Sarrancolin

Sarrancolin est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sarrancolin

Le village de Sarrancolin.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Yann Helary
2020-2026
Code postal 65410
Code commune 65408
Démographie
Gentilé Sarrancolinois
Population
municipale
566 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 03″ nord, 0° 22′ 41″ est
Altitude 630 m
Min. 600 m
Max. 1 890 m
Superficie 32,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sarrancolin
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Sarrancolin
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrancolin
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrancolin
Liens
Site web Le site de la mairie

    Ses habitants sont les Sarrancolinois et les Sarrancolinoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sarrancolin se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 38 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à 21 km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture, et à 16 km de Capvern[4], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Ilhet (0,5 km), Beyrède-Jumet (0,9 km), Camous (2,4 km), Fréchet-Aure (4,0 km), Aspin-Aure (4,8 km), Ardengost (5,1 km), Hèches (5,6 km), Pailhac (6,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sarrancolin fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[6].

    Carte de la commune de Sarrancolin et des proches communes.
    Communes limitrophes de Sarrancolin[7]
    Hèches Nistos
    Beyrède-Jumet-Camous Ferrère
    Ilhet Beyrède-Jumet-Camous Ardengost

    Géologie et relief

    Le canal de la Neste dans Sarrancolin.

    Son territoire s'étend de part et d'autre de la vallée, et entoure complètement vers l'est celui d'Ilhet ; il atteint ainsi le pic du mont Aspet (1 849 m) qui domine la Barousse ; une petite station de ski dite de Nistos-Cap Nestès a été aménagée sur cette partie orientale du territoire de Sarrancolin, mais son accès se fait par Nistos. La commune de Beyrède-Jumet, qui a eu 650 hab. en 1831 mais se dépeuple encore (-18 hab. de 1999 à 2004), s'étend vers l'ouest et héberge la troisième route en direction de Bagnères par le col de Beyrède, un peu plus bas que l'Aspin (1 417 m). Au-dessus s'élève le signal de Bassia (1 921 m), d'où l'on a une vue étendue, au nord vers les Baronnies, au sud sur la haute chaîne pyrénéenne.

    Hydrographie

    La Neste et le canal de la Neste traversent le village du sud au nord au centre de la commune.

    Climat

    Le climat de Sarrancolin est semi-continental. En effet, ce climat peut se retrouver ailleurs que dans l'Est du Pays. L'hiver est modérément froid, et les moyennes sont comparables à des villes comme Besançon, Dijon, Mulhouse ou encore Strasbourg, avec du gel la nuit, et des températures positives en journée. L'été quant à lui est chaud et un peu plus sec.

    Relevés climatiques d'Arreau, ville voisine de Sarrancolin
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −3,1 −2,5 −0,1 2 5,8 9,1 11,5 11,1 7,9 4,7 0,3 −2,2 3,7
    Température moyenne (°C) 2 3,5 6,1 7,9 11,7 15 17,6 17,3 14,4 11 5,7 2,5 9,6
    Température maximale moyenne (°C) 7 9,4 12,3 13,8 17,6 21 23,6 23,5 20,8 17,2 11 7,1 15,4
    Record de froid (°C) −19 −23 −20 −8,2 −5 −2 1 0 −3 −7,5 −15,8 −20 −23
    Record de chaleur (°C) 19 27,5 27 29 36 37 38,5 38 35 30,5 25,2 22,5 38,5
    Précipitations (mm) 90 60,9 70,2 84,6 88,2 66,7 59,4 61,2 62,4 70,9 93,2 87,1 894,8

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[9], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[10].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Huit ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[11] :

    • les « Chaînon calcaire de la Bouche de Campan et soulane du Signal de Bassia » (2 055 ha), couvrant 6 communes du département[12] ;
    • les « forêts du Nistos et pic de Mont Aspet » (2 169 ha), couvrant 6 communes du département[13] ;
    • le « massif de la Barousse » (6 802 ha), couvrant 12 communes dont deux dans la Haute-Garonne et dix dans les Hautes-Pyrénées[14] ;
    • le « massif de Lhéris, Hautes-Baronnies » (5 455 ha), couvrant 9 communes du département[15] ;
    • la « Neste moyenne et aval » (283 ha), couvrant 25 communes dont une dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[16] ;
    • « Payolle » (3 600 ha), couvrant 6 communes du département[17] ;
    • les « Relief karstique, milieux montagnards et forestiers de Camous au Mont Mérag » (1 648 ha), couvrant 5 communes du département[18] ;
    • les « vallons forestiers et milieux subalpins en rive droite du bas Louron » (6 635 ha), couvrant 17 communes dont deux dans la Haute-Garonne et 15 dans les Hautes-Pyrénées[19] ;

    et six ZNIEFF de type 2[Note 4],[11] :

    • les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[20] ;
    • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du département[21] ;
    • les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[22];
    • le « massif de la Barousse et chaînon du sommet d´Antenac au cap de Pouy de Hourmigué » (15 691 ha), couvrant 33 communes dont 18 dans la Haute-Garonne et 15 dans les Hautes-Pyrénées[23];
    • le « piémont calcaire, forestier et montagnard du Nistos en rive droite de la Neste » (15 195 ha), couvrant 26 communes dont une dans la Haute-Garonne et 25 dans les Hautes-Pyrénées[24];
    • la « vallée du Louron » (16 472 ha), couvrant 30 communes dont six dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[25];

    Urbanisme

    Typologie

    Sarrancolin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,8 %), prairies (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), zones urbanisées (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    L'ancienne gare de Sarrancolin sur la ligne de Lannemezan à Arreau - Cadéac en 2015.

    Cette commune est desservie par la route départementale D929.

    Ancienne ligne ferroviaire reliant Lannemezan à Arreau - Cadéac.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sarrancolin.

    Le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[32] rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Sarrancolin.

    Histoire

    Sarrancolin, bourg médiéval et fortifié, a été longtemps réputé pour son marbre. Sarrancolin s'est développée autour d'un prieuré bénédictin, dont l'existence est attestée dès le XIe siècle par un acte de donation d'Arnaud, comte d'Aure. Le prieuré dépendait de l'abbaye de Simorre, et était le siège de lieutenance royale et a longtemps donné à la ville le privilège d'être la capitale des quatre vallées (Aure, Neste, Barousse, Magnoac). L'église paroissiale Saint-Ébons, des XIe et XIIe siècles, est contiguë aux vestiges du prieuré dont il reste quelques éléments à l'extérieur.

    Contrairement à ce qui a pu être dit, la vallée d'Aure n'a jamais été une voie empruntée par les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle en suivant cette fameuse mais bien hypothétique Ténarèze dont il est depuis longtemps prouvé qu'elle n'a jamais existé[réf. nécessaire].

    La tradition industrielle de la ville remonte à la période d'extraction des marbres, au XVIIe siècle. Sur les gisements Beyrède, Ilhet et Sarrancolin. Ces marbres, déjà exploités par les Romains, furent utilisés par Mansart et le duc d'Antin pour la décoration du Petit Trianon du château de Versailles, des châteaux de la Loire, de l'Opéra Garnier à Paris, des hôtels particuliers, et plus récemment, dans les années 1930, de l'entrée de l'Empire State Building de New York.

    De cette première période industrielle, a fait suite l'implantation de verreries, de fabriques de chapelets avec le buis des vallées adjacentes, de nombreux métiers liés au fil de l'eau, moulins, scieries, filatures.

    La configuration géologique de la vallée d'Aure et son verrou glaciaire ont rendu possible, dans les années 1860, la prise d'eau du canal de la Neste qui permet d'alimenter les rivières de Gascogne qui prennent naissance sur le plateau de Lannemezan. Plus récemment encore, en 1890, la vallée se dote d'un chemin de fer (abandonné depuis les années 1995 au bénéfice du transport par camion), ligne de Lannemezan à Arreau - Cadéac et gare de Sarrancolin, en direction d'Arreau, grâce aux équipements hydroélectriques du fond de vallées, permettant l'installation d'unités industrielles métallurgiques. Ainsi, au début du XXe siècle, apparaissait la fabrication d'abrasifs de corindon, qui se poursuit actuellement à Beyrède, et qui a influencé considérablement le développement de Sarrancolin et des villages environnants.

    Cet impact se retrouve encore en observant l'architecture du bâti tout au long de la traversée de la ville.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie en 2015.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014 Robert Marquie PS Médecin, conseiller général du canton d'Arreau (1992-2011)
    mars 2014   Francis Bossuat    
    2015 2020 Albert Bazerque    
    mars 2020 en cours Yann Hélary    

    Historique administratif

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée d'Aure, canton de Sarrancolin (1790), d'Arreau (depuis 1801)[33].

    Intercommunalité

    Sarrancolin appartient à la communauté de communes Aure Louron créée au et qui réunit 47 communes.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2018, la commune comptait 566 habitants[Note 6], en diminution de 3,08 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6648219291 4921 1141 0911 0791 1131 086
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 016968959896884774733733624
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    530576564785751832733836888
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0131 008868772684689660590570
    2018 - - - - - - - -
    566--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune a eu deux pics de population, l'un vers 1 500 hab. en 1820, l'autre à 1 000 dans les années 1960 ; elle perd quelques habitants depuis (-30 entre 1999 et 2005).

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2019[39].

    Santé

    Groupe médical, pharmacie, infirmières, ambulances.

    Sports et Loisirs

    Économie

    Le principal employeur est l'usine Alcan de Beyrède, spécialisée dans les produits abrasifs (corindon) et réfractaires, qui emploie un peu plus de 100 personnes dans une usine créée en 1906.

    Artisanat

    Sarrancolin possède l'une des dernières filatures artisanales du département des Hautes-Pyrénées. On y trouve également deux scieries de type traditionnel fermées depuis 10 ans.

    Extraction marbrière

    Arrêtées au milieu du XXe siècle, les marbrières de Beyrède et d'Ilhet sont en activité[40] en 2017 et se situent de part et d’autre de la Neste.

    Culture locale et patrimoine

    L'église de Sarrancolin avant son dégagement, vers 1900.
    La chapelle d'Esplantats.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Ébons du plus pur style roman date des XIe et XIIe siècles.
    • La chapelle d'Esplantats, au nord de la ville, fut construite au Xe siècle. Devenue bien national en 1789, l'ouverture de la route impériale nécessita sa démolition. Sa reconstruction date de 1877. Son nom viendrait du fait que lors d'une bataille les morts furent si nombreux que les corps ont été enterrés « debout » (Esplantats = Les Plantés).
    • La porte Sainte-Quitterie, au sud de la ville, est une tour carrée dont une voûte en plein cintre offre le passage. Elle supporte le blason de France et une date : 1530, à peine lisible, martelée à la Révolution.
    • La prise d'eau du canal de la Neste se fait à Sarrancolin. C'est le point de départ de tout le système Neste, qui alimente les 17 rivières des coteaux de Gascogne.
    • Lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Autre blason de Sarrancolin.
    Blasonnement :
    D'or à 3 fleurs de lis d'argent[41].
    Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

    Images

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées - Michel Grosclaude, Jean-François Le Nail intégrant les travaux de Jacques Boisgontier - Conseil général des Hautes-Pyrénées - Mission culture occitane - 4e trimestre 2000
    • Les Sobriquets des villages aurois - Frantz-E. Petiteau - Éditions Lacour - Cercle François Marsan - 3e trimestre 2003
    • Les Vieilles Inscriptions de la vallée d'Aure - Abbé François Marsan - Éditions Lacour

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sarrancolin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sarrancolin et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sarrancolin et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Sarrancolin et Capvern », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Sarrancolin », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sarrancolin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sarrancolin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF les « Chaînon calcaire de la Bouche de Campan et soulane du Signal de Bassia » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF les « forêts du Nistos et pic de Mont Aspet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « massif de la Barousse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « massif de Lhéris, Hautes-Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « Neste moyenne et aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « Payolle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « Relief karstique, milieux montagnards et forestiers de Camous au Mont Mérag » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « vallons forestiers et milieux subalpins en rive droite du bas Louron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « bassin du Haut Adour » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « massif de la Barousse et chaînon du sommet d´Antenac au cap de Pouy de Hourmigué » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « piémont calcaire, forestier et montagnard du Nistos en rive droite de la Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF la « vallée du Louron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    33. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    34. « Liste des juridictions compétentes pour Sarrancolin », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    40. P. C., « Ces marbres sont le trésor des Pyrénées », La Dépêche du midi, (lire en ligne).
    41. Passion Bigorre
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