Saint-Étienne-de-Tulmont

Saint-Étienne-de-Tulmont est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Étienne (homonymie).

Saint-Étienne-de-Tulmont

L'ancienne gare.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Quercy Vert-Aveyron
Maire
Mandat
Éric Massip
2020-2026
Code postal 82410
Code commune 82161
Démographie
Gentilé Stéphanois
Population
municipale
3 863 hab. (2018 )
Densité 183 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 56″ nord, 1° 27′ 46″ est
Altitude 108 m
Min. 80 m
Max. 190 m
Superficie 21,14 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montauban
(banlieue)
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aveyron-Lère
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Étienne-de-Tulmont
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Saint-Étienne-de-Tulmont
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Saint-Étienne-de-Tulmont
Liens
Site web saint-etienne-de-tulmont.fr

    Ses habitants sont appelés les Stéphanois.

    Géographie

    Localisation

    Saint-Étienne-de-Tulmont est une commune du Bas-Quercy. Elle fait partie de l'unité urbaine et de l'aire d'attraction de Montauban. Elle se situe au nord-est de Montauban, dans la plaine alluviale au sud de l'Aveyron, dans l'interfluve Aveyron - Tarn, à 15 km à l'est du confluent.

    Situation de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Étienne-de-Tulmont[1]
    Albias
    Montauban Nègrepelisse
    Léojac Génébrières Vaïssac

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Ruisseau du Tordre et la Tauge, affluents de l'Aveyron au nord-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 745 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bioule », sur la commune de Bioule, mise en service en 2002[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 743,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Étienne-de-Tulmont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montauban, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[17] et 79 527 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), zones urbanisées (15,6 %), forêts (9,3 %), prairies (3,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Des ruines gallo-romaines ont été découvertes à Saint-Étienne. À l'origine, la région était recouverte par la forêt de Tulmonenc. Celle-ci fut en partie défrichée par des moines au Moyen Âge.

    Du XIe au XIIIe siècle, de Montricoux à Montauban, la forêt de Tulmont longeait la rive gauche de l'Aveyron[23].

    Le village est consécutif à la fondation vers 1150, par le seigneur de Bruniquel, de la bastide d'Albias qui portait auparavant le nom de Tulmont[24].

    Huit siècles et demi plus tard, à l'image des fondations de bastides au Moyen Âge selon un plan traditionnel, le village a retrouvé une centralité réalisée autour de la place quadrangulaire du Tulmonenc, entourée d'activités qui suivent une ligne architecturale commune.

    La commune se trouvait sur la voie ferrée reliant Montauban à Lexos mise en service en 1858. Elle a été désaffectée en 1955 puis a été déferrée. Le bâtiment de la gare est devenu l'école municipale[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1796 Michel Soulié    
    1796 1798 Paul Mirepuis    
    1798 1815 Bernard Bonhoure    
    1815 1825 Jean Bessey    
    1825 1831 Pierre Soulié    
    1831 1850 Jean Isaac Suzanne Combas-Brassard   Conseiller général
    1850 1859 Philippe Debreil de Scorbiac    
    1859 1866 Léonce Dubois    
    1866 1879 Jean Chassard    
    1879 1881 Jean-Pierre Solinhac    
    1881 1893 Philippe d'Esbreil    
    1893 1928 Jean de Severac    
    1928 1945 Guy de Severac    
    1945 1947 Justin Despoux    
    1947 1959 Jean Ruamps    
    1959 1977 Georges Delpech    
    1977 1997 Guy Paga    
    1997 2014 René Colinet    
    2014 2020 Vincent Teulière DVD  
    2020 En cours Eric Massip DVD  

    La commune de Saint-Étienne-de-Tulmont fait partie de la communauté de communes Terrasses et Vallée de l'Aveyron.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2018, la commune comptait 3 863 habitants[Note 6], en augmentation de 3,87 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700755766865872872861908915
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    916943952938913881882890859
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    847837837716748770769737786
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8279711 2931 8002 2102 5563 1383 6453 752
    2018 - - - - - - - -
    3 863--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[30] 1975[30] 1982[30] 1990[30] 1999[30] 2006[31] 2009[32] 2013[33]
    Rang de la commune dans le département 31 24 15 15 14 14 14 12
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Actuellement, le village est en pleine expansion avec une augmentation de la population multipliée par près de 4 en quarante ans.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La mairie, dont la construction a commencé en 1864. Elle était accompagnée de l'école des garçons et du logement de l'instituteur. L'édifice abrite actuellement la mairie et la poste.
    • L'ancienne gare, faisant autrefois partie de la ligne de chemin de fer Montauban-Lexos, et devenue l'école primaire municipale dans la seconde moitié du XXe siècle.
    • L'ancienne école des filles, construite dans le premier quart du XXe siècle.
    • L'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-de-Tulmont, reconstruite en 1873 et consacrée en 1883. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[34].
    • Le temple protestant de Saint-Étienne-de-Tulmont, dont la construction a commencé en 1836.
    • Le château de Pousiniès, vaste propriété datant du XVIIIe siècle.
    • Le lavoir, construit au dernier quart du XIXe siècle, situé dans le bourg.
    • Le monument aux morts, inauguré en 1921, commémore les 32 morts de la guerre de 1914-1918, et 2 morts de la guerre de 1939-1945[35].

    Personnalités liées à la commune

    Pierre tombale de la famille d'Amade au cimetière de la Butte,
    Saint-Étienne-de-Tulmont.
    • Gérard d'Amade (1895-1915) : fils du général Albert d'Amade, mort pour la France, est enterré au vieux cimetière de la Butte.

    Héraldique

    « D'argent, semé d'arbres arrachés de sinople, avec franc-quartier (senestre) de gueules, chargé d'un Saint Étienne contourné vêtu d'une chasuble, tenant de sa senestre une palme, le tout d'or, et de sa dextre un livre du même chargé de trois cailloux d'argent, le Saint issant. »[36]

    Explication des symboles du blason :
    Les arbres arrachés de sinople : Tulmont était une ancienne forêt arrachée au fil des siècles pour faire place à la polyculture actuelle. Franc-quartier de gueule (carré rouge en haut à gauche du blason) : le sang de Saint-Étienne. Trois cailloux d'argent : les instruments du supplice subi par Saint-Étienne, la lapidation.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bioule - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Étienne-de-Tulmont et Bioule », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bioule - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Étienne-de-Tulmont et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Montauban », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Le Tulmonenenc (Saint-Étienne de Tulmont) - XIIe, XIIIe et XIVe siècles- » (consulté le ).
    24. Sophie Dupont, « Notre commune au fil du Temps », Bulletin Municipal de Saint-Étienne-de-Tulmont, , p. 66.
    25. « Les maires de Saint-Étienne-de-Tulmont » (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « Église paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    35. Maison du Patrimoine et de l'Environnement Midi-Quercy, Inventaire du patrimoine bâti de Saint-Étienne de Tulmont-synthèse, 2007
    36. Armes de Saint-Étienne-de-Tulmont
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