Pollionnay

Pollionnay est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes, à 17 km à l'ouest de Lyon.

Pollionnay

Mairie de Pollionnay.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Intercommunalité CC des Vallons du Lyonnais
Maire
Mandat
Philippe Tissot
2020-2026
Code postal 69290
Code commune 69154
Démographie
Gentilé Pollionnois(es)
Population
municipale
2 761 hab. (2018 )
Densité 175 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 55″ nord, 4° 39′ 43″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 785 m
Superficie 15,8 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Vaugneray
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Rhône
Pollionnay
Géolocalisation sur la carte : Rhône
Pollionnay
Géolocalisation sur la carte : France
Pollionnay
Géolocalisation sur la carte : France
Pollionnay
Liens
Site web http://www.pollionnay.reseaudescommunes.fr

    Géographie

    Les informations de cette section sont issues du bulletin municipal[1].

    Localisation, communes limitrophes

    Carte de Pollionnay et des communes avoisinantes.

    Pollionnay est située à 18 km à l'ouest de l'agglomération lyonnaise, à l'amorce du territoire des monts du Lyonnais. Cette position géographique péri-urbaine lui permet de bénéficier de l'armature commerciale et économique de l'agglomération lyonnaise, tout en bénéficiant d'un cadre de vie de grande qualité. Ces éléments font de la commune de Pollionnay un secteur attractif, soumis à une forte pression urbaine. Larny, les Mandrières, les Martines, la Poizatière, la Rapaudière, Ponce et Valency sont les principaux hameaux.

    Climat

    À l’est, une influence continentale et, au sud, une légère influence méridionale. La commune est donc soumise à un type de climat continental tempéré de moyenne montagne. La pluviométrie annuelle est de l'ordre de 720 mm d'eau par mètre carré. Les températures moyennes minimales et maximales oscillent entre -1 et +26 °C.

    Relief

    Des monts et des combes boisées avec un plateau agricole en pente douce. Un aspect particulier avec à la fois de vastes échappées visuelles en direction des Monts d'Or, de l'agglomération lyonnaise - et parfois jusqu'au Bugey et aux Alpes, mais également un territoire perçu d'assez loin, du secteur de La Croix Laval et du Poirier, de Chaponost et Brignais. Ces perceptions très lointaines sur les coteaux de Pollionnay leur confèrent une sensibilité paysagère spécifique. Ce territoire communal est globalement dominé par les boisement et les parcelles agricoles.

    Géologie

    La commune s'inscrit en bordure « est » de l'ensemble géologique du Massif central, pour lequel les terrains granitiques et siliceux (roches métamorphiques) sont prédominants. La quasi-totalité du territoire est constituée d'un type de roche de granite alcalin.

    Hydrographie

    Ce territoire se situe dans le bassin versant de l'Yzeron (144 km2), de nombreux cours d'eau le traversent : le Poirier, le Larny, le Verdy, le Rizoud, le Ratier, les Presles, le Bouillon et le Mercier. L'Yzeron fait l'objet d'un "contrat de rivière". Concernant le Ratier, la qualité de l'eau est médiocre d'où les travaux d'assainissement en fin de réalisation.

    Pollionnay fait partie du syndicat intercommunal de distribution d'eau potable du sud-ouest lyonnais qui exploite principalement des puits de captage sur les communes de Brignais et de Vourles, et sur la zone de captage de Chasse sur Rhône en cas de besoin.

    Voies de communication

    • Voies routières
    • Pistes cyclables
    • Chemins de randonnée

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne 147 des cars du Rhône, qui la relie à Craponne, en passant par Vaugneray, chef-lieu du canton.

    Toponymie

    On mentionne le mot polesinus, policinus, pollicinus, pullicinus "mons, collis, locus editior" c'est-à-dire "la montagne, la colline, le lieu le plus élevé", qui en raison de la position géographique de la commune pourrait convenir.

    On trouve Puliniacus, Pullenai, Poyllenay, Poillenay, Pollenay, Pollonay, Polloigniacum, Pouillenay, Poillionay, Pollionay, aux XIIIe et XIVe siècles ; Pollionnay apparaît dès le XVIIe siècle, mais jusqu'à une époque récente le nom a été fréquemment orthographié Pollionay (notamment sur les cartes postales)

    Histoire

    Pollionay en 1901.

    Il existe des preuves d'une présence romaine : fondation de fort et aqueduc aujourd'hui disparu. À l'origine, au XIIIe siècle, Pollionnay appartenait aux comtes de Lyon, puis au XVIe, fut érigée en baronnie dépendant de l'archiprêtré de Courzieu. Le dernier seigneur de Pollionnay fut le marquis de Lorras exécuté en 1793,dans la plaine des Brotteaux, à la suite de la révolte de Lyon. Sous l'Ancien Régime, les bannis étaient conduits au col de la Croix du Ban, d'où l'origine de son nom.

    Héraldique

    Écartelé : aux premier et quatrième de gueules à trois merlettes d’or, aux deuxième et troisième d’azur à la fasce ondée d’argent.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[2]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1937 1961 Jean-Benoît Morel    
    1961 1989 Marcel Fougerouse    
    1989 1995 Raymond Duclos    
    1995 2008 Gilbert Marignier    
    2008 2020 Jean-Pierre Marquier    
    2020 en cours Philippe Tissot    

    Urbanisme

    Typologie

    Pollionnay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[6],[7].

    Le rythme annuel de construction a été de 9 logements par an entre 1999 et 2003.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,7 %), prairies (24,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), zones urbanisées (9,3 %), terres arables (3,5 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[11].

    En 2018, la commune comptait 2 761 habitants[Note 3], en augmentation de 25,22 % par rapport à 2013 (Rhône : +4,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    902624804844818798840892860
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    888833859833802774815803702
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    693712611550533506548541601
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    5336768661 0881 2621 5801 8231 8581 892
    2013 2018 - - - - - - -
    2 2052 761-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges à Pollionnay en 2007 en pourcentage[14].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ans ou +
    2,9 
    9,5 
    75 à 89 ans
    18,7 
    13,6 
    60 à 74 ans
    13,4 
    21,4 
    45 à 59 ans
    17,8 
    17,9 
    30 à 44 ans
    17,9 
    16,0 
    15 à 29 ans
    13,1 
    20,7 
    0 à 14 ans
    16,3 

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le revenu net imposable moyen par ménage pollionnois était de 30 070  en 2007, ce qui est supérieur à la moyenne départementale de 24 782  de 2007[15].

    Emploi

    Le taux d'activité des 15 à 64 ans en 2007 était de 73,2 %[16], alors que le niveau départemental était de 71,6 %. Le taux de chômage des 15 à 64 ans en 2007 était de 3,9 %[16], alors que le niveau départemental était de 10,1 %.

    Pollionnay compte 42,6 % d'actifs au sein de sa population pour une moyenne nationale de 45,2 % ainsi que 24,8 % de retraités pour une moyenne nationale de 18,2 %, 24,4 % de jeunes scolarisés pour une moyenne nationale de 25 % et 8,2 % d'autres personnes sans activité pour une moyenne nationale de 11,6 %[17].

    Répartition des emplois par domaine d'activité

      Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
    Pollionnay 1,8 % 15 % 15 % 26,9 % 25,1 % 16,2 %
    Moyenne Nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
    Sources des données : INSEE[18]

    Patrimoine

    Patrimoine civil

    La commune comprend un château datant du XVe siècle, avec un donjon bâti sur les ruines d'une forteresse romaine. Quelques blocs de pierre à la base en témoignent.

    Dessin de Joannès Drevet dans Aux environs de Lyon, 1892
    Dessin de Joannès Drevet dans Aux environs de Lyon, 1892 
    Vu depuis la route.
    Vu depuis la route. 

    Patrimoine religieux

    Au XVIe siècle, la commune comprenait déjà trois chapelles : le chœur de l'église actuelle (ancienne chapelle du château), celle de Larny et celle de Lorette.

    • L'église actuelle, Saint-Jean-Baptiste, est l'ancienne chapelle du château et bute contre un tilleul bicentenaire.

    Entre 1688 et 1692 des travaux de restauration (des vitrages, des portes, de l'autel, blanchissement du chœur) et la construction d'une chapelle seigneuriale sont effectués. Une date inscrite sur le clocher indique que celui-ci est restauré ou reconstruit en 1702. Le mobilier est saccagé au cours de la Révolution. L'église devenu trop petite est agrandie entre 1826 et 1829 sous l'impulsion de son jeune curé. De 1895 à 1899, Alexis Douce de la Salle y réalise des peintures sur commande de l'abbé Veyre[19].

    Joannès Drevet, Église et hameau de Larny, 1892.
    • La chapelle romane de Larny[20] : la chapelle de Saint-André de Larny est nichée au cœur du vieux hameau, à km au nord de Pollionnay.

    Il s'agit d'une ancienne église paroissiale, ainsi que l'indique un document daté de 1313, et comme le laisse présumer la présence encore actuelle d'un cimetière autour de l'édifice ; mais de façon fort curieuse a échappé à tous les pouillés du diocèse de Lyon et à toutes les visites pastorales. Mentionnée dès le XIIIe siècle, divers documents attestent qu'elle dépendait de la juridiction du chapitre de Saint-Just et était desservie par la paroisse de Sainte-Consorce sous l'obédience de Grézieu-La-Varenne. Elle fut cédée au seigneur de Pollionnay en 1577. Restaurée au XVIIe siècle, elle garde de l'architecture romane lyonnaise, l'abside voûtée à chevet plat et sa petite baie. Le clocher et la croix du cimetière de 2,55 m du XVIIe siècle méritent l’attention.

    • La chapelle de Lorette a été bâtie dans la seconde moitié du XVIe siècle par le seigneur de Pollionnay, Yves de Balarin, en exécution testamentaire de son père Étienne de Balarin.

    Selon la tradition orale, Étienne de Balarin aurait demandé la construction de cette chapelle à la suite d'un vœu fait à Notre-Dame de Lorette pour obtenir la guérison de l'une de ses filles.

    Patrimoine environnemental

    • La réserve naturelle régionale de la mine du Verdy (RNR 79) à Pollionnay est une des douze « réserves nationales régionales » (RNR) de Rhône-Alpes. Première réserve naturelle volontaire du Rhône en 1990, première réserve naturelle régionale du Rhône en 2008, elle est aussi une des plus petites réserves naturelles de France avec 0,053 5 hectare.
    • L'ensemble boisé du col de la Croix du Ban au col de Malval sud est classé en espace naturel sensible d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF).

    Risques naturels

    La seule contrainte forte à prendre en compte se situe au niveau de la mine du Verdy : risque d'éboulement et de glissement de terrain.

    Équipements ou Services

    Enseignement

    • école publique Michel-Serres.

    Culture

    • médiathèque municipale[21]. Elle offre accès à diverses activités culturelles (expositions, concerts, pièces de théâtre, contes, conférences), un poste informatique public d'accès à Internet et permet la consultation sur place ou l'emprunt de livres, CDs et DVDs. Ses collections sont renouvelées en partie sur budget municipal et en partie grâce aux services de la médiathèque départementale du Rhône dont 400 000 documents sont réservables et livrés par navette mensuelle ou choisis et récupérés Chaponost. La convention avec la médiathèque départementale du Rhône permet par ailleurs aux inscrits de la bibliothèque municipale d'accéder à des services numériques spécifiques[22].Elle fait aussi partie du réseau Medi@val, regroupant 8 autres médiathèques de Marcy l'étoile, St Genis les Ollières, Grézieu la Varenne, Ste Consorce, Vaugneray, Messimy et Thurins.
    • école de musique.

    Sports

    • stade municipal ;
    • centre hippique labellisé "école française d'équitation" ;
    • deux circuits VTT permanents des monts du Lyonnais sont balisés au départ de Pollionnay.
    • site d'escalade (bloc) au col de la Croix du Ban[23].

    Santé

    • deux maisons de retraite (Publique et privée)

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Bulletin municipal no 89 - décembre 2004, révision du POS, pages 8 à 10.
    2. Vallons du Lyonnais réalisé par la Communauté de communes des vallons du Lyonnais, CCVL, 2000, p. 37.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    14. « Evolution et structure de la population à Pollionnay en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    15. Données INSEE - Unité urbaine : Pollionnay
    16. http://www.statistiques-locales.insee.fr/Fiches/RS/DEP/69/COM/RS_COM69154.pdf
    17. https://www.linternaute.com/ville/ville/emploi/26931/pollionnay.shtml
    18. Données démographiques d'après l'INSEE compulsées par L'internaute
      • La vierge du rosaire et saint Dominique, signée et datée 1895. Mur ouest de la chapelle de la Vierge.
      • Présentation de saint Jean-Baptiste au temple. Signée et datée 1896. Mur ouest de la chapelle saint Jean-Baptiste.
      • La Calvaire (centre), les Saintes femmes (gauche) Joseph d'Arimathie, Nicomède et un soldat romain. Signée et datée 1899. Pans de l'abside.
      • Blasons des chanoines comtes de Lyon et des seigneurs successifs de Pollionnay (chanoines-comtes de Lyon et des maisons de Feurs, d'Albon, de Pompières, de Balerin, de Rébé, de Cremeaux, de Loras, seigneurs successifs de Pollionnay du XIIIe au XVIIIe siècle ). Peinture disparues
    19. Site de la CCVL : http://www.cc-vallonsdulyonnais.fr/decouvrir/monuments.htm
    20. Page consacrée à la médiathèque sur le site officiel de la commune de Pollionnay
    21. Portail de la médiathèque départementale du Rhône
    22. FFME, Escalade autour de Lyon, (ISBN 978-2-908330-37-3 et 2-908330-37-7).
    23. L'Araire no 140 - mars 2005, Évelyne VACHER, pages 86 à 95.
    24. L'Araire no 140 - mars 2005, Jacqueline PRADELLE, pages 71 à 78.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Département du Rhône, [Comité du pré-inventaire des monuments et richesses artistiques du Rhône] et Henri Hours (dir.), Pré-inventaire des monuments et richesses artistiques : [Monographies communales], vol. 29 : Pollionnay, Lyon, Comité du pré-inventaire des monuments et richesses artistiques du Rhône, , 151 p., 24 cm (ISBN 2-910865-10-X, OCLC 468603463)
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