Saint-Sauveur (Dordogne)
Saint-Sauveur (nom officiel), ou Saint-Sauveur-de-Bergerac (nom local), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Saint-Sauveur-de-Bergerac redirige ici.
Saint-Sauveur | |||||
La mairie de Saint-Sauveur | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Bergeracoise | ||||
Maire Mandat |
Roland Fray 2020-2026 |
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Code postal | 24520 | ||||
Code commune | 24499 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salvadoriens | ||||
Population municipale |
851 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 91 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 06″ nord, 0° 35′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 50 m Max. 141 m |
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Superficie | 9,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bergerac-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Généralités
En Périgord pourpre et dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Sauveur, située en rive droite de la Dordogne, n'est cependant pas bordée par elle, séparée de son cours par une bande de terre d'environ 200 à 300 mètres de large appartenant à la commune de Mouleydier[1]. Au nord, le territoire communal est limité par le Caudeau, un petit affluent de la Dordogne.
Les hauteurs de la commune comprises entre les vallées de la Dordogne et du Caudeau sont essentiellement composées de terrains éocènes[2]. L'altitude minimale, 50 mètres, se situe au nord-ouest, là où le bras sud du Caudeau, appelé Vieux Caudeau[3], quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Creysse. L'altitude maximale, avec 141 mètres, est atteinte en deux endroits, de part et d'autre de la route départementale 32 et du lieu-dit Piquecaillou, 600 mètres au nord et 1 200 mètres au nord-ouest du village de Saint-Sauveur[1].
Le village de Saint-Sauveur, traversé par la route départementale (RD) 21, est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est-nord-est de Bergerac et douze kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.
La commune est également desservie au nord par la route départementale RD 21E1, en limite sud par la RD 21E2, et du sud-ouest au nord-est par la RD 32.
Communes limitrophes
Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes dont Lembras au nord-ouest sur environ 220 mètres. Au sud, son territoire est distant d'environ 230 mètres de celui de Saint-Germain-et-Mons.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[18] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), zones urbanisées (10,3 %), terres arables (4,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau et ses rives, impactant le nord de la commune bordé par ce cours d'eau[24],[25].
Toponymie
Bien que le nom officiel de la commune soit Saint-Sauveur[26], elle porte localement le nom de Saint Sauveur de Bergerac, comme le prouvent les panneaux routiers du bourg et le site internet du Pays du Grand Bergeracois[27], du fait de la proximité de Bergerac et à cause de l'homonymie avec Saint-Sauveur-Lalande (anciennement appelée Saint-Sauveur[28]), située dans le même département, à trente kilomètres au nord-ouest, à vol d'oiseau.
La première mention écrite connue du village remonte au XVIe siècle sous la forme latine Sanctus Salvator de la Mongia, se référant au village proche de La Mongie, situé au nord. Au XVIIIe siècle apparaît le nom de Saint-Sauveur de Clairans, par rapport à Clairans, à l'est[29].
Saint-Sauveur est le nom mystique de Jésus-Christ[30].
Histoire
En plusieurs lieux du territoire communal ont été révélées des traces d'occupation humaine au Paléolithique[29].
La commune de Saint-Sauveur a été créée en 1790, en même temps que la plupart des autres communes françaises.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Sauveur a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[32]. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Saint-Sauveur est désormais rattachée au canton de Bergerac-2.
Intercommunalité
En 2002, Saint-Sauveur intègre dès sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Sauveur relève[39] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[40].
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Sauveur se nomment les Salvadoriens[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2018, la commune comptait 851 habitants[Note 8], en augmentation de 4,42 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
En 2012, Saint-Sauveur est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[45] avec la commune de Lamonzie-Montastruc au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure les classes de cours élémentaire et de cours moyen, les classes de maternelle et de cours préparatoire s'effectuant à Lamonzie-Montastruc[46].
Économie
AOC
La commune de Saint-Sauveur est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Creysse et Lembras) où est cultivé le vignoble qui produit l'AOC pécharmant[47].
Emploi
En 2015[48], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 390 personnes, soit 46,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-huit) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,8 %.
Établissements
Au , la commune compte cinquante-huit établissements[49], dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Biran, XVIIe siècle,dans un domaine viticole
- Château de Grateloup, XVIIIe et XIXe siècles, partiellement inscrit aux monuments historiques depuis 1997[51], dans un site inscrit depuis 1973[52].
- Manoir de Tourondel
- Chartreuse des Bourdies (ou des Bourdiés)
- Église Transfiguration de Notre-Seigneur, de style néogothique
- Tombe de Maine de Biran[53].
Le clocher-mur de l'église. Le portail de l'église. La chartreuse des Bourdies. Tombes de la famille de Biran, dont celle de Maine de Biran.
Patrimoine naturel
La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :
- à la pointe nord-est du territoire communal, sur environ 75 hectares, une ZNIEFF de type II : la forêt de Liorac, refuge de la grande faune[54],[55].
- sur 37 hectares au nord de la route départementale 32, entre les lieux-dits le Fournicou et les Grands Bois, une ZNIEFF de type I : la station botanique du Fournicou, site sur lequel se rencontre une fougère plutôt endémique des zones montagnardes[56],[57], le polystic à aiguillons (Polystichum aculeatum)[58].
Par ailleurs, le château de Grateloup et ses environs représentent sur plus de 12 hectares, un site inscrit[52].
Personnalités liées à la commune
- Famille Gontier de Biran
- Maine de Biran (1766-1824), philosophe, vécut en partie au château de Grateloup. Il fut inhumé à Paris mais ses restes furent rapatriés en 1866 à Saint-Sauveur, dans le tombeau de la famille[59].
- Henri Sicard (1914-1992), est un homme politique, né à Saint-Sauveur.
Héraldique
Blason | Parti, au 1er d'or à trois bandes d'azur ; au chef de gueules chargé d'une porte couverte donjonnée de deux tours d'or et ouverte de gueules, au 2e de gueules au dragon d'or lampassé d'argent mis en pal ; au chef aussi de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or[60].
À dextre, les armes de Maine de Biran surmontées en chef de l'emblème héraldique de l'entrée de sa gentilhommière au château de Grateloup. À senestre, le « Coulobre », dragon terrassé selon la légende par saint Front ; surmonté en chef de la croix occitane. |
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Détails | Blason validé par le conseil municipal de la commune en 1993[60]. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Suspendu de ses fonctions.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN 1836 E
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5).
- Feuille B01 du cadastre de Saint-Sauveur. Consulté le 30 mars 2010.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Sauveur et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR inondation - 24DDT20130002 - Le Caudeau, DREAL Aquitaine, consulté le 20 mars 2019.
- [PDF] Rivière le Caudeau – Saint-Sauveur - Plan de prévention du risque inondation p. 14, DREAL Aquitaine, consulté le 20 mars 2019.
- Commune de Saint-Sauveur (24499) sur le site de l'Insee, consulté le 6 mars 2018.
- Mairie de Saint Sauveur de Bergerac, Pays du Grand Bergeracois, consulté le 6 mars 2018.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Sauveur-Lalande », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 368.
- A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 627.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 5 avril 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
- Daniel Joiret, le maire de Saint-Sauveur-de-Bergerac (24), est décédé, Sud Ouest, 13 juin 2016.
- Décédé en fonctions.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 5.
- Grégoire Morizet, « Delmarès haut la main », Sud Ouest édition Dordogne, 13 juillet 2020, p. 21.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 17 décembre 2020.
- Annuaire des maires de la Dordogne 2009, p. 286.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- École primaire publique à Saint-Sauveur sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 10 mai 2012.
- Agenda 2012 de la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois, p. 18, 20.
- [PDF] Aire géographique AOC pécharmant, INAO, consulté le 23 février 2020.
- Dossier complet - Commune de Saint-Sauveur (24499) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Sauveur (24499) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
- « Château de Grateloup », notice no PA24000018, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 29 mars 2010.
- Château de Grateloup et ses abords sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 30 mars 2010.
- Visites en Aquitaine : Tombe de Pierre Gontier de Biran, dit Maine de Biran
- Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.
- Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- [PDF] DIREN Aquitaine - Station botanique du Fournicou. Consulté le 30 mars 2010
- Carte de la ZNIEFF 27350000 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 30 mars 2010
- Station botanique du Fournicou sur le site de l'INPN. Consulté le 30 mars 2010
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 629-633, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
- Saint-Sauveur sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 11 mai 2012
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