Rungis
Rungis ([ʁœ̃.ʒis]) est une ville de la banlieue sud de Paris, dans le département français du Val-de-Marne en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Rungissois[1].
Cet article concerne la commune du Val-de-Marne. Pour la place et la rue parisienne, voir Place de Rungis et Rue de Rungis.
Rungis | |||||
La mairie d'honneur, ancien château de Rungis. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | L'Haÿ-les-Roses | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris | ||||
Maire Mandat |
Bruno Marcillaud 2020-2026 |
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Code postal | 94150 | ||||
Code commune | 94065 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rungissois | ||||
Population municipale |
5 705 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 358 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 44′ 54″ nord, 2° 20′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 90 m |
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Superficie | 4,2 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thiais | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | rungis.fr | ||||
Elle est notamment connue pour son marché d'intérêt national, plus grand marché de produits frais au monde.
Fait moins connu, Rungis a été parmi les premières communes à élire une femme maire à la Libération (Berthe Alphonsine Grelinger, de 1946 à 1953)[2],[3].
La ville présente un patrimoine environnemental de qualité, notamment grâce à ses parcs et au label « 4 fleurs »[4] obtenu au concours des villes et villages fleuris depuis 2013.
Géographie
Situation
Si Rungis peut avoir l'air d'une ville nouvelle, à la suite de son développement autour de sa zone d'activité Silic, elle a au contraire une longue histoire.
L'enjeu actuel de Rungis est l'aménagement de la plaine de Montjean, du côté de Wissous.
La commune est située à sept kilomètres au sud de la capitale et à seulement deux kilomètres de l'aéroport de Paris-Orly, à la confluence de l'A6, de l'A86 et de la RN 7.
Communes limitrophes
Située au sud-ouest du département, Rungis est limitrophe, au nord, de la commune de Chevilly-Larue. Au nord-est, sa limite avec la commune de Thiais est matérialisée par la route nationale 7. Au sud-est se trouve la commune essonnienne de Paray-Vieille-Poste, à proximité de la zone d’activités Orlytech, la limite communale étant en partie matérialisée par la rue des Gémeaux. Au sud se situe la commune de Wissous, également dans le département de l'Essonne, séparée par le bois de Monjean. À l’ouest, la voie des laitières matérialise la limite avec la commune de Fresnes.
Fresnes | Chevilly-Larue | Thiais | ||
Fresnes | N | Thiais | ||
O Rungis E | ||||
S | ||||
Wissous | Paray-Vieille-Poste | Orly |
Climat
Le climat de Rungis est de type océanique dégradé. La station de référence est celle d'Orly[5]. Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. La moyenne des précipitations tourne autour de 615,4 mm de pluie par an et une moyenne approximative de 50 mm par mois. Les températures y sont douces, le mois le plus froid étant janvier avec une moyenne de températures de 3,3 °C et les mois les plus chauds juillet et août qui présentent une température moyenne de 24 °C.
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Orly, commune située à cinq kilomètres à l'est de Rungis et dont le climat est très semblable :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 1,3 | 3 | 5,3 | 8,8 | 11,9 | 13,8 | 13,4 | 11,2 | 7,9 | 3,8 | 1,6 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 3,3 | 4,4 | 6,8 | 9,8 | 13,5 | 16,7 | 18,9 | 18,6 | 16 | 11,9 | 6,8 | 4,1 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,8 | 7,5 | 10,7 | 14,2 | 18,1 | 21,5 | 24 | 23,8 | 20,9 | 15,9 | 9,8 | 6,6 | 14,9 |
Ensoleillement (h) | 59 | 89 | 134 | 176 | 203 | 221 | 240 | 228 | 183 | 133 | 79 | 53 | 1 798 |
Précipitations (mm) | 51,9 | 44,8 | 50,8 | 46,6 | 57,8 | 50,5 | 50,1 | 46,5 | 52 | 53,2 | 58,1 | 53,1 | 615,4 |
Transports
Transports en commun
Elle est desservie par une gare du RER C, Rungis - La Fraternelle, située entre la zone d'activité Silic et de la commune de Wissous[7].
Seules les lignes du 131 et 396 parcourent le centre-ville. Les bus 216 et 319, ainsi que le Trans-Val-de-Marne (TVM) desservent aussi cette ville[7]. La ligne de bus 91-10 du réseau de bus Albatrans relie aussi la gare de Massy TGV à l'aéroport de Paris-Orly en passant par la commune[8].
La ligne 7 du tramway d'Île-de-France relie la station de métro Villejuif - Louis Aragon à la ville d'Athis-Mons (station Athis-Mons - Porte de l'Essonne) en passant par la gare de Rungis - La Fraternelle. Six arrêts se situent à Rungis : « La Belle Épine » qui dessert le centre commercial régional Belle Épine, « Place de la Logistique » (Plateforme Sogaris), « Porte de Rungis », « Saarinen » (Parc Silic Nord), « Robert Schuman » (Parc Silic Centre) et « La Fraternelle » qui fait la jonction avec le RER C.
Urbanisme
Typologie
Rungis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].
Logement
Dans les années 1960 et 1970, il y a beaucoup de créations de logements collectifs amenant une augmentation importante de la population, puis dans les années 1990 de logements individuels (pavillons).
Projets d'aménagement
Elle sera desservie par la ligne 14, vers 2020, après le prolongement de la ligne d'Olympiades à l'aéroport d'Orly.
Toponymie
L'origine du nom de la commune pourrait provenir de « Romiacum » (domaine appartenant au propriétaire gallo-romain Romius), déformé en « Romjacum », puis « Rongis » et enfin « Rungis »[17].
Histoire
Ce village, connu depuis 1124, possède une source dont les eaux sont conduites à Paris par les aqueducs d'Arcueil et de Cachan[18]. Cet aqueduc sucède à l'aqueduc de Lutèce d'époque gallo-romaine et à l'aqueduc Médicis mis en service date de 1623.
L'abbaye Sainte-Geneviève de Paris est suzerain de Rungis de la période de Louis VI jusqu'à la Révolution française[17].
Rungis est occupée en 1815 et lors de la guerre franco-allemande de 1870. Lors des combats de cette dernière guerre, l'église paroissiale est détruite[17]. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption la remplacera.
Rungis a été libérée par la 2e division blindée lors de la Seconde Guerre mondiale. Le , les chars « Douaumont » et « Faucon » entrent dans la commune et les combats font deux morts[19]. Une borne kilométrique commémorative a été érigée en 2014 en souvenir de la « 2e DB »[19].
Le marché d'intérêt national de Rungis (MIN) qui porte le nom de la commune et y est en majeure partie situé, est créé à la suite du déménagement des anciennes halles centrales. Ce transfert du centre de Paris vers Rungis et La Villette est décidé dans les années 1960 et le Marché international de Rungis est inauguré officiellement le [20].
La ville de Rungis a annoncé début 2016 le projet de la création d'un quartier sur la plaine de Montjean[21].
Politique et administration
Administration municipale
Depuis le , Rungis appartient à la métropole du Grand Paris, au sein de l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre.
Liste des maires
Jumelages
Depuis 2018, Rungis est jumelée avec la ville britannique de Stansted-Mountfitchet.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2018, la commune comptait 5 705 habitants[Note 3], en augmentation de 1,49 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
La commune gère deux écoles maternelles (Médicis et Les Sources) et deux écoles élémentaires (Les Antes et La Grange). Le département administre le collège Les Closeaux[27]. L'Institut aéronautique Jean-Mermoz se situe également à Rungis.
Sports
- Espace du sport (salle omnisports)
- Gymnase des Closeaux (salle de basket)
- Stade de football Lucien-Grellinger (deux terrains)
- Espace Évasion (salle de boxe, d'escrime et de tennis)
- Petit dojo
- Skate-park
- Terrain multisports
- Terrain de pétanque et de tennis à la colline Cacao
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 123 €, ce qui plaçait Rungis au 833e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[29].
Emploi, entreprises et commerces
Rungis fait partie des quatorze communes du pôle d'Orly[30], premier pôle économique du sud francilien[30], qui compte plus de 15 000 entreprises et 155 000 salariés[30].
La commune de Rungis est aussi notable pour son marché d'intérêt national, réputé comme le plus grand marché de produits frais du monde, et ses terrains du Centre horticole de la Ville de Paris, de même que sa proximité avec l'aéroport de Paris-Orly. De ce dernier pôle, elle hérite notamment d'une zone hôtelière conséquente. Elle dispose en outre d'une zone d'activité Icade, anciennement Silic, avec 12 000 emplois pour 350 entreprises sur 63 hectares.
Plusieurs sièges sociaux d'entreprises se trouvent dans la commune comme Ricoh France, Corsair International, Mattel France, Système U, LU (biscuiterie) - Biscuiterie Belin, Gitzo, Thales Air Systems, Ventadis (Mistergooddeal, Home Shopping Service) ou encore Abbott France.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Aqueduc de Lutèce
- Aqueduc Médicis
- Regard Louis-XIII
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption
- Parc de l'hôtel de ville
- Parc de la Couture
- Parc de la Colline Cacao : espace vert de 38 140 m2 situé sur une ancienne carrière d'argile. Son nom proviendrait de déchets de coques de cacao déposés à cet endroit par une usine Rhône-Poulenc qui en utilisait dans la fabrication de médicaments dans les années 1930. La source du ru de Rungis y est située.
Equipement culturel
- Espace Jean-Monnet
- Théâtre L'Arc-en-Ciel
- Associations Les parasols
- Conservatoire de musique et de danse (aménagé dans l'ancien hôtel de ville)
- Bibliothèque/discothèque – Médiathèque la Méridienne
Personnalités liées à la commune
- Edme Verniquet (1727-1804), architecte. Il achète en 1783[31] la seigneurie de Rungis dont le château qui constitue l'actuelle Mairie d'honneur.
- Guillaume Colletet (1598-1659), poète, membre de l’Académie Française et ami de Richelieu se vit offrir par celui-ci une maison à Rungis au lieu-dit le Val-joyeux [32],[33]. Il y acheta également divers biens immobiliers entre 1645 et 1650 [34] avant de finir dans la misère.
- « le Potier de Rungis » (1809-1874), Personnage aux multiples facettes[35], de son vrai nom Jacques Antoine Roger Fortuné Durand de Monestrol, Marquis d'Esquille[36], artificier à l’occasion, homme de science reconnu[37], inventeur prolifique, partisan actif de la république lors de la révolution de 1848[35], défenseur inventif de Paris en 1870 [35], fut une grande partie de sa vie un acteur reconnu du monde des arts de la céramique [38]. C’est à ce titre qu’il possédait un atelier à Rungis [39],[40].
- René Beziau dit René Rungis (1895-1974), compositeur et chef d'orchestre, mort à Rungis.
- Lucien Grelinger (1902-1945). Passionné de cycles, entraineur à l'US Métro au stade de la Croix de Berny, il est mobilisé en 1938, blessé en 1939 et réformé. Il entre dans la résistance en 1941. Ce FFI rungissois arrêté en par la Gestapo est mort en déportation en au camp de Buchenwald[19]. Le stade communal et une avenue portent son nom. Une plaque commémorative sur le mur du bâtiment actuel de la Croix-Rouge rappelle son sacrifice.
Héraldique et logotype
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Les armes de Rungis se blasonnent ainsi : D'azur à la fontaine déversant son eau dans trois bassins l'un sur l'autre, le tout d'argent, accompagnée en chef d'un arc en ciel au naturel[41]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- David Malescourt, « Val-de-Marne > Rungis (94150) », sur le site habitants.fr de la société commerciale Patagos (consulté le ).
- « En 1945, les premières femmes élues maires en France », sur France Culture, (consulté le ).
- Robert Weinland, « francegenweb.org - votre service benevole d'assistance genealogique », sur www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Rungis décroche la 4e fleur ! », sur rungis.fr, (consulté le ).
- « METEO RUNGIS par Météo-France », sur http://www.meteofrance.com/, (consulté le ).
- « Climatologie mensuelle à Orly », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
- « Se rendre à Rungis », sur le site de la mairie de Rungis (consulté le ).
- « Lignes », sur le site du réseau Albatrans (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- http://rungisinfo.free.fr/histoire.html
- Ermete Pierotti, Dictionnaire historique des environs de Paris.
- Louis Moulin, « Une borne en souvenir du passage de la 2e DB », Le Parisien, (consulté le ).
- http://www.rungisinternational.com/fr/rouge/historique/index.asp
- Quentin Laurent, « Rungis : l’« Agroquartier » de la plaine de Montjean se dessine », Le Parisien, (consulté en ).
- Fiona Moghaddam, « En 1945, les premières femmes élues maires en France », franceculture.fr, 2 mars 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Les établissements scolaires », sur le site de la mairie de Rungis (consulté le ).
- Ancienne église paroissiale Notre-Dame de Rungis
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Le pôle d'Orly en chiffres »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), essonne.fr
- Jeanne Pronteau, Edme Verniquet 1727-1804, Commission des travaux historiques de la ville de Paris, , 652 p., p. 491.
- Victor-Adolphe (1816-1889) Auteur du texte Malte-Brun, La France illustrée : [département de la Seine] / par V.-A. Malte-Brun... (lire en ligne).
- Jacques-Antoine (1755-1835) Auteur du texte Dulaure, Histoire physique, civique et morale des environs de Paris. Tome 6 / , depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours... par J.-A. Dulaure,..., 1825-1828 (lire en ligne).
- « Recherche - Salle des inventaires virtuelle », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
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- « À propos de la famille de Durand d'Esquille, Durand de la Nougarède, Durand de Monestrol - Christine Belcikowski », sur www.belcikowski.org (consulté le ).
- Fortuné (1809-1874 ; marquis d'Esquille) Auteur du texte Durand de Monestrol, Paris imprenable au moyen des bombes Monestrol, mémoire adressé au général Trochu... par le citoyen Monestrol..., (lire en ligne), Pages 13 à 16 : Revue historique des Notabilités contemporaines publiée en 1855.
- [P34 du Supplément au catalogue de l’exposition des Beaux-Arts appliqués à l’industrie – 1863] (en + fr) « Internet Archive Search: "Marquis d'Esquille" », sur archive.org (consulté le ).
- August (1817-1898) Auteur du texte Demmin, Guide de l'amateur de faïences et porcelaines : poteries, terres cuites, peintures sur lave, émaux, pierres précieuses artificielles, vitraux et verreries. Partie 1 / par M. Auguste Demmin, (lire en ligne), Page 586.
- Charles Louis Gustave (1804-18 ) Auteur du texte Eck, L'art et l'industrie, influence des expositions sur l'avenir industriel : revue des beaux-arts appliqués à l'industrie, exposition de 1865 / par Ch. Eck, (lire en ligne), Pages 272 et 273.
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