Paizay-Naudouin-Embourie
Paizay-Naudouin-Embourie est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Paizay.
Paizay-Naudouin-Embourie | |||||
La mairie à Paizay-Naudouin. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val de Charente | ||||
Maire Mandat |
Arnault Michaud 2020-2026 |
||||
Code postal | 16240 | ||||
Code commune | 16253 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Paizéens | ||||
Population municipale |
362 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 52″ nord, 0° 00′ 08″ ouest | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 155 m |
||||
Superficie | 25,42 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Nord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.pne16.fr/ | ||||
En 1973, la commune de Paizay-Naudouin s'est associée à celle d'Embourie.
Géographie
Localisation et accès
La commune de Paizay-Naudouin-Embourie est une commune du Nord Charente limitrophe des Deux-Sèvres ; elle fait partie du canton de Villefagnan, à 44 km au nord d'Angoulême.
Le bourg de Paizay-Naudouin, à 7 km au nord-ouest de Villefagnan, est un bourg important ; celui d'Embourie est situé à 4,5 km au nord-ouest de Villefagnan.
Paizé-Naudouin est aussi 10 km au sud-est de Chef-Boutonne, 15 km à l'ouest de Ruffec, 15 km au nord d'Aigre, 48 km de Niort, 52 km de Confolens, sa sous-préfecture depuis 2008[2], et 67 km de Poitiers[3].
À l'écart des axes importants, la commune est traversée par la D 740, route de Confolens à Niort par Ruffec, Villefagnan et Chef-Boutonne, et qui passe à Embourie. La D 737, route d'Angoulême à Niort par Aigre et Chef-Boutonne, borde la commune à l'ouest ; la D 9, route de Villefagnan à Saint-Jean-d'Angély, longe la commune au sud[4].
La gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER et TGV à destination d'Angoulême, Poitiers, Paris et Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
Les hameaux sont assez nombreux dans la commune : Saveille, sur la route de Chef-Boutonne ; Tourteron, sur la route de Theil-Rabier ; Bramefan, près de Tourteron ; les Allards, dans le sud-ouest ; les Deffends, près du bourg-centre; Planchard, sur le ruisseau de la Fredière ; Rollaire dans le nord ; Breuil-Tizon et Rondeau, dans l'extrême sud, etc., ainsi que le Peux, qui appartient à la commune d'Embourie, et se trouve au sud du bourg.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. L'Oxfordien occupe plus particulièrement la surface communale (Jurassique supérieur). Des alluvions récentes du Quaternaire occupent les vallées, principalement à l'ouest[5],[6],[7],[8].
Le nord de la commune est plus accidenté que la partie sud-ouest et l'on y rencontre des collines dont l'altitude dépasse 130 mètres. Le point culminant est à une altitude de 155 m, situé sur la limite orientale à l'est d'Embourie. Le point le plus bas est à 78 m, situé le long de l'Aume en limite sud. Le bourg de Paizay-Naudouin est à 94 m d'altitude[4].
Hydrographie
La commune de Paizay-Naudouin-Embourie est une des rares du canton de Villefagnan à avoir de l'eau. Elle est arrosée par l'Aume, affluent de la Charente, qui la sépare d'abord du département des Deux-Sèvres et qui en parcourt ensuite le sud-ouest, et par plusieurs affluents de cette rivière, dont l'un traverse le bourg de Paizay-Naudouin et qui prend sa source au nord aux fontaines de Villeneuve et alimenté par la Font Egline. On trouve aussi le ruisseau de Saveille au nord-ouest.
Au sud, à la Garenne de Breuil Tison, une bassine servant à l'irrigation a été construite[4].
Climat
Comme dans une grande partie du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département.
Urbanisme
Typologie
Paizay-Naudouin-Embourie est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), zones urbanisées (2 %), prairies (1,7 %), forêts (1,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Paizé-Naudouin
Les formes anciennes sont Noduis en 1110[15], Paizai feudum (fief) en 1242, Payzaco, Peizay au XIVe siècle[16], Paysaco en 1326, Paysaio, P. le Nodoyn vers le XVIe siècle[17].
L'origine du nom de Paizay remonterait à un nom de personne gallo-romain Pasius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Pasiacum, « domaine de Pasius ». Celle de Naudouin remonterait à un nom de personne germanique Audowin avec particule nobiliaire En ou de possession (in Audowino [villa])[18],[19].
Paizé-Naudouin est au nord de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en -é, -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny[4].
La commune a été créée en 1793 sous le nom de Paisais, elle est devenue Pesay-Naudouin en 1801, puis Paizay-Naudouin et en 1973 Paizay-Naudouin-Embourie après avoir été associée à la commune d'Embourie[20].
Histoire
Embourie
Le site d'Embourie a été occupé du Ier au IIIe siècle par une importante villa gallo-romaine, au lieu-dit les Châteliers.
Paizay-Naudouin
Au XVe siècle le château de Saveille était la propriété de la famille de La Rochefaton, ancienne famille poitevine connue depuis Guy, seigneur de La Rochefaton, qui vivait vers la fin du XIIe siècle. Ce château était passé entre les mains de la famille de La Rochefaton par le mariage, en 1411, de Thibaut de La Rochefaton, chevalier, avec Jeanne, dame de Montalembert et de Saveille. Il appartenait encore à la maison de La Rochefaton en 1585, lorsqu'il fut pris et saccagé par l'armée du roi de Navarre, le futur Henri IV.
Après la famille de La Rochefaton, la terre de Saveille est passée par mariage à une autre famille. En effet, Jeanne de La Rochefaton, fille de Jean, seigneur de Saveille, et de Jeanne d'Albin de Valsergues, épousa, vers 1600, Armand Nompar de Caumont, duc de La Force, pair et maréchal de France, et lui porta en dot la terre de Saveille. À son tour, une de leurs filles, Charlotte de Caumont La Force, hérita de Saveille et porta cette terre à son époux Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne, maréchal de France. C'était le grand Turenne et Saveille compte ainsi, parmi ses divers possesseurs, un des plus illustres parmi nos hommes de guerre.
Vers la fin du XVIIe siècle, la terre de Saveille passa par succession dans la maison de Prévost, puis, par le mariage de Marie Suzanne Prévost-Sansac de Touchimbert avec Henri de Bourdeille, comte de Matha, elle devint la propriété de cette dernière famille.
Quelques autres fiefs moins importants sont à signaler dans la commune de Paizay-Naudouin : au hameau de Tourteron se voient encore les restes d'un grand logis du XVIe siècle, flanqué de grosses tours rondes. C'était, à la même époque, la possession d'une famille Marcirion, qui aurait été originaire de l'échevinage de Poitiers. Le , Jacques de Chevreuse épousa Jeannette de Marcirion, fille de Louis, et fit entrer le domaine de Tourteron dans sa famille, qui le posséda jusqu'à la Révolution. Le dernier représentant de cette famille, Louis de Chevreuse, vivait au XIXe siècle et ne paraît pas s'être marié. Le logis, acquis récemment par un privé, vient d'être restauré en 2009.
Près du hameau de Planchard, qui se trouve sur le territoire de la commune d'Empuré, est un logis qui porte le même nom, mais qui appartenait à la paroisse de Paizay-Naudouin. Au XVIIIe siècle, c'était également une possession de la famille de Chevreuse. En 1764, Antoine Alexandre de Chevreuse, écuyer, seigneur de Tourteron et de Planchard, épousait Marie de Massougnes des Fontaines.
Enfin, entre Saveille et Tourteron se trouvait le fief de Bramefan: au XVIe siècle, ce fief appartenait à Louis Hérard, écuyer, dont la veuve, Jeanne de Parthenay, épousait en deuxièmes noces, vers 1580, Antoine Corgnol, seigneur de Tessé. Le fief de Bramefan était encore aux mains des Hérard, à l'époque de la maintenue de 1666, où Charles Hérard fut reconnu noble.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Ruffec à Niort, et elle y possédait une gare située près du bourg[21].
La commune de Paizay-Naudouin a été associée à celle d'Embourie en 1973[20].
Administration
Maire délégué d'Embourie : Didier Allain
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2018, la commune comptait 362 habitants[Note 2], en diminution de 5,73 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Embourie
Embourie est restée une commune associée, et le recensement en 2007 fait état de 76 habitants[27].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école primaire publique avec une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire est à Paizay-Naudouin et regroupe les enfants de Paizay-Naudouin-Embourie, Theil-Rabier et Longré.
Le collège est à Villefagnan[28] et il existe un circuit de bus.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Genis d'Embourie, du XIIe siècle, est remarquable par les modillons symboliques qui ornent sa façade. L'édifice est un carré long avec abside droite voûte en berceau à cintre brisé ; portail plein cintre archivolte à oves avec un entrelacement[29],[30]. Elle est inscrite monument historique depuis 1987[31].
La villa gallo-romaine des Châteliers
- Le site archéologique de la villa gallo-romaine des Châteliers, à Embourie, est formé de substructions gallo-romaines des Ier et IVe siècles.
Connu depuis le début du XIXe siècle, le site antique des Châteliers a fait l’objet de campagnes de fouilles régulières depuis 1968. Celles-ci ont partiellement mis au jour l'espace résidentiel d’une exploitation agricole. Une vaste villa en pierre a remplacé les premiers bâtiments en bois et torchis, au IIe siècle. L’adoption de ce matériau témoigne de l’assimilation et de la maîtrise des savoir-faire romains.
Au Ve siècle, les activités quotidiennes, artisanales et agricoles se côtoient dans un même espace richement décoré de peintures murales aux thèmes variés comme la chasse, le théâtre…
La villa des Châteliers, propriété privée, est en accès libre toute l'année. Le site, qui domine le pays environnant, est classé monument historique depuis 1983[32]. En 2008, le site a fêté ses 40 ans de fouilles archéologiques[33].
Le château de Saveille
Le château de Saveille, situé au nord du bourg de Payzé-Naudouin, est une vaste construction rectangulaire des XVe et XVIe siècles, entourée de fossés d'eaux-vives et flanquées aux angles de tours et tourelles en encorbellement, coiffées en poivrières. À part une reprise assez malheureuse du commencement du XIXe siècle, tout l'ensemble porte la marque des deux époques où il a été construit, avec des croisées et lucarnes à meneaux de la dernière période ogivale ou des fenêtres à pilastres sculptés de la Renaissance. C'est un des plus jolis châteaux de la région ; c'est également un des plus importants au point de vue historique[21],[34].
Autre patrimoine
La commune est également riche d'un ensemble de patrimoine bâti.
- Église de Paizé-Naudouin.
- Monument aux morts de Paizé-Naudouin.
- Logis de Tourteron.
Personnalités liées à la commune
- Armand Nompar de Caumont, duc de La Force (1582-1672), propriétaire du château de Saveille, devient maréchal de France en 1652.
- Henri-Joseph-Claude de Bourdeilles (1720-1802), ecclésiastique qui fut successivement évêque de Tulle puis évêque de Soissons de 1764 à 1790, né à Paizay-Naudouin.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Modifications des limites d'arrondissements au 01/01/2008
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1864, p.334
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 34,161,245
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 199
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 516.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 266-267
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Paizay-Naudouin-Embourie en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- [xls] Insee : recensement 2007 : fiche de synthèse Excel, onglet Communes associées.
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- François Marvaud, La Charente, Répertoire archéologique du département, reprise de l'éd. restaurée de 1863, imp. SEBM, 1993, (ISBN 2-7428-0099-9).
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 262
- « Église d'Embourie », notice no PA00104450, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Villa gallo-romaine des Châteliers », notice no PA00104451, base Mérimée, ministère français de la Culture
- [PDF] Aquitaine historique, « La Charente gallo-romaine », (consulté le Date invalide ((absent en 2012)))
- « Château de Saveille », notice no PA00104449, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Paizay-Naudouin-Embourie sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Catillus Carol, « Paizay-Naudouin-Embourie », (consulté le )
- Portail de la Charente
- Portail des communes de France