Rivecourt

Rivecourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Rivecouriens ou plus couramment les Rivecourtois.

Rivecourt

L'église Saint-Wandrille.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Grégory Huchette
2020-2026
Code postal 60126
Code commune 60540
Démographie
Gentilé Rivecouriens ou Rivecourtois (plus courant)
Population
municipale
610 hab. (2018 )
Densité 158 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 55″ nord, 2° 44′ 08″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 120 m
Superficie 3,87 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lacroix-Saint-Ouen
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Rivecourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Rivecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Rivecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Rivecourt
Liens
Site web https://www.rivecourt.fr/

    Géographie

    La commune est située dans le département de l'Oise, près de la rive droite de l'Oise et près de la voie ferrée de Creil à Aulnoye-Aymeries, non loin de Compiègne, au pied du versant sud d'une butte-témoin boisée dite La Butte du Moulin culminant à 120 m au-dessus du niveau de la mer. L'Oise matérialise la limite sud du territoire communal, partagé entre surfaces agricoles et parcelles boisées. Avec une petite superficie de seulement 3,87 km2, Rivecourt se classe en 608e rang des 664 communes de l'Oise[1]. Rivecourt est une commune résidentielle à caractère rural, en dehors de toute agglomération[2]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 61 km[3]. Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de 10 km[4], et le chef-lieu de département Beauvais de 48 km[5]. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 43 km au sud[6].

    Communes limitrophes de Rivecourt[7]
    Le Meux
    Longueil-Sainte-Marie
    Verberie Lacroix-Saint-Ouen
    Vue vers la butte du Moulin.

    Sur le plan des voies de communication, deux routes départementales sont présentes à Rivecourt et traversent le territoire communal dans un sens nord-est, sans passer par le centre du village. La RD 13 est une route de desserte locale de la moyenne vallée de l'Oise et relie Compiègne à Pont-Sainte-Maxence. Les grands flux de circulation sont quant à eux absorbés par la voie rapide de la RD 200 Creil - Compiègne, qui passe entre la voie ferrée et l'Oise. L'échangeur le plus proche qui y donne accès se situe sur la commune voisine du Meux, à une distance routière de km environ. La RD 200 établit la liaison avec d'autres routes importantes, dont l'autoroute A1 par son échangeur n° 9 « Pont-Sainte-Maxence / Compiègne sud » sur la commune voisine de Longueil-Sainte-Marie. Pour l'atteindre, il faut toutefois passer par Le Meux, dans le sens opposé. Rivecourt ne possède pas de gare sur son territoire, mais la gare de Longueil-Sainte-Marie n'est éloignée que de 1,5 km. Elle est desservie par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent neuf trains dans chacun des deux sens, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 54 min pour Paris et de 13 min pour Compiègne[9]. Il n'existe pas de ligne de transport en commun à Rivecourt, hormis la ligne départementale n° 33B (renforts scolaires) permettant aux élèves de rejoindre les différents établissements de Compiègne[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 672 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[17] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 47 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[21] à 10,6 °C pour 1981-2010[22], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Rivecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lacroix-Saint-Ouen, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[27] et 7 573 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), eaux continentales[Note 7] (22,3 %), forêts (19,8 %), zones urbanisées (9,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].

    Toponymie

    Vue aérienne de Rivecourt.

    Histoire

    La commune de Rivecourt est réputée pour son prieuré qui fut fondé au VIIe siècle, à la suite d'un don du roi à l'abbaye de Saint-Wandrille (charte royale de 693 confirmée en 704). L'église et le prieuré de Rivecourt ont été reconstruits après l’incendie de 895 à la suite des invasions normandes, puis vers 1513 sous Louis XII. Le prieuré de Rivecourt a abrité jusqu’en 1596, date à laquelle il fut sécularisé, une communauté de douze moines qui suivaient la règle de saint Benoît. Ils sont à l'origine de la construction de l'église Saint-Wandrille.

    Lors d'épisodes orageux la nuit du 26 au , la commune est touchée par d'importantes chutes de grêlons. D'après le maire, les deux tiers des toitures des habitations sont endommagées et de nombreuses voitures ont la toiture enfoncée[34].

    Héraldique

    Blason
    Inconnu.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jean Varenne    
    mars 2008 mars 2014 [35] Roger Beaumont    
    mars 2014[36] En cours
    (au 27 septembre 2014)
    Annick Lefebvre    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 610 habitants[Note 8], en augmentation de 7,39 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    255231282270282296307302312
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    304294260259269271289283270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    246245253298304269260256312
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    301321331373383459500525578
    2018 - - - - - - - -
    610--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,4 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 25,6 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 15,3 %) ;
    • 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 21,7 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
    Pyramide des âges à Rivecourt en 2007 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,0 
    3,0 
    75 à 89 ans
    5,3 
    11,9 
    60 à 74 ans
    14,1 
    21,1 
    45 à 59 ans
    18,7 
    25,6 
    30 à 44 ans
    22,4 
    15,5 
    15 à 29 ans
    17,8 
    22,4 
    0 à 14 ans
    21,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    Façade occidentale de l'église.
    Maison à côté du cimetière, comportant des vestiges du prieuré.

    Monument historique

    Rivecourt ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Wandrille (inscrite monument historique par arrêté du , avec le cimetière attenant[43]) : Elle a été fondée par l'abbaye Saint-Wandrille de Fontenelle à l'époque mérovingienne, en 693. Primitivement, la paroisse de Rivecourt s'étend sur les villages voisins de Longueil-Sainte-Marie et Chevrières. Jusqu'à la fin du XVIe siècle, l'abbaye entretient un prieuré près de l'église. Il devient un simple bénéfice en 1596. La construction de l'église actuelle aurait débuté en 1513, et sa grande homogénéité stylistique permet de déduire que le chantier progresse assez rapidement, avec un achèvement vers 1530. L'ensemble de l'édifice est de style gothique flamboyant, et malgré ses petites dimensions et sa hauteur modeste, son architecture est de bon niveau. Le portail occidental est l'un des plus richement décorés de la région, et l'espace intérieur bénéficie de piliers ondulés et d'une modénature aboutie, hormis dans le bas-côté. Cependant, la mise en œuvre n'est pas toujours soignée. Sur le portail, l'emploi d'une pierre trop tendre s'est soldé par une perte d'une partie importante du décor sculpté, et les voûtes du transept sont très irréguliers. Dans son ensemble, l'église Saint-Wandrille demeure pour autant un témoin précieux de la reconstruction flamboyante après la guerre de Cent Ans en milieu rural, et les restaurations modernes se limitent à une réfection partielle du décor du portail[44],[45].

    Autres éléments du patrimoine

    • Château de Rivecourt, rue du Château : son jardin d'agrément datant pour partie du XVIIe siècle, sinon du troisième quart du XXe siècle, a été retenu pour le pré-inventaire des jardins remarquables[46]. Le château abrite aussi le chenil de l'équipage de chasse à courre[47] qui déclencha une polémique dans la presse après avoir abattu un cerf célèbre[48].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[14].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Résumé statistique national (fichier Excel) », sur Insee (consulté le ).
    2. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Rivecourt et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Rivecourt et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Rivecourt et Beauvais », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Rivecourt et Tremblay-en-France », sur Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    7. « Communes limitrophes de Rivecourt » sur Géoportail..
    8. « Communes limitrophes de Rivecourt » sur Géoportail..
    9. [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
    10. [PDF] « Horaire de la ligne 33B (renforts scolaires) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Évolution et structure de la population à Rivecourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. Notice no PA00114840, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 60-63.
    45. Eugène Müller, Courses archéologiques autour de Compiègne, Compiègne, Progrès de l’Oise, , 84 p. (lire en ligne [PDF]), p. 231.
    46. « Jardin d'agrément du château », notice no IA60001472, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Equipage de Rivecourt », sur Vènerie.org (consulté le ).
    48. Ouest-France, « Black, célèbre cerf de la forêt de Laigue, abattu lors d’une chasse à courre dans l’Oise », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
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