Saint-Rémy-l'Honoré
Saint-Rémy-l’Honoré est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Saint-Rémy-l’Honoré | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat |
Toine Bourrat 2020-2026 |
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Code postal | 78690 | ||||
Code commune | 78576 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Rémois | ||||
Population municipale |
1 578 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 155 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 45′ 25″ nord, 1° 52′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 180 m |
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Superficie | 10,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubergenville | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saintremylhonore.fr | ||||
Géographie
Situation
Saint-Rémy-l'Honoré est une petite commune de 1 430 habitants (en 2014) située à l'ouest-sud-ouest de Paris (44,7 km par la route) et de Versailles(~24 km, à 7,3 km au sud de Jouars-Pontchartrain et à 8,9 km à l'ouest de Maurepas par la N10 (4,5 km à vol d'oiseau)[1].
Située dans le nord de la forêt de Rambouillet, la commune fait partie depuis 2011 du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse[2]. Le parc naturel régional du Vexin français se trouve à 32,5 km au nord, le point le plus proche en étant sur Gargenville.
Réseau routier
Les grands axes routiers proches sont la N10 qui passe à 300 m de la limite de commune au sud ; et au nord la N12 dont l'accès le plus proche est à 7 km nord-nord-est sur Jouars-Pontchartrain[1].
La commune est desservie par la route départementale 34 qui traverse la commune du nord au sud, rejoignant vers le sud la route nationale 10 aux Essarts-le-Roi, à quatre kilomètres du village, et la route nationale 12 vers le nord.
Desserte ferroviaire
Les gares ferroviaires les plus proches de la commune sont celles des Essarts-le-Roi à 5 km et Coignières à 5,5 km.
Bus
La commune est desservie par les lignes P et V de la société de transport Hourtoule et par la ligne 49 de l'établissement Transdev de Rambouillet, mais aussi par la ligne 5 Hourtoule depuis le .
Sentier de randonnées
Elle est traversée par le sentier de grande randonnée GR 11 « tour de l'Île-de-France », qui traverse la commune dans le sens sud-est/nord-ouest en passant par le village.
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
La commune compte 77 lieux-dits répertoriés[3] dont les plus importants sont :
- La Pépinière ;
- La Butte à la Paix ;
- Le Long des Bois ;
- Les Hautes Bruyères.
Géologie et relief
Le territoire communal se trouve sur le versant nord du massif des Yvelines, dans une zone ou naissent différents cours d'eau du bassin de la Mauldre. Le relief est relativement vallonné, avec dans sa partie sud un plateau entaillé vers le nord par des vallées parallèles descendant rapidement jusqu'à 100 mètres.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].
Hydrographie
La commune est arrosée par deux cours d'eau principaux[5] :
Urbanisme
Typologie
Saint-Rémy-l'Honoré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 19,9 % | 204 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 32,5 % | 333 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 3,1 % | 32 |
Forêts de feuillus | 44,4 % | 455 |
Source : Corine Land Cover[16] |
Logement
En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 575 (dont 85,9 % de maisons et 13,9 % d’appartements).
Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 2,4 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 87,3 %[17].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Remigius en 1220, Seint Remi en 1289[18], Saint Remy en 1793, Saint-Remy-l'Honoré en 1801[19].
La localité a pris un saint comme patron, Saint Rémy évêque de Reims, celui qui sera « honoré » du titre d'apôtre des Francs par Hincmar[20], archevêque de Reims.
Hagiotoponyme composé de Saint-Rémy et « l'honoré » pour le distinguer des autres Saint-Rémy.
Histoire
De l’Antiquité au Moyen Âge
Le plateau de Saint-Rémy-l'Honoré a été occupé depuis l'époque romaine, comme en témoignent les restes d'un camp romain en bordure de la forêt. En limite sud de commune, le chemin aux Bœufs est en réalité la voie romaine allant de Coronarias ou Coignières à Saint Léger.
En 987, Hugues Capet entre en possession de Saint-Léger pour le compte de la couronne et son fils, Robert le Pieux y fait construire un château comme domaine de chasse. Cette acquisition favorise l'essartage ou le défrichage de la région.
La fondation du prieuré de Haute-Bruyère est peut-être décidée pendant l'hiver 1112 ; les premières traces de ce projet se trouvent dans un acte de donation de l'Yveline par Pépin le Bref en 768 et dans l'existence d'un "mansus" mérovingien dénommé "alta bruyère"[2].
Ce prieuré est fondé en 1115 près de la source de la Mauldre par Louis VI le Gros pour sa belle-mère Bertrade, devenue veuve en 1108 à la mort du roi Philippe Ier "Auguste" et entrée au monastère de Fontevrault, mais elle souhaitait se rapprocher du berceau de ses ancêtres. Primitivement destiné à recevoir les dépouilles funéraires des comtes de Montfort, Haute-Bruyère eut l'honneur de conserver dans un monument célèbre le cœur de François Ier jusqu'à la Révolution de 1789[21]. Le prieur de Haute-Bruyère était en même temps curé de la paroisse.
Le prieuré, dont il reste certains bâtiments, ne se visite pas (propriété privée).
Du Moyen Âge à la Révolution
Vers 1450, d’après les états du diocèse de Chartres, la paroisse de Saint Rémy compte soixante habitants redevables d'une somme de vingt livres envers l'évêché et à la collation des religieuses de Haute Bruyère. Cette participation était apportée directement à la porte du couvent par les paroissiens. Le porche d'entrée existe encore de nos jours "rue des fourmis" au lieu-dit Les hautes Bruyères.
Au cours de la guerre de Cent Ans, toutes les cultures seront ravagées par les armées du duc de Bourgogne ainsi que par les Anglais qui campent aux abords du prieuré. Ce n’est que vers 1520 que la culture reprend dans les terres du pays chartrain. Les seigneurs de Montfort cèdent les grandes fermes au prieuré. Ainsi, jusqu’à la Révolution, la vie du village se construit autour du couvent, fort de 80 religieuses, et d'une quarantaine de personnes qui résideront à Saint-Rémy.
Époque contemporaine
Le , l'Assemblée de Monfort convoque le curé de Saint Rémy, Robert Bouillery pour que les biens du couvent soit pris à bail.
La suspension des vœux monastiques décrétée par l’Assemblée constituante du et l’interdiction faite aux abbayes d'exploiter leurs terres elles-mêmes, entraîne la fermeture du monastère et le licenciement des religieuses. Tous le mobilier est mis en vente le , an 1er de la République française. Le prieuré est démoli en 1794.
Les locaux inadaptés dans lesquels se donne l'instruction de 1707 à 1880 situés face à la Mairie étant détruits, une nouvelle mairie-école est inaugurée le .
Au XIXe siècle, une vingtaine d'ouvriers est occupée aux carrières à grès à ciel ouvert, tandis que d'autres travaillent aux quatre moulins sur le ruisseau alimenté par les eaux de Coignières et de la fontaine des pères. Leurs activités cessent à la fin du siècle ainsi que celle d’une importante tuilerie dont il n'en reste plus rien aujourd'hui[2].
Politique et administration
Liste des maires
- Le conseil municipal est composé du maire et de quatorze conseillers dont quatre sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants[22].
Politique environnementale
Sous le mandat de Madame Toine Bourrat [1], l’association des Marcheurs cueilleurs [2] menée par son fondateur Michael Le Saulnier [3] fera part à celle-ci de sa volonté d’organiser au printemps 2019 une mission d'intérêt général de collecte de déchets sur la commune. À la suite de leur courrier indiquant leur venue, l’édile y opposera un refus catégorique [4] . Bravant cet avis, les bénévoles mèneront tout de même leur opération à son terme, découvrant lors de leur passage une vaste décharge à ciel ouvert située en plein cœur d’une zone naturelle classée [5].
Interrogée dans les médias, Toine Bourrat finira par avouer [6] que ce lieu, propriété de la commune au bout de la rue des Pâtis, sert bien au stockage en pleine terre de détritus en tous genres que ramassent les agents municipaux sur la voie publique avant d’être acheminés en déchèterie.
Quelques jours après cette découverte, un incendie s’y déclare. [7]
Une seconde mission quelques semaines plus tard, ayant pour but d’aider la commune à nettoyer ce site sera organisée, profitant d’une opération annuelle du PNR.[8] Elle sera encadrée par la police municipale. [9]
A ce jour, la Commune continue d’utiliser ce site comme une décharge de transit.[10]
Articles de presse :
[1] : http://www.senat.fr/senateur/bourrat_toine20152b.html
[2] : https://www.les-marcheurs-cueilleurs.com
[3] : https://www.lechorepublicain.fr/bullion-78830/actualites/avec-michael-le-saulnier-xavier-caris-maire-de-bullion-veut-prendre-un-virage-ecolo_13801914/
[4] : https://gazette-montfortois.fr/?p=29724
[5] : https://www.leparisien.fr/yvelines-78/saint-remy-l-honore-une-decharge-sauvage-decouverte-au-milieu-des-bois-17-03-2019-8033877.php
[6] : https://www.leparisien.fr/yvelines-78/saint-remy-l-honore-la-decharge-a-ciel-ouvert-appartient-bien-a-la-mairie-20-03-2019-8035980.php
[7] 22/03/2019 : https://www.evasionfm.com/actualite-42867-un-incendie-s-est-declare-hier-dans-la-decharge-sauvage-de-saint-remy-l-honore.html?version=somme
[8] https://www.parc-naturel-chevreuse.fr/destination-parc/actualites-rendez-vous-parc/nettoyage-de-printemps-0
[9] https://youtu.be/FGU9kOY46UA
[10] https://www.facebook.com/mieuxpourSRH78/posts/859469768123776
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2018, la commune comptait 1 578 habitants[Note 3], en augmentation de 15,86 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 51,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 16,4 %, 45 à 59 ans = 28,4 %, plus de 60 ans = 20,6 %) ;
- 48,6 % de femmes (0 à 14 ans = 15,2 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 27,7 %, plus de 60 ans = 22,7 %).
Enseignement
La commune possède[28] une école élémentaire publique : école publique Clarisse-Lebel (du nom du maire en poste de 1971 à 2001).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 526 représentant 1 391 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 33 253 €[17].
Emploi
En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 237, occupant 646 actifs résidants (salariés et non salariés) .
Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,9 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 7,5 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,7 %, retraités ou préretraités 7 %, autres inactifs 5,3 %[17].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de cent trente-sept dont trois dans l’agriculture-sylviculture-pêche, six dans l'industrie, six dans la construction, quatre-vingt-quinze dans le commerce-transports-services divers et vingt-sept étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, quinze entreprises ont été créées dont neuf par des auto-entrepreneurs[17].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Rémy : construite au XIIIe siècle par les religieuses du prieuré de Haute-Bruyère[29], restaurée au XIXe siècle.
- Jardin Yili : jardin traditionnel chinois inauguré en juin 2004 ;
- Camp et voie romaine[30].
- Moulin de Bicherel.
Personnalités liées à la commune
- Ingmar Lazar, pianiste classique, réside à Saint-Rémy-l'Honoré.
Héraldique
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Les armes de Saint-Rémy-l'Honoré se blasonnent ainsi : d’azur à la fasce d’argent accompagnée de trois croisettes d’or. Ce blason, validé en 1996 par la commission nationale d'héraldique, a été repris de celui du prieuré de Haute-Bruyère[31]. |
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Voir aussi
Bibliographie
- André-Nicolas Rabourdin, Le prieuré royal de Haute-Bruyère, Société archéologique de Rambouillet,1948, réédité en 2003, 121p
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Saint-Rémy-l'Honoré », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral dont onglet en haut à gauche de l'écran (cliquer sur "itinéraires").
- Le Parc naturel régional sur saintremylhonore.fr.
- Annuaire des communes françaises
- « Plan séisme consulté le 16 mai 2017 ».
- Plan cadastral de Saint-Rémy-l'Honoré.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Guyon (H3039400) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Guyonne (H3039100) ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, (1998), t. 3, p. 1575.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean Devisse (professeur émérite d'histoire du Moyen Age à l'université Paris-I), Hincmar, archevêque de Reims (845-882), tome 2, p. 1006.
- Bulletin philologique et historique jusqu'à 1715 du Comité des travaux historiques et scientifiques 1948, 1949 et 1950 (1952), p. XIX.
- Site municipal - Présentation du conseil municipal.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Saint-Rémy-l'Honoré en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Site de l'inspection académique des Yvelines »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- André Nicolas Rabourdin, Le Prieuré Royal de Haute-Bruyère, 1948, p. 1-121.
- « Le camp romain » sur saintremylhonore.fr.
- Le blason sur le site de la mairie.
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