholique, Ensemble interparoissial de Propriano et Olmeto[41], Diocèse d'Ajaccio.
Économie
L'économie est dominée par le secteur tertiaire avec trois quarts des emplois (74 %), avec une part significative pour le secteur primaire (20 %). La construction et l'industrie ne comptent que pour 6 %[42]. Le chômage est élevé (16 % en 1999)[33] et comparable à la moyenne de la région (17,6 % en 2004, 12,9 % au niveau français)[43] ; le revenu moyen par ménage est de 87 % de la moyenne corse (9 742 € en 2004, 65 % du revenu moyen français)[44],[43].
Tourisme
Malgré sa proximité au littoral et le site archéologique de Filitosa, la part du tourisme dans l'économie de la commune reste limitée : en 2003, la commune ne compte aucune place de camping et aucune chambre d'hôtel classée[36].
Toutefois, Sollacaro offre plusieurs possibilités d'hébergements en gîtes et chambres d'hôtes, classés auprès des Gites de France Corse.
Politique et administration
Liste des maires
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[46] :
- total des produits de fonctionnement : 526 000 €, soit 149 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 389 000 €, soit 1 102 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 901 000 €, soit 2 551 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 155 000 €, soit 439 € par habitant ;
- endettement : 453 000 €, soit 1 283 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 13,37 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,39 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation[47].
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes du Sartenais-Valinco.
Lieux et monuments
- Sites archéologiques :
- Site préhistorique de Filitosa[48].
- Site préhistorique I Callanchi - Saparata Alta[49].
- Dolmen du Tarava[50].
- Patrimoine religieux :
- Patrimoine civil :
Photos
- Photo de l'église prise en 1900.
- Monument aux morts.
- Buste Célestin Caitucoli.
- Pisciaredda.
- Grande fontaine (vue globale avec les bassins).
- Collections archéologiques Filitosa.
Personnalités liées à la commune
- James Boswell, écrivain britannique, y rencontre le chef de la Corse indépendante Pascal Paoli en 1766[59]. L'auteur écrit par la suite An Account of Corsica.
- Alexandre Dumas (1802-1870) séjourna dans le village, ce qui lui inspira Les Frères corses (1845).
- Célestin Caïtucoli (1865-1935), maire du village et député de la IIIe République[60].
- Charles Colonna d'Istria (1911-1991), compagnon de la libération et maire du village[45].
- Paul Poggionovo (1924-1944), résistant à l'occupation italienne[61],[62],[63].
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Données à vol d'oiseau du site http://www.lion1006.com : , et
- Distances par la route du site http://www.viamichelin.fr ,
- Vue satellite
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Table climatique
- Réseau de transports en commun
- Le port de Propriano
- Port d'Ajaccio Tino-Rossi
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Le village
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, Sollacaro : évolution démographique 1968-2006
- L'évolution démographique et économique constatée à Sollacaro se retrouve-t-elle ailleurs en Corse ?
- INSEE, Migrations (caract socio-économique selon le lieu de résidence au 01/01/90)
- INSEE, Sollacaro : population par âge et par sexe (5 classes d'âge) et Sollacaro : population par âge et par sexe (âge quinquennal)
- Sollacaro : démographie
- INSEE, Sollacaro : Logement : les occupants (site web indisponible en ce moment)
- INSEE, Sollacaro : caractère des résidences principales selon le nombre de pièces (site web indisponible)
- INSEE, Sollacaro : Logements par catég selon l’époque d’achèvement (site web indisponible)
- INSEE, Sollacaro : CSP
- INSEE, Population de 15 ans ou plus par sexe, âge et type d’activité.
- INSEE, Population active par sexe, âge et type d’activité (site web indisponible)
- INSEE, Sollacaro : Chômeurs selon l’ancienneté de la recherche d’un emploi
- INSEE, Sollacaro : recensement de la population. La population active utilisée pour le calcul des pourcentages est celle donnée précédemment (98).
- Les actifs selon le recensement de l'INSEE
- INSEE, Sollacaro : Emploi
- INSEE, Sollacaro : Formation : scolarisation et diplômes (site web non disponible)
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Ensemble interparoissial de Propriano et Olmeto
- INSEE, Sollacaro : Population active ayant un emploi par sexe et statut selon l’activité économique (site web indisponible)
- Corse sur le site du Journal du Management
- Sollacaro sur le site du Journal du Management
- Charles Colonna d'Istria sur http://www.ordredelaliberation.fr
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Site préhistorique de Filitosa », notice no PA00099120, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Site préhistorique I Callanchi - Saparata Alta », notice no PA00099132, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dolmen du Tarava
- « Ancienne église paroissiale de Saint-Albert de Calvese », notice no PA2A000012, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « église Saint-Albert », notice no IA2A000676, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « église paroissiale de l'Assomption », notice no IA2A000675, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Roch », notice no IA2A000677, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancienne chapelle Saint-Laurent », notice no IA2A000678, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie-école », notice no IA2A000679, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « monument aux morts de la guerre 1914-1918 », notice no IA2A000680, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « monument de Célestin Caïtucoli », notice no IA2A000681, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Plaque commémorative
- « Célestin,Marc CAÏTUCOLI », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- Plaque en son honneur
- Photo de Paul Poggionovo hissant le drapeau français au palais Farnèse à Rome le 5 juin 1944
- Article sur Paul Poggionovo paru le 30 novembre 1956 dans le journal "La Marseillaise" à l'occasion du rattachement de la Corse à la France
Voir aussi
Bibliographie
- Fouilles archéologiques Roger Grosjean archéologue au Centre national de la recherche scientifique (CNRS); Crédit photographique : Collection Cesari et F. Rombaldi; Dessins : J. Mondoloni, Filitosa, capitale préhistorique de la Corse, 8000 ans de mystère et d'histoire, Sollacaro, imprimerie Chauveau, , 48 p. (ISBN 2-9505084-1-3)
- Corse des origines : la préhistoire d'une île
- Bilan scientifique de la région Corse - Ministère de la Culture, page 59
- Filitosa et son contexte archéologique, par Roger Grosjean, Monuments et mémoires de la Fondation Eugène Piot Année 1961 52-1 pp. 3-96
- Site préhistorique de Filitosa
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site Officiel de la Mairie de Sollacaro
- Office du tourisme de Sollacaro
- Sollacaro sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Les sites classés et inscrits de Corse
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