Roger Waters

Roger Waters /ˈɹɒd͡ʒə ˈwɔːtəz/[N 1], de son nom complet George Roger Waters, est un auteur-compositeur-interprète britannique né le à Great Bookham (Surrey). En 1965, il cofonde le groupe de rock Pink Floyd. Au départ, Waters n'est que le bassiste du groupe, mais après le départ du chanteur et compositeur Syd Barrett en 1968, il devient le parolier, chanteur et leader conceptuel du groupe.

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Pink Floyd connaît un succès international avec les albums-concept The Dark Side of the Moon (1973), Wish You Were Here (1975), Animals (1977) et The Wall (1979). Au début des années 1980, le groupe devient l'un des plus loués par la critique et des plus prospères de la musique populaire ; en 2013, ils ont vendu plus de 250 millions d'albums dans le monde. En raison de divergences créatives, Waters quitte le groupe en 1985 et entame un conflit juridique sur l'utilisation du nom et de la musique du groupe. Les membres se mettent d'accord à l'amiable en 1987.

L'œuvre solo de Waters comprend les albums studio The Pros and Cons of Hitch Hiking (1984), Radio K.A.O.S. (1987), Amused to Death (1992) et Is This the Life We Really Want? (2017). En 2005, il crée Ça ira, un opéra traduit du livret d'Étienne et Nadine Roda-Gils sur la Révolution française.

En 1990, Waters organise l'un des plus grands concerts rock de l'histoire, The Wall Live in Berlin, qui a attiré 450 000 spectateurs. En tant que membre de Pink Floyd, il est intronisé au Rock and Roll Hall of Fame des États-Unis en 1996 et au Music Hall of Fame du Royaume-Uni en 2005. Plus tard dans l'année, il se réunit avec ses collègues de Pink Floyd, Nick Mason, Richard Wright et David Gilmour, à l'occasion de l'événement de sensibilisation mondiale Live 8, la première apparition du groupe avec Waters depuis 1981. Il a effectué de nombreuses tournées en solo depuis 1999 ; il a interprété The Dark Side of the Moon dans son intégralité lors de sa tournée mondiale de 2006-2008, et la tournée The Wall Live de 2010-2013 a été la tournée la plus rentable pour un artiste solo à l'époque.

Biographie

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Jeunesse

Roger Waters naît à Great Bookham le , dans le Surrey. Son père, Eric Fletcher Waters, participe aux combats de la Seconde Guerre mondiale et est tué à Anzio, en 1944, au cours de l'Opération Shingle. Le traumatisme lié à la mort de son père marquera durablement ses compositions, en particulier sur les albums The Wall (1979), The Final Cut (1983) – qui lui est d'ailleurs dédié – et Amused to Death (1992).

Roger Waters vit ensuite seul avec sa mère et ses deux frères aînés. C'est au lycée de Cambridge qu'il fait la connaissance de Syd Barrett et Nick Mason. En 1964, il fonde un premier groupe avec Richard Wright, Nick Mason, Clive Metcalfe, Juliette Gale (future madame Wright) et Keith Noble, les Sigma 6 qui s'appelleront aussi, suivant l'humeur ou l'inspiration du moment, The Abdabs ou The Tea Set. Metcalfe et Noble quittent le groupe en 1965 et sont remplacés par Bob Klose et Syd Barrett. Waters, qui tenait jusqu'alors la guitare, devient bassiste. Finalement, the Tea Set se réduit à cinq membres, Barrett, Klose, Mason, Waters et Wright, puis à quatre après le départ de Klose. Ils adoptent le nom The Pink Floyd Sound (en référence à Pink Anderson et Floyd Council, deux musiciens de blues américain) sur une idée de Barrett. Puis après le départ de Barrett, David Gilmour prend la relève et le groupe évolue, d'abord à tendance psychédélique, il devient plus expérimental et progressif.

Avec Pink Floyd

Pink Floyd est considéré à ses débuts comme un groupe plutôt expérimental qui touche surtout un milieu d'initiés. Le film More, dont il réalise la musique en 1969 à la demande du réalisateur Barbet Schroeder, fait connaître sa musique à un plus large public qui lui réserve un bon accueil à un moment où les Beatles ralentissent justement leur cadence de production.

En 1970, Roger Waters compose et interprète avec Ron Geesin la bande sonore d'un documentaire sur le corps humain, The Body, comprenant un mélange de sons électroniques très rythmés, de voix humaines et de bruits corporels divers mixés ensemble (en particulier dans la plage Our Song). Cette bande sonore, création authentique plus que simple accompagnement, sort en disque sous le titre Music from the Body.

En 1973, le groupe connaît un énorme succès avec The Dark Side of the Moon mais, déjà, les divergences de conception entre Waters et le reste du groupe commencent à se faire sentir. C'est lui qui désormais écrit toutes les paroles des compositions du groupe, et il en vient peu à peu à en assurer seul les musiques aussi : sur Animals (1977), seul le morceau Dogs est cosigné avec David Gilmour.

En 1979, Waters signe seul la totalité des textes et les deux tiers des musiques des titres de l'album The Wall (The Trial est cosigné avec Bob Ezrin, Young Lust, Comfortably Numb et Run Like Hell avec David Gilmour), il supervise également l'adaptation cinématographique. Gilmour et Bob Ezrin jouent néanmoins un rôle important dans la conception de l'album : Ezrin aide notamment à rendre plus compréhensible la trame scénaristique de base de Waters, et Gilmour agit comme directeur artistique de la tournée qui s'ensuit. Durant l'enregistrement de l'album, Rick Wright est renvoyé du groupe sous la pression de Waters qui menace de tout bonnement arrêter la production de l'album si Rick Wright ne part pas. La tension entre Waters et Gilmour monte d'un cran durant l'enregistrement de The Wall lorsque Waters ajoute son nom sur la musique de Comfortably Numb.

L'album The Final Cut, sorti en 1983, marque l'apogée de la domination de Waters sur le groupe : le dos de l'album indique qu'il s'agit d'un « album de Roger Waters interprété par Pink Floyd ». Nick Mason se fait de plus en plus effacer (il est remplacé par Andy Newmark sur le dernier titre) et Gilmour se querelle de plus en plus fréquemment avec Waters qui refuse toute suggestion artistique. Pink Floyd devenant ainsi la propriété de Waters, Gilmour et Mason ne faisant plus que de la figuration dans le groupe, jouant ici et là lorsque c'est vraiment nécessaire.

Waters estime alors que le groupe n'a plus de raison d'être. Il le quitte officiellement en 1985 en envoyant une simple lettre recommandée aux membres restants du groupe ainsi qu’à la maison de disques. Lorsque David Gilmour et Nick Mason veulent recommencer à travailler ensemble sous le nom de Pink Floyd, Waters engage des poursuites, refusant qu'ils enregistrent d'autres albums sous ce nom. Il abandonne les poursuites contre 40 % des bénéfices générés par les albums et concerts plus les droits exclusifs de l'album The Final Cut et sur les chansons qu'il a écrites seul de l'album The Wall (70 %)[1].

En solo

Entre-temps paraît son premier album solo, The Pros and Cons of Hitch Hiking (1984), une étrange plongée dans les rêves d'un homme en proie à la crise de la quarantaine. Ce projet, conçu au même moment que The Wall, avait été proposé aux autres membres de Pink Floyd qui le rejetèrent, le trouvant trop personnel. L'album est enregistré avec de prestigieux invités, notamment Eric Clapton à la guitare et David Sanborn au saxophone. L'album ne se vend pas à hauteur des espoirs de Waters, en dépit (ou peut être à cause) du scandale provoqué par sa pochette, qui représente une femme nue, vue de dos, faisant de l'auto-stop. La tournée qui s'ensuit connaît un succès modéré, mais insuffisant pour la rentabiliser : Waters aurait perdu près de 700 000 dollars à cette occasion.

Après avoir participé à la bande originale du film When the Wind Blows (1986), Roger Waters sort son deuxième album, Radio K.A.O.S., en 1987. Il s'agit à nouveau d'un album-concept, centré sur un jeune handicapé nommé Billy qui entend des ondes radio dans sa tête. L'album, comme la tournée de promotion, sont totalement éclipsés par le retour de Pink Floyd, qui sort l'album A Momentary Lapse of Reason et entame une tournée mondiale la même année.

Le , après la chute du mur de Berlin, Roger Waters donne The Wall en concert sur la Potsdamer Platz, devant 300 000 personnes, avec de nombreux autres artistes dont Joni Mitchell, James Galway, Albert Finney. Scorpions, Sinéad O'Connor, Van Morrison, Cyndi Lauper et Marianne Faithfull[2]. Il s'agit du deuxième plus gros concert jamais donné en Europe après celui de Jean Michel Jarre à La Défense, le 14 juillet de la même année, qui totalisa 1 million de spectateurs.

En 1992 sort son troisième album solo, celui que la critique considère comme le plus abouti : Amused to Death. Waters y décrit l'influence pernicieuse de la télévision sur les populations, avec la participation, entre autres, de Jeff Beck à la guitare. Le single What God Wants, Pt. 1 atteint la quatrième place du classement américain Mainstream Rock Tracks. L'album n'est pas soutenu par une tournée de promotion : il faut attendre 1999 pour voir à nouveau Waters monter sur scène. La tournée In the Flesh dure trois ans et donne lieu à un album et un film, tous deux baptisés In the Flesh: Live.

À l'occasion du Live 8, le à Londres au Hyde Park, Roger Waters réintègre Pink Floyd pour un soir, aux côtés de David Gilmour, Nick Mason et Richard Wright. Gilmour et lui font cependant clairement savoir qu'il ne s'agit que d'un événement ponctuel et qu'ils n'ont aucune intention de collaborer à nouveau pour un nouvel album ou une nouvelle tournée de Pink Floyd. La même année, Waters publie un opéra en trois actes, Ça Ira, qui retrace la Révolution française sur un livret d'Étienne Roda-Gil.

Roger Waters en 2007 à Perth (Australie)

En , à la suite d'une lettre ouverte du mouvement BDS[3], Roger Waters déplace son concert prévu à Tel Aviv pour protester contre le Mur de la honte[4].

Roger Waters entame le une tournée européenne de vingt-deux concerts durant lesquelles il réinterprète l'intégralité de l'album The Dark Side of the Moon. Il est rejoint par Nick Mason pour quelques dates, comme pour le à l'occasion du Grand Prix de France de Formule 1 sur le Circuit de Nevers Magny-Cours. La tournée se poursuit en Amérique du Nord à partir du , en Australie à partir du et en Amérique du Sud à partir du avant de retrouver l'Europe le . Elle s'achève le à Toronto. Cette tournée mondiale se caractérise par sa logistique conséquente, avec des décors de scène conçus par Mark Fisher où figure en bonne place le cochon gonflable de la pochette d'Animals. En 2008, Waters donne quatre concerts aux États-Unis fin avril et début mai, puis sept concerts en Europe au mois de mai, toujours dans le cadre du The Dark Side of the Moon Tour[5].

En 2010, Roger Waters annonce sa dernière tournée mondiale avant sa retraite : The Wall Live. C'est la première fois depuis 1980 que l'album est interprété dans son intégralité sur scène. La tournée traverse l'Europe, l'Amérique du Nord, l'Amérique du Sud et l’Australie avant de s'achever au Stade de France le . Il s'agit d'une des tournées les plus lucratives de l'histoire, avec des revenus brut estimés à 459 millions de dollars[6]. Le concert du , donné sur les Plaines d'Abraham à Québec, donne lieu au plus grand mur érigé pour The Wall depuis le concert de Berlin en 1990 : il est long de plus de 222 mètres[7].

Le Roger se rend à Anzio pour recevoir la citoyenneté honoraire et découvrir la stèle dédiée à son père, le lieutenant Eric Fletcher Waters, mort 70 ans plus tôt jour pour jour lors du débarquement des alliés à Anzio[8]. Son quatrième album solo, Is This the Life We Really Want?, est sorti le . Il en suivra une tournée mondiale intitulée Us + Them avec plus de 150 dates dont quatre en France (le à Lyon, à la salle U Arena de Nanterre près de Paris les et et à Lille le ). Il profite de cette tournée lucrative pour remettre au gout du jour ses chansons et s'insurger contre l'oppression des peuples par les politiciens. Il suggère une résistance contre la guerre et les murs qui se dressent de plus en plus dans ce monde.

Vie privée

Il vit aux États-Unis, près de New York.[réf. nécessaire]

Prises de position

Waters en concert à Gdańsk en 2018 lors de sa tournée Us + Them. Les slogans affichés sur scène dénoncent la main-mise du gouvernement polonais sur les médias du pays.

Très engagé politiquement, notamment contre la politique menée par Donald Trump et en faveur du mouvement BDS contre Israël, il a égrené une vingtaine de ses plus grands tubes devant un gigantesque écran où défilaient des messages et des slogans tels que : « Restez humain », « Résistez à Mark Zuckerberg » ou « Trump est un porc »[9],[10]. Il déploie le drapeau palestinien lors de ses concerts et va à Roland-Garros avec un kéfié pour affirmer son soutien à la Palestine[11].

À la suite de déclarations sur les Juifs, Anti-Defamation League le qualifie d'« antisémite ». Il compare notamment les juifs aux collaborateurs nazis et affiche la représentation d'un porc avec une étoile de David[12]. En 2020, il continue ses déclarations controversées sur des personnes juives et Israël, accusant notamment le milliardaire Sheldon Adelson de conspiration pour la domination du monde[13] et ce afin d'en faire bénéficier le « peuple élu » dans le grand Israël[14].

En , lors d'un concert à l'Allianz Parque de São Paulo quelques jours avant l'élection présidentielle brésilienne de 2018, Waters a déconseillé à son public de voter Jair Bolsonaro, l'assimilant à un « néo-fasciste » et ne voulant « pas revoir la sale époque des juntes des dictatures militaires sud-américaines »[15]. Pendant la crise présidentielle de 2019 au Venezuela, Roger Waters apporte son soutien à Nicolás Maduro[16].

Il soutient également Chelsea Manning et Julian Assange. Début , il joue à Londres en soutien à Julian Assange, qu'il voit comme le « héros de la liberté de la presse »[17].

À la suite du coup d'état militaire en Bolivie et de l'exil d'Evo Morales en , Roger Waters envoie un message de soutien à l'ex-président, le félicitant pour son travail et pour avoir « tiré de nombreux boliviens de la misère » et leur avoir « redonné le sens de la dignité ». Il poursuit en espérant qu'il revienne au plus tôt en Bolivie car « son peuple a besoin de lui »[18].

Théories du complot sur les Casques blancs

Le , lors d'un concert à Barcelone, Roger Waters s'en prend aux Casques blancs, une organisation humanitaire de protection civile formée pendant la guerre civile syrienne, qu'il qualifie de « fausse organisation qui n’existe que pour faire de la propagande au bénéfice des djihadistes et des terroristes »[19],[20],[21]. Il déclare : « Si nous écoutions la propagande des Casques blancs et des autres, nous encouragerions nos gouvernements à larguer des bombes sur des gens en Syrie. Ce serait une faute aux proportions monumentales pour nous en tant qu'êtres humains »[22].

Le , Roger Waters publie un message sur Facebook dans lequel il conteste la responsabilité du régime syrien dans l'attaque chimique de Douma et s'en prend une nouvelle fois aux Casques blancs en déclarant que cette organisation humanitaire a « probablement assassiné trente-quatre femmes et enfants pour mettre en scène ce triste jour à Douma »[23]. Le journaliste Chris York l'inclut dans une liste de personnalités qui participe au relais de la campagne de désinformation à propos des secouristes[24], le journaliste Idrees Ahmad le qualifie de conspirationniste et le documentariste Ronan L. Tynan se dit choqué par ces propos qui ne sont basés sur rien et ne font que « couvrir le massacre de civils »[25]. Pour le journaliste Sam Hamad, pour chaque crime syrien ou russe faisant les grands-titres de la presse occidentale, un propagandiste « comme Blumenthal (Max Blumenthal) ou un autre propagandiste surgit dans la confusion avec un déni ou une justification […] S'ils ne réussissent pas à vous transformer en un chasseur-de-djihadiste-justifiant-un-génocide comme Roger Waters, ils sèmeront à tout le moins les germes du doute. »[26]

Discographie

Albums studio

Album live

Albums studio

Albums live

Bandes originales de films

  • 1970 : Music from the Body - Album réalisé avec Ron Geesin.
  • 1986 : When the Wind Blows (10 chansons sur 16 sont de Roger Waters)
  • 1998 : The Legend of 1900 de Ennio Morricone - Roger chante la pièce Lost Boys Calling, paroles Roger Waters, musique Ennio Morricone.

Compilation

Opéra

  • 2005 : Ça Ira (version francophone) - Écrit avec Étienne et Nadine Roda-Gil.
  • 2005 : Ça Ira - There is hope (version anglophone)

Singles

  • 1984 : 5:01am (The Pros and Cons of Hitch Hiking)/4.30 AM (Apparently They Were Travelling Abroad)/4.33 AM (Running Shoes)
  • 1984 : 5:06am (Every Stranger's Eyes)/4.39 AM (For The First Time Today Part I)
  • 1987 : Radio Waves/Money/Get Back To Radio (Demo Recording)
  • 1987 : Who needs Information?/Molly' Song
  • 1987 : Sunset Strip/Money
  • 1987 : Radio Waves (Extended Remix)/Going To Live In LA/Radio Waves (7 Inch Version)
  • 1987 : The Tide Is Turning (After Live Aid)
  • 1990 : Another brick in the wall Part Two (Full Version)/Run Like Hell (Potsdamer Mix)/Another Brick In The Wall (Part Two) (Edited Version)
  • 1990 : The Tide Is Turning (7" Version)/Nobody Home
  • 1990 : Hey You/Another Brick In The Wall Part 2 (LP Version)
  • 1992 : What God Wants Part One (Album Version)/What God Wants Part One (Video Version)''
  • 1992 : The Bravery of Being Out of Range/What God Wants, Part 1/Perfect Sense
  • 1992 : Roger Waters / Francesco De Gregori – What God Wants, Part 1/Bellamore
  • 1993 : Three Wishes (Radio Edit)/What God Wants, Part I/The Bravery Of Being Out Of Range
  • 2004 : To Kill the Child / Leaving Beirut (en)
  • 2007 : Hello, I Love You (Radio Edit)/Hello (I Love You) (Album Version)
  • 2010 : We Shall Overcome (Song for Palestine)

DVD

  • 1990 : The Wall Live in Berlin
  • 2000 : In The Flesh - Live
  • 2015 : Roger Waters: The Wall
  • 2020 : Us + Them - Live Amsterdam 2017-2018 - a film by Sean Evans & Roger Waters

Participations

  • 1970 : The Madcap Laughs de Syd Barrett - Roger a coproduit mais ne joue pas sur l'album.
  • 1999 : Vagabond Ways de Marianne Faithfull - Roger à la basse et aux claviers. A composé la chanson Incarceration of a Flower Child expressément pour Marianne.
  • 2007 : Live Earth: The Concerts For A Climate In Crisis - Roger Waters chante la pièce Another Brick in the Wall Part II pour ce concert qui eut lieu au Giants Stadium à New Jersey, le .
  • 2013 : Love for Levon: A Benefit to Save the Barn - Roger participe et chante The Night They Drove Old Dixie Down et Wide River to Cross pour un concert bénéfice qui eut lieu le à East Rutherford.
  • 2013 : 12-12-12: The Concert for Sandy Relief - Roger chante Another Brick in the Wall Part I, II & III, Us & Them et Comfortably Numb le au Madison Square Garden, en faveur des victimes de l'ouragan Sandy. CD & DVD
  • 2014 : Give my Love to London de Marianne Faithfull. A composé la pièce Sparrows will sing mais ne joue pas sur l'album.

Notes et références

Notes

Références

  1. Par Le 13 décembre 2015 à 07h00, « Roger Waters : derrière «The Wall», le père », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  2. « Roger Waters - The Wall, Live in Berlin | ARTE Concert », sur ARTE (consulté le )
  3. Open letter to Roger Waters, 7 mars 2006
  4. « La souffrance endurée par le peuple palestinien depuis quarante ans d’occupation israélienne est inimaginable pour nous qui vivons à l’ouest et je soutiens leur lutte de libération. J’ai fait changer le lieu du concert, qui aura lieu à Wahat al Salam / Neve Shalom en signe de solidarité avec les voix de la raison, Palestiniennes ou Israéliennes, qui cherchent une voie non-violente pour une paix juste. »« ism-suisse.org »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)pacbi.org
  5. Affiche promotionnelle du concert à Odense — neptunepinkfloyd.co.uk -EN
  6. Bob Allen, « Roger Waters Passes Madonna for Solo Boxscore Record with $459M Wall Live Tour », sur billboard.com, (consulté le ).
  7. http://quebec.huffingtonpost.ca/2012/05/22/roger-waters-prsentera-th_n_1537412.html
  8. (it) « Anzio abbraccia Roger Waters », sur Corriere della Sera (consulté le ).
  9. « Roger Waters, soldat de paix à la U Arena », sur lefigaro.fr,
  10. « Hier soir à Paris… Roger Waters », sur parismatch.com,
  11. « Roger Waters avait un message politique à faire passer pour la finale de Roland-Garros », sur Le Huffington Post, 2018- 06-10 (consulté le )
  12. (en-US) « Roger Waters’ Jewish Problem Catches Eye of Award-Winning Filmmaker », sur Observer, (consulté le )
  13. (en) « Florida Holocaust Museum officials call out Pink Floyd’s Roger Waters for anti-Semitism | Column », sur Tampa Bay Times (consulté le )
  14. (en-GB) « Roger Waters accused of anti-semitism from comments in new interview », sur NME Music News, Reviews, Videos, Galleries, Tickets and Blogs | NME.COM,
  15. (en) « Roger Waters divides crowd with anti-Bolsonaro comments at Brazil concert », sur The Guardian, (consulté le )
  16. Le cadeau inattendu de Nicolas Maduro à Roger Waters des Pink Floyd, Le Figaro avec AFP, 14 juin 2019.
  17. (en) « Roger Waters to perform in London Monday in defense of Julian Assange », sur World Socialist Web Site, (consulté le )
  18. (es) « Roger Waters respaldó a Evo Morales: "Hiciste un trabajo maravilloso, espero que tu exilio sea corto" », sur Perfil, (consulté le )
  19. Grégoire Lemarchand, Non, les Casques blancs n'ont pas mis en scène l'attaque chimique présumée dans la Ghouta, AFP, 17 avril 2018.
  20. François Forestier, « Republic of lies » : voyage flippant au coeur de l’Amérique conspirationniste, L'Obs, 2 août 2019.
  21. (en) The New Arab, « Echoing Russian propaganda, Pink Floyd's co-founder Roger Waters says Syria's White Helmets are 'fake organisation' », sur https://english.alaraby.co.uk/ (consulté le )
  22. (en) Toi Staff, « Roger Waters claims Syria’s White Helmets a ‘fake organization’ », sur Times of Israel, (consulté le ) : « If we were to listen to the propaganda of the White Helmets and others, we would encourage our governments to start dropping bombs on people in Syria. This would be a mistake of monumental proportions for us as human beings. »
  23. Attaque chimique de Douma : la réponse d’une ONG au bassiste de Pink Floyd, Conspiracy Watch, 22 mai 2019.
  24. (en) « This Is Why James Le Mesurier's White Helmets Are Targets Of A Russian Disinformation Campaign », sur HuffPost UK, (consulté le )
  25. (en) « Roger Waters Slams Syria's White Helmets: 'A Fake Organization Fronting for Terrorists' », Haaretz, (lire en ligne, consulté le )
  26. (en) Sam Hamad, « How propaganda trips to Syria are helping Assad get away with murder », sur alaraby (consulté le )

Liens externes

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