Sexey-aux-Forges

Sexey-aux-Forges est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Sexey.

Sexey-aux-Forges

Église Saint-Mansuy.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Moselle et Madon
Maire
Mandat
Patrick Potts
2020-2026
Code postal 54550
Code commune 54505
Démographie
Gentilé Sexeyforgeois(e) [1]
Population
municipale
713 hab. (2018 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 23″ nord, 6° 02′ 53″ est
Altitude Min. 211 m
Max. 352 m
Superficie 14,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuves-Maisons
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Sexey-aux-Forges
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Sexey-aux-Forges
Géolocalisation sur la carte : France
Sexey-aux-Forges
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Sexey-aux-Forges

    Géographie

    Fig 1 - Sexey aux forges (ban communal)

    Sexey-aux-Forges est un village situé au sud-ouest de la ville de Nancy, sur un ancien bassin sidérurgique. Une partie de Sexey a été bâtie sur les coteaux d'un plateau calcaire du Mésozoïque culminant à plus de 350 mètres d'altitude. L'autre moitié du village se trouve dans un vallon encaissé, sur la rive gauche de la Moselle, face au village de Maron.

    D'après les données Corine land Cover, le territoire communal de 1408 hectares se composait en 2011 de près de 54 % de forêts, végétation arbustive et prairies , 2,5 % de zones urbanisées , 5,5 % de surfaces en eau et 38 % de terres agricoles.[2] Outre la Moselle naturelle et sa canalisation le territoire est arrosé par les ruisseaux Fond de Dollainvau[3] et de Saint-Anne[4].

    Communes limitrophes

    Faune et flore

    La faune et la flore présentes sur le plateau qui domine le village ont une affinité montagnarde ; c'est un milieu que l'homme a créé avant tout en faisant pâturer pendant des siècles des troupeaux d'ovins. Ce biotope présente une faune et une flore favorisées par cette formation végétale de très faible hauteur et adaptée à un sol peu profond comme à la chaleur et à la sécheresse pendant la belle saison. La Potentille printanière (Potentilla verna, Rosacées) forme de petits tapis, aime les pâturages calcaires secs et la chaleur, le Pin noir d'Autriche, l'Anémone pulsatille, l'Ellébore fétide, la petite Pimprenelle (Sanguisorba minor, Rosacées). On y trouve aussi huit espèces d’orchidées sauvages telles que : l'orchis militaire, l'orchis homme pendu, l'orchis pourpre, l'orchis bouc, l'ophrys mouche, l'ophrys abeille, l'orchis pyramidal, l'ophrys faux-bourdon.

    La faune est elle aussi de plus en plus présente, que ce soit avec des oiseaux ou des insectes. L'un des papillons que l'on peut voir en cette saison est une espèce protégée : le Damier de la Succise. L'Azuré de la bugrane (ou Azuré commun) et le petit sphinx de la vigne y sont eux aussi bien représentés ; deux nouvelles espèces sont récemment apparues sur le plateau : la mante religieuse et le grand sphinx tête de mort venu d'Afrique avec le réchauffement climatique mais ce n'est qu'une supposition. Chez les oiseaux, on peut observer l'alouette lulu qui niche volontiers sur les coteaux du plateau, le cochevis huppé, la pie grièche à tête rousse et la pie grièche écorcheur, passereaux qui ont pour habitude d'empaler leurs victimes (en général de gros insectes mais aussi de petits rongeurs) sur les aiguilles acérées des acacias et des aubépines. Le pic mar y est bien représenté ainsi que le grand pic noir, le pic épeichette et le pic épeiche dans la forêt de hêtres et de chênes, la mésange noire et la mésange huppée très assidues des plantations de conifères, sans oublier deux des plus petits passereaux d'Europe : le roitelet huppé et le roitelet triple bandeau très discrets, qui pondent des œufs aussi gros que des petits pois.

    Les grottes et anfractuosités éparpillées le long des roches versant côté Maron sont le refuge des chauves-souris comme la plus commune, la pipistrelle, et d'autres plus rares comme le grand murin et l'oreillard. La chouette chevêche, pas plus grosse qu'un merle, gîte dans les cavités des vieux arbres fruitiers qui ont été plantés sur les coteaux du plateau. Malheureusement, elle reste très rare et est en voie de disparition, les gros insectes dont elle se nourrit se faisant de plus en plus rares à cause de l'utilisation intensive des insecticides.

    Urbanisme

    Typologie

    Sexey-aux-Forges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), terres arables (31 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,1 %), eaux continentales[Note 3] (5,6 %), zones urbanisées (2,6 %), prairies (2 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Capella de Sisseiaco (982) ; Sessiacum (1050) ; Capella de Sisseio in honore sancti Mansueti (1069) ; Sissei (1196) ; Xexey (1258) ; Sexey la Larnouse (1295) ; Sexey-Lanouze (1492) ; Sexey-Larnouse (1568) ; Xey-aux-Forges (1623) sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la Meurthe[12].

    Le toponyme apparaît donc sous les formes latines Sisseiaco en 982, Sessiacum en 1050 ; puis sous la forme d'ancien français Sissei en 1196. Il est composé de l'anthroponyme latin Sessius (alors que Sexey-les-Bois vient de Cercius/Circius) et du suffixe -acum, formation typique de l'Antiquité tardive[13].

    La référence aux Forges apparaît quant à elle en 1594 puis en 1623.

    Histoire

    Un dolmen de Bois l'Evêque ainsi qu’un tumulus révèlent déjà une présence au Néolithique[14]. Une allée couverte mégalithique y a été découverte, ainsi que des vestiges de maisons gallo-romaines entourées d'une enceinte. Cet édifice est l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1910[15].

    Mégalithes lors de leurs découverte en 1905 à Sexey-aux-Forges

    Lepage précise dans sa notice sur ce bourg : On rencontre, sur le territoire de cette commune, des débris de poterie rougeâtre, des fondations anciennes, qui sont des indices de l'occupation romaine en Gaule[16]. Jules Beaupré signale d'autres découvertes dans son répertoire archéologique[17] au Gymée (Gymney) et en d'autres lieux :

    «En cet endroit et à la Maison Dieu, ruines avec tuiles, poteries, et médailles romaines du bas-Empire. Il existe d'autres vestiges de constructions dans plusieurs enceintes de la forêt communale de Bois le Duc, au Hal de Bourgogne, au Champ du mouton..»

    Au milieu du XIe siècle, le village de Sexey-aux-Forges appartient déjà à l'abbaye touloise de Saint-Mansuy.

    Sainte Anne, du latin ana (marécage), était la déesse protectrice des vivants, des morts et des lieux humides, déesse à laquelle les peuples celtes de l'époque vouaient un culte. . Au XVe siècle, Georges des Moines développa les forges, ce qui est symbolisé d’une part par le taillé denché, blason de la famille Des Moines, et d’autre part par les marteaux et l’enclume, attributs des forgerons.

    Dès le XVe siècle, l'abbaye y possède des forges qu'Orly de Blâmont, administrateur de l'abbaye, loue en 1495 au receveur général de Lorraine, Georges Des Moynes, à charge de relever les forges et de rétablir la seigneurie que les précédents amodiateurs avaient négligées et laissé tomber en ruines[18]. Il est alors question des édifices et manoir de la maison abbatiale dudit Sexey.

    La maison forte de Sexey-la-Larnouze (nom ancien de Sexey-aux-Forges) semble toujours avoir appartenu à l'abbaye et en avoir relevé directement, sans intermédiaire, puisqu'en 1709, l'abbé de Saint-Mansuy est désigné comme seigneur de Sexey[19].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1976 Gilbert Moncieu    
    1976 1984 Marcel Nocus    
    1984 1989 Michel Moncieu    
    1989 1999 Jean Pierre Poinsard    
    1999 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Patrick Potts [20]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    PS  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 713 habitants[Note 4], en augmentation de 3,78 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    368229332346363433439475480
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    428474481482498521529518535
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    550609552578653630620680603
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    579575561584609653660666687
    2018 - - - - - - - -
    713--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Henri Lepage[16] et E. Grosse[25] donnent quelques indications à caractère économique dans leurs ouvrages de 1836 et 1843 sans s'accorder sur la surface totale de la commune :

    « Surf.territ.: 1409 hect. , dont de 440 à 1221 en forêts, de 149 à 240 en labours et de 15 à 66 en près, 24 en vignes »

    indiquant tous deux le caractère agricole voire modestement viticole de l'activité. L'Abbé Grosse ajoute qu'il y avait également deux moulins à grains, un moulin à écorces.

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[26]), la commune de Sexey-aux-Forges était majoritairement orientée [Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 606 hectares (surface cultivable communale) en nette augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est renforcé de 306 à 663 entre 1988 et 2010. Il y avait encore 5 (4 en 1988) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 7 unité(s) de travail[Note 7], (jusqu'à 7 auparavant) ce qui plaçait la commune parmi les rares dont l'activité agricole était en croissance.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Sculpture Grigne Dents du manoir
    • Dolmen de Bois-l'Évêque classé au titre des monuments historiques par arrêté du [15].
    • Manoir du XVIe siècle reconstruit en 1572 ancienne place forte et fabrique de boulets de canons (vestiges d'anciens remparts autour du village) ; porche d'entrée, tourelle polygonale, fossés en eau, canonnières ; sculpture dite "Grigne-Dents", escalier à vis, grande salle, édifice objet d'une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du[27].
    • Monument aux morts.
    • Canal de l'Est et port.

    Édifices religieux

    Chapelle Sainte-Anne de Fleurichamp.
    • Église Saint-Mansuy du XIXe siècle dédiée à saint Mansuy (mobilier gothique) (48° 37′ 23″ N, 6° 02′ 49″ E )
    • Chapelle Sainte-Anne lieu-dit Fleurichamp du XIe siècle (48° 37′ 17″ N, 6° 01′ 31″ E )
    • Chapelle du XVe siècle désaffectée (ferme des Gimeys) (gémeaux) les statuettes de la louve de Romulus et Rémus y ont été trouvées. Quelques vestiges de maisons gallo-romaines ainsi que des pièces de monnaies, amphores et fers de lances ont été découverts sur les hauteurs du village.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    Taillé denché de gueules et d'argent à la crosse contournée posée en bande de l'un en l'autre, accompagnée de deux marteaux affrontés d'or aux flancs et d'une enclume de sable en pointe.
    Détails
    Sexey appartenait à l’abbaye touloise de Saint-Mansuy, d’où la crosse abbatiale

    Voir aussi

    Bibliographie

    • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. « Fiche Ma commune », sur Siges BRGM (consulté le ).
    3. « Ruisseau du fond de dollainvau [A5500410] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    4. « Ruisseau ste-anne [A5500420] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    13. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
    14. Société d'archéologie lorraine et Musée lorrain, Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Société d'archéologie lorraine, (lire en ligne)
      « Le monument funéraire mégalithique du Bois-l'Évêque (commune de Sexey-aux-Forges, Meurthe-et-Moselle), par M. J. Beaupré (avec une planche). »
      .
    15. « Dolmen de Bois-l'Évêque », notice no PA00106368, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    16. Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Première partie : statistique historique et administrative , Nancy, Imprimerie PEIFFER, 1843, p. 547 (lire en ligne)
    17. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, A. Crépin-Leblond, (OCLC 458681864, lire en ligne), p. 182.
    18. Métallurgie des boucles de la Moselle, Lucien Geindre, page 2 [PDF].
    19. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 528.
    20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne).
    26. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    27. « Manoir », notice no PA00106369, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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