Rue des Bauches

Son nom fait référence à un lieu-dit indiquant des « terrains boueux qui abritent souvent le repaire des sangliers[1] ». On nommait autrefois bouches, bauge ou boge du latin bugi, une réunion de petits marais.

Une bauche est aussi un enduit, fait de paille et de terre, sur les murs[2].

Cette voie, initialement le « sentier des Bauches », était située sur l'ancienne commune de Passy et fut rattachée à la voirie parisienne par un décret du 23 mai 1863.

La partie qui était comprise entre les rues Marietta-Martin et Pajou est devenue en 1938 un tronçon de la rue du Général-Aubé.

• Dès la fin du XVII^e siècle, le curé de Pacy possède au bout du chemin un vignoble d'un arpent[3].
• À un numéro inconnu a vécu l’helléniste Jacqueline de Romilly[4].
• Au n^o 7 bis a vécu le général Henri Aubé entre 1888 et 1935. Une plaque lui rend hommage.
• La rue est aussi connue pour son école primaire publique, qui était autrefois une école de garçons au n^o 15, l'école de filles étant rue Gustave-Zédé, dans le même complexe scolaire aujourd'hui mixte. De nombreuses personnalités y ont fait leurs études. Un bâtiment plus récent a agrandi l'école au n^o 16, en face du bâtiment d'origine.

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  Plaque au n^o 7 bis.
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  Au croisement de la rue Gustave-Zédé : école élémentaire au n^o 15 (à gauche).
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  École élémentaire au n^o 16.