Uckange

Uckange est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Uckange

Hôtel de ville d'Uckange.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Val de Fensch
Maire
Mandat
Gérard Leonardi
2020-2026
Code postal 57270
Code commune 57683
Démographie
Gentilé Uckangeois
Population
municipale
6 829 hab. (2018 )
Densité 1 228 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 11″ nord, 6° 09′ 21″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 190 m
Superficie 5,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Thionville
(banlieue)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Fameck
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Uckange
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Uckange
Géolocalisation sur la carte : France
Uckange
Géolocalisation sur la carte : France
Uckange
Liens
Site web http://www.uckange-mairie.fr/

    Elle fait partie du pays thionvillois et de l'aire urbaine de Thionville.

    Géographie

    Uckange est située en France, au sud de Thionville, dans le département de la Moselle.

    Située à 158 mètres d'altitude, la rivière la Moselle, le ruisseau le Thilbach, le ruisseau du Moulin de Brouck sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune d'Uckange[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Uckange est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thionville, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[5] et 133 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,5 %), prairies (10,6 %), terres arables (9,4 %), eaux continentales[Note 3] (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), forêts (3 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    • D'un nom de personne germanique Hucho[12] ou Uko[13] suivi du suffixe -ing francisé en -ange.
    • Anciens noms[12],[14],[15] : Utingas (1106 & 1152), Uegeheim (1115), Uckinga (1178), Ukenge (1181), Ukenges & Hukanges (1224), Ukange (1262), Unquenghem (1302), Eukanges (1361), Ucquainge (1458), Ukignen (XVe siècle), Ukinga (1517), Huchenigen (1544), Uckingen (1574), Huckange (1790).
    • En allemand : Ueckingen[14], Ückingen (1871-1918/1940-1944). En francique lorrain : Ickéngen[16] et Ickéng.

    Histoire

    Les premières traces des Uckangeois remontent à plus de 6 000 ans avec la mise au jour dans les années 1960 de vestiges entre Ébange et Uckange ; sise dans un secteur fort disputé dans le Moyen Âge, la commune d’Uckange s’est vue tantôt luxembourgeoise, allemande et française au fil des siècles.

    Dépendait de l’ancien duché de Luxembourg, dans la seigneurie de Richemont-Rodemack. Cédée à la France en 1659 (traité des Pyrénées).

    En 1817, Uckange, village de l’ancienne province des Trois-Évêchés (après 1659), situé à gauche de la Moselle, avait pour annexe la ferme de Brouck. À cette époque il y avait 671 habitants répartis dans 130 maisons.

    La ville connaîtra son plus important essor à la fin du XIXe siècle, avec l’implantation des usines à fontes STUMM.

    Aujourd’hui cette usine, qui produisait de la fonte, est fermée depuis 1991, mais un haut fourneau, le U4, subsiste et est inscrit sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[17].

    Un vaste projet culturel permet, depuis 2005, de mettre en valeur ce patrimoine industriel. L’aménagement du jardin des traces s’élargira dans les années qui suivent vers la réhabilitation des structures en vue de les faire visiter par le plus grand nombre. Les premières visites ont débuté en septembre-.

    Bien que relativement modeste, la ville a connu une grande importance par le passé : située sur l’axe de la voie romaine conduisant vers Trèves, au bord de la Moselle, dotée d’un réseau ferroviaire depuis 1850, c’est tout naturellement que le transit aidera à l’accroissement du tissu économique et donc de la démographie.

    Uckange est également connu par les amateurs (collectionneurs) de bière car la Maison Ensel brassera de 1868 à 1940 et également pour sa spécialité, la Wagotine[18], produite depuis 1961.

    Ville au passé ouvrier marqué, Uckange possède une des communautés maghrébines les plus importantes de Moselle.

    Langue

    Linguistiquement la commune était germanophone (luxembourgeoise) jusqu'au XIXe siècle. Par la suite la langue française a fini par dominer.
    En 1887 la frontière linguistique passait à travers la commune[19], elle était donc bilingue.

    Histoire de l'usine d'Uckange

    Le site du haut fourneau U4, aujourd'hui transformé en parc.

    Entre 1890-1891 et 1897-1898, une batterie de quatre hauts fourneaux est construite à l’usine d’Uckange par les frères Stumm ; elle est complétée en 1904 par deux autres hauts fourneaux. Placée sous séquestre après la guerre de 1914-1918, l’usine est reprise dès 1919 par la Société des forges et aciéries du Nord et de Lorraine. Au début des années 1920, l’usine compte six hauts fourneaux, puis quatre au début des années 1930. Entre 1932 et 1935, les hauts fourneaux d’origine sont remplacés par des installations nouvelles. En 1965, l'entreprise change de raison sociale pour devenir les « Hauts Fourneaux Réunis de Saulnes et d’Uckange » (HFRSU). Le U2 est mis à l’arrêt en 1964-1965. En 1974, trois hauts fourneaux sont à feu : le U1, le plus gros, est chargé par skips et produit de la fonte hématite destinée aux aciéries voisines, alors que les U3 et U4, chargés par bennes Staehler, restent spécialisés dans les fontes de moulage. Le , le haut fourneau no 4 (U4), reconstruit en 1976 mais dont la mise à feu a été retardée par la mauvaise conjoncture économique, est allumé.

    En 1991, le site d’Uckange est définitivement arrêté, les hauts fourneaux no 1 et 4 sont éteints. Le U4 est inscrit définitivement au titre de monument historique en 2001. En 2015, les magasins généraux du fourneau U4 sont en travaux pour accueillir la plateforme MetaFensch de recherche sur la métallurgie et les procédés voulue par François Hollande[20].

    Tourisme industriel

    Vue du haut fourneau depuis le jardin des traces.
    Haut fourneau d'Uckange.

    Depuis le , le site est accessible au public[21]. Il ferme ses portes pour l’hiver (visites de groupes programmables par l’entremise de l’office de Tourisme à Hayange pour rouvrir en 2008, du 1er mai au . Visites guidées par d’anciens sidérurgistes les week-ends et jour fériés.

    Le « Parc du haut fourneau U4 », devenu propriété de la Communauté d'agglomération du Val de Fensch en 2005, a fait l’objet de différentes campagnes de travaux afin de permettre sa réouverture partielle au public et la mise en lumière du haut fourneau par Claude Lévêque, artiste plasticien de renommée internationale[22].

    Héraldique

    Blason
    Parti d'azur à trois fasces d'or, et fascé d'or et d'azur de six pièces, en sautoir, deux marteaux de sable brochant sur le tout.
    Détails

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Après ce 2d tour de l'élection présidentielle à Uckange, Emmanuel Macron (En Marche!) est en tête du scrutin, crédité de 63,53% des suffrages. A la deuxième place Marine Le Pen (FN) obtient un score de 36,47%.

    Parmi les votants, 4,81% ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 François Meunier    
    1945 mai 1953 Paul Mangin    
    mai 1953 mars 1965 Paul Jalve    
    mars 1965 1968 Ernest Krag    
    1968 mars 1989 Jean Frentzel PS Enseignant et directeur d'école
    Conseiller général du canton de Florange (1976 → 1988)
    mars 1989 2003
    (démission)
    Michel Paradeis PS Conseiller pédagogique
    Conseiller général du canton de Florange (1988 → 2008)
    Président de la CA du Val de Fensch (2001 → 2008)
    2003 En cours Gérard Léonardi PS Professeur de technologie retraité
    Conseiller régional de Lorraine (2004 → 2010)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 6 829 habitants[Note 4], en augmentation de 8,14 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    5225486187849781 0521 2121 2681 168
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    1 2231 0218921 0561 3682 0882 3782 4192 283
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 6253 2922 8352 9604 0087 66110 32611 5609 524
    1990 1999 2006 2011 2016 2018 - - -
    9 1897 9057 3566 6886 7936 829---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28]. |recens-prem=2006 |no.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    On constate une forte chute démographique depuis quelques décennies. En 1975, il y avait 11 560 Uckangeois. En 1999, ils n'étaient plus qu'au nombre de 7 905. En 2011, il n'y avait plus que 6 688 personnes à Uckange. La plupart des communes de l'Ouest thionvillois connaissent aussi de lourds handicaps démographiques comme Uckange.

    Sécurité

    La commune est classée depuis 2012 en zone de sécurité prioritaire, avec renforcement des effectifs de la gendarmerie nationale. En effet, la commune « souffre plus que d’autres d’une insécurité quotidienne et d’une délinquance enracinée »[29] et « connaît depuis quelques années une dégradation importante de ses conditions de sécurité »[29], ce qui a été identifié comme tel par le Ministère de l'Intérieur du Gouvernement Jean-Marc Ayrault, permettant ainsi à ce territoire de bénéficier de gendarmes supplémentaires.

    Cultes

    Uckange possède une église catholique. Elle se situe dans le centre-ville, près de la mairie et est dédiée à sainte Barbe, protectrice des mineurs et des sidérurgistes.

    La ville dispose également d'une mosquée et d'un temple protestant.

    Enseignement

    Les élèves de la ville sont rattachés à l'académie de Nancy-Metz qui fait partie de la Zone B.

    La ville administre quatre écoles maternelles et quatre écoles primaires.

    Le département gère un collège, le collège Jean-Moulin. Il reçoit les élèves originaires d'Uckange et de Richemont.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    L'église Sainte-Barbe (XIXe siècle).
    Temple protestant.

    Patrimoine archéologique.

    Cimetière israélite.
    • Passage d’une voie romaine près du moulin d’Ebange.
    • Fragment sculpté portant une triple représentation d’Epona.
    • Maisons XVIIIe siècle.

    Édifices religieux

    • Cimetière musulman
    • Cimetière chrétien
    • Cimetière israélite, rue des Vergers de 1876[30].
    • Église Sainte-Barbe[31], de style néogothique (1868) et ses grandes orgues[32],[33],[34]. Cette église fut un lieu de pèlerinages qui attira de très nombreux fidèles. Par exemple, en 1933, près de 4 000 pèlerins y chantèrent « les louanges de Marie ». Le premier pèlerinage Marial à Uckange a vu le jour en 1876. Il s'agit de l’un des plus anciens de France.
    • Grotte de Lourdes.
    • Calvaire XVIIe siècle.
    • Temple protestant réformé, rue du Temple construit en 1957.
    • Synagogue construite en 1780, détruite au cours de la Seconde guerre Mondiale.
    • Mosquée Assahaba (1989).

    Patrimoine industriel

    Patrimoine naturel

    • Jardin des Traces. Situé au pied du haut fourneau U4 classé monument historique, le jardin des traces s’étend sur ce qui était, entre autres, l’usine d’agglomération. Il se divise en trois grands jardins qui s’articulent autour d’un mail minéral en béton qui symbolise une coulée de fonte. Les 3 jardins (alchimie, sidérurgiste et énergie) sont « les traces » du passé sidérurgiste du site. L’alchimie avec les matières premières et la transformation de ces matières en fonte grâce au haut fourneau, l’énergie et les hommes mettant en œuvre cette transformation. Ces jardins rappellent les paysages, et autres spécificités de ces pays. Les sculptures de Pierre Luu, créées spécialement pour le site, illustrent de façon ludique les quatre éléments de l’alchimie.
    • Le Jardin de l’Alchimie est un parcours de structures minérales et végétales, permettant de découvrir les quatre éléments, leurs symboles, leurs rôles pour la nature, pour l’homme, pour la sidérurgie.
      • Dans la nature, les éléments Terre, Feu, Air et Eau ont permis la vie sur notre planète.
      • Dans la sidérurgie, l’homme a utilisé les quatre éléments pour produire la FONTE au sein des hauts fourneaux.
      • L’alchimie est l’art ancestral d’associer des éléments contre nature afin d’obtenir une richesse. Le jardin de l’alchimie associe la sidérurgie et l’art des jardins, sujets apparemment contre nature, pour créer une nouvelle richesse : la découverte, l’art, la culture.
    • Le jardin du sidérurgiste rend hommage aux hommes, en particulier les immigrés italiens, polonais, portugais, espagnols et nord-africains qui ont quitté leur pays par centaines et qui ont travaillé dans les usines lorraines, en particulier dans le secteur de la sidérurgie.
    • Le jardin des énergies. Ouverture en 2012.
    • Berges de la Moselle.

    Uckange et le cinéma

    Trois documentaires :

    • « Sous le Gueulard la Vie » (Emmanuel Graff et Isabel Gnaccarini, VPS Lausanne prod)
    • « L'Héritage de l'Homme de Fer » (Emmanuel Graff et Stéphane Bubel, la Bascule prod., Nancy)
    • « La Trace des Pères » (Emmanuel Graff, Textes de Hamé/La Rumeur, Faux Raccord prod, Metz)

    → Trois documentaires DVD disponibles sur le site U4 et à l'office du tourisme de Hayange. Également: egraff@worldcom.ch.

    Uckange et la télévision

    Le téléfilm Amours à mort, de la série Meurtres à..., rend hommage à l'histoire sidérurgique de la commune et au haut-fourneau U4, en y plaçant son intrigue et la scène de crime qui sert de point de départ au téléfilm.

    La répression par Valéry Giscard d'Estaing des radios libres "Lorraine cœur d'acier" et "Radio-Quinquin'", sur fond de désindustrialisation forcée sera aussi la trame du téléfilm policier de 2020 Les Ondes du souvenir, succès populaire avec une audience leader de 5,4 millions de téléspectateurs[38].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Michel Printz et Bernard Colnot, Uckange, hier et aujourd'hui, éditions Serge Domini
    • Didier Van cauwelaert, Un aller simple (Prix Goncourt 1994, l'histoire se déroule en partie à Uckange)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Ville d'Uckange, la Mairie d'Uckange et sa commune (57270) », sur Annuaire-Mairie (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Thionville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Toponymie générale de la France: Tome 2 - Ernest Nègre
    13. Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 18, 1863.
    14. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    15. Mémoires de l'Académie nationale de Metz - Volume 45 (1865)
    16. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
    17. Notice no PA00135420, base Mérimée, ministère français de la Culture Usine sidérurgique : Éléments inscrits sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 11-11-2001 : haut fourneau ; machine de production ; vestibule ; escalier ; chaufferie ; bureau
    18. La confiserie artisanale de la « Godet-Wagonnet » « Copie archivée » (version du 20 mai 2013 sur l'Internet Archive).
    19. Constant This, Die deutsch-französische Sprachgrenze in Lothringen, Strassburg, Heitz, 1887, p. 23 et 24
    20. « MetaFensch à Uckange : livraison prévue pour fin février 2016 », sur republicain-lorrain.fr, (consulté le ).
    21. le clip « M. Boulot » de Éric Frasiak), a été tourné dans le Parc du haut-fourneau U4.
    22. L'œuvre de Claude Lévêque « Tous les soleils ». Commande publique réalisée avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication - Délégation aux Arts Plastiques / Direction Régionale des Affaires Culturelles de Lorraine
    23. « Uckange (57270)  : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
    24. Les maires d'Uckange
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. [PDF]« Création de 49 nouvelles Zones de Sécurité Prioritaires (ZSP) - dossier de presse », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
    30. Sur les traces du patrimoine juif mosellan.
    31. Église Sainte-Barbe d’Uckange
    32. L'église Sainte-Barbe d'Uckange et ses grandes orgues
    33. Inventaire Orgue F.Haerpfer de Uckange
    34. Jehan Alain Postlude pour l'Office de Complies Didier Hennuyer Orgue Uckange
    35. Huckange : Son Patrimoine industriel
    36. Le site d’Uckange et ses spécificités. Actes du Colloque « Patrimoine Industriel du val de Fensch » du 23 mars 2002
    37. Uckange
    38. Ozap Actu audiences
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