La Méaugon

La Méaugon [la meogɔ̃] est une commune française située près de Saint-Brieuc dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

La Méaugon

Église Saint-Méaugon.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Marc Labbé
2020-2026
Code postal 22440
Code commune 22144
Démographie
Gentilé Méaugonnais
Population
municipale
1 299 hab. (2018 )
Densité 192 hab./km2
Population
agglomération
170 779 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 58″ nord, 2° 50′ 14″ ouest
Altitude 150 m
Min. 39 m
Max. 155 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploufragan
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
La Méaugon
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
La Méaugon
Géolocalisation sur la carte : France
La Méaugon
Géolocalisation sur la carte : France
La Méaugon
Liens
Site web Site officiel de la commune

    Géographie

    La commune se situe près de la rivière du Gouët.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 10,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 802 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,2 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[11].

    Voies de communication et transports

    La Méaugon est relié au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce à la ligne 80 des Transports urbains briochins (TUB).

    Elle possède une gare SNCF qui est une halte TER entre Saint-Brieuc et Guingamp.

    Urbanisme

    Typologie

    La Méaugon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Brieuc, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[15] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Carte de la commune.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,8 %), terres arables (14,9 %), forêts (11,1 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 6] (2,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Morphologie urbaine

    La ville regroupe au centre la majeure partie de la population. Plusieurs hameaux sont dispersés dans la campagne.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Lameaugon au XVe siècle[22].

    Le nom de la commune provient de la francisation du mot breton lann qui signifie « ermitage » et de saint Méaugon[22], plus connu en Bretagne occidentale sous le nom de saint Maeoc, qui procéda à l'évangélisation des habitants au Ve siècle[23].

    Le nom breton de la commune est Lanveogon. « Le nom français [La Méaugon] provient d'une fausse coupe  »[22].

    Histoire

    Le Moyen Âge

    Des traces d'une motte féodale existent au Châtel.

    L'essentiel de la paroisse, qui faisait partie de l'évêché de Saint-Brieuc, a longtemps dépendu de la seigneurie de Chemillé Kermartin au moins depuis 1566, une autre partie dépendant des ducs de Rohan qui étaient seigneurs de la paroisse avant la Révolution française. La Méaugon dépendait également du comté du Goëlo.

    La paroisse toutefois n'a été créée qu'au XVe siècle[23] par démembrement tardif de la paroisse de l'Armorique primitive de Plerneuf[24].

    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux Morts porte les noms de 31 soldats morts pour la Patrie[25] :

    • 25 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
    • 4 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
    • 2 sont morts durant la Guerre d'Indochine.

    L'Époque contemporaine

    Des carrières de granite ont été exploitées au XVIIIe siècle et au XIXe siècle dans la vallée du Gouët.

    Le pardon de saint Blaise[Lequel ?] attirait alors des milliers de pèlerins, mais le remplacement de la statue ancienne du saint, jugée vétuste, par une nouvelle au début du XXe siècle provoqua une désaffection des fidèles, qui préférèrent aller prier la statue ancienne, donnée au recteur de Plélo et depuis exposée dans la chapelle Saint-Gouesnou dans cette paroisse[26].

    En 1978 sera construit le barrage de Saint-Barthélémy.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie
    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Jean-Paul Liberge PS  
    mars 2001 26 mai 2020 Armelle Bothorel PS Conseillère pédagogique
    26 mai 2020 En cours Jean-Marc Labbé[28]   Enseignant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Finances locales

    Cette sous-section présente la situation des finances communales de La Méaugon[Note 7].

    Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de La Méaugon s'établit à 1 383 000  en dépenses et 1 837 000  en recettes[A2 1] :

    En 2013, la section de fonctionnement[Note 8] se répartit en 870 000  de charges (649  par habitant) pour 976 000  de produits (728  par habitant), soit un solde de 106 000  (79  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

    • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 9] pour 425 000  (49 %), soit 317  par habitant, ratio supérieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (248  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 278  par habitant en 2011 et un maximum de 317  par habitant en 2013 ;
    • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 10] pour une somme de 363 000  (37 %), soit 270  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio augmente de façon continue de 235  à 270  par habitant.

    Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de La Méaugon[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

    La section investissement[Note 11] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

    • des dépenses d'équipement[Note 12] pour une somme de 443 000  (86 %), soit 331  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 217  par habitant en 2009 et un maximum de 501  par habitant en 2011 ;
    • des remboursements d'emprunts[Note 13] pour une valeur de 70 000  (14 %), soit 52  par habitant, ratio inférieur de 16 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (62  par habitant).

    Les ressources en investissement de La Méaugon se répartissent principalement en[A2 4] :

    • nouvelles dettes pour une valeur de 250 000  (29 %), soit 186  par habitant, ratio supérieur de 162 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (71  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 0  par habitant en 2012 et un maximum de 301  par habitant en 2011 ;
    • subventions reçues pour 235 000  (27 %), soit 175  par habitant, ratio supérieur de 116 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (81  par habitant).

    L'endettement de La Méaugon au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 14], l'annuité de la dette[Note 15] et sa capacité de désendettement[Note 16] :

    • l'encours de la dette pour une valeur de 1 037 000 , soit 773  par habitant, ratio supérieur de 29 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (601  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 429  par habitant en 2010 et un maximum de 773  par habitant en 2013[A2 5] ;
    • l'annuité de la dette pour un montant de 110 000 , soit 82  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 55  par habitant en 2011 et un maximum de 82  par habitant en 2013[A2 5] ;
    • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 111 000 , soit 83  par habitant, ratio inférieur de 47 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (156  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de −21  par habitant en 2011 et un maximum de 117  par habitant en 2009[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 9 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ un an en 2007 et un maximum très élevé, de plus de 50 années en 2011.

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Méaugonnais.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2018, la commune comptait 1 299 habitants[Note 17], en augmentation de 0,54 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8407818469641 0011 0149191 044930
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    950968969865827757712725734
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    678634576540556585518515570
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    5535505727859931 1221 2561 2761 295
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2921 299-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Bus Mercedes-Benz Citaro

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Fontaine Saint-Blaise
    • L'église paroissiale Saint-Méaugon : date des XVIe siècle (la chapelle Saint-Blaise) et XVIIIe siècle, fut restaurée en 1850 après avoir été endommagée par la foudre ; son clocher date de 1703, mais fut restauré en 1755[24].
    • La fontaine Saint-Blaise : sur le parking de l’église, date du XVIIe siècle.
    • La fontaine des Vergers : de Saint-Nicolas ou du Vau-Briend, XVIIe siècle.
    • L’ancien presbytère : XVIIe siècle.
    • Le manoir de la Garenne : XVIIe siècle.
    • Les croix du bourg et de l’ancien cimetière : XVIIe siècle.
    • Le Viaduc de La Méaugon : sur la retenue d'eau créée par le barrage de Saint-Barthélémy.

    L'église de la Méaugon au clocher recouvert d'ardoises date, en partie du XVIe siècle comme la fontaine Saint-Blaise faisant face au blason de la commune. Les croyances populaires accordent beaucoup de vertus à cette fontaine puisque "Saint-Blaise tout mal apaise". Abondamment fleurie, cette place est un lieu idéal de pique-nique. En plus de la fontaine, nous y trouvons le blason de la commune réalisé avec des fleurs et une commémoration de l'appel du 18 Juin.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’azur au pont droit de trois arches et deux piles d’argent mouvant des flancs, sommé d’un chef d’or chargé d’un cœur de gueules senestré d’une branche de houx feuillée de trois pièces de sinople et fruitée de gueules, le dit pont soutenu d’une champagne aussi d’or ployée abaissée à dextre et haussé à senestre, le tout flanqué en pal à dextre de gueules aux trois mâcles d’or l’une sur l’autre.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant La Méaugon. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
    8. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
    9. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
    10. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
    11. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
    12. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
    13. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
    14. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
    15. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
    16. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de La Méaugon.
    17. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Brieuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Méaugon et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 83.
    23. « Histoire et patrimoine », sur le site de La Méaugon (consulté le ).
    24. « La Méaugon », sur Infobretagne.
    25. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    26. http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-meaugon-la-meaugon
    27. Archives Départementales des Côtes-d'Armor.
    28. « Municipales à La Méaugon. Jean-Marc Labbé succède à Armelle Bothorel à la tête de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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