Sainte-Orse
Sainte-Orse est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Sainte-Orse | |||||
![]() La mairie et le monument aux morts de Sainte-Orse. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort | ||||
Maire Mandat |
Patrick Delaugeas 2020-2026 |
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Code postal | 24210 | ||||
Code commune | 24473 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Orsais | ||||
Population municipale |
355 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 12′ 16″ nord, 1° 04′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 163 m Max. 292 m |
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Superficie | 23,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton Haut-Périgord noir | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Généralités
La commune de Sainte-Orse est traversée d'est en ouest par la Soue, un ruisseau affluent du Blâme et sous-affluent de l'Auvézère. Quatre moulins à farine et à huile de noix s’étiraient sur le cours du ruisseau (trois y subsistent encore). Le point le plus bas de la commune (163 m) correspond à l’entrée de la Soue sur le territoire de Gabillou ; le point le plus élevé (292 m) se situe au lieu-dit "Pey-Faure", près du hameau de l'Audonie.
Le bourg est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord de Thenon et autant au sud-ouest d'Hautefort, au croisement des routes départementales 67 et 70.
Communes limitrophes
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Sainte-Orse est limitrophe de neuf autres communes dont Saint-Rabier au sud-est sur environ 330 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 36 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Sainte-Orse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (38,4 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la commune fait référence à saint Ours, abbé de Loches[20] au VIe siècle[21].
En occitan, la commune porte le nom de Senta Orsa[22].
De nombreux toponymes rappellent les origines occitanes des lieux-dits : l'Audonie, Boscornut, la Bourrelière, Bussac, les Chauffours, les Clauds, Faugeyrollas, la Germenie, Goursat, les Grézaloux, les Lacs, la Légère, Lestang, le Maine, Malaval, les Mazouraux, les Ménissoux, la Meyronie, les Michauds, Pamis, Pelle, Peyre-Brune, la Rolphie, Rosas, Taillepetit, le Terrail, Torte-Savate, les Tramizeaux, les Tridoux, la Tuilière, Turelure, les Vidailles, etc.
Histoire
La première mention écrite connue du nom de l'église du village, Sancta Ursa remonte à l'an 1072[23].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Orse, dont la forme masculine est plus conforme à la logique que Sainte-Orse, puisque l'origine provient du nom de l'église : Saint-Ours.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Orse-le-Pierreux[24].
Aux XVIIIe et XIXe siècles, Saint-Orse fut un des principaux centres d'extraction du minerai de fer nécessaire à la production de canons dans les fonderies avoisinantes (par exemple La Forge d'Ans, point de départ de la route des canons).
Pendant la seconde guerre mondiale, la commune accueillit près de 300 réfugiés provenant d'Alsace-Lorraine dont 72 juifs. Le , en représailles à d'importants mouvements de Résistance, la division Brehmer procéda à l'arrestation de nombreux juifs : neuf furent fusillés sur place et dix-neuf furent déportés à Auschwitz où dix-sept d'entre eux furent exterminés. Cependant, grâce à l'appui de la population, de nombreuses familles échappèrent à la mort. Plusieurs Saint-Orsais reçurent en 2005 la médaille de « Juste parmi les nations »[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Sainte-Orse a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton d'Orse est supprimé et la commune est alors rattachée au canton de Thenon, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[24].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Thenon disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.
En 2017, Sainte-Orse est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[27],[28].
Intercommunalité
Au , Sainte-Orse intègre dès sa création la communauté de communes Causses et Vézère. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Sainte-Orse relève[33] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2018, la commune comptait 355 habitants[Note 6], en diminution de 6,58 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 162 personnes, soit 44,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,3 %.
Établissements
Au , la commune compte quarante-six établissements[38], dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'industrie[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Nombreux mégalithes sur le territoire communal : autel de sacrifice de Peyrebrune en minerai de fer (d'où son nom), pierres plantées des Châtenets et des Vieux Clos, pieds ou pas de Juif Errant vestiges probables de bornes ou repères moyenâgeux sur les chemins de pèlerinage.
- Église Saint-Ours, romane des XIe et XIIe siècles avec un clocher-mur restauré fin du XIXe siècle est dédiée à Saint Germain l'Auxerrois. Des peintures bicolores à forme géométrique (rosaces) ornent la coupole du chœur, des litres funéraires aux blasons des Fanlac, Hautefort et Faubournet de Montferrand parcourent les murs de la nef et des vitraux du XIXe siècle garnissent les fenêtres ogivales.
- Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1970[40]. Plusieurs sarcophages mérovingiens sont exposés sur les côtés, provenant d'une nécropole antérieure à la construction de l'église ainsi qu'un calvaire au Christ archaïque en fonte surmonté d'une couronne (aile sud).
- Elle renferme un bénitier monolithe daté de 1738, classé au titre des monuments historiques[41] et des fonts baptismaux du XIXe siècle.
- Elle recèle deux horloges anciennes dont une en état de marche, restaurées par l'association Sainte-Orse Mémoire et Patrimoine (SOMP).
- L'église a conservé une relique de saint Jean-Paul II, envoyée en par le Saint-Siège mais volée depuis. C'était un morceau de la ceinture de l'ancien Souverain pontife. Elle fut scellée dans le nouveau baptistère-reliquaire de la crypte du Xe siècle, à voûte en cul-de-four.
- Château de Sainte-Orse, XVe et XVIe siècles[42],[43].
- Château (ou gentilhommière) de La Salle, XVIIIe siècle, transformée en école et salle des fêtes.
- Manoir de La Faye, XVIIIe siècle où fut célébré le mariage d'Elisabeth Jouffre de Lafaye avec Robert Bugeaud, futur Maréchal de France le .
- Repaire de Peyrebrune maison natale de la femme de lettres Georges de Peyrebrune (1841-1917)
Le chevet de l'église. Trois sarcophages mérovingiens devant l'église. Bénitier datant de 1738. La crypte de l'église. Le château de Sainte-Orse. La gentilhommière de La Salle, école. Maison à tourelle dans le village de Sainte-Orse.
Personnalités liées à la commune
- Elisabeth Jouffre de Lafaye (1799-1874)
- George de Peyrebrune, (1841-1917), femme de lettres, est née à Sainte-Orse.
- Marguerite Bonnet , résistante et déportée (1896-1968)
- Jean Bousquet, résistant fusillé (1886-1944)
Voir aussi
Bibliographie
- Sainte-Orse, images d'autrefois (1860-1960), Sainte-Orse Mémoire et Patrimoine, 2013[44]
- Jean-Louis Lévêque, Toponymie occitane de Sainte-Orse, Sainte-Orse Mémoire et Patrimoine, 2017[45]
- Christophe du Puch et Denis Chaput, préface de Guy Mandon, La fin d'une seigneurie en Périgord : Sainte-Orse, Sainte-Orse Mémoire et Patrimoine, 2019[46]
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Fils d'Eugène-Jules Brachet.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Orse et Saint-Yrieix-la-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Orse et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 71.
- Saints Ours et Leubais sur Nominis, consulté le 2 décembre 2013.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 3 avril 2014.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 381.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Sainte-Orse en 1939-1945 », sur www.ajpn.org (consulté le ).
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 24 novembre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 26.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Sainte-Orse (24473) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Sainte-Orse (24473) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
- « Église Saint-Ours », notice no PA00082882, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- « Bénitier », notice no PM24000353, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 255, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- Ludovic Pasquet, Château de Saint-Orse, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1901, tome XXVIII, p. 596-599 (lire en ligne)
- Sainte-Orse, images d'autrefois (1860-1960)
- Toponymie Occitane : livret en vente - Recueil des 901 toponymes (noms de lieux) de Sainte-Orse
- La fin d'une seigneurie en Périgord : Sainte-Orse
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