Peumerit
Peumerit [pømʁit] (en breton : Purid), anciennement Peumérit[1], est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Peumerit | |
Ti Kêr (mairie). | |
Héraldique |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Quimper |
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Pays Bigouden |
Maire Mandat |
Jean-Louis Caradec 2020-2026 |
Code postal | 29710 |
Code commune | 29159 |
Démographie | |
Gentilé | Peumeritois |
Population municipale |
824 hab. (2018 ) |
Densité | 42 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 56′ 22″ nord, 4° 18′ 34″ ouest |
Altitude | Min. 6 m Max. 127 m |
Superficie | 19,59 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Quimper (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Plonéour-Lanvern |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site de la mairie |
Géographie
De la serpentinite et de la chromite ont été trouvées dans la carrière de Kerguelmès, ainsi qu’à Kerantrevez, à Ty Lan et aux Moulins Verts en Peumerit. De beaux cristaux d’apatite ont aussi été trouvés dans la commune[2]. Du granite orthogneissique et de la prasinite[3] (notamment aux alentours de la ferme de Kerinoret) y affleurent également[4].
- Carte de la commune de Peumerit.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-L'abbe », sur la commune de Pont-l'Abbé, mise en service en 1994[11] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 993,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Quimper », sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967 et à 11 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[15], à 11,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 12 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Peumerit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimper, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,2 %), terres arables (39,4 %), forêts (7,8 %), prairies (5,4 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %), zones urbanisées (1,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Pumurit en 946, 952 et au XIe siècle, Pomerit en 1284, Pemerit en 1368[25].
Peumerit serait issu du latin pomaritum (pommeraie)[25]. Le nom « Peumerit » provient probablement de la déformation du breton plou-, qui signifie paroisse, et de saint Emeurit, un saint breton quasi inconnu qui fut ermite dans la paroisse voisine de Pouldreuzic au VIe siècle[26].
Histoire
Moyen Âge
Les vestiges d'une motte féodale sont encore visibles à Coat-Penguilly en Peumerit.
Époque moderne
Le manoir de Lesmadec est construit, en pierres de prasinite, à la fin du XVIe siècle par Jean Corfineau, qui a épousé Louise Keroch, héritière de la seigneurie ; le manoir fut remanié aux XVIIIe siècle et XIXe siècle, mais conserva son pigeonnier circulaire à toiture conique placé sur le porche oriental d'accès à la cour seigneuriale. À partir de 1675 le manoir devint la propriété de la famille Forestier, une famille de bourgeois enrichis qui parvint progressivement à s'anoblir ; en 1790, Jean-François Le Forestier, seigneur de Lesmadec et de Kercorentin, se mua en "citoyen Le Forestier" pour échapper aux poursuites[27].
Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges en 1675.
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Pémérit [Peumerit] de fournir 20 hommes et de payer 131 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[28].
Révolution française
La paroisse de Peumerit, qui comprenait alors 140 feux, élit deux délégués, Allain Le Brun et Pierre Canevet, pour la représenter à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper au printemps 1789[29].
La loi du « relative à la circonscription des paroisses du district de Pont-Croix » donne à la paroisse de Peumerit comme succursale Tréogat[30].
Cosquéric, un sexagénaire, ouvrit une école à Peumerit, en vertu de la loi du 5 nivôse an II () qui rendait l'école primaire obligatoire et gratuite. « La municipalité, au lieu d'engager les enfants à se rendre aux écoles, demande, au contraire, le 10 thermidor an II () qu'ils en soient dispensés pendant les travaux de la récolte, étant indispensables à leurs parents, surtout pour garder les bestiaux. (...) Le 25 pluviôse an III (), il déclara ne pas être en état de faire le voyage de Pont-Croix pour se présenter devant le jury d'instruction »[31].
Une vie politique et religieuse parfois agitée
En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par Mgr Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Peumerit, l'abbé Kérivin, écrit que les enfants « viennent à l'école primaire surtout l'année de leur Première communion, et quelques-uns n'y vont pas du tout »[32].
En 1906, la communion est refusée par le recteur de Peumerit à 14 enfants qui fréquentaient l'école publique de la commune[33].
L'expulsion du clergé de la paroisse de Peumérit entraîne le la décision de Mgr Duparc d'interdire toutes les sonneries religieuses, même pour l'Angélus et les enterrements ; un prêtre, installé dans le presbytère de Tréogat, est chargé de visiter les malades, procéder aux enterrements et administrer les sacrements[34].
L'opposition entre les « Blancs », majoritaires parmi les électeurs ruraux, et les « Rouges », majoritaires parmi les marins, fut longtemps très forte : en 1910, le marquis de L'Estourbeillon, député royaliste, dénonce les incidents survenus lors des élections législatives dans la deuxième circonscription de Quimper : « ce furent les voies d'accès aux salles de vote et même aux bourgs gardés par des groupes d'individus menaçant et frappant les électeurs ruraux qui venaient voter comme à Treffiagat, Peumerit et Plozévet ; des bureaux et des urnes pris violemment et gardés par des bandes de marins étrangers aux sections de vote, comme à Plobannalec, pour empêcher le vote des cultivateurs. (...) Ce n'est pas tout. Il y eut aussi des voies de fait (...), [une] agression même contre un des candidats, l'honorable M. de Servigny[Note 6], dans la commune de Peumerit, [des] coups et blessures à Plogastel-Saint-Germain (...) »[35].
Le journal L'Aurore dans son édition du 24 avril 1910 écrit : « Des incidents se sont produits dans la deuxième circonscription, notamment dans les communes de Plozévet, Treffiagat, Peumerit, Plovan et Plobannalec. Des rixes se sont produites. Plusieurs électeurs ont été blessés »[36].
En 1913, le journal La Croix écrit : « (...) À tous les scrutins dans les communes de Plogastel, Plozévet, Plovan, Peumerit, où règnent par la terreur et par la fraude les partisans de M. Le Bail. Jets de poivre, coups de poing, coups de pied, coups de triques, tout est bon pour faire autour de l'urne un vide propice aux substitutions de bulletins ou pour en écarter l'électeur suspect de sympathie à l'égard du candidat adverse »[37].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Peumerit porte les noms de 87 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : parmi eux, 7 au moins sont morts sur le front belge dont 6 dès 1914 (Pierre Goyat, François Le Gall, François Le Loch et Vincent Le Roux lors des combats de Maissin et Louis Jegou à Rossignol, tous le et Pierre Nicolas à Saint-Hubert le ) et 1 en 1918 (Alain Stéphan, tué à l'ennemi le à Locre) ; 2 au moins sont morts dans les Balkans dans le cadre de l'expédition de Salonique (Louis Lagadec à Salonique (Grèce) le et Henri Guichaoua en Serbie le ) ; Corentin Bonizec est disparu en mer le lors du naufrage du cuirassé Danton coulé par un sous-marin allemand ; Corentin Briec est mort en captivité en Allemagne et Yves Bosser aussi, mais le , donc après l'armistice ; la plupart des autres sont morts sur le sol français : parmi eux Jean Marie Le Goff[Note 7] et Noël Le Goff[Note 8] ont été tous les deux décorés à titre posthume de la médaille militaire et de la Croix de guerre et Jean-Louis Yannick[Note 9] de la croix de guerre[38].
La Deuxième Guerre mondiale
Le monument aux morts de Peumerit porte les noms de six personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi elles Jean Plouzennec, tué à l'ennemi le à Rance (Belgique) ; Yves Le Brun, quartier-maître canonnier à bord du Tahure, disparu en mer le lors du naufrage de son bateau coulé par un navire américain l' USS Flasher au large du Cap Varella (Indochine)[38].
Le XXIe siècle
Le , le Journal officiel publie le décret modifiant le nom de la commune, qui devient Peumerit en remplacement de Peumérit[39].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2018, la commune comptait 824 habitants[Note 19], en augmentation de 2,49 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Annouarn, qui abrite une statue très expressive de saint Yves, patron des hommes de loi, sculptée en 1750. En 1675, cette église comportait encore sur ses vitraux armoriés, le témoignage des familles nobles locales, Penquellec, Lesmadec, Penguilly et Penmorvan.
- Le Manoir de Penquelenec, robuste construction en grosse taille du XVe siècle comportant fenêtres à meneaux et porche mouluré à pinacles et choux frisés. Si la chapelle a disparu, le puits existe toujours. Penquelenec fut la propriété des seigneurs de Penquelenec jusqu'à la fin du XIVe siècle, puis passe ensuite aux de Bonescat, aux de Lezandevez, enfin toujours par mariage, aux Le Prestre de Lézonnet. Peu avant la Révolution, Jacques René Le Prestre, baron de Châteaugiron, président à mortier du Parlement de Bretagne baille le domaine à titre de domaine congéable à Daniel Voquer et Marguerite Stéphan.
- Différents propriétaires parisiens se succéderont ensuite, sans qu'aucun ne se soucie de son entretien.
- Le début du XXe siècle voit la regrettable destruction de la double enceinte à tours d'angle et mâchicoulis qui le protégeait.
- Son inscription à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1931 le sauve in extremis d'une triste fin prévisible.
- Le Manoir de Lesmadec, antérieur au XVe siècle, est propriété de Jehan Kerroc'h en 1426. En , son petit-fils Jean rend aveu de sa terre de Lesmadec.
- La terre noble de Lesmadec appartenait aux moines cisterciens de Coat Malaouen en Kerpert avant qu'ils ne l'échangent en 1284 contre une terre plus proche de leur abbaye, avec Jean Ier le Roux, duc de Bretagne.
- En 1541, Jeanne du Chastel épouse d'Alain II de Rosmadec fait aveu pour Lesmadec inclus dans son fief de Prat ar Stang dont dépend Lesmadec. Idem en 1607 où le marquis Sébastien de Rosmadec fait aveu au roi incluant Lesmadec.
- Vers 1580, Louise de Lesmadec, épouse de Jehan de Corfmao sieur de Kervern, édifie le remarquable pigeonnier sur porche orné de leur écu party en clé de voûte. Contrôlant l'accès oriental de la cour il fait pendant au simple arc ogival surplombant l'entrée ouest, timbré d'un écu comportant entre autres, un chef et une fasce déjointe. Trois futaies servaient d'écrin au manoir et à ses dépendances, ainsi qu'à ses deux avenues et à son vivier.
- Le 27 mars 1675, Lesmadec devient par vente par licitation la propriété de maître Gilles Le Forestier de la Noé, avocat en la Cour, capitaine garde côtes, et receveur des fouages extraordinaires de l'évêché de Cornouailles, arrivé peu avant du pays de Dinan.
- Le 3 décembre 1810, la mort de son petit-fils Jean François Yves de Lesmadec, capitaine d'infanterie à 20 ans, écuyer puis citoyen propriétaire, entraîne la vente du domaine en 1812. L'adjudication est attribuée à un spéculateur brestois, Pierre Marie Lavallée.
- Sous l'Empire, Jacques Julien Marie le Forestier Lesmadec, fils du capitaine et de sa seconde épouse Rosalie Marie de Puyferré descendante d'Henri II d'Albret roi de Navarre ( et grand-père d'Henry IV), est maire de Peumerit alors que Yves François Marie son frère, devient maire adjoint de Plonéour.
- Yves François Marie Le Forestier épouse le 23 août 1810 Marie Anne Le Coq Duparc, sœur aînée de Delphine Charlotte... la troisième épouse de son père. Le , veuve, sans enfants, âgée de vingt cinq ans, Delphine traumatisera pour longtemps les esprits étriqués en épousant contre son père, l'apprenti jardinier du manoir.
- Devenu en 1828 la propriété des aïeux de Théodore Le Hars, sénateur-maire Républicain de gauche de Quimper. L'ajout d'une haute toiture à quatre rampants chapeautant l'escalier en pierre rampe sur rampe, de chaînages, bandeau et corniche, modernisent radicalement la physionomie du logis pour lui conférer celle que nous lui connaissons aujourd'hui.
- À la mort de madame veuve Le Hars en 1937, le domaine est acquis à nouveau par un notaire, maître Jacques Quéinnec, député puis sénateur conservateur du Finistère.
- Louis Le Guennec visita le manoir au début de l'été 1921 et laissa un croquis aux proportions pour le moins fantaisistes du pigeonnier porche[45]. Prudemment, il ne publiera rien d'autre sur Lesmadec faute d'avoir vérifié les informations glanées auprès d'un ancien vicaire, l'abbé Henry. Lesquelles se révèlent très approximatives ou erronées. Versées à sa mort aux Archives départementales du Finistère, ces notes induisent en erreur aujourd'hui encore tous ceux qui s'intéressent à ce manoir ou à ses anciens occupants. Ainsi il déclarait trouver « un air XVIIIe au logis », ce qui devient pour ceux qui ne vont pas chercher plus loin, « un remaniement au XVIIIe siècle ». Lequel est en réalité postérieur à 1812 (et même probablement postérieure à 1838), comme le prouve l'inventaire effectué cette année-là et comportant une description suffisamment précise de la façade de la maison structurellement différente de celle qu'a vu Le Guennec. Modification importante confirmée par M. Cailleau, architecte des Bâtiments de France dans son rapport de présentation. Également fantaisiste l'orientation des issues de la cour, à l'évidence est-ouest et non nord-sud, reprise en chœur par InfoBretagne.com ou le site de la commune de Peumerit, et tous ceux qui se contentent de plagier Louis Le Guennec dans leurs écrits.
- Le pigeonnier porche et son escalier d'accès furent inscrits en 1968 à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
- Le jardin clos de murs est encore rythmé par ses anciennes bordures de buis.
- Sur les dix hectares que comportait le domaine de Lesmadec au XIXe, se trouvait un tumulus de l'âge du Bronze.
- La chapelle Saint-Joseph qui comporte une fresque naïve.
- La croix nommée Kroaz an Iskidi, nommée aussi croix de Lesmadec.
- L'enceinte ovalaire de Porsgall datée du haut Moyen Âge[46].
- Le menhir de Kervenn.
- Le menhir de Keringuy.
- Les menhirs de Kerloazec (réinstallés dans le parc animalier de la Pommeraie).
- Le menhir de Foennec an Garengen en Kervoalic.
- Le tumulus de Coat Penguilly, de l'âge du bronze.
- Le dolmen de Penquelenec.
L'église Saint-Annouarn. Les deux menhirs de Kerloazec, dans le parc animalier de la Pommeraie.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Cariou, né à Peumerit en 1870, triple médaillé olympique (or, argent, bronze) en équitation aux Jeux olympiques de 1912, à Stockholm.
- Ambroise Guellec, né à Peumerit en 1941, homme politique.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Henri de Servigny, avocat, conseiller général du Finistère.
- Jean Marie Le Goff, soldat au 116e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Lenharrée (Marne) ; un homonyme Jean Marie Le Goff est lui décédé le à l'hôpital auxiliaire n°63 à Saint-Genis-Laval (Rhône).
- Noël Le Goff, soldat au 116e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à l'hôpital auxiliaire n° 13 à Troyes (Aube).
- Jean-Louis Yannick, caporal au 319e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Vandy (Ardennes).
- Jacques Julien Le Forestier de Lesmadec, né le au château de Lesmadec en Peumerit, décédé le au bourg de Peumerit.
- Pierre Guennec, né le à Kervoyen en Plonéour-Lanvern, décédé le à Peumerit.
- Charles Piriou, né le à Quimper.
- René Viers, né le 3 germinal an XI () à Pont-l'Abbé, décédé à Pont-l'Abbé (mais habitait Peumerit).
- Michel Louis Voquer, né le à Minven en Tréogat, décédé le à Peumerit.
- Jean Noël Le Hénaff, né le à Landudec, décédé le à Peumerit.
- Noël Guénec, né le à Bremphuez en Peumérit, décédé le à Bremphuez en Peumérit.
- Pierre Canévet, né le à Pénamprat en Plonéour-Lanvern, décédé en 1945 à Peumérit.
- Jean Louis Le Coant, né le à Peumerit.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
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- Anciennes laves sous-marines
- Louis Chauris, "Pays bigouden : des pierres et des hommes", éditions Skol Vreizh, 2011, [ (ISBN 978-2-915-623-58-1)]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Choses et gens de Basse Bretagne. Page 53
- L'ouest de la Cornouaille dans les tourments de l'histoire, guide de découverte sur le patrimoine fortifié du Pays Bigouden, du Cap-Sizun et du Pays de Douarnenez, Syndicat Mixte, Pointe du Raz, (ISBN 9782952581004), p. 2, et voir : Plan d'interprétation du patrimoine bâti de l'ouest de la Cornouaille.
Voir aussi
Bibliographie
- Marcellin Caillon, À la découverte du pays bigouden, Pont-l'Abbé, 1980.
- A. Le Grand, G. M. Thomas, Manoir de Basse-Bretagne, Éditions de la Cité, Brest, 1973.
Article connexe
Liens externes
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