Ploufragan
Ploufragan [plufʁaɡɑ̃] est une commune française située près de Saint-Brieuc en Bretagne dans le département des Côtes-d'Armor.
Ploufragan | |||||
L'allée couverte du Grimolet. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Saint-Brieuc | ||||
Intercommunalité | Saint-Brieuc Armor Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Rémy Moulin 2020-2026 |
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Code postal | 22440 | ||||
Code commune | 22215 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ploufraganais | ||||
Population municipale |
11 489 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 425 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
170 779 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 24″ nord, 2° 47′ 40″ ouest | ||||
Altitude | 127 m Min. 30 m Max. 181 m |
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Superficie | 27,06 km2 | ||||
Unité urbaine | Saint-Brieuc (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Brieuc (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ploufragan (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de la commune | ||||
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Plofragan en 1167, Ploufragan en 1230, Ploefragan en 1368, Plefragan en 1369, Parochia de Ploefraganen 1371, Plouffragan en 1427[1], Pluffragan en 1477 et en 1480, Plouffragan en 1513, Plufragan en 1536, Ploffragan en 1575, Ploufragan en 1622[2].
En breton, Ploufragan signifie le Plou de Fragan. Plou désigne une paroisse, tandis que Lan désigne un hermitage (ex : Landivisiau, Langueux). QUant à Fragan il s'agit sans doute de saint Fragan.
Histoire
Origines préhistoire et antiquité gallo romaine
La commune de Ploufragan recèle plusieurs monuments mégalithiques qui dénotent une occupation dès la Préhistoire, au moins depuis le Néolithique. Une riche villa d'un citoyen romain d'origine gauloise, proche de Corseuil ainsi que Gouarec, fut retrouvée sur la commune. Sur l'emprise de la fouille, les premières traces d'implantations humaines remontent à la période gauloise ancienne. Elles consistent en un enclos fossoyé et plusieurs fosses qui correspondent aux vestiges d'un premier habitat réalisé en matériaux périssables (bois et terre). Au cours du Ier siècle de notre ère, un établissement gallo-romain, délimité par des fossés orientés selon les points cardinaux, fait son apparition. Il s'agit d'une ferme qui évolue au fil des années pour aboutir à la création d'une grande et luxueuse villa, dont certains murs reprendront l'emplacement de fossés antérieurs. La dernière occupation, postérieure à l'époque gallo-romaine, se signale par des fossés parcellaires, dont certains coupent des murs de la villa. La villa s'organise en U autour d'une cour centrale. Elle se déploie sur 65m de long et dispose d'une entrée à l'est figurée par les vestiges d'un porche. Cette entrée est elle-même précédée par un chemin qui se raccordait à une voie. La villa de Ploufragan se présente comme un assemblage de pavillons, reliés par des galeries couvertes, qui correspondent à la partie résidentielle. à l'ouest, on observe notamment une grande salle en abside, caractéristique des IIIe et IVe siècles, dans laquelle le propriétaire recevait ses hôtes et clients. Cette salle d'apparat est précédée d'un vestibule communiquant avec un portique de façade à l'ouest, un ensemble de salles, dont une circulaire, peut correspondre à des thermes.
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms de 168 soldats morts pour la Patrie[3] :
- 148 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
- 17 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
- 1 est mort durant la Guerre d'Algérie.
- 2 sont morts durant la Guerre d'Indochine.
Le , 19 corps furent exhumés d'une fosse commune de la forêt de Lorge. C'était ceux de 19 résistants FTPF[Note 1] (fusillés le au camp de manœuvre des Croix en Ploufragan, qui avaient été condamnés à mort par un tribunal allemand la veille à Saint-Brieuc[4].
Sous le titre « Douze terroristes condamnés à mort dans les Côtes-du-Nord », le journal L'Ouest-Éclair, alors journal collaborationniste, écrit dans son édition du : « Le , une cour martiale allemande a condamné à mort douze terroristes convaincus d'attaques contre l'armée d'occupation, d'assassinats d'un feldgendarme et de soldats français. On leur reprochait en outre des attentats à la dynamite contre des immeubles abritant des services allemands et des actes de sabotage ayant occasionné des déraillement et causé de graves dégâts, enfin des cambriolages de mairies, de magasins et de fermes »[4].
Ces résistants étaient originaires des régions de Callac, Lannion, Guingamp, Ploumilliau et Maël-Carhaix.
Le lendemain sept résistants membres du groupe FTP « La Marseillaise », de Plouaret, arrêtés le , jugés à Plounévez-Moëdec furent exécutés au camp de manœuvre des Croix en Ploufragan. Le journal L'Ouest-Éclair écrit le sous le titre « Sept terroristes sont exécutés à Saint-Brieuc » : « Sept terroristes habitant les Côtes-du-Nord ont été jugés par une cour martiale allemande et condamnés à mort. La sentence a été exécutée. Les accusés étaient des auteurs de sabotages sur les voies ferrées, d'incendies volontaires et de plusieurs autres méfaits. Ils étaient en outre détenteurs d'armes, de munitions et d'explosifs »[4].
Héraldique
Blasonnement :
D'azur aux trois coquilles d'argent, au chef cousu de gueules chargé de trois mâcles d'or. |
Géographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Saint-Brieuc, mise en service en 1997[11] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 730,8 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 6 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,2 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Ploufragan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Brieuc, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[21] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,1 %), terres arables (26,4 %), zones urbanisées (17,6 %), forêts (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), prairies (6,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Projets d'aménagement
Plusieurs immeubles du quartier Iroise (près du centre-ville) seront détruits dans le cadre d'un projet de réhabilitation du quartier.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Ses habitants sont appelés les Ploufraganais. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[28],[Note 9]
En 2018, la commune comptait 11 489 habitants[Note 10], en diminution de 0,69 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Activités économiques
La commune est essentiellement rurale mais comporte une grande zone industrielle, la zone industrielle des Châtelets, qui accueille notamment une usine de fabrication de chaudières appartenant au groupe italien Ariston Thermo Group. Cependant, cette entreprise (Chaffoteaux) a cessé son activité de production fin 2009 après une forte mobilisation de ses salariés. Il ne reste que le centre de recherche et développement avec 40 salariés.
Elle accueille également le zoopole, institut de recherche sur la santé et l'hygiène des animaux d'élevage. Ainsi au centre de pathologie porcine, des porcelets naissent sous bulle, après ablation de l'utérus de leur mère. Indemnes de microbes, consommant de l'air, de l'eau et des aliments stérilisés, ils serviront à étudier maladies infectieuses et traitements vétérinaires. Cette méthode pourrait aussi permettre de fournir aux élevages intensifs des reproducteurs de haute qualité à la fois sanitaire et génétique.
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Côtes-d'Armor ainsi que l'ANSES.
Transports
Ploufragan est relié au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce aux lignes B, 40, 90, 120 et 130, en soirée par la ligne N2 et les dimanches et jours fériés par la ligne DF2 uniquement, des Transports urbains briochins (TUB).
Bien que la commune soit traversée par la ligne de Saint-Brieuc à Pontivy, fermée à tout trafic depuis 2017, elle ne dispose pas de gare.
Culture locale, patrimoine et tourisme
Pour toutes informations concernant la culture et le tourisme de la commune : article sur Wikivoyage.
Édifices religieux et civils
- Allée couverte de la Couette
- Allée couverte de l'Argantel
- Allée couverte du Grimolet
- Menhir dit Le Sabot
- Église Saint-Pierre.
Espace culturel
Ploufragan possède un pôle culturel nommé l'Espace Victor-Hugo comprenant une médiathèque et un centre culturel, situés face à l'église, tout près de la mairie.
Des informations sur les activités de ce pôle culturel sont disponibles sur le site de la ville.
De plus, Ploufragan compte sur son territoire 7 écoles publiques, un collège public[31] et une école privée. Elle accueille également l'école de la sécurité et de la défense du Conservatoire national des Arts et Métiers (CNAM)[32], le CNAM Bretagne ainsi que l'École Vaucanson.
Sports
Le centre technique Henri Guérin de la ligue de Bretagne de football est un centre fédéral de préformation de football. Il a accueilli[33], entre autres, Yoann Gourcuff et Sylvain Marveaux. Il a été créé en 1995 à l’initiative d’Henri Guérin et de Paul Le Hersan. Le Tournoi des centres de formation s'y déroule tous les ans.
Il y trois clubs de football : La Société Sportive Ouvrière Ploufraganaise (SSOP), l'Association sportive de Saint-Hervé (ASSH) et Gazelec Sports mais à la suite d'une fusion en de la SSOP et du Gazélec Sports formant le Ploufragan football-club (PFC), la ville n'en comptent plus que deux.
Le joueur de tennis professionnel Marc Gicquel a été formé à l'ATG (Amicale Tennis Griffon).
Le club de rink hockey (le SPRS) joue en National 1 de rink hockey et a accueilli le championnat d'Europe U17 en .
Galerie
Viaduc Menhir Le Sabot Allée couverte du Grimolet Allée couverte de la Couette
Notes et références
Notes
- Marcel Bitaille, Eugène Cazoulat et Pierre Menguy (tous trois de Callac) , Eugène Daniel, Auguste Le Pape et Joseph Hénaff (tous trois de Plouaret) , Auguste Duguay (de Plourac'h), Arsène Faujouron et Pierre Menou (tous deux du Vieux-Marché), Émile Henry (de Ploumilliau), Maurice Lagadec (de Lannion), Arsène Le Bozec, Léon Querson et Roger Quentric (tous trois de Trébrivan), Charles Le Gallou (de Guingamp), Roger Madigou (de Louargat), Jean Pleyber (de Maël-Carhaix), François Prigent (de Maël-Pestivien).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Notes
Références
- Archives de Loire Atlantique, B 2978
- Archives des Côtes-d'Armor.
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Éric Rondel, Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944), Sables-d'Or-les-Pins, Astoure, , 255 p. (ISBN 978-2-36428-032-8).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Brieuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ploufragan et Saint-Brieuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Brieuc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ploufragan et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- collège public.
- « Jean-Yves Le Drian inaugure l'école de la sécurité et de la défense à Ploufragan (22) », sur France 3 Bretagne (consulté le ).
- http://www.ctr-foot.com/page/pole.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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