Stade niçois
Le Stade niçois est un club français de rugby à XV basé à Nice et fondé en 1912.

Nom complet | Stade niçois rugby |
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Surnoms | Les Aigles |
Noms précédents |
Racing Rugby Club de Nice (1912-2002) Rugby Nice Côte d'Azur Université Racing (2002-2012) |
Fondation | 1912 |
Couleurs | rouge, blanc et noir |
Stade | Stade des Arboras (3 000 places) |
Siège |
247 Boulevard du Mercantour 06200 Nice |
Championnat actuel | Nationale (2021-2022) |
Président |
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Entraîneur |
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Site web | stadenicois.fr |
National[Note 1] |
Challenge Yves du Manoir (1) Championnat de France de 2e division (1) Championnat de France de 3e division (1) Challenge de l'Espérance (4) |
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Maillots
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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Extérieur
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Actualités
Le club est vice-champion de France en 1983[1] et remporte le challenge Yves du Manoir en 1985.
Il évolue pour la saison 2021-2022 en Nationale.
Histoire
Les débuts du Racing Rugby Club de Nice
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Couleurs
RRC Nice |
Le Racing Rugby Club de Nice (RRCN), né en 1912, a remporté plusieurs titres de champion de France de deuxième et troisième division.
Champion de France Promotion 1931
Le RRC Nice remporte le championnat de France de 3e division en 1931 après avoir disposé en finale de l'Association sportive du Midi sur le score de 8 à 4.
Champion de France Honneur 1934
Le RRC Nice s'impose en finale du championnat de France de 2e division en 1934 sur le score de 22 à 6 face à l'US Cognac.
Arrivée de Henri Roméro
L'ancien troisième ligne international Henri Romero arrive de Montauban en 1966[2]. Deux ans plus tard, le club remonte en première division pour la première fois depuis 1945 mais ne reste qu'un an à ce niveau.
Le RRC Nice joue ensuite 3 saisons en deuxième division entre 1970 et 1972.
La remontée en première division 1972
Toutefois, l'événement décisif de l'histoire du club se situe à l'été 1971.
Le club alors en deuxième division, reçoit l'apport inattendu de huit joueurs du RC Toulon, finaliste du dernier championnat de première division contre l'AS Béziers, en conflit ouvert avec leurs dirigeants. Parmi eux, Jean-Claude Ballatore, André et Daniel Herrero ou Jean-Pierre Mouysset.
S'ouvrent alors quinze années de succès. Le club atteint immédiatement la finale de D2 et remonte dans l'élite dès 1973 après une première expérience infructueuse en 1969 où il ne gagne que 2 matchs en 14 rencontres.
Vainqueur du Challenge de l’espérance 1974 et 1976
Pour son retour en première division en 1973, Nice effectue une saison honorable avec 10 victoires et 4 défaites mais, sanctionné de 6 points de pénalité après les incidents du matchs perdu à Lavelanet, il est rétrogradé de la première à la cinquième place et redescend ainsi en groupe B.
Premier de son groupe, il remonte immédiatement dans l'élite l'année suivante et se qualifie même pour disputer le Bouclier de Brennus avec les clubs de l'élite. Après avoir éliminé Avignon en seizième et La Rochelle en huitième, il est éliminé par le futur champion de France, Béziers en quart de finale. La même année, Nice remporte le challenge de l'Espérance après une victoire sur Saint-Girons 23-6 en finale.
En 1975, Nice termine en tête de sa poule mais est éliminé dès les seizièmes de finale par Avignon.
En 1976, Nice est éliminé par Agen en huitième de finale après un score nul 12-12 mais remporte un deuxième challenge après une victoire sur Tulle en finale.
Demi-finaliste du championnat 1977
Nice arrive ensuite en demi-finale du Championnat en 1977. Privé de son arrière Giuliano, il s'incline contre l'AS Béziers par 15 à 10 après avoir battu le Stade toulousain en huitième[3] puis le Biarritz olympique de Serge Blanco en quart de finale 19-17.
Vainqueur du Challenge de l'Espérance 1978
L'année suivante, Nice termine premier de sa poule en Championnat mais est éliminé dès les huitièmes de finale par Bagnères. André Herrero arrête sa carrière de joueur à l'âge de 40 ans après avoir emmené le club au sommet du rugby français[4]. Claude Lacaze termine également sa carrière de joueur la même année. Nice remporte cette même année son troisième Challenge de l'Espérance.
En 1979, Nice termine deuxième de sa poule en Championnat dernière le Stade toulousain et atteint les quarts de finale où il est de nouveau éliminé par Bagnères. Le club est aussi finaliste du challenge de l'Espérance la même année. Le club est ensuite admis dans le prestigieux challenge Yves du Manoir en 1984[5].
Troisième de sa poule en 1980, Nice se qualifie pour son deuxième quart de finale consécutif où il est éliminé par Béziers, futur champion de France 19-15.
La saison 1981 est bien plus difficile et Nice ne termine que huitième de sa poule en Championnat mais réussi l'exploit de sortir le RC Toulon en seizième de finale avant de chuter au tour suivant devant Montferrand.
La saison 1982 est moyenne, troisième se sa poule en Championnat, Nice est éliminé en barrage d'accès aux huitièmes de finale par Carcassonne.
Vice-champion de France 1983

Par la suite le club dispute une finale, perdue contre l'AS Béziers en 1983[6] sous la houlette de Jean-Claude Ballatore, devenu entraîneur. Cette finale est marquée par l'envahissement du terrain[7] par les supporters biterrois à un quart d'heure du terme, alors que Béziers ne menait que 10-6[8].
Composition de Nice :
1. Didier Félix 2. Bernard Herrero 3. Roger Charpentier
4. Jean-Paul Pelloux 5. Tony Catoni
6. Éric Buchet (cap.) 8. Jean-Charles Orso 7. Philippe Buchet
9. François Pierre 10. Pierre Pédeutour
11. Jean Méry 12. Patrick Trautmann 13. Jean-Luc Bony 14. Alain Vallet
15. Patrick Barthélémy
Remplaçants : Pierre Mousain, Jean-François Tordo, Christian Panzavolta, Jean-Claude Baruteau, Alain Sudre, Georges Lauribe.
Demi-finaliste du championnat 1984
L'année suivante en 1984, le RRC Nice s'incline en demi-finale du Championnat contre le SU Agen sur le score de 14-21 après avoir battu l’US Dax de l’ouvreur international Jean-Patrick Lescarboura 21-13 en quart de finale.
Vainqueur du challenge Yves du Manoir 1985 : symbole de l’épopée niçoise

En 1985, sous la houlette toujours de Jean-Claude Ballatore, le RRCN s'offre le challenge Yves du Manoir, seul trophée majeur du club après une victoire contre Toulouse, futur champion de France en demi-finale (18-9), et une autre contre Montferrand en finale (21–16).
Équipe victorieuse du challenge Yves du Manoir en 1985 :
1. Roger Charpentier 2. Didier Félix 3. Hervé Chabowski
4. Jean-Paul Pelloux 5. Tony Catoni
6. Éric Buchet (cap.) 8. Jean-Charles Orso 7. Alain Sudre
9. François Pierre 10. Pierre Pédeutour
11. Jean Méry 12. Pierre Trémouille 13. Jean-Claude Baruteu 14. Frédéric Costes
15. Patrick Barthélémy
En Championnat, bien que classé second club français à l’issue des matchs de poules derrière le Stade toulousain, Nice est éliminé à la surprise générale par Toulon en quart de finale au stade Vélodrome 19-9.
Le RRCN forme alors d'excellents joueurs, comme Jean-François Tordo, les frères Philippe et Éric Buchet, Jean-Charles Orso, ou encore Christophe Moni.
La rentrée dans le rang
L'année suivante, Nice est éliminé en huitième de finale du Championnat par Montferrand et termine dernier de son groupe en Challenge, devancé par Toulon et Grenoble dans son groupe.
En 1987, Nice termine avant-dernier de son groupe en Championnat malgré un match nul à domicile contre le Stade toulousain. Le club est toutefois sauvé de la relégation car la FFR change de formule et l'élite passe à 80 clubs. En Challenge, Nice termine dernier de son groupe pour la deuxième année consécutive.
Le Championnat 1988 à 80 clubs est organisé en seize poules de cinq. Les deux premiers de chaque poule (soit 32 clubs) forment alors le groupe A et se disputent le Bouclier de Brennus. Les autres forment alors le groupe B et après une première phase de brassage, Nice 2e de son groupe est maintenu en championnat de France groupe A. Il termine ensuite 6e de son groupe et n'est pas qualifié pour les phases finales. Troisième de son groupe en Challenge, Nice échoue à se qualifier pour la troisième année consécutive.
L'année suivante est encore plus difficile malgré l'arrivée du demi de mêlée Frédéric Torossian. Nice se qualifie encore en groupe A mais termine ensuite avant-dernier de sa poule, défait notamment 65-0 sur le terrain de Grenoble. De plus, le club n'est même n'est pas invité en Challenge.
Les deux années suivantes restent difficile malgré le renfort du Toulonnais Bernard Capitani et le retour de Jean-Charles Orso en 1990 puis le retour de Jean-François Tordo en 1991. L'ouvreur et buteur Patrice Fabre arrive également au club en provenance de Bourgoin.
En 1992, Nice termine 8e de sa poule. Il dispose du SC Albi en barrage, assurant son maintien dans l'élite puis est éliminé par le Stade toulousain en seizième de finale. En fin de saison, Frédéric Torossian quitte le club pour la Section paloise.
Nice reste ensuite dans l'élite les 3 saisons suivantes mais n'accède pas au Top 16, devant se contenter de la Coupe André Moga, consolante pour les clubs non-qualifiés. Il atteint la finale de cette compétition en 1994, battu par Graulhet.
Relégation en groupe A2
Nice se maintient dans l'élite jusqu'en 1996, où il est relégué après une défaite contre Argelès sur Mer en match de barrage. Cette même année, il remporte le Challenge de l'Espérance contre le FC Auch.
Il remonte dès la saison suivante pour deux ans puis est rétrogradé en élite 2 en 1999. Le club n'est plus remonté depuis.
Nice Université Rugby Racing Club et Rugby Nice Côte d'Azur Université Racing
Les ennuis financiers apparaissent et, en , le club est mis en liquidation judiciaire. Il repart la saison suivante sous une nouvelle forme mais en conservant les couleurs bleu et jaune du glorieux RRCN, grâce à la fusion de deux clubs de la ville, le Nice université club (NUC, fondé en 1967 et présidé par C. Baldachino) et le Nice rugby club (NRC, présidé par M. Pastor), sous le nom de Nice université rugby racing club (NURRC). Le club évoluera ensuite sous le nom de Rugby Nice Côte d'Azur Université Racing (RNCA ou RNCAUR).
Après une rétrogradation administrative de Fédérale 1 en Fédérale 3 au cours du printemps 2012, le RNCA fait finalement l'objet d'une liquidation judiciaire en [9].
Stade niçois
Le rugby niçois renaît alors sous une nouvelle identité et sous de nouvelles couleurs rouge, blanche et noire.
Il évolue pour la saison 2012-2013 en fédérale 3 poule 9. Deuxième de sa poule à l'issue de la saison régulière, le Stade niçois se qualifie avec Berre-l'Étang (1er), Bastia (3e) et La Valette (4e) pour les 32e de finale de la compétition, puis atteint les 16e de finale en éliminant le Rugby olympique lunellois (victoire 23-18 à Lunel et défaite 9-10 à domicile). Le Stade ne parvient pas à se défaire du Rugby Club Nîmes Gard (défaite 23-28 à domicile et défaite 0-14 à Nîmes) et échoue donc à une marche de l'accession en Fédérale 2.
Lors de la saison 2013-2014, le Stade a évolué dans la poule 10 de Fédérale 3. Le club termine la phase régulière en 2e position derrière Aubagne. Il obtient le droit de participer aux phases finales. Après avoir affronté la rude équipe d'Ampuis (69), le SNR doit s'extirper des griffes d'une équipe connue, puisque les deux clubs étaient dans la même poule : Martigues. Cette fois-ci, Nice décroche l'objectif de la saison : le ticket pour la Fédérale 2. Le club va poursuivre sa saison contre le RC Aubagne en huitième de finale. Dans le même temps, l'équipe réserve fait un excellent parcours. En effet, la réserve jouera le titre d'Excellence B contre le club du Stade olympique voironnais.
Le club joue en Fédérale 2 en 2018 puis monte en Fédérale 1 l'année suivante lors de la saison 2019.
Intégration en Nationale 2020
Lors de la saison 2020-2021, le stade niçois[10] intègre le nouveau championnat de France de Nationale[11].
Demi-finaliste de Nationale 2021
Nice se renforce en recrutant notamment l'international uruguayen Agustín Ormaechea, l'international sud-africain Lionel Mapoe ou encore le retour au club de Julien Caminati en provenance de l'Union sportive montalbanaise. Après une première place en saison régulière, les Niçois échouent de peu en demi-finale à domicile contre le Racing Club narbonnais (9-12).
David Bolgashvili intègre dans son staff Sébastien Bruno. Nice recrute aussi notamment la première ligne Nika Neparidze, Badri Alkhazashvili et James Johnston, les des demis de mêlée Gilen Queheille et Hugo Verdu et l'ouvreur Dorian Jones.
Identité visuelle
Logo
- Évolution du logo
- Ancien logo
- Ancien logo.
- Ancien logo.
- Ancien logo.
- Logo de 2013 à 2020.
- Logo instauré en 2020.
Le club
- Le club comprend une section féminine : le Nice Université Racing Rugby Club, qui évolue en deuxième division (Fédérale 1).
- Le club comprend une école de rugby[12].
- C'est à Nice qu'ont été formés Delon Armitage et ses trois frères (Guy Armitage, Steffon Armitage, Bevon Armitage) avant d'évoluer aux London Irish. Delon revient en France et rejoint son frère Steffon au RC Toulon lors de la saison 2012-2013, tandis que leur frère aîné, Bevon Armitage, rejoint le Rugby Nice Côte d'Azur lors de la saison 2010-2011 pendant quelques mois avant de rejoindre le D2 Anglaise.
Palmarès
Championnats de France | Challenges et coupes français | Compétitions des jeunes |
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Les finales du RRC Nice
Compétition | Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Championnat de France de 2e division | RRC Nice | 22 – 6 | US Cognac | |||
Championnat de France de 2e division | US Carmaux | 22 – 16 | RRC Nice | |||
Championnat de France de 1re division | AS Béziers | 14 – 6 | RRC Nice | Parc des Princes, Paris | 43 100 | |
Challenge Yves du Manoir | RRC Nice | 21 – 16 | AS Montferrand | Stadium municipal, Toulouse | env. 6 000 | |
Coupe André Moga | SC Graulhet | 26 – 19 | RRC Nice | |||
Challenge de l'Espérance | RRC Nice | 15 - 3 | FC Auch | |||
Personnalités du club
Joueurs emblématiques
Delon Armitage
Steffon Armitage
Claude Lacaze
Éric Buchet
Philippe Buchet
Patrick Tabacco
Hervé Chabowski
André Herrero
Bernard Herrero
Daniel Herrero
Frédéric Saint-Sardos
Pierre Trémouille
Patrick Barthélémy
Christophe Moni
Jean-Charles Orso
Pierre Pédeutour
Michel Sappa
Jean-François Tordo
Franck Alazet
Julien Caminati
Džoni Mandić
Abraham Tolofua
Jean-Jacques Taofifénua
Lyonel Vaïtanaki
Laurent Gioletti
Jean-François Meslier de Rocan
Éric Dasalmartini
Éric Berdeu
Vincent Déauze
Sébastien Campasol
Patrick Furet
Pierre Rautenbach
Anthony Vigna
Frederic Torossian
Franck Chouquet
Mark Tinnock
Neil McIlroy
Jean-Marc Ravanel
Agustín Ormaechea
Lionel Mapoe
Effectif de l'équipe première
Nom | Poste | Nationalité sportive |
---|---|---|
Alexandru Gordaș | Pilier | Roumanie |
Ross Michael Malcolm Dunbar | Pilier | Écosse |
Morad Akkaoui | Pilier | Maroc |
Kakhaber Koberize | Pilier | Géorgie |
Lado Guniava | Pilier | Géorgie |
Giorgi Tskitishvili | Pilier | Pays-Bas |
Alexandre Noé | Pilier | France |
Alexandre Combier | Pilier | France |
Romain Pouyleau | Pilier | France |
Michael Tyumenev | Talonneur | Allemagne |
Louis Martin | Talonneur | France |
Hamish Bain | Deuxième ligne | Écosse |
George Chkhaidze | Deuxième ligne | Géorgie |
Yann Tivoli | Deuxième ligne | France |
Antoine Lefebvre | Deuxième ligne | France |
Clément Fontaine | Deuxième ligne | France |
Archie Joseph Cameron Erskine | Troisième ligne | Écosse |
Paul-Édouard Van Laer | Troisième ligne | Belgique |
Jérémy Malavard | Troisième ligne | France |
Jonathan Mace | Troisième ligne | France |
Razvan Ilisescu | Troisième ligne | Roumanie |
Nicolas Tachat | Troisième ligne | France |
Geoffrey Cazanave | Demi de mêlée | France |
Florian Romain | Demi de mêlée | France |
Paul Champin | Demi de mêlée | France |
Kaleem Barreto | Demi de mêlée | Écosse |
Yohann Villanove | Demi d'ouverture | France |
Rémy Defives-Vittu | Demi d'ouverture | France |
Revaz Gigauri | Centre | Géorgie |
Julien Fritz | Centre | France |
Luca Cutayar | Centre | France |
Pacôme Gougeon | Ailier | France |
Maël Parcheminier | Ailier | France |
Benjamin Mosses | Ailier | Angleterre |
Mathieu Bonnet-Gonnnet | Arrière | France |
Sylvain Romain | Arrière | France |
Julien Caminati | Arrière | France |
Notes et références
Notes
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
Références
- « Béziers-Nice, pour l’histoire », sur http://sports.nice.fr
- Andrès 2015, p. 114
- « Les 1000 matches de Guy Novès », Site « lequipe.fr » du journal L'Équipe, (consulté le )
- Jean-Pascal Arigasci, « Sur la Rade, André Herrero est le gardien de l'âme », sur ouest-france.fr, 23 mai 2013 (consulté le 18 juillet 2015).
- Mérillon 1990, p. 322 et 323.
- « La Fiche Technique de la finale du 28/05/1983 », sur http://finalesrugby.fr
- « Un jour - une finale : 1983, Béziers porté par la foule », sur www.lequipe.fr, (consulté le )
- Julien Schramm et Rodolphe Rolland, « Béziers-Nice, ça vous parle ? », Nice rugby, LeMonde.fr, . Consulté le 8 mars 2010.
- « Liquidation judiciaire pour Nice », sur L'équipe.fr, L'Équipe, (consulté le )
- « National : les quatorze clubs connus », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
- « Comité Directeur : Les principales décisions », sur ffr.fr, (consulté le ).
- Site officiel de l'école de rugby du RNCA
Annexes
Liens externes
- Site officiel
- Compte rendu finale 1983, sur lnr.fr
- Portail du rugby à XV
- Portail de Nice