Saint-Georges-sur-l'Aa

Saint-Georges-sur-l'Aa est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Saint-Georges-sur-l'Aa

Vue générale du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Claude Charlemagne
2020-2026
Code postal 59820
Code commune 59532
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
305 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 58′ 08″ nord, 2° 09′ 54″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 6 m
Superficie 8,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grande-Synthe
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Georges-sur-l'Aa
Géolocalisation sur la carte : Nord
Saint-Georges-sur-l'Aa
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-sur-l'Aa
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-sur-l'Aa
Liens
Site web saint-georges-sur-laa.fr

    Géographie

    Localisation

    Saint-Georges-sur-l'Aa dans son canton et son arrondissement.

    La commune est située dans le « plat pays » de la Flandre maritime, exposée à la montée des océans. Elle bénéficie de la présence de l'Aa, fleuve qui marque ici la frontière entre Nord et Pas-de-Calais et dont la qualité de l'eau s'améliore peu à peu depuis les années 1990.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Georges-sur-l'Aa
    Gravelines Loon-Plage
    Craywick
    Saint-Folquin
    (Pas-de-Calais)
    Bourbourg

    Hydrographie

    L'Aa, autrefois abondamment remontée par les truites de mer, les saumons, les anguilles et d'une grande richesse faunistique est un des axes structurants de la trame bleue locale et régionale, et la commune bénéficie depuis 2014 d'un corridor biologique} dit Corridor écologique du barreau de Saint-Georges[1]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 719 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Calais-Marck », sur la commune de Marck, mise en service en 1991[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 722,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-sur-l'Aa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), mines, décharges et chantiers (7 %), eaux continentales[Note 7] (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne 23 du réseau DK'BUS.

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Georges, porte le nom de Georges-Libre[22].

    En 1933, la terminaison sur-l'Aa est ajouté au nom de Saint-Georges[22].

    En néerlandais, le nom de la commune est Sint-Joris (aan de Aa)[23].

    Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeois[24].

    Histoire

    Historiquement rattachée au diocèse de Saint-Omer, après la disparition du diocèse de Thérouanne, on trouve trace écrite de « Sanctus Georgius » en 1178.

    Jusqu'à la Révolution française, Saint-Georges-sur-l'Aa relevait de la châtellenie de Bourbourg. La commune était le siège d'une seigneurie-ammanie (l'amman représente le châtelain avec pouvoirs administratifs et de justice) recouvrant les paroisses de Saint-Georges, de Saint-Willebrord en partie (paroisse située à Bourbourg), et de Saint-Nicolas (actuel hameau de Bourbourg) en partie[25].

    En 1657, le village est complètement ravagé par les Espagnols en fuite devant les Français (pendant toute la seconde moitié du XVIIe siècle, la France, sous les rois Louis XIII et Louis XIV, et l'Espagne s'affrontent, les combats ont souvent lieu dans la région)[26].

    Seigneur de Saint-Georges

    Plusieurs seigneuries étaient situées totalement ou en partie sur Saint-Georges. Sont retranscrits ci-dessous les éléments relatifs à la principale d'entre elles.

    Ammanie de Saint-Georges

    • En 1458, Denys de Fiennes, écuyer, détient ce fief.
    • Lui succède Catherine de Fiennes, son héritière (probablement sa fille) épouse de Guy de Manchevillier, seigneur de Bavincourt.
    • Est ensuite retrouvée Jacqueline de Fiennes, femme (veuve) de Jean de Baincthun, seigneur de Henneval et Sainghen (Sanghen?), et épouse de Christophe d'Ailly, écuyer.
    • En 1559, la famille d'Ailly détient toujours cette seigneurie en la personne de Jean D'Ailly, écuyer, seigneur d'Oisy, époux d'Adriane.
    • Vient ensuite Louise d'Ailly ou sa sœur Antoinette d'Ailly, filles de Jean d'Ailly, épouse d'Henry de Fay, seigneur du Château Rouge.
    • A la fin du XVIe siècle, nouvelle famille : le fief est possédé par Guilleyn de Brauwer, fils de Jean de Brauwer et de Marie de Wynckère.
    • A sa mort, son demi-frère, Guillaume Morael, détient l'ammanie. Guillaume est fils de Guillaume Morael et de Marie de Wynckère.
    • En 1634, Pierre Morael, seigneur de Backelroy, frère du précédent, devient amman de Saint-Georges.
    • En 1644, Jossyne Morael, fille de Pierre, épouse de Jacques de Barthem en hérite.
    • Au XVIIIe siècle, nouvelle famille : en 1705, Guillaume Marcotte, négociant et échevin à Saint-Omer est le nouvel amman. Dans les années qui suivent par acquisition, il devient seigneur de Roquetoire, Serques, Ligne, Locre,...Il a épousé Anne Isabelle Cochart.
    • Lui succède en 1732, sa veuve Anne Isabelle Cochart, puis leur fille Jeanne Françoise Valentine Marcotte d'Harlebeke (Harelbeke?).
    • En 1781, le fils et héritier de Jeanne, François Joseph Alexandre Bodhain, écuyer, seigneur d'Harlebeke, détient l'ammanie[27].

    Période révolutionnaire

    Pendant la période de déchristianisation de la Révolution française, la commune fut appelée Georges-Libre pour effacer la mention religieuse présent dans le nom de Saint-Georges-sur-l'Aa[28].


    Première guerre mondiale

    Pendant la première guerre mondiale, Saint-Georges-sur-l'Aa est à l'arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser vers les monts des Flandres. En 1916 et 1917, le village placé sous l'autorité du commandement d'étapes (service de l'armée de terre organisant le stationnement et le passage de troupes) de Gravelines, de même que Bourbourg-ville et Bourbourg-Campagne, Saint-Pierre-Brouck, Loon-Plage, Grande Synthe, ...est le lieu de passage et de cantonnement de troupes, à 143 selon les moements), de décision de fermetures temporaires d'établissements, notamment les cabarets ayant servi à boire aux soldats en dehors des heures règlementaires,....[29].

    Période contemporaine

    En 2007, la ville est touchée par la crise des migrants voulant rejoindre le Royaume-Uni. N’arrivant pas à embarquer au port de Dunkerque, plusieurs centaines de migrants se replient sur l’aire de Saint-Georges-sur-l'Aa de l’A16 pour tenter de grimper chaque nuit sur les poids-lourds à destination de l’Angleterre, et le jour se reposer dans le hangar de l’ancienne ferme Denecker[30](50° 57′ 58″ nord, 2° 08′ 46″ est ). Voué à la destruction pour la construction du « PAarc des Rives de l'Aa » la future base d’aviron, les gendarmes de Bourbourg y font des rondes régulièrement. Debut 2008[31], pour assécher le flot des clandestins, l’Etat ferme l’aire de Saint-Georges-sur-l'Aa[32]. L'expérience se révélant concluante, l’air reste fermée. Lundi , un incendie détruit le hangar de la ferme Denecker[33] qui est ensuite démolie.

    En 2011, est inauguré le PAarc des Rives de l'Aa, une base de loisirs et de sports de plein air. Situé sur les communes de Gravelines et de Saint Georges sur l’Aa, il s'étend sur 175 hectares. Son stade nautique de dimension olympique (l2.337 x 138 m) permet d'accueillir des compétitions d'envergure régionale et nationale. Pendant les travaux d'aménagement, des diagnostics archéologiques permirent de découvrir des monnaies d'or du XVIe siècle, frappés par la Couronne espagnole[34].

    Politique et administration

    La ville est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Nic. Wasca[35].

    Maire en 1854 : Mr Louf[36].

    Maire en 1883 : A. Tettart[37].

    Maire en 1887 et 1888 : P.F. Louf[38].

    Maire de 1888 à 1902 : Ovide Louf[39].

    Maire de 1902 à 1908 : Henri Isaert[40].

    Maire de 1908 à 1939 : Charles Louf[41].

    Maire de 1951 à 1978 au moins : R. Verva[42].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 Edgar Coppey[43]   Conseiller communautaire à la Communauté urbaine de Dunkerque
    En cours Claude Charlemagne
    Réélu pour le mandat 2020-2026[44],[45]
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Du point de vue des risques industriels et de la pollution de l'air[46], et de santé environnementale[47] les principaux aléas sont liés aux zones industrielles du port de Dunkerque et de son agglomération, ainsi qu'à la proximité de la centrale nucléaire de Gravelines.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

    En 2018, la commune comptait 305 habitants[Note 8], en diminution de 3,48 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    249192222234272268280306307
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    297320321327356357331366395
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    377357359304312300293305287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    279251220210250268288317309
    2018 - - - - - - - -
    305--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Georges-sur-l'Aa en 2007 en pourcentage[51].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,7 
    2,1 
    75 à 89 ans
    3,4 
    7,9 
    60 à 74 ans
    9,5 
    22,9 
    45 à 59 ans
    20,4 
    26,4 
    30 à 44 ans
    23,1 
    15,0 
    15 à 29 ans
    20,4 
    25,7 
    0 à 14 ans
    22,4 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[52].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Sports

    Le ministère des sports a décompté 12 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[53]. Pour la construction de la base d’aviron « PAarc des Rives de l'Aa », le Centre d’Aeromodelisme de Gravelines (50° 57′ 55″ nord, 2° 08′ 25″ est ) a déménagé à Bourbourg[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église

    L'église a été classée monument historique en 1975.

    Héraldique

    Les armes de Saint-Georges-sur-l'Aa se blasonnent ainsi :

    D'or, écartelé aux premier et quatrième à l'aigle de gueules éployée à deux têtes, aux deuxième et troisième à un ours de sable rampant contre un billot courbé de gueules la partie droite et gauche étant séparées par une trangle ondée verticale d'azur représentant l'Aa[55].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Opale News (2014) Découverte du Barreau de St-Georges, consulté le 4 juin 2014.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    9. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-l'Aa et Marck », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Calais-Marck - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-l'Aa et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    24. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
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    37. Annuaire Ravet Anceau du département du Nord Année 1883
    38. Annauires Ravet Anceau Département du Nord Années 1887 et 1888
    39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1889 à 1902
    40. Annuaire Ravet Anceau département du Nord Années 1903 à 1908
    41. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1909 à 1939
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