Plouguiel

Plouguiel [plugjɛl] (en breton Priel) est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Plouguiel

Le château de Kéralio.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Pierre Huonnic
2020-2026
Code postal 22220
Code commune 22221
Démographie
Gentilé Plouguiellois
Population
municipale
1 747 hab. (2018 )
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 53″ nord, 3° 14′ 22″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 71 m
Superficie 19,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tréguier
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Plouguiel
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Plouguiel
Géolocalisation sur la carte : France
Plouguiel
Géolocalisation sur la carte : France
Plouguiel
Liens
Site web http://www.mairie-plouguiel.fr

    Ses habitants sont les Plouguiellois et les Plouguielloises.

    Géographie

    Plouguiel est située dans l'ancienne province de Bretagne du Trégor. La commune est délimitée à l'est par la rivière de Tréguier, au sud par le Guindy et au nord-ouest par le ruisseau de Lizildry qui se jette dans la rivière de Tréguier par la baie d'enfer. Le bourg de Plouguiel se situe au sud-est du territoire de la commune et est séparé de la ville de Tréguier par le ria du Guindy. Le petit port de la Roche-Jaune se situe au nord-est de la commune et donne sur la rivière de Tréguier, et donne lieu à une exploitation conchylicole.

    Ruisseau du Lizildry, Penvénan Ruisseau du Lizildry, Plougrescant La rivière de Tréguier, Kerbors
    Camlez N La rivière de Tréguier, Trédarzec
    O    Plouguiel    E
    S
    Le Guindy, Minihy-Tréguier Le Guindy, Tréguier

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 10,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 829 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploumanac'h », sur la commune de Perros-Guirec, mise en service en 1947[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 856,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plouguiel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tréguier, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 6 521 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,1 %), zones agricoles hétérogènes (36,5 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (7 %), forêts (4 %), eaux continentales[Note 7] (0,8 %), zones humides côtières (0,2 %), eaux maritimes (0,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploeguyel vers 1160, Ploeguiel en 1253, Ploeguier, Ployguiel et Pluoyguiel en 1330, Ploeguiel en 1426, Plouguiel dès 1731[27].

    Ploeguyel, vers 1160, écrit en deux mots Ploe Guyel signifie littéralement « paroisse de Guyel ».

    Histoire

    Jean Le Guen, dit « Jean l'aveugle »

    Jean Le Guen, dit « Jean l'aveugle » (« Yann ar Gwenn ») serait né le à Plougrescant et décédé le à Plouguiel ; vivant au Crec'h Suliet, près de la Roche-Jaune, aux abords de la rivière de Tréguier, il gagnait péniblement sa vie en taillant du chanvre ou du lin dans les fermes de Plouguiel. Un matin de , il se trouvait place Saint-Corentin à Quimper quand il entendit l'appel des volontaires, et décida alors, faute de pouvoir être enrôlé en raison de son infirmité, de commencer à composer et à chanter des gwerz ; mendiant, sa carrière de chanteur commence vers l'âge de 26 ans ; il devint vite très célèbre : il était le boute-en-train de tous les pardons selon Olivier Souvestre. Sa femme, Marc'harit, le guide à travers le Trégor. Il devient très rapidement la gazette du peuple. Il chante les évènements de l'actualité, l'arrivée de Napoléon III, l'épidémie de choléra... et les évènements locaux.

    Il fut aussi évoqué par Auguste Brizeux dans le chant XII des « Bretons » :

    Jean Le Guenn est assis au bord de sa cabane ;
    D'une longue tournée aux paroisses de Vannes.
    Il arrive, son sac dégarni de chansons,
    Mais plein de beaux deniers jetant de joyeux sons. (...)<ref>Charles Le Goffic , "Au pays d'Armor", éditions E. De Boccard, 1921.</ref>

    La Première Guerre mondiale

    Le Monument aux Morts fait état de 96 soldats Morts pour la France, dont 9 qui ont péri en mer[28].

    Plouguiel a abrité une base d'hydravions (Centre d'aviation maritime de Tréguier) pendant la Première Guerre mondiale au lieu-dit « La Roche-rouge ». Cette base donnait la chasse aux u-boot dans la Manche. Cette base fut gérée par la marine nationale jusqu'en 1918. Elle fut ensuite gérée par l'US Navy à partir d'août 1918. Il ne reste plus rien de cette base hormis les fondations de la rampe d'accès à la rivière de Tréguier. Une stèle du souvenir est érigée sur l'ancien site de la base.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le Monument aux Morts porte les noms de 31 soldats Morts pour la France, dont 8 qui ont péri en mer[28].

    En 1998, 1 200 obus datant de la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés sur un terrain privé situé sur le territoire de la commune[29].

    La Guerre d'Algérie

    1 soldat est Mort pour la France[28].

    La Guerre d'Indochine

    5 soldats sont Morts pour la France[28]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1815 1825 Jean Geffroy    
             
    1965 1977 Henri Marqué SFIO-PS  
    1977 1983 Henri Marqué    
    mars 1983 mars 1989 François Gégou PCF Professeur du second degré ; militant syndicaliste
    mars 1989 mars 2008 Michel Bataille UDF Conseiller général
    mars 2008 mars 2014 Rolande Clochet    
    mars 2014 4 juillet 2020 Jean-Yves Nedelec DVD Retraité
    4 juillet 2020 En cours Pierre Huonnic[30] PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 1 747 habitants[Note 8], en diminution de 2,51 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2952 1002 0932 4372 7722 5772 4882 7832 814
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6212 6522 5802 5242 4762 3872 2712 2052 148
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0192 1572 1992 2102 0972 1272 0162 0322 013
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 9282 0172 0582 0222 0561 8581 9431 8461 781
    2018 - - - - - - - -
    1 747--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame.

    Personnalités liées à la commune

    • Jarl Priel (Charles Trémel de son état-civil) y est né le , écrivain bretonnant, auteur de plusieurs ouvrages dont la fameuse trilogie Va Zammig Buhez, Va Buhez e Rusia et Amañ hag Ahont, relation de ses propres souvenirs,
    • Yann Sohier, instituteur et fondateur d'Ar Falz, y a habité ; père de Mona Ozouf,
    • Bizien de Kérousy, lieutenant général de l'Amirauté de Bretagne sous le duc François II,
    • Alexander Calder (1898 - 1976) était un sculpteur et un peintre américain qui séjourna régulièrement en Bretagne à partir de 1931. Il acquit la maison du Palud, à la Roche Jaune, en Plouguiel, en 1957.
    • Jean Rémi Clausse, auteur et éditeur, on lui doit notamment les notes des Carnets de guerre d'Édouard Cœurdevey.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ploumanac'h - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plouguiel et Perros-Guirec », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ploumanac'h - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plouguiel et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Tréguier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plouguiel ».
    28. « Plouguiel - Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
    29. « Terrain explosif », Journal du Nord Vaudois, , p. 4 (lire en ligne).
    30. « Plouguiel. Pierre Huonnic, nouveau maire, sera entouré de cinq adjoints », Ouest-France, (lire en ligne).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Notice no PA00089486, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Notice no PA00089772, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00089700, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Articles connexes

    Liens externes

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