Rue Pelleport
La rue Pelleport est une voie située dans les quartiers du Père-Lachaise et de Saint-Fargeau du 20e arrondissement de Paris.
20e arrt Rue Pelleport
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Partie basse de la rue. | |||
Situation | |||
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Arrondissement | 20e | ||
Quartier | Père-Lachaise Saint-Fargeau |
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Début | 143, rue de Bagnolet | ||
Fin | 234, rue de Belleville | ||
Morphologie | |||
Longueur | 1 650 m | ||
Largeur | 11 m | ||
Historique | |||
Création | XVIIe siècle | ||
Dénomination | |||
Ancien nom | Rue de Belleville Rue de Charonne Route départementale no 40 |
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Géocodification | |||
Ville de Paris | 7177 | ||
DGI | 7228 | ||
Géolocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue Pelleport est desservie à proximité par la ligne à la station Pelleport, la ligne à la station Porte de Bagnolet et la ligne à la station Télégraphe, ainsi que par les lignes de bus RATP 60 61 64 69 96.
Origine du nom
La dénomination de la voie est un hommage à Pierre de Pelleport (1773-1855), général d'Empire et défenseur du quartier en 1814.
Historique
Cette voie qui longeait à l'extérieur les murs du parc de Ménilmontant est présente sur le plan de Roussel de 1730. Elle fait alors partie de la rue de Belleville entre les rues de Bagnolet et du Surmelin et de la rue de Charonne entre les rues du Surmelin et de Belleville[1].
Située à proximité de la route Militaire et l'enceinte de Thiers, c'est une partie de la « route départementale no 40 » qui est classée dans la voirie parisienne en vertu d'un décret du avant de prendre sa dénomination actuelle par un décret du .
Le 15 septembre 1918, durant la Première Guerre mondiale, une bombe explose sur le no 91 rue Pelleport, lors d'un raid effectué par des avions allemands[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- No 31 : résidence de la mère du résistant Henri Krasucki, qui fut suivie jusqu'à sa planque de la rue Stanislas-Meunier conduisant à son arrestation le [3].
- N°99 : école maternelle (architecte Francis Soler, 1988)[4]
- No 131 : immeuble de l'architecte Frédéric Borel, construit en 1999.
- No 153 bis : adresse, à partir de 1959, des Colles et couleurs Cléopâtre, entreprise créée en 1930, rue Chapon, et connue pour son célèbre pot de colle à l'odeur d'amande, apprécié des écoliers. Elle déménage à nouveau, en 1971, à Ballan-Miré en Indre-et-Loire.
- No 157 : début de la voie Z/20.
- Vue d'un immeuble datant de 1920.
- Immeuble du no 131, création architecturale de Frédéric Borel.
- No 157 : entrée de la voie Z/20.
Références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de Minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 251.
- Excelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute
- « Quand la colère monte… à Ménilmontant », sur www.parisrevolutionnaire.com, (consulté le ).
- Michel Poisson, Façades parisiennes, Parigramme (ISBN 978-2-840-96463-6), p. 253
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