Pagny-sur-Meuse

Pagny-sur-Meuse est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Le saint patron est saint Rémi. Ses habitants sont appelés les Pagnotins.

Pour les articles homonymes, voir Pagny.

Pagny-sur-Meuse

L'entrée du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Commercy
Intercommunalité Communauté de communes de Commercy - Void - Vaucouleurs
Maire
Mandat
Armand Pagliari
2020-2026
Code postal 55190
Code commune 55398
Démographie
Gentilé Pagnotins
Population
municipale
1 015 hab. (2018 )
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 18″ nord, 5° 43′ 06″ est
Altitude Min. 235 m
Max. 374 m
Superficie 18,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vaucouleurs
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Pagny-sur-Meuse
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Pagny-sur-Meuse
Géolocalisation sur la carte : France
Pagny-sur-Meuse
Géolocalisation sur la carte : France
Pagny-sur-Meuse

    Géographie

    Localisation

    La commune de Pagny-sur-Meuse est située au bord de la Meuse dans le département de la Meuse, à la limite du département de Meurthe-et-Moselle, à 15 km de la sous-préfecture Commercy et à 47 km de la préfecture Bar-le-Duc. Toul est à 16 km et Nancy à 38 km. La commune se trouve aux portes du parc naturel régional de Lorraine dont la limite passe à mi-chemin entre Pagny-sur-Meuse et Trondes.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

    Communes limitrophes de Pagny-sur-Meuse
    Troussey Trondes (Meurthe-et-Moselle) Foug (Meurthe-et-Moselle)
    Lay-Saint-Remy (Meurthe-et-Moselle)
    Ourches-sur-Meuse Saint-Germain-sur-Meuse Foug (Meurthe-et-Moselle)

    Calcaire et sable

    Le sous-sol de la commune recèle une richesse naturelle, la pierre calcaire, qui est exploitée depuis longtemps dans plusieurs carrières. Ce calcaire n'est pas utilisé pour la construction mais pour l'industrie chimique, par l'usine Novacarb de Laneuveville-devant-Nancy pour produire du carbonate de sodium. Dans le sous-sol se retrouve également du sable de Moselle et des galets siliceux en provenance des Vosges.

    Vallée de la Meuse

    Le village est situé sur une colline en bordure de la vallée de la Meuse. Ce fleuve produit chaque année plusieurs crues qui inondent toute la vallée. Lorsque l'on traverse alors celle-ci sur la route nationale 4, on a l'impression d'une immense étendue d'eau. Le canal de la Marne au Rhin, construit dans la vallée de la Meuse, est en sevice depuis 1853. Un port de plaisance a été aménagé sur le canal pour le tourisme fluvial, lequel a aujourd'hui remplacé le transport de marchandises par péniches.

    La capture de la Moselle

    Chevaux konik polski.

    Bien que le village soit situé dans la vallée de la Meuse, la présence de ce sable s'explique par le fait que la Moselle se jetait autrefois dans la Meuse à cet endroit, avant de modifier son cours, au début de l'ère quaternaire, pour se diriger vers la Meurthe. Il en subsiste une zone marécageuse dénommée val de l'Asne (située en 48° 42′ N, 5° 45′ E et d’une surface de 38 ha), à l'emplacement de l'ancien lit du cours d'eau, dans laquelle vit aujourd'hui un petit troupeau de chevaux tarpans, des chevaux sauvages amenés de Pologne : les konik polski.

    Voies de transport

    Un nœud de communications
    « Par tous les chemins ».

    Le village de Pagny-sur-Meuse se trouve situé sur un nœud de communications : routes, canal, chemin de fer, et ceci est exprimé dans sa devise « Par tous les chemins ». Le principal axe de communication est un axe est-ouest qui est la voie de communication traditionnelle entre Paris et Strasbourg, constitué de la route nationale 4, du canal de la Marne au Rhin et de la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg qui y compte une gare autrefois importante. Pagny-sur-Meuse est située à quelques kilomètres au nord de la voie romaine Reims-Metz qui traversait la Meuse à Saint-Germain-sur-Meuse. Aujourd'hui, cet axe est-ouest traditionnel s'est à nouveau déplacé un peu plus vers le nord du département où passent l'autoroute A4 et maintenant la ligne de TGV-est. On note la présence de plusieurs tunnels de part et d'autre de Pagny-sur-Meuse, tant pour le chemin de fer (tunnel de Foug, 1 120 m et tunnel de Pagny-sur-Meuse, 570 m), que pour le canal (tunnel de Foug, 866 m et tunnel de Mauvages, 4 877 m).

    L'axe est-ouest rencontre un autre axe nord-sud matérialisé par la vallée de la Meuse, le long de laquelle se trouve la route départementale 36 et la voie de chemin de fer qui reliait autrefois Neufchâteau. Entre Pagny-sur-Meuse et Sorcy débute une voie navigable : la branche nord du canal de l'Est, qui longe le fleuve Meuse, et se confond avec elle sur certaines portions (Meuse canalisée).

    Le village compte deux anciens ponts, l'un sur la Meuse et l'autre sur le canal, qui ont été détruits pendant la Deuxième Guerre mondiale, comme beaucoup d'autres dans la région. Pendant longtemps, il n'y avait que des ponts provisoires. Le pont sur le canal a enfin été reconstruit en dur à la fin du XXe siècle. Le pont sur la Meuse est encore actuellement une sorte de pont provisoire en poutres métalliques. Un nouveau pont sur la Meuse en béton a été construit en 1968. Sur ce pont passe la route de contournement pour la RN 4, qui traversait auparavant le village.

    Le village est desservi par la ligne d'autocars Nancy-Commercy-Verdun.

    Pagny-sur-Meuse se trouve à proximité immédiate (12 km) de l'autoroute A31 Luxembourg-Beaune.

    Cette situation de carrefour en a fait un lieu de passage, y compris pour les bandes de pillards et les armées, et il a été souvent utilisé comme poste militaire.

    Urbanisme

    Typologie

    Pagny-sur-Meuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), prairies (21,5 %), terres arables (18,4 %), mines, décharges et chantiers (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), zones urbanisées (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), zones humides intérieures (1,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    Le village de Pagny-sur-Meuse est très ancien. On sait qu'il existait déjà au VIIe siècle. Il s'appelait alors Paternicum, et figure dans la donation faite par Dagobert Ier, roi d'Austrasie, à Teutfried, 15e évêque de Toul, en l'an 651.

    La présence de la Meuse a permis l'établissement de plusieurs moulins à eau, l'un dans le village même, et un autre situé dans un hameau à l'écart dénommé Longor (Longor était autrefois un village plus important avec une église qui a maintenant disparu, le village ayant été détruit pendant la guerre de Trente Ans. L'église, abandonnée, est tombée en ruines[8]). La statue de la Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de Langueur a été transportée dans l'église de Pagny-sur-Meuse[9]. Ils sont symbolisés sur le blason par l’anille (« Fer de moulin ») centrale. Pour maintenir un niveau d'eau suffisant au fonctionnement de ces moulins, on a établi de petits barrages sur le cours d'eau, l'un au niveau de Longor, un autre au niveau de Pagny-sur-Meuse et il en existe encore un entre Pagny-sur-Meuse et Troussey, pour alimenter une petite centrale hydro-électrique.

    Avant 1790, Pagny faisait partie du Toulois et était rattaché au diocèse de Toul.

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs [10]
    Période Identité Étiquette Qualité
    22 octobre 1964 19 mars 1965 Jean Royer    
    19 mars 1965 28 octobre 1972 André Claudon[Note 4]    
    28 octobre 1972 25 mars 1977 Henri Perot    
    25 mars 1977 18 mai 1983 Pierre Paule    
    18 mai 1983 16 mars 2008 Marie Maron    
    16 mars 2008 En cours
    (au 24 mai 2020)
    Armand Pagliari [11]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
      Retraité de l'enseignement.
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].

    En 2018, la commune comptait 1 015 habitants[Note 5], en diminution de 1,55 % par rapport à 2013 (Meuse : −3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    680706739732805824778804900
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    829787768757778794872812810
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8438609321 0481 2741 2201 0319441 137
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0741 0108627328419019619691 007
    2017 2018 - - - - - - -
    1 0231 015-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie sportive et culturelle

    Pagny-sur-Meuse possède plusieurs clubs sportifs (football, basket-ball, karaté, gymnastique...).

    Économie

    Un pôle d'activité économique

    La situation privilégiée de carrefour a favorisé le développement économique de Pagny-sur-Meuse, par l'implantation d'industries, dont une cimenterie des Ets Poliet et Chausson, puis Société des Ciments Français, aujourd'hui délocalisée dans le sud de la France, à Fos-sur-Mer, et d'une zone d'activités comprenant une importante base « Intermarché » (Groupement d'achats). Ceci assure au village une relative prospérité, qui est visible dans l'aménagement des rues, des bâtiments communaux et des places et jardins publics, où on note, par exemple, la présence de plusieurs statues modernes[Lesquelles ?] installées au début des années 2000 (« Parc du 3e millénaire »). Le village s'est également doté d'équipements sportifs haut-de-gamme (terrains de tennis, de foot, etc.) que l'on ne trouve pas en général dans les petits villages de cette taille.

    Nature et environnement

    Un aspect moins souriant du village de Pagny-sur-Meuse est son immense décharge d'ordures. Celle-ci se trouve dans une ancienne carrière, que l'on est en train de remplir de déchets plus ou moins toxiques[16]. Elle sent très mauvais[non neutre] (émission de méthane et de dioxyde de carbone[17]), et surtout, elle menace de polluer à plus ou moins long terme la nappe phréatique qui se trouve en dessous. En effet, le site France Déchets à Pagny-sur-Meuse est implanté sur les alluvions de la vallée de l’Ingressin et des paramètres microbiologiques testés par la DRIRE sur les prélèvements d’eau souterraine concernant le site se sont avérés positifs. Des nitrates ont également été détectés[18].

    Depuis quelques années, on observe près du village, plusieurs couples de cigognes.

    Patrimoine naturel

    • Pagny-sur-Meuse ne possède pas de réserve naturelle.
    • Six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) sont en entier ou partiellement sur le territoire de la commune : la pelouse calcaire du Mont à Troussey, le marais de Lay-saint-Remy et Pagny-sur-Meuse, la vallée de la Meuse, la paleo-vallée de la Moselle à Pagny-sur-Meuse, la carrière de Pagny-sur-Meuse et les côtes du Toulois[19].
    • Deux secteurs de ces zones ZNIEFF sont des sites Natura 2000 : le marais de Pagny-sur-Meuse et la vallée de la Meuse (secteur Sorcy Saint-Martin)[20].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Rémi datant de 1775 de style Renaissance.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Massey, datant du XIIIe siècle, avec sa cloche datant de 1682, classée à titre d'objet aux monuments historiques[21].
    • Croix monumentale érigée en 1804 sur l'avenue du Général-de-Gaulle. Elle fut érigée par Jean-Baptiste Remy, ex-curé de Bouvron.
    • Croix monumentale de l'abbé Baurein, érigée en 1836 au milieu du cimetière. Elle marque la sépulture de Mme Anne-Charlotte Biget, veuve Baurein, décédée à Pagny le . Son fils fut enterré à ses côtés quarante ans plus tard[22].
    • Un calice datant du XVIIe siècle, remanié au XIXe siècle, classé à titre d'objet aux monuments historiques. Il se trouve au musée d'Art Sacré à Saint-Mihiel[23].
    • La statue de la Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de Langueur datant du premier quart du XVIe siècle, qui a été transportée de l'église de Longor dans l'église de Pagny-sur-Meuse, et qui est classée aux monuments historiques à titre d'objet[24].
    • Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Saint-Yves, le jeune, dont le nom de famille est celui d'Étienne Leoffrai, oculiste distingué, est né à Pagny-sur-Meuse en 1693[25].
    • M. Bataille (XVIIIe siècle), de Pagny-sur-Meuse, était réputé pour être un des meilleurs pharmaciens de la capitale[26].
    • François Jacquinot, né à Pagny-sur-Meuse (Meuse) en 1748 ; mort à Paris, XIIe arrond., le . Procureur au Châtelet (1777), rue des Noyers no 38 ; avoué près les Tribunaux civils (1790) ; juge suppléant au Tribunal du IVe arrond., par décret de la Convention, 14 nivôse an III ()[27].

    Héraldique

    Blason
    Parti de gueules et d'or, à l'anille soutenue par un chevron renversé, de l'un en l'autre; au chef échiqueté d'or et de sable de trois tires[28].
    Devise
    Par tous les chemins.
    Détails
    • Créé en 1988, le blason représente les richesses naturelles, la convergence des voies de communication et fait allusion à trois aspects historiques de Pagny-sur-Meuse.
    • La devise évoque également les différents axes de communications présents sur le blason. Elle sous-entend de même le chemin à parcourir dans le développement de la commune.
    • Les richesses naturelles :
    La Meuse est représentée dans la bande d'or à senestre. La partie or à dextre rappelle la nature calcaire du sol par l'exploitation des carrières, et symbolise la couleur du blé qui définit le caractère agricole du village. Le support est matérialisé par des orchidées du marais qui représentent la richesse naturelle écologique.
    • Les voies de communication :
    La bande d'or à senestre qui caractérise ci-dessus la Meuse, représente de même le canal de la Marne au Rhin qui coupe le village. La bande de gueules à dextre représente la route nationale 4, atout déterminant qui affecte l'activité économique de la commune, et favorise son attraction de nouveaux habitants par la proximité de celle-ci. Le damier de sable d’or évoque par ses alternances la voie ferrée (ligne Paris – Strasbourg).
    • Les aspects historiques :
    L’anille centrale montre l’importance de la Meuse et des moulins qui l’ont longtemps jalonnée. La partie de gueules à senestre évoque l'ancien attachement du village à l'évêché de Toul. La couronne à trois tours rappelle les cheminées de la cimenterie longtemps implantée dans la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. A démissionné le 16 janvier 1946.
    3. Décédé en cours de mandat.
    4. Décédé en cours de mandat.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. un texte de 1704 évoque également les « deux églises de Dommartin et Longor, ci-devant annexes de Boucq et Pagny qui, étant abandonnées depuis plus de soixante ans, tombent en ruines et sont profanées tous les jours par les pâtres et les brigands ».
    9. Notice no PM55000469, base Palissy, ministère français de la Culture.
    10. Jean-Claude George, Pagny-sur-Meuse et ses environs, Bar-le-Duc, 1985, p. 61-67
    11. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. Ségolène Royal, alors ministre de l'environnement, a ordonné la suspension de l’importation de déchets hospitaliers allemands, notamment à Pagny-sur-Meuse, en août 1992, cf. Christophe Sibieude, Thierry Sibieude, Les rouages économiques de l'environnement, Éditions de l'Atelier, 1993, (ISBN 2708230174), 9782708230170, 346 pages, p.  66 et s.
    17. Pagny-sur-Meuse sur le Registre Français des Émissions Polluantes
    18. Pagny-sur-Meuse sur le site de la DRIRE.
    19. Fiche ZNIEFF de Pagny-sur-Meuse, Inventaire National du Patrimoine Naturel
    20. Fiche Natura 2000 de Pagny-sur-Meuse, Inventaire National du Patrimoine Naturel
    21. « Base Palissy ».
    22. Jean-Claude George, Pagny-sur-Meuse et ses environs, Bar-le-Duc, 1985, p. 24.
    23. « Base Palissy ».
    24. « Base Palissy ».
    25. Mémoires, Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, 1858, vol. 8, page 158.
    26. Charles Emmanuel Dumont, Histoire des fiefs et principaux villages de la seigneurie de Commercy, Imp. de A. Dard, 1856, page 192.
    27. Aristide Douarche, Antoine Mathurin Casenave, Les tribunaux civils de Paris pendant la Révolution (1791-1800) [i.e. dix-sept cent et un à dix-huit cent]: documents inédits recueillis avant l'incendie du Palais de Justice de 1871, Paris, L. Cerf, 1907, vol. 2, page 905.
    28. « Pagny-sur-Meuse : site de la commune », sur pagnysurmeuse.fr (consulté le ).
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