Saint-Cybranet

Saint-Cybranet est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Cybranet

Le monument aux morts et l'église de Saint-Cybranet.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
Maire
Mandat
Nelly Caminade
2020-2026
Code postal 24250
Code commune 24395
Démographie
Population
municipale
371 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 21″ nord, 1° 10′ 15″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 270 m
Superficie 10,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Cybranet
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Cybranet
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cybranet
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cybranet

    Géographie

    Généralités

    Le Céou à Saint-Cybranet.

    En Périgord noir, dans le quart sud-est du département de la Dordogne, la commune de Saint-Cybranet s'étend sur 10,33 km2. Le territoire communal est arrosé à l'est par le Céou, un affluent de la Dordogne.

    L'altitude minimale, 70 mètres, se trouve au nord, là où le Céou quitte la commune et entre sur celle de Castelnaud-la-Chapelle. L'altitude maximale avec 270 mètres est localisée au sud, au pech de Grézelle[1]. Au niveau géologique, le sol des coteaux se compose principalement de calcaires secondaires, notamment crétacés, tandis que la vallée du Céou est recouverte d'alluvions holocènes[2].

    En bordure du Céou, le bourg de Saint-Cybranet, traversé par la route départementale 50, se situe, en distances orthodromiques, douze kilomètres au sud-sud-ouest de Sarlat-la-Canéda et dix-huit kilomètres au nord-ouest de Gourdon.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Cybranet et des communes avoisinantes.

    Saint-Cybranet est limitrophe de quatre autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 872 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Cybranet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,9 %), forêts (38,9 %), terres arables (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont incluant le Céou, donc les zones basses du territoire de Saint-Cybranet[22],[23].

    Toponymie

    Le nom du lieu signifie le « petit Saint-Cyprien » et se réfère à Saint-Cyprien, situé en bord de Dordogne, au nord-ouest[24].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Cibranet[25].

    Histoire

    Le territoire communal est occupé dès l'époque gallo-romaine.

    L'église présente quelques éléments romans, antérieurs à la première mention écrite connue du lieu, qui remonte à la fin du XVe siècle sous la forme « Saint Cyprianet », latinisée en Sanctus Cyprianetus en 1556[24].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981 1983 Marius Lacoste DVG  
    avant 1988 1989 Gabriel Delbarry    
    1989 mars 2008 Jean Marty    
    mars 2008[28] mai 2020 Claudine Farfal SE[29] Guide touristique
    mai 2020 En cours Nelly Caminade    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Cybranet relève[30] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 371 habitants[Note 6], en diminution de 9,51 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    516408454487525565572605593
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    608555568545547513503455411
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    424410401328325311300316293
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    288277273280310350368371373
    2013 2018 - - - - - - -
    410371-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Démonstration d'une moto faucheuse lieuse lors de la fête des battages 2016.

    En août, la Fête des battages, avec brocante, vide-greniers et exposition de véhicules anciens[35].

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 194 personnes, soit 46,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-sept) a augmenté par rapport à 2010 (dix-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-cinq établissements[37], dont trente-quatre au niveau des commerces, transports ou services, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'industrie[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Marc[39], des XIVe et XIXe siècles.
    • L'ancien presbytère.
    • Le château de Goursac.
    • Les Jardins de l'Albarède[40], créés en 1990 et labellisés jardin remarquable[41].
    • Le dolmen du Pech d'Esparoutis.
    • Calvaires, cabanes en pierre sèche, fours, fontaines, lavoirs, puits.

    Patrimoine naturel

    Le champ de tournesol fait partie du site inscrit. Au loin, les coteaux de la rive droite du Céou avec au centre le pech d'Esparoutis.

    Une zone d'environ 120 hectares, au nord de la commune, fait partie d'un site inscrit depuis 1969 et étendu à huit autres communes : « vallée de la Dordogne et vallée du Céou, s'étendant de Beynac à Vitrac »[42],[43].

    À l'intérieur de cette zone, sur environ 35 hectares, en rive droite du Céou, au niveau du pech d'Esparoutis, le territoire communal fait partie du réseau Natura 2000 : « les coteaux calcaires du causse de Daglan et de la vallée du Céou », où peuvent se rencontrer cinq espèces animales protégées : trois de chauves-souris et deux de papillons[44],[45].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la fasce cousue de sinople chargée de quatre besants d'or, deux rangés en pal à dextre et deux rangés en pal à senestre, au soleil levant, à la truite ployée en pal, regardant le soleil, brochant sur le tout et soutenue d'un besant, le tout du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Pech de Grézelle » sur Géoportail (consulté le 17 août 2016)..
    2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Cybranet et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Cybranet et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. PPR inondation - 24DDT20090002 - Dordogne Amont, DREAL Aquitaine, consulté le 13 février 2019.
    23. [PDF] Saint-Cybranet - Plan de prévention du risque inondation p. 23, DREAL Aquitaine, consulté le 13 février 2019.
    24. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 313.
    25. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 novembre 2013.
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    28. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
    29. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 7.
    30. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Carole Trouvé, « Le menu dévoilé de la Fête des battages », Sud Ouest édition Périgueux, 1er août 2016, p. 25.
    36. Dossier complet - Commune de Saint-Cybranet (24395) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    37. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Cybranet (24395) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    39. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 113.
    40. Site officiel, http://www.jardins-albarede.com/
    41. Jardin de l'Albarède. Saint-Cybranet (Dordogne) sur le site de la DRAC Aquitaine, consulté le 22 mai 2015.
    42. [PDF] Vallée de la Dordogne et vallée du Céou, s'étendant de Beynac à Vitrac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 août 2016.
    43. Carte du site inscrit « vallée de la Dordogne et vallée du Céou, s'étendant de Beynac à Vitrac » sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 août 2016. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
    44. [PDF] Fiche Natura 2000 - Directive Habitat - FR7200672 - Coteaux calcaires du Causse de Daglan et de la vallée du Céou sur le site de l'INPN, consulté le 17 août 2016.
    45. Carte des coteaux calcaires du Causse de Daglan et de la vallée du Céou sur le site de l'INPN, consulté le 17 août 2016. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.