Ségus

Ségus est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Segú ou Ségur.

Ségus

Vue du village de Ségus.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Lucien Bouzet
2020-2026
Code postal 65100
Code commune 65415
Démographie
Gentilé Ségusiens
Population
municipale
234 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 04′ 15″ nord, 0° 04′ 32″ ouest
Altitude Min. 434 m
Max. 1 523 m
Superficie 10,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lourdes-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Ségus
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Ségus
Géolocalisation sur la carte : France
Ségus
Géolocalisation sur la carte : France
Ségus

    Ses habitants sont appelés les Ségusiens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Ségus se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 21 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à km d'Argelès-Gazost[3], sous-préfecture, et à km de Lourdes[4], bureau centralisateur du canton de Lourdes-1 dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lourdes[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Omex (0,7 km), Ossen (0,8 km), Viger (2,4 km), Aspin-en-Lavedan (2,5 km), Lugagnan (3,3 km), Ger (3,5 km), Agos-Vidalos (3,7 km), Lourdes (3,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Ségus fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans la vallée de Basturguère, qui regroupe cinq communes[6],,[7].

    Carte de la commune de Ségus et des proches communes.
    Communes limitrophes de Ségus[8]
    Omex Lourdes
    Saint-Pé-de-Bigorre Ossen
    Salles Ouzous

    Hydrographie

    Les ruisseaux d'Arrieu Long, de la Glaire et de Boutsu, affluents du gave de Pau, traversent la commune d'ouest en est.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Ségus.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[9].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11]. Dans ce cadre, la commune fait partie [12]. Un espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle régionale du massif du Pibeste-Aoulhet, classée en 2012 et d'une superficie de 5 119,4 ha, qui présente une exceptionnelle diversité de végétation avec 850 espèces végétales recensées[13],[14].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « granquet-Pibeste et Soum d'Ech »[16], d'une superficie de 7 259 ha, représente un des aquifères importants du département avec un milieu karstique remarquable.[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18] : la « forêt de Très-Crouts, Lourdes, Ségus et le Béout » (4 982 ha), couvrant 9 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et huit dans les Hautes-Pyrénées[19] et les « Soulanes et crêtes des massifs du Granquet, Estibette et Pibeste » (4 471 ha), couvrant 11 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et dix dans les Hautes-Pyrénées[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] : les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » (17 871 ha), couvrant 24 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Ségus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

    Le pigeonnier en 2016.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,1 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 122[28].
    Parmi ces logements, 78,7 % sont des résidences principales, 17,2 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D13.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Ségus au sud-ouest de Lourdes.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : obscure et l'hypothèse de Ségur (= sûr) peu convaincante.

    Nom occitan : Segús.

    Histoire

    Vue du village.

    Un flanc de la montagne s'étant écroulé sur un village, les habitants se sont réfugiés plus bas (sur l'actuel site du village de Ségus) en disant en Bigourdan (Gascon) : « Ací qu'èm segurs » (« Ici nous sommes en sécurité »), ce qui donna le nom au village.[réf. nécessaire]

    Ségus fut chef-lieu du canton de « Batsouriguère » de 1790 à 1801[30],[31].

    Cadastre napoléonien de Ségus

    Le plan cadastral napoléonien de Ségus est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[32].

    Politique et administration

    La mairie en 2016.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2014 Laurent Barrau    
    mars 2014 en cours Lucien Bouzet    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Batsurguère, canton de Batsouriguère, puis de Castelloubon et Batsouriguère (1790), de Lourdes (1802), Lourdes-Ouest (1973)[33].

    Intercommunalité

    Ségus appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2018, la commune comptait 234 habitants[Note 7], en diminution de 11,36 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    362362325335376380406436408
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    413405409401394410404407383
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    404414397224224240220237181
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    182195163156200223244246263
    2017 2018 - - - - - - -
    235234-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[39].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Pierre en 2016.
    La pierre d'angle de l'église de Ségus.
    Le lavoir en 2016.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à une tour donjonnée de trois tourelles d'argent, celle du milieu plus élevée, le tout maçonné de sable, sommant un mont de sinople chargé d'un annelet aussi d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'argent.
    Commentaires : Blason officiel vérifié auprès de la mairie.

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.
    Le menhir de Cap de la Serre.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Ségus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Ségus et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Ségus et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Ségus et Lourdes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Ségus », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. « Vallée de Basturguère - site officiel », sur www.vallee-batsurguere.fr (consulté le )
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    8. Carte IGN sous Géoportail
    9. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    13. « réserve naturelle du massif du Pibeste-Aoulhet. », sur https://www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    14. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Ségus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR7300920 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Ségus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « forêt de Très-Crouts, Lourdes, Ségus et le Béout » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Soulanes et crêtes des massifs du Granquet, Estibette et Pibeste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lourdes », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Ségus
    29. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    30. Jacques Longué - Hautes-Pyrénées, le guide - J&D Éditions, Biarritz, 1997
    31. Dictionnaire toponymique des Hautes-Pyrénées (Archives Départementales)
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Ségus en 1809
    33. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    34. « Liste des juridictions compétentes pour Ségus », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    40. Une pierre mystérieuse à Ségus
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