Pourrières

Pourrières est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pourrières

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Sébastien Bourlin
2020-2026
Code postal 83910
Code commune 83097
Démographie
Gentilé les Pourriérois
Population
municipale
5 177 hab. (2018 )
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 12″ nord, 5° 44′ 00″ est
Altitude Min. 239 m
Max. 872 m
Superficie 56,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pourrières
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Pourrières
Géolocalisation sur la carte : Var
Pourrières
Géolocalisation sur la carte : France
Pourrières
Géolocalisation sur la carte : France
Pourrières

    Ses habitants sont appelés les Pourriérois.

    Géographie

    La commune de Pourrières est située à l'ouest du département du Var, à sa limite avec les Bouches-du-Rhône. À l'est de la montagne Sainte-Victoire, le village occupe un coteau dominant la plaine viticole arrosée par l'Arc.

    Le point culminant (872 m) se trouve au sud de la commune, dans le massif du mont Aurélien.

    Géologie et relief, patrimoine naturel et protection

    Le sud de la commune, occupé par le massif du mont Aurélien fait partie du périmètre du parc naturel régional de la Sainte-Baume.

    La commune est également couverte par trois ZNIEFF, deux au sud qui concerne le mont Aurélien, dont une ZNIEFF de type 1 sur les crêtes, et « Le massif de la Gardiol » dans les collines du nord-ouest de la commune[1]. Le site classé « massif du Concors » couvre les collines du nord de la commune dans leur intégralité[2].

    Localisation

    Le climat de la commune est de type climat méditerranéen avec été tempéré ("Csb" selon la classification de Köppen)[3].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Panorama depuis le chemin Saint-Pierre.
    Entrée par la route de Pourcieux.

    Voies routières

    Le centre est à 3 km au nord de la N 7, à 27 km d'Aix-en-Provence et 16 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. L'autoroute A8 traverse la commune, selon une orientation est—ouest.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Outre les transports scolaires existants, la commune est desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ![4].

    La gare SNCF la plus proche est la gare de Gardanne.

    Environnement et risques naturels

    Risque sismique et retrait-gonflement des argiles

    La commune de Pourrières est en zone sismique de très faible risque[5].

    La commune a fait l’objet de trois arrêtés de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle relatifs aux retrait-gonflement des argiles[6].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[7]:

    Toponymie

    Pourrières s'écrit en provençal Pourriero selon la norme mistralienne et Porriera selon la norme classique[réf. nécessaire].

    Histoire

    La localité est citée en 1145 comme De Poreriis ; la tradition donne comme étymologie probable soit le vocable latin Campi Putridi, en raison du charnier laissé par Marius après la bataille d'Aix, où il écrasa les Cimbres et les Teutons en 102 av. J.-C., soit du provençal pòrri (les poireaux, abondants à Pourrières). Il est plus probable que le nom provienne du caractère perché du village (podium reriis), la plupart des villages voisins de la haute vallée de l'Arc ayant cette désignation : Peynier : podium nigra, le puy noir ; Puyloubier ; Pourcieux ou encore le Pain de munition : podium munita, le pic fortifié, triple enceinte de pierre de l'âge du fer sur Pourrières au nord de la commune.

    Le Moyen Âge

    Isnard de Glandèves (1340-1409), viguier de Marseille (1380), lieutenant du sénéchal (1405), fut seigneur de Cuers, de Pourrières et de Glandèves. Il fut le premier enfant de Guillaume Féraud de Glandèves, seigneur de Cuers et de Thorame et de Louise de Villeneuve. Il fut selon le baron du Roure "un des seigneurs les plus puissants et les plus considérés de Provence[21]". Il fut l'objet de la reine Marie de Blois qui le couvrit de dons.

    Jean de Sabran (?-av.1384), capitaine d'Aix (1367), châtelain d'Aix (1370), viguier de Marseille (1381), fut seigneur d'Ansouis et grand chambellan de la reine Jeanne[22]. Il était le troisième fils de Guillaume de Sabran, baron d'Ansouis et comte d'Ariano. Jean épousa avant 1351, Isoarde de Roquefeuil, dame de Puyloubier, de Belcodène et de Mimet, fille d'Isnard de Puyloubier, seigneur de Puyloubier et de Roquefeuil[23]. Il eut de longs problèmes avec son frère Guillaume au sujet de l'héritage paternel, si bien que la reine Jeanne dut intervenir. Le 9 mars 1351, il prêta hommage pour Puyloubier à la reine Jeanne[24].

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le roi de France, Charles VI, intervient et envoie le sénéchal de Beaucaire, Enguerrand d’Eudin, qui fait la conquête du château de Pourrières à l’été 1383. Lorsque Louis Ier meurt et que sa veuve, Marie de Blois, arrive en Provence pour défendre les droits de son fils Louis II, elle réclame que le sénéchal lui cède la ville, ce qu’il refuse par instruction du roi de France[25].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la pyramide d'argent, maçonnée de sable, sur un piédestal aussi d'argent sur lequel sont gravés ces deux mots CAIVS, MARIVS, l'un sur l'autre, en lettres capitales aussi de sable, le tout accosté en chef des lettres P et S capitales d'or.
    Commentaires : Dans la version moderne du blason (non représentée), le nom de Pourrières est écrit sur le monument et ce sont les initiales de Caius Marius qui apparaissent en chef[26].

    Économie

    Agriculture

    Tourisme

    Pourrières fait partie des 37 communes du pays de la Provence Verte labellisé Pays d’art et d’histoire et de la communauté d'agglomération de la Provence Verte qui compte 28 communes membres.

    Commerces

    • Commerces et services de proximité[32].
    • Autres commerces[33] à Trets, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Auguste Bonnet   Ingénieur des Arts et Métiers

    (décès)
    Fernand Estrailler   Instituteur retraité
    Louis Michel[35]
    Fils de Jules Michel
    SFIO puis PS Retraité de l’Armée de l’Air
    Michel Delenne UG  
    Jacques Gouirand    
    en cours Sébastien Bourlin DVD puis UDI Professeur de faculté en disponibilité
    Conseiller départemental du canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (2015 → )
    12e vice-président du conseil départemental du Var (2015 → )
    7e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → )

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

    • total des produits de fonctionnement : 5 195 000 , soit 997  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 5 159 000 , soit 990  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 2 059 000 , soit 395  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 2 300 000 , soit 441  par habitant.
    • endettement : 3 495 000 , soit 671  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 15,68 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,97 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 102,07 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 570 [37].

    Politique environnementale

    La commune fait partiellement partie du parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [38].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte.

    Urbanisme

    Typologie

    Pourrières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[39],[40],[41]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pourrières, une unité urbaine monocommunale[42] de 5 155 habitants en 2017, constituant une ville isolée[43],[44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[45],[46].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[47] et relève du schéma de cohérence territoriale de la Provence verte, approuvé en [48].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,5 %), cultures permanentes (25,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,1 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (1,4 %)[49].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[50].

    Population et société

    Pyramide des âges

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

    En 2018, la commune comptait 5 177 habitants[Note 3], en augmentation de 8,9 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7501 7001 7731 8531 8931 8181 7661 7261 716
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7191 7801 7201 6641 5491 3801 2951 1711 181
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1651 1741 1529499711 008930866897
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9059801 2701 7182 6313 9854 3894 4935 123
    2018 - - - - - - - -
    5 177--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements :

    • Groupe scolaire[55]:
    • La commune dispose de deux écoles maternelles et d'une école élémentaire[56].
    • Les collèges se trouvent à Trets, Rousset, Peynier, Saint-Maximin-la Sainte-Baume et les lycées à Fuveau, Peynier, Saint-Maximin-la Sainte-Baume[57]

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[58] :

    • Médecins à Pourrières, Puyloubier, Trets,
    • Pharmacies à Pourrières, Trets, Peynier, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume,
    • Les établissements hospitaliers les plus proches sont à Ollioules, Toulon, La Garde, Brignoles, Gassin, La Seyne-sur-Mer, Draguignan, Aix-en-Provence.[59].

    Cultes

    Personnalités liées à la commune

    • Louis-Chrysostome Michel (1797-1853), dit Michel de Bourges, avocat et homme politique, né dans la commune.
    • Émile Rigaud (Pourrières, 1814 – Aix-en-Provence, 1890), maire d'Aix-en-Provence de 1849 à 1863.
    • Germain Nouveau (1851-1920), poète, ami de Verlaine et de Rimbaud.
    • Joseph Pascal (1886-1982), écrivain, enseignant à Pourrières[62].
    • La pianiste Jacqueline Eymar (1922-2008), Grand Prix du Disque pour Le Zodiaque de Georges Migot, qui a consacré sa carrière à la musique de chambre avec le Trio Kehr (Allemagne), a vécu de 1984 jusqu'à sa mort aux Hermentaires, commune de Pourrières.

    Lieux et monuments

    Le couvent des Minimes.
    Domaine du Planet vu du ciel.
    • Hôtel de ville[63],[64].
    • L'église Saint-Trophime[65], et ses deux cloches du XVIIIe siècle[66],[67].
    • Ancien couvent des Minimes[68], fondé en 1568 et qui cessa toute activité en 1770.
    • Le Mémorial de Caius Marius[69],[70].
    • La place du Château, belvédère.
    • Ruines du château de Roquefeuil, berceau d'une Famille de Roquefeuil. La famille de Roquefeuil[71], en Provence, est issue des vicomtes de Marseille, et s'est éteinte au XVIIIe siècle. Elle tient son nom d'un fief de Roquefeuil (1340), situé sur la commune. Elle commença avec Raymond de Roquefeuil (1293), cinquième fils de Burgondion (+1246), vicomte de Marseille, seigneur de Trets et d'Ollières, et de Mabille d'Agoult, et prit fin avec Gabrielle d'Agoult d'Ollières, dame de Roquefeuil, héritière de cette branche cadette de la famille d'Agoult d'Olières, mariée le au château de Roquefeuil à Pourrières avec Pierre Isoard de Chénérilles.
    • La fontaine du XVIe siècle[72],[73].
    • Monument aux morts[74],[75],[76].
    • Centre européen de modélisme aérien (CEMA) au domaine du Planet[77],[78].

    Jumelages

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Inventaire national du patrimoine naturel » (consulté le ).
    2. « Concors, site classé pour sa valeur paysagère » (consulté le ).
    3. Le climat à Pourrières
    4. Réseau régional de transports en commun Zou !
    5. sismicité du Var sur le site de la préfecture
    6. Porter à connaissance communal : Retrait-gonflement des sols argileux
    7. L'eau dans la commune
    8. Rivière L'arc
    9. Ruisseau de Rocle
    10. Ruisseau de Saint-Pancrace
    11. Ruisseau de Montvallon
    12. Ruisseau de Sainte-Catherine
    13. Ruisseau des Avalanches
    14. Ruisseau du Chapelet
    15. Ruisseau de la Gardi
    16. Ruisseau de la Partie
    17. Ruisseau de Saint Ser
    18. Ruisseau de Beauvoisin
    19. Ruisseau de la Baume
    20. Ruisseau de Saint-Pons
    21. Baron du Roure, Glandèves, p.14
    22. AD du 13, 1 mi 33, parch
    23. Gérin-Ricard, Actes, tableau généalogique
    24. Gérin-Ricard, Actes, p.217
    25. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 407 et 413 (note 61).
    26. Sainte Baume Mont Aurélien : Pourrières, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    27. « coopérative vinicole La Fraternelle », notice no IA83001361, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Les domaines vinicoles
    29. Restaurants et hébergements
    30. Domaine du planet
    31. Le château de Roquefeuille
    32. Commerces et services de proximité
    33. Annuaire mairie
    34. La fiche biographique de MICHEL Jules, Marius, Stanislas sur le Maitron en ligne
    35. La fiche biographique de MICHEL Louis, Marius, Alphonse sur le Maitron en ligne
    36. Les comptes de la commune
    37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    38. décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
    39. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    41. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    42. « Unité urbaine 2020 de Pourrières », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    43. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    44. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
    46. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. PLU
    48. Schéma de Cohérence Territoriale de la Provence verte
    49. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    50. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    55. Groupe scolaire
    56. Établissements scolaires
    57. Collèges et lycées
    58. Professionnels et établissements de santé
    59. Aix en ProvenceLes établissements hospitaliers
    60. Paroisse Saint-Trophyme de Pourrières
    61. Chapelle Notre-Dame-du-Bois, de l'ancien couvent des Minimes (les Hermentaires)
    62. Joseph Pascal
    63. Hôtel de ville
    64. Ancien hôtel de ville puis maison
    65. Eglise Saint-Trophime
    66. Notice no PM83000427, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1726
    67. Notice no PM83000426, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1727
    68. « Couvent des Minimes (ancien) », notice no PA00081692, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. « Tombeau romain dit Trophée de Marius », notice no PA00081694, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    70. Fontaine (vieille)
    71. « bourg castral de Roquefeuil », notice no IA83001261, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    72. « Fontaine (vieille) », notice no PA00081693, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    73. Fontaine, dite Belle Fontaine
    74. Monument aux morts
    75. Mémoires de guerre du Var : le monument aux morts
    76. Les Monuments aux Morts du Var de la Guerre 1914-1918 : Pourrières. par Daniel Mouraux administrateur de la Shha
    77. Centre d'études et d'essais pour modèles autonomes (CEEMA)
    78. Centre Européen de Modélisme Aérien
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