Saint-Pastous
Saint-Pastous est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Saint-Pastous | |||||
Vue du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Argelès-Gazost | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Jacques Debien 2020-2026 |
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Code postal | 65400 | ||||
Code commune | 65393 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Pastousiens | ||||
Population municipale |
138 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 00′ 53″ nord, 0° 03′ 27″ ouest | ||||
Altitude | Min. 420 m Max. 1 661 m |
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Superficie | 8,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Argelès-Gazost (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée des Gaves | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Saint-Pastousiens.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Pastous se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 3 km d'Argelès-Gazost[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Ayros-Arbouix (1,2 km), Boô-Silhen (1,3 km), Vier-Bordes (1,7 km), Préchac (2,7 km), Agos-Vidalos (2,8 km), Geu (3,0 km), Ayzac-Ost (3,2 km), Lau-Balagnas (3,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Pastous fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[5].
Hydrographie
Le ruisseau de Saint-Pastous traverse la commune d’est en ouest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[12]et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 19 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[19] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du département[20] et le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » (961 ha), couvrant 12 communes du département[21].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pastous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,9 %), forêts (22,7 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 100[28].
Parmi ces logements, 52,2 % sont des résidences principales, 44,0 % des résidences secondaires et 3,8 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par les routes départementales D 100 qui monte à Hautacam puis D 100b.
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- Sancti Pastoris, latin (v. 1050-1070, cartulaire de Bigorre ; v. 1075, cartulaire de Saint-Savin) ;
- Sen Pastos, latin et gascon (v. 1105, cartulaire Saint-Savin) ;
- Sent Pastos, Sent Pastor (XIIe siècle ou XIIIe siècle, livre vert de Bénac) ;
- Sempastors (1285, montre Bigorre) ;
- Sancto Pastore, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
- Sent Pastos, Senpastos (1349, livre vert Bénac) ;
- Sent Pastors, Sent Pastoos, Sent Pastos (1429, censier de Bigorre) ;
- St Pastous (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : Sanctus Pastor.
Nom occitan : Sent Pastors.
Histoire
Le nom primitif du village était Lump ou Lourp. Le village de Lurp est mentionné dans une bulle papale de 1167, adressée à l'Abbé de Saint-Savin. On ne peut préciser avec certitude à quelle occasion ce nom fut remplacé par Sen Pastous.
L'utilisation du nom de Saint-Pastous en Lavedan semble remonter au XIe siècle, période à laquelle une petite seigneurie de ce nom s'installa au village de Lurp. La première citation remonte vers 1050.
Le premier seigneur connu est Guillaume-Bernard de Saint Pastous cité en 1105.
On connaît également Bertrand de Saint Pastous, né vers 1260.
Cette famille prolifique possède de multiples branches dans le sud de la France, notamment celles de Bonrepos (Prat-Bonrepaux, 09), de Montbrun (32), de Lapeyrère (31), etc.
La branche des Saint Pastous seigneurs de Bonrepos (Prat-Bonrepaux, Ariège) remonte au minimum à Bertrand de Saint Pastous, père d'Arnaud-Guillaume de Saint Pastous de Bonrepos (né vers 1290, cité en 1337) marié à Anne-Bernarde de Poussin. Cette famille a été maintenue en sa noblesse par Laugeois à l'intendance de Montauban le . Cette branche est toujours vivante actuellement.
Régis Valette fait remonter la noblesse de cette famille en 1397.
La branche des Saint-Pastous seigneurs de Lapeyrère (31) remonte au minimum à Aymar de Saint Pastou (né vers 1400) co-seigneur de Montbrun (32). Cette branche s'achève avec Anne de Saint Pastou de Lapeyrère (dame et héritière de Lapeyrère) qui épouse en 1624 : François Ignace Deguilhem qui deviendra plus tard : François ignace de Guilhem de Saint Pastou de Lapeyrère de Lacombe.
Constitué en commune à la révolution, le village de Saint-Pastous allait peu après regrouper les anciennes paroisses de Saint-Germès et de Sainte-Marie, ainsi que le hameau de Bayès connu comme le quartier des cagots.
Cadastre napoléonien de Saint-Pastous
Le plan cadastral napoléonien de Saint-Pastous est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[30].
Politique et administration
Liste des maires
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), Argelès (depuis 1801). Sainte-Marie (commune en 1790), Bayés et Saint-Germès (non citées dans la première répartition, mais communes dans la seconde), sont réunies à Saint-Pastous entre 1791 et 1801[31].
Intercommunalité
Saint-Pastous appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.
Services publics
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34]. En 2018, la commune comptait 138 habitants[Note 7], en augmentation de 6,98 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[37].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église de l'Assomption de Saint-Pastous.
- Chapelle Sainte-Marie de Lurp.
- Lavoir.
Héraldique
Blasonnement :
D'argent au mont de sinople chargé d'une fleur de lys d'or, sommé d'une aigle essorante de sable tenant avec son bec une clochette du même.
Commentaires : blason vérifié auprès de la mairie. |
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes des Hautes-Pyrénées
- Communauté de communes de la Vallée d'Argelès-Gazost
- Le Pays des Sept Vallées : le Lavedan
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Pastous sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Saint-Pastous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pastous et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pastous et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Pastous », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pastous et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ayros-Arbouix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pastous et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pastous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « massifs du Montaigu et de Hautacam » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Argelès-Gazost », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Saint-Pastous
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Saint-Pastous en 1826
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Saint-Pastous », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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