Saint-Hippolyte (Aveyron)

Saint-Hippolyte est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

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Saint-Hippolyte
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Communauté de communes Comtal Lot et Truyère
Maire
Mandat
Francine Lafon
2020-2026
Code postal 12140
Code commune 12226
Démographie
Gentilé Saint-Hippolytain(e)
Population
municipale
427 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 43″ nord, 2° 35′ 33″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 785 m
Superficie 36,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lot et Truyère
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Hippolyte
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Saint-Hippolyte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Hippolyte
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Saint-Hippolyte
Liens
Site web sainthippolyte.fr

    Géographie

    Généralités

    Dans la moitié nord du département de l'Aveyron, la commune de Saint-Hippolyte s'étend sur 36,87 km2. Elle est bordée à l'est par la Truyère sur environ huit kilomètres  dont la majeure partie dans la retenue du barrage de Couesques  et arrosée par son affluent le Goul. Le barrage du Goul a été implanté entre Saint-Hippolyte et Lapeyrugue, dans le Cantal.

    Sur les hauteurs dominant la vallée de la Truyère, le bourg de Saint-Hippolyte est desservi par les routes départementales (RD) 526 et 596.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 231 et 9004.

    Le sentier de grande randonnée GR 465A, variante du GR 465, traverse le territoire communal, passant notamment au village de Pons.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Hippolyte et des communes avoisinantes.

    Saint-Hippolyte est limitrophe de huit autres communes, dont deux dans le département du Cantal. À l'ouest, son territoire est distant d'environ 600 mètres de celui de Ladinhac, également dans le Cantal.

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Hippolyte.

    La commune est drainée par la Truyère, le Goul et le ruisseau de Palefer, le ruisseau de Ruols, le ruisseau du Batut, le ruisseau d'Auguié, le ruisseau de Fonbalès, le ruisseau de l'Adrech, le ruisseau de Saint-Marc, le ruisseau des Salins et par divers petits cours d'eau[1].

    La Truyère, d'une longueur totale de 167,2 km, prend sa source dans la commune de Monts-de-Randon (48) et se jette dans le Lot à Entraygues-sur-Truyère, après avoir arrosé 39 communes[2].

    Le Goul, d'une longueur totale de 52 km, prend sa source dans la commune de Pailherols (15) et se jette dans la Truyère à Campouriez, après avoir arrosé 14 communes[3].

    Le Ruisseau de Gouzou, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Amans-des-Cots et se jette dans la Truyère à Saint-Hippolyte, après avoir arrosé 4 communes[4].

    Le lac de Couesques est un lac de retenue lié au barrage de Couesques. Il s'étend sur 2,40 km2 et 12 km de longueur. Outre les communes de Campouriez et Saint-Hippolyte, la retenue baigne également quatre autres communes : Brommat et Lacroix-Barrez en rive droite, ainsi que Saint-Gervais et Montézic en rive gauche. Elle est alimentée par la Truyère et son affluent le ruisseau de Gouzou, ainsi que par une trentaine de petits ruisseaux, et sert à alimenter par pompage-turbinage la retenue du barrage de Montézic via la centrale de Montézic[5].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[6],[7],[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 245 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat semi-continental », ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau de la commune[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

    Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17] :

    • La « Haute vallée du Lot entre Espalion et Saint-Laurent-d'Olt et gorges de la Truyère, basse vallée du Lot et le Goul », d'une superficie de 5 653 ha, comprend une partie de la vallée du Lot ainsi que deux de ses affluents : la Truyère et le Goul. Le site est remarquable d'une part du fait de la présence de deux espèces d'intérêt communautaire, la Loutre d'Europe et le Chabot, et de plusieurs habitats aquatiques et forestiers d'intérêts communautaires qui se rapportent aux trois entités paysagères du site[18] ;
    • le « Site des Grivaldes », d'une superficie de 510 ha, est un site de reproduction majeur pour le Grand Murin (un des deux seuls gîtes de reproduction connu dans le Cantal, un des rares du Nord Aveyron) en situation isolée et zone de sympatrie avec le Petit Murin, dont les premières colonies connues au Sud sont distantes de plusieurs dizaines de kilomètres[19] ;

    un au titre de la « directive Oiseaux »[17] :

    • Les « Gorges de la Truyère », d'une superficie de 16 681 ha, où douze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Saint-Hippolyte comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 2],[21] :

    • les « Gorges de la Truyère de Rueyres au trébuc » (2 494 ha), couvrant 7 communes du département[22] ;
    • « Les grivaldes » (274,3 ha), couvrant 3 communes dont 1 dans l'Aveyron et 2 dans le Cantal[23] ;
    • les « Rivières de la Truyère et du Goul » (714,8 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Aveyron et 2 dans le Cantal[24] ;
    • la « Vallée de la Truyère au barrage de Couesques » (285 ha), couvrant 2 communes du département[25] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[21], la « Vallée de la Truyère, du Goul et de la Bromme » (8 876 ha), qui s'étend sur 18 communes dont 12 dans l'Aveyron et 6 dans le Cantal[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hippolyte est une commune rurale[Note 4],[27]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Hippolyte.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), prairies (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), eaux continentales (2,3 %)[32].

    Planification

    La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[33].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Hippolyte est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[34],[35].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[36].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[37],[38].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].

    Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[40].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Hippolyte est classée à risque moyen à élevé[41]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[42] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[43].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Saint-Hippolyte est membre de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[44], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Espalion. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[44]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Truyère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[44], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[46].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Saint-Hippolyte, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[47] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[48]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[49] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 68,41 %[50]. Francine Lafon, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [51].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[52]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[53].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Francine Lafon LR Agricultrice
    Conseillère départementale depuis septembre 2019
    mars 2008 2014 Didier Cayla MoDem  
    avril 2014 en cours Francine Lafon[54],[55]   Agricultrice sur petite exploitation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[57].

    En 2018, la commune comptait 427 habitants[Note 5], en diminution de 3,83 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2001 1362 1832 1892 0342 1042 0481 9611 836
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9091 9391 8951 9611 9611 9451 9371 9281 851
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6831 6451 5801 3381 2891 1581 1031 2411 177
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    937825677685541500463458453
    2013 2018 - - - - - - -
    444427-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame de Rouens (XVIIIe siècle) et point de vue sur Vallon et la Truyère.
    • Église Saint-Roch de Pons (XVe siècle).

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jacques Blanc), Entraigas : Enguialés-Lo Fèl, Espeirac, Golinhac, Sent-Ipòli / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Entraigas, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 240 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-22-X, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36688566)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Saint-Hippolyte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « la Truyère »
    3. Sandre, « le Goul »
    4. Sandre, « le ruisseau de Gouzou »
    5. « Lac de Couesques », sur https://www.tourisme-aveyron.com/ (consulté le )
    6. « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    7. « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    8. site officiel du SMB2
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Hippolyte et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Hippolyte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR7300874 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « site Natura 2000 FR8302015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « site Natura 2000 FR7312013 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Hippolyte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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