Romillé

Romillé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 3 942 habitants[Note 1].

Romillé

La mairie.

Héraldique

Logo
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Henri Daucé (DVG)
2020-2026
Code postal 35850
Code commune 35245
Démographie
Gentilé Romilléen
Population
municipale
3 942 hab. (2018 en augmentation de 4,78 % par rapport à 2013)
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 57″ nord, 1° 53′ 31″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 142 m
Superficie 28,67 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Romillé
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montauban-de-Bretagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Romillé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Romillé
Géolocalisation sur la carte : France
Romillé
Géolocalisation sur la carte : France
Romillé
Liens
Site web www.romille.fr

    Géographie

    Localisation

    Romillé est une petite ville à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Rennes, préfecture départementale et régionale.

    Carte de la commune de Romillé.

    Hydrographie

    Romillé se trouve intégralement dans le bassin de la Vilaine et se partage entre le sous-bassin du Meu et celui de la Flûme. La Vaunoise (affluent du Meu) prend sa source au nord sur la commune d’Irodouër sous le nom de ruisseau du Bois Rouget. Elle rejoint le ruisseau du Pont ès Pies pour former l’étang de la Perronnaye à l’ouest du bourg avant de couler vers le sud[1].

    Transport

    Romillé est traversé d’est en ouest par la D 28. La D 21 part du bourg vers le sud jusqu’à L'Hermitage.

    Depuis le , à la suite de son entrée dans Rennes Métropole, la commune est desservie par les lignes de bus 81 et 82 du réseau STAR.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 747 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 714,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Romillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romillé, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 905 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (10,9 %), zones urbanisées (5,7 %), forêts (3,7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Romillé et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].

    Le logement à Romillé en 2017
    Romillé Ille-et-Vilaine
    Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 1 639 546 440
    Part des résidences principales (en %) 92,7 86,2
    Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 6,9
    Part des logements vacants (en %) 6,7 6,9
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 71,0 59,8

    Morphologie urbaine

    Romillé dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du [25]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Ecclesia de Romeliaco en 1152 et Ecclesia de Romelleio en 1185[26].

    Origine gallo-romane ; de Romilius[27] et du suffixe de localisation -acum.

    À Romillé se trouve un lieu-dit « Launay-Pas de l’Oie ». Le ruisseau du Temple passe tout près de ce lieu qui devait être planté d’aulnes. Il est probable qu’il y ait eu un gué, d’où « le passage de l’eau (l’oie) »[Note 7].

    Histoire

    La seigneurie et l'ancien manoir du Perron à Romillé appartiennent successivement à la famille Colin, au XVe siècle, à Pierre de La Douesnellière, seigneur du Fail, en 1500 et à Thomas Trémaudan en 1677. Le Manoir de la Durantaye à la famille Aubaud depuis 1180 à Pierre Aubaud. (dans l'armoirie générale imprimé d'Hozier donne en tome 1, sa généalogie pour l'évêché de St Malo) Jehan Aubaud ,écuyer, figure en 1371 et 1378 dans des montres du vicomte de Dinan et d'Eon de Baulon, compagnon de Bertrand Duguesclin. Puis Guillaume Aubaud prête serment parmi les nobles de St Malo en 1437, Les 5 et Pierre Aubaud sieur de la Durantaye demeurant dans la paroisse de Romillé comparut en qualité d'archer en brigandine, bien monté et armé et ayant avec lui un page à la montre de cet évêché. Le Blason de la famille Aubaud (d'argent à l'aigle déployé de sable , armée d'or) que l'on retrouve en base du blason de Romillé. La branche ainé a fini avec Gilette Aubaud par son mariage avec Olivier de St Gilles (contrat de mariage du reçu à Rennes). L'ancien manoir de la Durantaye qui possédant jadis une chapelle et un colombier avait un pouvoir de haute justice. Par son mariage en 1567 avec Gillette Aubault ,seule héritière de branche du Perron et de la Durantay, Olivier Charles Gilles de Saint-Gilles seigneur du Perronnay, fait entrer Romillé dans la famille de Saint-Gilles et ceci jusqu'en 1789.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Romillé appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Montauban-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Bécherel.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux (PS), suppléante de François André décédé en cours de mandat. Sous la IIIe République, elle appartenait à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Intercommunalité

    Les dix communes du canton de Bécherel ont créé en 1990 le Syndicat intercommunal pour le Développement du pays de Bécherel, qui s'est transformé le en Communauté de communes du Pays de Bécherel[28].

    Celle-ci a été dissoute au et Romillé, ainsi que Bécherel, Langan, La Chapelle-Chaussée, Miniac-sous-Bécherel ont intégré Rennes Métropole[29], [30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31],[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1801
    (décès)
    Jean Lebreton   Premier maire
    Nommé par le sous-préfet de Montfort
    1801 1815 Gilles Houdusse   Maître chirurgien
    1815 1830 Nicolas Lebrument   Pharmacien-médecin
    1830 1837 Mathurin Trillard   Notaire
    1837 1864
    (décès)
    Pierre Lemoine   Cultivateur
    1864 1871 Marie Lemoine   Cultivateur
    (Fils du précédent)
    1871 1889
    (décès)
    André Lebon   Médécin
    1889 avril 1913
    (décès)
    Pierre François Joseph Lemoine ARD/PRD Agriculteur puis marchand de grains
    Conseiller général (1910 → 1913)
    (Fils de Marie Lemoine)
    juin 1913 février 1917
    (décès)
    Alexandre Lemoine RG Voyageur de commerce puis rentier
    Conseiller général (1913 → 1917)
    (Frère du précédent)
    février 1917 mars 1921
    (décès)
    Jules Besnard   Adjoint, conseiller d'arrondissement
    1921 1944 Aristide Cutté RG Pharmacien
    Conseiller d'arrondissement (1931 → 1940)
    1945 1962 Émile Haouisée   Marchand beurre et oeufs
    1962 mars 1965 Albert Guinard   Agriculteur
    mars 1965 mars 1977 Pierre Daucé CDS Agriculteur
    mars 1977 mars 1989 Albert Baudais SE Boulanger
    mars 1989[33] juin 1995 Christian Stern PS Enseignant retraité
    juin 1995[34] mars 2001 Marie-Hélène Daucé UDF-CDS Secrétaire générale de mairie
    Conseillère générale (1992 → 2015)
    (Fille de Pierre, maire de 1965 à 1977)[35]
    mars 2001[36] mars 2014 Pierre Daucé PS Ingénieur agronome retraité
    (Cousin de la précédente)[35]
    mars 2014 27 mai 2020 Marie-Hélène Daucé[37] UDI Secrétaire générale de mairie
    Conseillère générale (1992 → 2015)
    (Cousine du précédent)[35]
    27 mai 2020 En cours Henri Daucé[38] DVG Agriculteur à la retraite
    (Cousin de la précédente et frère de Pierre, maire de 2001 à 2014)[35]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

    En 2018, la commune comptait 3 942 habitants[Note 8], en augmentation de 4,78 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 4742 5462 3442 3372 4512 3872 2562 2162 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1652 2202 2512 3212 3302 2882 3612 3782 325
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2642 3052 2291 9751 9951 9541 8951 9341 739
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 7531 7871 7432 1832 4392 6883 2403 3193 709
    2017 2018 - - - - - - -
    3 9053 942-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Romillé possède un édifice protégé en tant que monument historique, le château de Perronnay datant de la fin du XVIIe siècle, inscrit en 1948[43],[44],[45] (48° 12′ 52,54″ N, 1° 55′ 14,98″ O ).

    On trouve plusieurs autres monuments[46],[47] :

    • Église paroissiale Saint-Martin-de-Tours[48],[49] et sa maîtresse-vitre du XVIe siècle, classée au titre object[50] (48° 12′ 57,12″ N, 1° 53′ 30,23″ O ).
    • Le nouveau presbytère[51],[52] (48° 13′ 01,27″ N, 1° 53′ 27,47″ O ) et l’ancien presbytère[53],[54] (48° 12′ 42,05″ N, 1° 53′ 36,93″ O ).
    • Trois manoirs : à Quinfromel[55],[56] (48° 12′ 05,26″ N, 1° 52′ 22,58″ O ), au Perron[57],[58](48° 13′ 13,38″ N, 1° 52′ 19,64″ O ) et à la Chauvrais[59],[60] (48° 14′ 23,85″ N, 1° 51′ 45,4″ O ).
    • Plusieurs maisons et fermes. Sur 789 bâtiments, vingt-cinq ont été repérés et cinq étudiés[61],[62] : une maison du XVIIe siècle située place de l’Église[63],[64] (48° 12′ 55,56″ N, 1° 53′ 31,17″ O ), une autre maison du XVIIe siècle à l’Épine[65],[66] (48° 12′ 26,23″ N, 1° 50′ 09″ O ), une maison du XIXe siècle route de Montauban[67],[68] (48° 12′ 56,6″ N, 1° 53′ 53,96″ O ), une ferme du XVIIe siècle aux Couettes[69],[70](48° 12′ 47,34″ N, 1° 51′ 15,99″ O ), une autre ferme du XVIIe siècle à la Plerie[71],[72](48° 12′ 21,88″ N, 1° 51′ 25,68″ O ), une ferme du XVIIIe siècle à la Ville Greffier[73],[74](48° 12′ 29,75″ N, 1° 51′ 37,49″ O ).
    • Croix des trois évêchés, à la jonction des paroisses de Romillé, Gévezé et Langan, qui appartenaient aux anciens évêchés de Saint-Malo, Rennes et Dol[75] (48° 12′ 58,28″ N, 1° 49′ 36,92″ O ).

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. C’est l’aqua latine qui est à l’origine de notre eau. Ses variantes sont nombreuses comme le montre l’extrait ci-contre. La forme « oie » peut être rapprochée de l’iau gallèse encore usitée de nos jours dans les campagnes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    31. [PDF] « L’élection au suffrage universel », bulletin municipal d'information n° 83, juillet 2015 (lire en ligne)
    32. [PDF] « Les maires de Romillé au XIXe siècle (La saga de la famille Lemoine) », bulletin municipal d'information n° 98, septembre 2020 (lire en ligne)
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    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. Notice no PA00090760, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Notice no IA00007977, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Notice no IA00007977, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    46. Notice no IA00059422, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Notice no IA00059422, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    48. Notice no IA00007975, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Notice no IA00007975, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    50. Notice no PM35000515, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. Notice no IA00007979, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Notice no IA00007979, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    53. Notice no IA00007978, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. Notice no IA00007978, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    55. Notice no IA00007982, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. Notice no IA00007982, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    57. Notice no IA00007981, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. Notice no IA00007981, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    59. Notice no IA00007980, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Notice no IA00007980, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    61. Notice no IA00007974, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. Notice no IA00007974, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    63. Notice no IA00008171, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. Notice no IA00008171, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    65. Notice no IA00007983, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. Notice no IA00007983, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    67. Notice no IA00007987, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. Notice no IA00007987, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    69. Notice no IA00007986, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    70. Notice no IA00007986, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    71. Notice no IA00007984, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    72. Notice no IA00007984, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    73. Notice no IA00007985, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    74. Notice no IA00007985, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    75. Notice no IA35030578, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Philippe Baudais, La vie quotidienne à Romillé au XIXe siècle, Rennes, 1985, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 990).

    Articles connexes

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