Saint-Sulpice-de-Mareuil
Saint-Sulpice-de-Mareuil est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.
Saint-Sulpice-de-Mareuil | |||||
Le bourg de Saint-Sulpice-de-Mareuil. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dronne et Belle | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué | Jean-Luc Aimont 2020-2026 |
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Code postal | 24340 | ||||
Code commune | 24503 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sulpiciens | ||||
Population | 113 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 27′ 58″ nord, 0° 30′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 115 m Max. 225 m |
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Superficie | 11,35 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Brantôme en Périgord | ||||
Historique | |||||
Date de fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Mareuil en Périgord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Au , elle fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune déléguée de Saint-Sulpice-de-Mareuil se situe dans la partie centrale de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord. Elle s'étend sur 11,35 km2. Elle est bordée au nord sur plus de six kilomètres par la Lizonne, ici appelée Nizonne, qui marque la limite avec la commune de Rudeau-Ladosse.
L'altitude minimale avec 115 mètres se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où la Nizonne quitte la commune déléguée et sert de limite entre Puyrenier et Rudeau-Ladosse. L'altitude maximale avec 225 mètres est située au sud, près du lieu-dit l'Age[1]. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé au nord, et de sables, argiles ou graviers pléistocènes au sud, avec des alluvions holocènes dans la vallée de la Nizonne[2].
Traversé par la route départementale (RD) 708, le bourg de Saint-Sulpice-de-Mareuil est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres à l'est-nord-est du bourg de Mareuil et quatorze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Nontron.
Le territoire communal est également desservi par la RD 93.
Communes limitrophes
En 2016, année précédant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, Saint-Sulpice-de-Mareuil était limitrophe de cinq autres communes, dont Mareuil au sud-ouest sur une centaine de mètres.
Parc naturel
La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[3] depuis la création de celui-ci en 1998[4], adhésion renouvelée en 2011[5].
ZNIEFF
La vallée de la Nizonne est protégée dans sa traversée du territoire communal au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[6],[7].
Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également constituée de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
La ZNIEFF de type I « Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle » présente des pelouses calcaires[8],[9] où s'épanouissent plus de 160 espèces de plantes dont plusieurs sont considérées comme déterminantes : la Cardoncelle (Carduncellus mitissimus), l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana), le Fumana à tiges retombantes (Fumana procumbens), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), la Laîche humble (Carex humilis), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa) et le Thésium couché (Thesium humifusum), et dix-huit espèces d'orchidées terrestres : la Céphalanthère rouge Cephalanthera rubra, l'Homme-pendu (Orchis anthropophora), le Limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum), la Listère à feuilles ovales (Neottia ovata), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum), l'Orchis bouffon (Anacamptis morio), l'Orchis brûlé (Neotinea ustulata), l'Orchis guerrier (Orchis militaris), l'Orchis mâle (Orchis mascula), l'Orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), l'Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), l'Ophrys araignée (Ophrys sphegodes), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora), l'Ophrys brun (Ophrys fusca), l'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) et la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Sur Saint-Sulpice-de-Mareuil, cette ZNIEFF est limitée à une zone d'environ quatre hectares à l'est du château de Lavergne.
Une mince bande d'une trentaine d'hectares, le long de la Nizonne, fait partie d'une ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[10],[11] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées.
Natura 2000
La vallée de la Nizonne est aussi une zone Natura 2000 avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne[12],[13] :
- dix espèces de mammifères dont huit chauves-souris (Barbastelle d'Europe, Grand murin, Grand rhinolophe, Minioptère de Schreibers, Murin à oreilles échancrées, Murin de Bechstein, Petit murin et Petit rhinolophe), ainsi que la Loutre d'Europe et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
- parmi les insectes, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), plus six espèces déjà protégées dans la ZNIEFF du même nom, hormis l'Azuré de la croisette ;
- la tortue Cistude d'Europe ;
- le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri).
Urbanisme
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Saint-Sulpice-de-Mareuil proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[14] :
- le Bois des Landes
- Château de Bonrecueil
- Corneuil
- la Croix de Pinault
- Croix de Pommier
- Daunières
- Faucharias
- la Faye
- la Ferme
- la Forge de Rudeau
- le Genet
- le Grand Bois
- les Grands Taillis
- la Gonterie
- Lâge
- Lameau
- Lavergne
- le Moulin de Connezac
- Piacaud
- Pommier
- le Pout
- la Roderie
- la Roussie
- les Vaures.
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu est notée dans un pouillé du XIIe siècle sous la forme Sanctus Sulpitius, arch. de Vet. Marolio (« Saint Sulpice, archiprêtré de Vieux-Mareuil »), suivi de Eccl. Sancti Sulpicii super Dronam dans un cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure[15]. Le nom se réfère à saint Sulpice, archevêque de Bourges au VIIe siècle, qui selon la légende serait né près d'Excideuil[16]. La seconde partie du nom correspond à Mareuil, dont le bourg n'est distant que de cinq kilomètres.
En occitan, la commune porte le nom de Sent Soplesís de Maruelh[17].
Histoire
L'église Saint-Sulpice est mentionnée dès le XIIe siècle[15],[16].
Au , Saint-Sulpice-de-Mareuil fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord dont la création a été entérinée par l'arrêté du 26 septembre 2016, entraînant la transformation des neuf anciennes communes en communes déléguées[18].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Sulpice-de-Mareuil est rattachée au canton de Mareuil qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Nontron[19].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[20]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
Fin 1995, Saint-Sulpice-de-Mareuil intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Mareuil-en-Périgord. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Dronne et Belle.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014[21],[22]. Seuls quatre d'entre eux siègent au conseil municipal de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[18].
Liste des maires puis des maires délégués
Démographie
Les habitants de Saint-Sulpice-de-Mareuil se nomment les Sulpiciens[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28],[Note 1].
En 2015, la commune comptait 113 habitants, en diminution de −10,32 % par rapport à 2010 (Dordogne : 1,03 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Économie
Les données économiques de Saint-Sulpice-de-Mareuil sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de la Faye, XVIe et XVIIIe siècles, ancien fief de la famille de Maillard[30].
- Château de la Vergne, ou de Lavergne, XVe et XVIIe siècles[31], et son pigeonnier.
- Château de Beaurecueil, autrefois Bon Recueil[32], dès le début du XVIe siècle, ancienne maison de forge avec un pigeonnier. Actuellement centre équestre et chambres d'hôtes.
- Pigeonnier de Piacaud.
Le château de la Faye. Le château de la Vergne. Le pigeonnier de la Vergne. Le château de Beaurecueil lors d'une crue de la Nizonne. Le pigeonnier de Beaurecueil. Le pigeonnier de Piacaud.
Patrimoine religieux
- À l'entrée du parc du château de la Faye, croix du XVIIe siècle inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948[33].
- Église Saint-Sulpice, ou de la Translation-des-reliques-de-Saint-Sulpice[34], romane des XIIe et XIIIe siècles, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948[35].
Croix à l'entrée du parc du château de la Faye. L'église Saint-Sulpice. Son portail. L'archivolte et les modillons. Détail des sculptures de l'archivolte du portail. La nef. Croix de mission devant l'église.
Personnalités liées à la commune
- Alcide Dusolier, (1836-1918), écrivain, journaliste et homme politique, est décédé à Saint-Sulpice-de-Mareuil.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Sulpice-de-Mareuil sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Saint-Sulpice-de-Mareuil sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- « 225 » sur Géoportail (consulté le 21 octobre 2019)..
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 16 octobre 2019.
- Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 16 octobre 2019.
- Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 16 octobre 2019.
- [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 16 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 16 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle, INPN, consulté le 18 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720020065, INPN, consulté le 18 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] FR7200663 Vallée de la Nizonne, INPN, 31 mai 2019, consulté le 25 octobre 2019.
- Carte de localisation de la zone Natura 2000 FR7200663, INPN, consulté le 25 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- Saint-Sulpice-de-Mareuil, Géoportail, consulté le 14 novembre 2016.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Saint-Sulpice-de-Mareuil », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 22 octobre 2019.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 370.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 8 avril 2014.
- « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord », sur Préfecture de la Dordogne (recueil des actes administratifs), (consulté le ), p. 124-128
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 3 décembre 2016.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 3 décembre 2016.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 30 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
- Saint-Sulpice-de-Mareuil, Communauté de communes Dronne et Belle, consulté le 21 août 2020.
- Fiche commune Saint-Sulpice-de-Mareuil, Union des maires de la Dordogne, consultée le 22 novembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 .
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 109.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 289.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 27.
- « Croix », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 octobre 2019.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 237.
- « Église Saint-Sulpice », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 octobre 2019.
- « 24503 Saint-Sulpice-de-Mareuil (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )
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