Saint-Germain-et-Mons

Saint-Germain-et-Mons est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Germain et Mons (homonymie).

Saint-Germain-et-Mons

Le bourg de Saint-Germain-et-Mons.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Michelle Dorange
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24419
Démographie
Gentilé Saint-Germinois
Population
municipale
846 hab. (2018 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 41″ nord, 0° 35′ 38″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 133 m
Superficie 14,13 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bergerac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Germain-et-Mons
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Germain-et-Mons
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Germain-et-Mons
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Germain-et-Mons
Liens
Site web saintgermainetmons.com

    Géographie

    Généralités

    La vallée de la Dordogne à Saint-Germain-et-Mons.

    Au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois, dans l'aire urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Germain-et-Mons s'étend sur 14,13 km2. Bordée au nord par la Dordogne qui la sépare de Creysse et Mouleydier, elle est arrosée par un de ses affluents, le Couillou, et dans une moindre mesure au sud-ouest, par le Gouzou, principal affluent de la Conne.

    L'altitude minimale, 17 mètres, se trouve à l'extrême nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre Cours-de-Pile et Creysse. L'altitude maximale avec 133 mètres est localisée au sud, près du lieu-dit les Vayllaux, en limite de Saint-Aubin-de-Lanquais. Au niveau géologique, les terrains sont composés sur les coteaux, au sud, de calcaire et de molasse datant de l'Éocène, alors que la partie nord (la vallée de la Dordogne) est composée d'alluvions quaternaires[1].

    Au croisement des routes départementales (RD) 21 et 37, le bourg se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'est de Bergerac et douze kilomètres à l'ouest de Lalinde.

    Le sud de la commune est également desservi par la RD 21E3.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Germain-et-Mons et des communes avoisinantes.

    Saint-Germain-et-Mons est limitrophe de sept autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 230 mètres de celui de Saint-Sauveur.

    Communes limitrophes de Saint-Germain-et-Mons
    Creysse Mouleydier Saint-Agne
    Cours-de-Pile Verdon
    Saint-Nexans Saint-Aubin-de-Lanquais

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 816 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germain-et-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[16] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,4 %), forêts (25,2 %), prairies (10,5 %), terres arables (6,2 %), zones urbanisées (4,2 %), eaux continentales[Note 6] (1,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre incluant la partie aval (sur les 400 derniers mètres) du Couillou et ses rives, donc la zone basse du territoire de Saint-Germain-et-Mons le long des deux cours d'eau[22],[23].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[24],[25].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Germain-et-Mons proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[26] :

    • au Pin
    • Bois de la Cardayre
    • la Borie Neuve
    • Bosredon Bas
    • le Bourdil[27]
    • Champ de la Borie Neuve
    • Champ de la Roque
    • Cireysou
    • la Cocarde
    • Combe du Bournat
    • Cussac
    • la Fontbrune
    • Font-Pieule
    • la Gabarie
    • le Grand Champ
    • Grand Mons
    • le Grand Pré
    • Grand Valat
    • Gravette
    • les Griffouillades
    • les Guichards
    • la Jarthe
    • les Justices
    • le Mayne
    • les Mestraux
    • Monbonard
    • la Montade
    • Moulin à Vent
    • Mourliane
    • la Mouthe
    • les Palaines
    • Péroquet
    • Petit Mons
    • le Pin
    • le Plan
    • Pont-Romieux
    • le Port de Mouleydier
    • le Pré de la Lièye
    • Pré du Bourdil
    • le Queyrou
    • le Râle
    • les Rivailles
    • Sireygeol
    • le Terme-Bas
    • le Terme-Haut
    • Teyssières
    • le Tuquet
    • les Vayllaux
    • les Verdames
    • Vignal-Bas.

    Toponymie

    Le nom de Saint-Germain se réfère à Germain l'Auxerrois[28], évêque d'Auxerre au Ve siècle. Le nom de Mons dérive de l'occitan mont, lui-même dérivé du latin mons[29].

    En occitan, la commune se nomme Sent Gèrman e Monts[30].

    Histoire

    Le territoire communal a révélé des traces d'occupation paléolithique et néolithique, notamment des silex taillés[31].

    À Mons, la route de Bergerac était surveillée par une forteresse dont il reste les vestiges d'une tour du XIe siècle[29]. La chapelle de Mons, comme l'église de Saint-Germain ont été édifiées à l'époque romane, puis reconstruites au XIXe siècle[29]. À Pont-Roumieu, les Augustiniens avaient établi un prieuré[29].

    Les premières mentions écrites connues concernant la commune datent de 1273 pour Mons (castrum de Montibus) et 1290 pour Saint-Germain (Sanctus Germanus)[29].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village de Saint Germain est identifié sous le nom de Saint Germain de Pontroumieu[32].

    En 1829, les communes de Mons et de Saint-Germain fusionnent sous le nom de Saint-Germain-et-Mons[33].

    Le , le village est incendié par les Allemands, de même que celui de Mouleydier[31].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[34].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    En 2002, Saint-Germain-et-Mons intègre dès sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[35],[36].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1988  ? Marcel Roux    
             
    mars 2001[37] juillet 2020 Claude Carpe DVG[38] puis PS Retraité
    juillet 2020[39] En cours Michelle Dorange    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Germain-et-Mons relève[40] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Germain-et-Mons se nomment les Saint-Germinois[41].

    Jusqu'en 1829, les communes de Mons et de Saint-Germain étaient indépendantes.

    Démographie de Mons

    Évolution de la population de Mons
    1793 1800 1806 1821
    87919483
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[33])

    Démographie de Saint-Germain, puis de Saint-Germain-et-Mons

    En 1829, Mons fusionne avec Saint-Germain qui devient Saint-Germain-et-Mons.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

    En 2018, la commune comptait 846 habitants[Note 7], en augmentation de 7,91 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    312352335351497485514568550
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    529472498522543594525512518
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    508505505468464465450506488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    491464455486523606672736792
    2018 - - - - - - - -
    846--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune repose sur l'élevage (porcins, bovins, caprins, ovins) et l'agriculture (tabac, maïs, céréales, vergers, vignoble de Bergerac).

    Emploi

    En 2015[46], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 395 personnes, soit 49,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a augmenté par rapport à 2010 (35) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-sept établissements[47], dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, cinq dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[48].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    La Dordogne, dont Saint-Germain-et-Mons est riveraine, est protégée au titre du réseau Natura 2000[49]. La commune est soumise à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[50].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé au 1) et au 4) de gueules au lion léopardé d’or sur un mont de sinople mouvant de la pointe, au 2) et au 3) d’azur au pont en dos d’âne de trois arches d’or, maçonné de sable, mouvant des flancs et de la pointe, surmonté d’une coquille renversée d’argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Germain-et-Mons et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. PPR inondation - 24DDT20070002 - Dordogne Centre, DREAL Aquitaine, consulté le 16 février 2019.
    23. [PDF] Saint-Germain-et-Mons - Dordogne centre - Plan de prévention du risque inondation p. 18, DREAL Aquitaine, consulté le 16 février 2019.
    24. [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
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    26. « St-Germain-et-Mons » sur Géoportail (consulté le 20 avril 2015)..
    27. Bourdil : deux lieux-dits du même nom, l'un au nord-est près de la RD 21, l'autre au sud-ouest.
    28. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 154.
    29. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 326.
    30. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 27 mars 2014.
    31. Culture sur le site de Saint-Germain-et-Mons, consulté le 26 février 2011.
    32. « St Germain de Pontroumieu » sur Géoportail (consulté le 11 avril 2015)..
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Mons », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. [PDF] Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945, Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), p. 14-15.
    35. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    36. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 13 novembre 2020.
    37. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
    38. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 5.
    39. « Michelle Dorange est devenue maire », Sud Ouest édition Dordogne, 7 juillet 2020, p. 27.
    40. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    41. Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 248.
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. Dossier complet - Commune de Saint-Germain-et-Mons (24419) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    47. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    48. Dossier complet - Commune de Saint-Germain-et-Mons (24419) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    49. FR7200660 - La Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 20 avril 2015.
    50. [PDF] Arrêté préfectoral de la Dordogne no 911909 portant conservation du biotope du saumon, de la Grande Alose "Alosa Alosa", alose Feinte "Alosa fallax", lamproie fluviatile "Lampetra fluviatillis", lamproie Marine "Petromyzon Marinus" constitué par l'ensemble du cours de la Rivière Dordogne dans le Département sur le site de l'INPN, consulté le 20 avril 2015.
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