Saint-Martin-du-Manoir
Saint-Martin-du-Manoir est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.
Saint-Martin-du-Manoir | |||||
![]() La mairie | |||||
![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CU Le Havre Seine Métropole | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Fort 2020-2026 |
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Code postal | 76290 | ||||
Code commune | 76616 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint Martinais | ||||
Population municipale |
1 490 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 290 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 31′ 59″ nord, 0° 14′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 102 m |
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Superficie | 5,13 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Le Havre (banlieue) |
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Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Octeville-sur-Mer | ||||
Législatives | 7e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintmartindumanoir.fr/ | ||||
Géographie
Description
Cette commune est située sur la rive droite de la Seine, à une quinzaine de kilomètres du Havre, dans le canton de Montivilliers.
Saint-Martin-du-Manoir se compose d'un bourg, dans lequel se trouvent les lotissements (Hauts de Saint Martin, Closerie, Ruellette, Résidence du Manoir, Résidence Saint-Martin, le Clos des Pommiers, les Prés verts, la Forge...) et de huit hameaux situés soit sur le plateau, soit en contrebas de celui-ci.
La majeure partie de la population habite le Bourg. C'est là que se trouvent bien entendu la mairie, l'église, les écoles et les installations sportives.
Enitot est le plus proche du centre-bourg, en direction d'Epouville.
On accède à Enéaumare par la route de Manéglise.
Le Mesnil se situe de l'autre côté de la Voie Rapide (D 489). Pour s'y rendre, il est nécessaire d'emprunter le giratoire d'Epouville.
L'Ormel se trouve sur la route de Montivilliers (D 111), entre le cimetière et le giratoire.
Les Cures (ou Escures - selon les historiens l'appellation diffère...), siège d'un ancien château, semble protéger le Bourg, par sa position en pointe, face à Harfleur et Montivilliers.
La Cayenne se trouve en fond de vallée, à proximité de Gournay-en-Caux.
De même, la Côte de Gournay, sur la rive droite de la rivière Saint-Laurent, est limitrophe de ce quartier de Gonfreville.
Enfin, la Vallée s'intercale, toujours sur la rive droite, entre la Cavée, Gainneville et Saint-Laurent-de-Brèvedent.
Pour les plus courageux, il est possible d'effectuer une randonnée visitant l'ensemble de ces hameaux.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 796 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 72 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-du-Manoir est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[17] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones urbanisées (14,9 %), forêts (12,1 %), prairies (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Manece entre 1028 et 1034 (erreur très probable de copie pour *Manere), Sancti Martini en 1035[24], In parrochia Sancti Martini de Manerio en 1192, 1258 et 1260[25], Manerium en 1337[26], Saint Martin du manoir en 1715[27].
La commune tire son nom de l'église dédiée à saint Martin et du manoir du Col des Moulins, mentionné dès 1035 dans la charte de fondation de l'abbaye de Montivilliers qui avait la commune sous sa juridiction.
Histoire
Saint-Martin-du-Manoir et son église dépendent au début du XIe siècle des Giffard, comtes de Montivilliers ; l'église leur fut retirée dès 1025 au profit de l'abbaye de Fécamp, en 1035 au profit de l'abbaye de Montivilliers, qui possède également des biens (terres, moulins) à Saint-Martin. La seigneurie a appartenu par la suite à différentes familles dont, au XVIe siècle et au XVIIe siècle, la famille de la Rue, et surtout à partir de 1660, la famille très ancienne des Toustain qui comptait plusieurs branches, et notamment celles des Toustain de Frontebosc de Limésy et des Toustain de Richebourg de Saint-Martin-du-Manoir.
Les derniers seigneurs de Saint-Martin furent Gaspard-François (1716-1799) et Charles-Gaspard (1746-1836), tous deux membres de l'académie de Rouen, l'un comme savant, l'autre comme homme de lettres et historien ; tous deux furent emprisonnés sous la Terreur ; le second n'émigra pas et se rallia à l'Empire.
Deux hameaux de Saint-Martin étaient des fiefs à l'époque féodale : Enitot dépendait de la seigneurie de Graville et Ecures relevait des Estouteville, seigneurs de Valmont. Ils ont appartenu à des membres d'une famille anoblie au XVIe siècle et convertie au protestantisme, les Deschamps. Par mariage, Ecures passa au XVIIIe siècle à la famille de Rumare.
Saint-Martin s'est développé sensiblement au XIXe siècle puis au XXe siècle ; la population a stagné après la Seconde Guerre mondiale ; mais, depuis 1970, sous l'effet de la ré-urbanisation (près de trois cents pavillons construits), elle a plus que doublé[28].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2018, la commune comptait 1 490 habitants[Note 8], en diminution de 3,18 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Jusqu'au milieu des années 1970, le village était habité par moins de 700 personnes. L'activité principale était essentiellement agricole, avec une vingtaine d'exploitations contre 8 actuellement.
Les écoles de la commune
Sécurité
Saint-Martin-du-Manoir est l'une des communes ayant contribué à la création en de la première brigade intercommunale de gardes champêtres issue de la Loi Démocratie de Proximité. Cette brigade implantée sur le territoire de Gainneville assure la protection des biens ruraux et forestiers, la surveillance générale aux côtés de la gendarmerie et la police nationales mais également la veille juridique. Le fonctionnement "autonome" de cette police rurale pilotée par un chef de brigade permet aux communes adhérentes de bénéficier d'un atout majeur beaucoup plus efficace qu'une police municipale aux compétences plus modestes[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifice Saint-Martin.
Personnalités liées à la commune
- Charles-Gaspard Toustain de Richebourg (1746-1836) y est mort.
- Jean René Guerrand (1907-1993), chef d'entreprise français, y est mort.
La légende de la Pierre Grise
Il existe encore de nos jours sur la colline où sont bâtis les châteaux de Colmoulins et d'Escures, derrière la hêtraie de Montivilliers, une grosse pierre grise, sur lequel existe une légende que voici[41],[42] :
"Il y a très longtemps, lorsque le pays était soumis à la féodalité, vivait au manoir du Col des Moulins, qui était alors un château fortifié, un bon et vaillant chevalier nommé Guillaume de Colleville.
Ce seigneur avait une jeune femme dont la beauté avait souvent inspiré les bardes et les trouvères et avait jeté le trouble dans bien des cœurs, notamment dans celui d'un jeune écuyer du nom de Robert.
Ce Robert n'avait jamais eu de sentiments bien chrétiens, mais son amour insensé l'avait rendu capable de tous les crimes. Un jour qu'il se promenait sous les arbres aux environs du château, il fit la rencontre d'un personnage de haute taille, vêtu de noir avec une barbe en pointe et des yeux brillants comme des escarboucles.
" Me connais-tu ? demanda cet homme a Robert.
- Non, répondit l'écuyer..
- Et bien, je suis Satan ! "
Tout autre que Robert se fut enfui a ces mots en faisant un signe de croix mais lui ne bougeait pas de place.
"- Tu es Satan, dit-il, tant mieux, car je comptais sur ton aide.
- Je le sais, c'est pourquoi je suis venu. Écoute : Tu aimes la femme de ton seigneur et maître, et tu rêves jours et nuits aux moyens de la posséder ; je n'y vais pas par quatre chemins pour te le dire, cela te coûtera ton âme.
- Qu'importe, répondit sourdement l'écuyer, il me la faut que dois je faire ?
- M'accompagner à la pierre grise pour signer le pacte."
Le plateau était alors une forêt au centre de laquelle se dressait le dolmen ; deux pierres fichées en terre en supportant une troisième en forme de table, tout à l'entour des chênes gigantesques.
En arrivant là, Satan fit entrer l'écuyer dans une sorte de caveau situé sous la table de pierre, puis il lui présenta une écritoire et un parchemin au bas duquel Robert apposa sa signature.
"- Bien dit le démon, maintenant, prends cette pièce de monnaie ; il te suffira de la faire toucher à la serrure de l'appartement où tu veux pénétrer et tu y trouveras ta maîtresse endormie ; seulement, n'oublies pas de la rapporter ici demain, car tu ne dois t'en servir que la nuit. allons va ; Guillaume de Colleville est en voyage, tu es libre, amuse toi bien, mon fils, ajouta Satan avec un ricanement."
Le misérable rentra au plus vite au château et, la nuit étant venue, il s'approcha à pas de loup de l'oratoire de la noble dame qui dormait d'un profond sommeil. Le lendemain matin, ivre encore de sa criminelle action, il se rendit en toute hâte à la " PIERRE GRISE ". Satan l'attendait appuyé sur le dolmen.
"- Bien, dit le démon en tordant sa barbe pointue, remets la pièce à sa place, tu la reprendras ce soir. Robert pénétra dans le caveau, mais à peine y était-il que Satan donna un grand coup de pied à l'un des côtés du dolmen et l'énorme table s'affaissa brutalement, écrasant sous elle le misérable écuyer.
Puis le démon disparut avec un ricanement sinistre ! Et il y a déjà de bien longues années, en soulevant ce mystérieux bloc de granit on trouva sous la pierre druidique, quelques ossements calcinés et une pièce de monnaie gauloise en alliage d'argent que l'on nomma la " Pièce du diable " et que vous pourrez examiner à votre aise dans le petit musée de la bibliothèque de Montivilliers.
Héraldique
![]() |
Les armes de la commune de Saint-Martin-du-Manoir se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La rue où se trouve l'église porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Octeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Martin-du-Manoir et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Martin-du-Manoir et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Havre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 159.
- Archives de Seine-Maritime 54 H.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1415.
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- www.furmini.com, « Saint Martin du Manoir Un peu d'histoire sur St Martin du Manoir », sur www.saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
- « Les élus de 1880 à nos jours », Histoire, sur http://www.saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
- « Disparition d'Hubert Leprévost », Album photos et archives d'articles de l'année 2012, sur http://www.saintmartindumanoir.fr, (consulté le ).
- « A la mairie, l'équipe nouvelle est arrivée », Bulletin municipal, no 16, , p. 5 (lire en ligne [PDF]).
- « Le conseil municipal », Bulletin municipal, no 22, , p. 4 (lire en ligne [PDF]).
- « Saint-Martin-du-Manoir. Maria-Dolores Gautier-Hurtado : "Il faut savoir s'arrêter" : La maire de Saint-Martin-du-Manoir estime que c'est le moment de passer le flambeau et ne briguera pas un quatrième mandat à la tête de la commune », Le Ciourrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélue pour le mandat 2014-2020« A Saint-Martin-du-Manoir, un mandat à douze voix près : Le maire sortant, Maria Dolores Gautier Hurtado, est réélu pour un troisième mandat à 50,69 %. », Paris Normandie, (lire en ligne).
- « Municipales 2020. Jean-Luc Fort tête de liste à Saint-Martin-du-Manoir : Ancien adjoint au maire, Jean-Luc Fort avait démissionné en 2009 tout en restant conseiller municipal. Il s’était ensuite présenté aux Municipales de 2014, manquant de peu l’élection au second tour. Il présente une équipe diversifiée », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal depuis 2001, il a été adjoint au maire en 2008. « Ne me reconnaissant plus dans le sens et les valeurs que le maire donnait à son mandat, j’ai démissionné de mes fonctions en 2009. Depuis 2009, conformément à mes valeurs, j’ai assumé mes fonctions de conseiller municipal dans une approche d’opposition “ constructive ” ».
- « Portrait. Jean-Luc Fort, nouveau maire, au service de Saint-Martin depuis presque 20 ans », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- article lu sur le site des "Écuries de la Pierre Grise", centre équestre situé à la frontière de Saint-Martin-du-Manoir et de Montivilliers
- www.furmini.com, « SAINT MARTIN DU MANOIR Un peu d'histoire sur St Martin du Manoir », sur www.saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
- GASO - Banque du blason - 76616.
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