Saint-Hilaire-des-Landes

Saint-Hilaire-des-Landes est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 032 habitants[Note 1].

Saint-Hilaire-des-Landes

Le château de la Haye.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Couesnon Marches de Bretagne
Maire
Mandat
Claude Hamard
2020-2026
Code postal 35140
Code commune 35280
Démographie
Gentilé Hilairiens
Population
municipale
1 032 hab. (2018 )
Densité 56 hab./km2
Population
agglomération
11 380 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 08″ nord, 1° 21′ 24″ ouest
Altitude Min. 54 m
Max. 117 m
Superficie 18,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val-Couesnon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Hilaire-des-Landes
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Saint-Hilaire-des-Landes
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Hilaire-des-Landes
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Hilaire-des-Landes

    Géographie

    Saint-Hilaire-des-Landes est situé à 41 km au nord-est de Rennes et à 37 km au sud du Mont-Saint-Michel dans le pays de Fougères.

    Les communes limitrophes sont Le Tiercent, Baillé, Saint-Étienne-en-Coglès, Saint-Sauveur-des-Landes, Saint-Marc-sur-Couesnon et Saint-Ouen-des-Alleux.

    La commune fait partie du pays du Coglais.

    Le bourg de Saint-Hilaire-des-Landes.

    Hameaux

    Les principaux hameaux de la commune de Saint-Hilaire-des-Landes sont :

    • Bellevue
    • Bliche
    • Cahaut
    • Carquoy
    • Faucillon
    • Guichard
    • La Basse Beauce
    • La Basse Foustais
    • La Basse Maison Neuve
    • La Briquerie
    • La Cherbaudière
    • La Clais
    • La Croix des Landes
    • La Foustais
    • La Gautrais
    • La Gellinière
    • La Gilbertière
    • La Giollais
    • La Guihommeraie
    • La Hantelle
    • La Haute Beauce
    • La Haute Foustais
    • La Hautraite
    • La Hubaudière
    • La Maison Franche
    • La Maison Neuve
    • La Meule
    • La Passagère
    • La Poissonnière
    • La Poulardière
    • La Riançon
    • La Richardais
    • La Ricoulière
    • La Rivière
    • La Ruée
    • La Saigeais
    • La Salle
    • La Touchais
    • La Touche
    • La Trinité
    • La Ville au Loup
    • La Ville Hamon
    • Landrouère
    • Laudruère
    • Launay
    • Le Bas Feu
    • Le Bourg
    • Le Breil
    • Le Château de la Haye
    • Le Chevrigné
    • Le Clos
    • Le Corbay
    • Le Court Champ
    • Le Grand Bossard
    • Le Grand Chevrigné
    • Le Grand Teil
    • Le Haut Feu
    • Le Haut Lignière
    • Le Meleu
    • Le Mottay
    • Le Moulin de la Croix
    • Le Moulin Neuf
    • Le Petit Bossard
    • Le Petit Chevrigné
    • Le Petit Teil
    • Le Pont
    • Le Rochelet
    • Le Rocher
    • Le Rocher Rond
    • Le Val
    • Le Vaudeleumet
    • L'en Haut
    • Lepinay
    • L'Épinay
    • L'Épine Herbois
    • Leraudière
    • Léraudière
    • Les Bouvreuils
    • Les Chênes
    • Les Communs
    • Les Foustais
    • Les Gouttus
    • Les Ormeaux
    • Les Touches
    • Letablère
    • L'Établière
    • Lignières
    • L'Oisillère
    • Loysillière
    • Naucé
    • Placet
    • Sainte-Hélène
    • Saint-Martin
    • Surminette
    • Résidence l'Orée des Landes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 861 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 923,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-des-Landes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,2 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), terres arables (16,4 %), zones urbanisées (1,8 %), forêts (1,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Attestations anciennes[21],[22]

    Ecclesia beati Hyllarii Vindeliensis (1080)

    Sanctus Illarius de landis (XIVe siècle)

    Ecclesia sancti Hilarii de Landis (1516)

    Étymologie

    La paroisse était dédiée à saint Hilaire, évêque de Poitiers au IVe siècle (315-367).

    L'attestation de 1080 localise la paroisse dans le pagus vindelensis de l'époque gallo-romaine, dont le nom vient de celui de Vendel.

    Le nom de la commune est Sant-Eler-al-Lann en breton.

    Histoire

    La famille de La Haye-Saint-Hilaire et son château

    Le château de La Haye-Saint-Hilaire a appartenu pendant plus de 1 000 ans à la même famille éponyme, qui semble remonter à Geoffroy de la Haye, qui donna en 1163 à l'abbaye de Rillé près de Fougères tous les droits qui lui revenaient dans le moulin du Pont[23]; une motte féodale a été édifiée au Xe siècle ; le site du château est occupé depuis le XIIIe siècle (il reste peu de choses de cet ancien château), le château actuel a pour sa part été construit entre 1593 et 1622.

    Les propriétaires et seigneurs, anoblis en 1393 par le duc Jean IV de Bretagne, se sont succédé pour la plupart de père en fils[24] :

    • Jean I de La Haye-Saint-Hilaire, décédé vers 1393 ;
    • Jean II de La Haye-Saint-Hilaire, chevalier, décédé après 1392 ;
    • Léon I de La Haye-Saint-Hilaire, décédé en 1392 ;
    • Jean III de La Haye-Saint-Hilaire, né en 1412, décédé en 1485 ;
    • Gui de La Haye-Saint-Hilaire, né vers 1440 ;
    • Pierre de La Haye-Saint-Hilaire, né vers 1485 ;
    • Augustin de La Haye-Saint-Hilaire, décédé sans enfants ;
    • Léon II de La Haye-Saint-Hilaire, frère du précédent, décédé en 1586 ;
    • René de La Haye Saint-Hilaire, né en 1568, chevalier de l'Ordre du Roi, gouverneur de Fougères vers 1586 ; en mars 1593, par lettres patentes, le roi Henri IV érige en châtellenie La Haye de Saint-Hilaire ;
    • Henri de La Haye-Saint-Hilaire, capitaine de 100 hommes d'armes, chevalier de l'Ordre du Roi, constructeur du château actuel (aménagé entre 1593 et 1622), décédé le  ;
    • Christophe I de La Haye-Saint-Hilaire, né en 1619, "haut et puissant seigneur", gouverneur du château de Fougères, décédé en 1671 ;
    • Anne de La Haye-Saint-Hilairen né en 1649, décédé en 1699, gouverneur du château de Fougères ;
    • Basile de La Haye-Saint-Hilaire, décédé en mai 1711 à Paris ;
    • Christophe II de La Haye-Saint-Hilaire, neveu du précédent (fils de Pierre-François de La Haye, seigneur du Plessis de Melesse) décédé vers 1758 ;
    • François Louis de La Haye-Saint-Hilaire, né en 1729 à Rennes, "haut et puissant seigneur", qualifié de comte en 1766, émigra pendant la Révolution française ( ses biens furent vendus comme biens nationaux), décédé le 28 frimaire an IX () à Rennes ;
    • Louis Joseph Bénigne de La Haye-Saint-Hilaire , né le à Saint-Hilaire-des-Landes, sous-lieutenant au régiment de Penthièvre, chef chouan (colonel des armées royales de l'Ouest), décédé le  ;
    • Louis Hyacinthe de La Haye-Saint-Hilaire, né le à Saint-Hilaire-des-Landes, décédé le à Rennes ;
    • Henri de La Haye-Saint-Hilaire, né le à Saint-Hilaire-des-Landes, décédé en 1946 ;
    • Lionel de La Haye-Saint-Hilaire, décédé en mars 2016[25].

    En 2012 le comte Lionel de La Haye-Saint-Hilaire a fait donation des archives familiales à la ville de Fougères[26].

    En 2019 le château de La Haye-Saint-Hilaire est mis en vente par ses héritiers[27].

    Révolution française

    Le 19 avril 1796, un combat eut lieu entre les chouans et les bleus "républicains" sur la lande de Landeumont, entre Saint-Hilaire-des-Landes et Saint-Sauveur-des-Landes.

    L'école communale de filles fut fondée en 1851. Il y avait trois religieuses.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires [28]
    Période Identité Étiquette Qualité
        Augustin Guillois    
        Joseph Delamarche    
        Joseph Tual    
        Julien Duval    
        Victor Lepage    
        Adolphe Forthomme    
        Pierre Gilaut    
        Amand Beaulieu    
      1945 Julien Loyzance    
    1945 1968 Eugène Bertel SE Artisan
    1968 Mars 2001 Henri Gautrais SE Artisan
    Mars 2001 Mars 2014 Eugène Bertel SE Artisan
    En cours Claude Hamard SE Retraité de la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 1 032 habitants[Note 7], en augmentation de 1,57 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6591 5881 5421 7101 7891 6781 6081 5311 661
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6671 6711 6611 5631 5861 6901 6271 5491 455
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3931 4331 4141 2241 2571 2291 2281 1491 128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 1441 0108077568939229639881 028
    2018 - - - - - - - -
    1 032--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    • Lait
    • Bois

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Hilaire : mur nord de la nef partiellement roman ; nef, transept sud et porche latéral du XVIe siècle, transept nord de 1840 et clocher du milieu du XXe siècle.
    • Le château de la Haye-Saint-Hilaire. La famille qui occupe ce château y est présente depuis 700 ans.
    • Vallée de la Minette.
    • Le monument aux morts, est situé sur la place de l'Église. Soixante-quinze noms y sont inscrits[33] :
    Première Guerre mondiale : 58 personnes ;
    Deuxième Guerre mondiale : 12 personnes ;
    Indochine : 3 personnes ;
    Algérie : 2 personnes.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Saint-Hilaire-des-Landes est membre de l'association des Saint-Hilaire de France. La commune a participé au premier rassemblement des Saint-Hilaire de France à Saint-Hilaire-la-Palud.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-des-Landes et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-des-Landes et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Bossard (Abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, AD35 (manuscrit).
    22. « Kerofis », sur Office public de la langue bretonne.
    23. Dom Morice, "Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, tirés des archives de cette province, de celles de France et d'Angleterre, des recueils de plusieurs sçavans antiquaires", 1742-1746.
    24. http://www.infobretagne.com/saint-hilaire-des-landes.htm
    25. https://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/le-comte-lionel-de-la-haye-saint-hilaire-sest-eteint-4111786
    26. « LES ARCHIVES DE LA HAYE- SAINT-HILAIRE », sur blogspot.com (consulté le ).
    27. https://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/ille-et-vilaine-le-chateau-de-la-haye-est-vendre-6152192
    28. Mairie de Saint-Hilaire-des-Landes
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. MemorialGenWeb.org - Saint-Hilaire-des-Landes : monument aux morts

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Entre Éverre et Minette, revue du Cercle d'Histoire de Saint-Hilaire-des-Landes.
    • "La longue marche des paysans français" de Louis Malassis Ed Fayard

    Liens externes

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