Saint Clair

Par ordre chronologique de décès :

• Clair de Nantes (III^e siècle), premier évêque de Nantes ; il mourut à Kerbellec, dans la commune de Réguiny[1]. Fêté le 10 octobre[2].
• Clair de Loudun, mort au IVe siècle ; fêté le 8 août.
• Clair de Marmoutier, ou Clair de Tours († vers 379 ou 396), chargé par son compagnon saint Martin du noviciat au monastère de Marmoutier ; fêté le 8 novembre[3]^,[4]. Sa vie fut racontée par Sulpice Sévère, biographe de saint Martin.
• Clair d'Aquitaine († 395 ou 420), ou Clair d'Albi, premier évêque d'Albi en Languedoc, puis premier évêque de Lectoure dans le Gers, où il est martyrisé, décapité au pied des remparts avec son compagnon Babyle ; une croix marque encore le lieu du martyre. Fêté le 1^er juin[5]. Ses reliques sont conservées dans la cathédrale Saint-Gervais-Saint-Protais de Lectoure où elles ont été rapportées en octobre 1858 depuis l'église Ste-Eulalie de Bordeaux où elles avaient été transportées au IXe siècle.
• Clair du Dauphiné, appelé aussi saint Clair de Vienne († 660), abbé du monastère Saint-Marcel de Vienne, décapité dans son église ; fêté le 1^er janvier[6]. Patron des boisseliers et des tailleurs[7].
• Clair du Beauvaisis (ou Clair de Normandie, Clare ou encore Clere), né à Rochester en 845, † vers 884 ou 550, prêtre bénédictin (source ?), originaire du Kent et martyr en Normandie à l'actuel Saint-Clair-sur-Epte, où il fut décalotté (seule la partie de son crâne fut tranchée); il fait partie des saints céphalophores. Il est fêté le 16 juillet ; fêté ailleurs le 18 juillet[8]^,[9] : en Normandie, le 18 juillet était autrefois le jour de la "louée des valets" : les valets qui n'avaient pas d'employeur proposaient alors leurs services, pour "la Saint-Clair". Son compagnon saint Cyrin fut martyrisé avec lui[10].
• Clair de Seligenstadt († 1048), moine bénédictin à l’abbaye de Seligenstadt près de Mayence, puis ermite ; fêté le 1^er février[11].

Saint Clair est un nom de lieu notamment porté par :

• Saint-Clair 
• Clair 
• Sinclair