Rodemack

Rodemack est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région Grand Est. Le village est classé parmi les plus beaux villages de France.

L'un des Plus Beaux Villages de France.

Rodemack
Semming

Remparts et citadelle de Gargan.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes de Cattenom et environs
Maire
Mandat
Olivier Kormann
2020-2026
Code postal 57570
Code commune 57588
Démographie
Gentilé Rodemackois, Rodemackoise
Population
municipale
1 249 hab. (2018 )
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 11″ nord, 6° 14′ 13″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 242 m
Superficie 9,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Yutz
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Rodemack
Semming
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Rodemack
Semming
Géolocalisation sur la carte : France
Rodemack
Semming
Géolocalisation sur la carte : France
Rodemack
Semming
Liens
Site web www.mairie-rodemack.fr

    Localisation

    La commune est composée de Rodemack, Esing, Faulbach et Semming.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Rodemack est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,5 %), terres arables (34,9 %), forêts (8 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (4,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom du village apparaît sous les formes : Rodennacere en 893, Rotenback ou Rotenbach en 905, Rodemachkeren en 914, Rodemachkern en 915, Rodemack et Rubrae maceriae[Note 3] au XIIe siècle, Rodemacre en 1236, Rodermaken en 1239, Rodenmacheren en 1243, Rothemar en 1340, Rodemake au XVe siècle, Rodemachn en 1426, Rodemag en 1460, Rodemachen en 1461, Rodemachern en 1487, Rodemacher et Rodenmacker en 1492, Rodemacher et Rodemacre en 1544, Rodemar en 1553, Rodemacheren en 1572, Rodemark en 1667, Rodenmacq et Rodemacker en 1696, Rodmacker en 1702, Rodemack en 1793[8],[9].

    En allemand : Rodenmachern[8] et Rodemachern[10]. En francique lorrain : Roudemaacher[11] et Ruedemaacher.

    Il peut s'agir de déboisement (Rodung en allemand): les préfixes de type "rod", entre autres, indiquent souvent un "Rodungsname", c'est-à-dire un nom allemand d'une localité qui a pratiqué le déboisement.[12]

    Sobriquet

    Surnom sur les habitants : Die Maurenströtzerter (Fu’ertenstretzer) = les ch*eurs de remparts[13].

    Histoire

    Rodemack remonte au moins à l’époque romaine.[réf. nécessaire] C’est au début du IXe siècle que Louis le Pieux fit don de la localité à l’abbaye de Fulda en Allemagne. Son éloignement important décida l’abbé Huoki à la céder à l’abbé Reginas d’Echternach au Luxembourg en échange d’autres terres. Sous la direction de ces moines, les prairies furent arrosées, les terres cultivées et les populations de serfs laboureurs purent prospérer heureuses et tranquilles à l’ombre du clocher de la première église de Rodemack.

    Rodemack est alors longtemps administré par un voué. En 932, un avoué de Rodemack, Dipoldus, prend part comme juge au premier tournoi de Magdebourg. C’est à cette époque que le feudataire d’Esing, trouvant la position de son domaine peu convenable au niveau stratégique choisi l’emplacement d’un ancien castellum romain sur le rocher pour y fonder un manoir féodal protégé par l’escarpement naturel du rocher. On ignore le nom de ce premier fondateur et on ne sait rien de la gestation de la seigneurie pendant le Xe siècle. Ce n’est qu’en 1019 que la première mention d’un seigneur de Rodemack est faite : le , le sire Fréderich de Rodemacher prend, avec son voisin, Jean de Soleuvre, une grande part au tournoi qui eut lieu à Trèves devant l’empereur Conrad. C'est en cette solennité que nous voyons arborer pour la première fois les armes de Rodemack.[réf. nécessaire] Son domaine ne devait pas être bien grand à l’époque car la puissance de l’abbaye d’Echternach est alors à son apogée. Les seigneurs de Rodemack à l’origine, devaient sans doute se contenter de peu puisque le fondateur du premier château céda son fief d’Esing à Gérard d'Alsace. Ce fief revint en 1067 à l’abbaye d’Echternach dont les biens encerclent littéralement le château des sires de Rodemack. C'est en 1190 qu'Arnoux Ier usurpa les biens des abbés d’Echternach et fit construire un premier château féodal à l’emplacement de la forteresse actuelle. Ce seigneur reconnut comme suzerain, le comte de Luxembourg.

    À partir de cette date, l’histoire du bourg change du tout au tout. Très vite les nouveaux seigneurs prennent une grande importance au niveau du comté du Luxembourg. Ils aiment guerroyer et augmentent ainsi rapidement leurs possessions. Leurs descendants successifs en firent de même, soit par alliance, soit par conquête, si bien qu’au fait de leur puissance, la seigneurie s’étend jusqu'aux frontières de Metz. Elle comprend en outre les villes de Richemont, Fontoy, Zoufftgen, Hayange, Uckange, Manom, Garche, Roeser, Hesperange, Chassepierre, Boulay, Montmédy, Ancerville, etc.

    Mais une alliance avec le roi de France ainsi qu’une forte rançon qu’ils durent acquitter précipita leur déclin. En 1492, le dernier seigneur de Rodemack est déclaré félon. Tous ses biens sont confisqués pour être remis au margrave de Bade, Christophe Ier par l'empereur Maximilien d'Autriche. Ce changement de seigneur amena pour Rodemack de nombreuses vicissitudes et le règne de Charles Quint allait bientôt débuter.

    En 1542, une armée française commandée par Charles d’Orléans et Claude de Guise se rend maître de la forteresse. Mais le traité de Crépy en 1544 rend la cité à l’Espagne. En 1552 Rodemack tombe à nouveau pour quelques mois aux mains des Français.

    En 1558, le duc de Guise s’empare pour la deuxième fois de la cité. Celle-ci est rendue au roi d’Espagne par le traité du Cateau Cambrésis en 1559. En 1639, en pleine guerre de Trente Ans, le duc de Guise reprend la cité mais doit l’abandonner peu après devant l’avance des Impériaux. Les troupes françaises la réoccupent en 1643.

    Le traité des Pyrénées en 1659 la restitue à l’Espagne. Ceci est confirmé par la conférence de Metz en 1662. En 1668, c’est le maréchal de Créquy qui s’empare de la place pour la France malgré le traité d’Aix-la-Chapelle. Les Espagnols la récupèrent en 1673 pour en être à nouveau chassés en 1678.

    À partir de ce moment la France reste de fait en possession de la forteresse. Il faudra attendre près d’un siècle pour que cette occupation soit reconnue lors du traité de Versailles du . Les margraves de Bade avaient eux depuis longtemps reconnu la souveraineté française en prêtant serment féodal au roi de France en 1685.

    Les événements semblèrent ensuite devoir épargner la cité, en dehors d'un gigantesque incendie qui ravagea plus d’une centaine de maisons et granges ce qui explique que la plupart des demeures anciennes du village datent du XVIIIe siècle.

    Mais la position géographique de Rodemack ne favorise pas la tranquillité et quand, en 1792, le bruit des armes se fait à nouveau entendre, le bourg est une nouvelle fois assiégé par des troupes ennemies en grand nombre, l’armée du duc de Brunswick envahissant la France pour renverser la toute jeune nation révolutionnaire. Les défenseurs de la forteresse ne doivent alors leur salut qu’à l’intervention des troupes du maréchal Luckner, qui permettent d’évacuer la forteresse. À noter que parmi les défenseurs se trouvaient deux hommes qui allaient devenir célèbres : le sous-lieutenant de Brune qui devint maréchal et le sergent Junot qui lui devint duc d'Abrantés.

    La forteresse fit parler pour la dernière fois d’elle en 1815. Les armées prussiennes en firent le siège et durent se retirer après des pertes sévères. À l’époque celle-ci était sous le commandement du général Hugo, père de Victor Hugo.

    Héraldique

    Blason
    Fascé d'or et d'azur de six pièces[14].
    Détails

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 3 décembre 2001 René Baryga PS  
    3 décembre 2001 18 mai 2020 Gérard Guerder PS  
    18 mai 2020 En cours Olivier Kormann    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[16].

    En 2018, la commune comptait 1 249 habitants[Note 4], en augmentation de 13,44 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    8628198149561 1431 087918899871
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    820820774697711670702629606
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    593574508430469534506488650
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 - -
    7718041 0331 0651 1081 2401 249--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[17]. |recens-prem=2007 |no.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Passage d'une voie romaine.
    • Ville médiévale pittoresque.
    • Château fort, construit vers 1190 par le voué Arnould Ier de Rodemack, transformé en forteresse 2e moitié XIIIe siècle pour Gilles II de Rodemack créant une seconde enceinte entourée de fossé creusé dans le roc. Il reste de cette époque, la profonde porte cochère flanquée de tours jumelées. Incendié par les Messins en 1430. Au XVe siècle Jean III puis son fils Gérard restaurèrent la forteresse et renforcèrent par des avant-murs, de nouveaux fossés et une énorme barbacane devant le pont-levis. Disputé entre les margraves de Bade, les ducs de Lorraine, les Français et les Espagnols. Attribué à l'Espagne par le traité de Cateau-Cambrésis en 1559. Ruiné au cours de la guerre de Trente Ans. En 1678 l'armée française occupe la citadelle, pour ne plus la rendre. Au cours du XVIIIe siècle remise en état du château, conservant ses fortifications médiévales. Construction de corps de garde et des casernes aujourd’hui disparues, un magasin à poudre et des écuries qui subsistent. La citadelle fut prise et saccagée par les troupes de Brunswick en 1792. Vendu par le gouvernement en 1811 et rachetée en 1815, assiégée pendant les Cent-Jours et défendue par le général Joseph Léopold Sigisbert Hugo. Son démantèlement eut lieu peu après 1815. Le logement du commandant est détruit en 1819 et toutes les fortifications du côté Nord en 1821 avant que l'armée ne déclasse le château. En 1869, le baron Charles de Gargan acquit les vestiges, restaura et aménagea en habitation le logement du commandant et le pavillon neuf des officiers, transforma le magasin à poudre en chapelle. En 1948, le pavillon des officiers est reconstruit au-dessus des caves.
    • Fortification d'agglomération XIIe siècle avec remparts et tour de la prison, sans doute reconstruites au XVe siècle, en partie détruites en 1673, remises en état dans le 4e quart du XVIIe siècle, restaurées au XVIIIe siècle par l'armée française qui occupe la place. La porte de Thionville est rasée au cours de la 1re moitié du XIXe siècle.
    • Porte de Sierck : sa voûte détruite en 1944 pour permettre le passage des chars américains, fut reconstruite en 1989.
    • Maison dite maison des Baillis, ou Petit château des Margraves construit en 1560 au milieu du bourg par Christophe II de Bade, pour loger le bailli. Façade antérieure et façades latérales repercées au XVIIIe siècle. Tour repercée et remise construite au XIXe siècle.
    • Pressoir ancien.
    • Monument de Hermann de Bade, datant de 1665.
    • Ancienne Poste.
    • L'ancienne gare du Jaengelchen, train reliant Thionville à Mondorf-les-Bains de 1903 à 1934.
    • Lavoir, reconstruit en 1862.

    Édifices religieux

    • Église paroissiale néo-baroque Saint-Nicolas, reconstruite en 1783, date portée sur la clef de l'arc triomphal ; sacristie sud 2e moitié XIXe siècle, autels XVIIIe siècle ; chaire, boiseries ; mausolée du margrave Fortuné.
    • Chapelle Notre-Dame, construite en 1658, date portée sur la façade occidentale, statues ; calvaire XVIIe siècle.
    • Chapelle du château fort.
    • Chapelle Pelt.
    • Chapelle Saint-Pierre à Semming, construite au XIe ou XIIe siècle ; nef, chœur et sacristie reconstruits, portail occidental repercé au XVIIIe siècle, clocher de style roman XVIIIe siècle, mobilier XVIIIe siècle.
    • Presbytère, construit en 1736, date portée sur la clef de la porte charretière.

    Fête médiévale

    Chaque été, l'association des "Amis des Vieilles Pierres pour la sauvegarde de Rodemack" organise la Fête médiévale. Le vieux bourg fortifié se métamorphose alors. À l’intérieur de la cité sont organisés des défilés de chevaliers, un marché médiéval. À l’intérieur du château, il y a des spectacles, la présentation de divers objets médiévaux. Le programme varie d’année en année. Cette fête est une reconstitution entière de Rodemack au Moyen Âge.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Marie Pelt (1933-2015), botaniste-écologiste français, fondateur de l'Institut Européen d’Écologie (Metz).

    « À Rodemack on se frotta les yeux, on se réveilla. On s'avisa subitement de cette forteresse médiévale solidement campée sur la faille hettangienne – qui a donné son nom à une ère géologique de l'histoire de la terre –, de ses caves voûtées, de ses chemins de ronde, de ses oubliettes… On se souvint du mur d'enceinte quasi intact qui sertissait le village au point de lui valoir l'appellation quelque peu immodeste de « petite Carcassonne lorraine ». Murs et forteresses étaient devenus, depuis des siècles, des carrières de pierres où l'on puisait généreusement pour construire. Ils devinrent l'élément autour duquel s'organisa la nouvelle vie du village… Fêtes et traditions populaires revécurent animant et colorant ses rues. Les chantiers de restauration se multiplièrent puis vint la consécration : le village fut accueilli au sein du club très select des Plus Beaux Villages de France… »

     Jean-Marie Pelt, Le Tour du Monde d'un Écologiste, Fayard Éditeur

    Économie

    Commerces

    • Brasserie Artisanale de Rodemack, fabrication de bières artisanales[18].
    • Garage Herfeld Philippe & fils, maintenance de véhicules auto et moto.
    • A deux pas du lavoir, épicerie, café, point relais. [19]
    • Atelier 8118, coiffure.
    • La grange à Georges, bar.
    • Salon de thé/petite restauration, terrasse d’été, ouvert toute l’année. Service continu de 10:30 à 20:30. Ouvert les jours fériés. Fermeture hebdomadaire: mardi et mercredi. Boissons et plats locaux. Consommation sur place et à emporter.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albert-Louis Piernet (dir.), Hemechtsland a Sprooch : Ruedemaacher, Feschtong vum Mëttelalter, H.A.S. (no 15), (ISSN 0762-7440)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Latinisation signifiant « ruine/muraille rouge ».
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    10. Correspondance noms de villes Français-Allemand
    11. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
    12. Reinhard Bauer et Angela Von Treuberg, « Les noms de défrichement en Allemagne occidentale », sur https://books.openedition.org/pumi/22317?lang=fr, (consulté le ).
    13. Passé-Présent : La Moselle dévoilée N°4 (Novembre-Décembre 2011)
    14. http://www.genealogie-lorraine.fr/blasons/index.php?dept=57&blason=RODEMACK
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. Site de la Brasserie Artisanale de Rodemack
    • Portail de la Moselle
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.