Moulis (Ariège)
Moulis (Molins en Occitan) est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Moulis.
Moulis | |||||
Un des moulins de Moulis, sur le Lez. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Damien Souque 2020-2026 |
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Code postal | 09200 | ||||
Code commune | 09214 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Moulisiens | ||||
Population municipale |
759 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 57′ 43″ nord, 1° 05′ 30″ est | ||||
Altitude | 432 m Min. 412 m Max. 1 608 m |
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Superficie | 36,55 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Ouest | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Moulisiens.
Géographie
Localisation
La commune de Moulis se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 42 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 5 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Montégut-en-Couserans (2,2 km), Engomer (3,0 km), Balaguères (4,0 km), Montgauch (4,5 km), Saint-Girons (5,2 km), Cescau (5,4 km), Arrout (5,4 km), Lorp-Sentaraille (5,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Moulis fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5].
Moulis est limitrophe de douze autres communes.
Commune des Pyrénées située dans l'aire urbaine de Saint-Girons, en Couserans. Elle fait partie fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Hydrographie
La commune est arrosée par le Lez, affluent du Salat, et par le ruisseau Poudades, le ruisseau d'Escalère...
Géologie
La superficie de la commune est de 3 655 ha ; son altitude varie de 412 à 1 608 m[7].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13],[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949[15]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,3 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Moulis est une commune rurale[Note 4],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), prairies (13,1 %), terres arables (2,2 %), zones urbanisées (1,9 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
Arguilla, Aubert, Bader, Barrail, Bernède, Cap-de-Sour, Goué, Jouan-d’Arau, Lambège, Lasserre, Légergé, Liqué, Luzenac de Moulis, Montfaucon, Pouech, Rames, Sarradère, la Traverse…
Voies de communication et transports
L'accès principal s'effectue avec la route départementale D 618 (ex-route nationale 618). La D 137 conduit vers le col de Portech (868 m) et le massif de Sourroque en desservant de nombreux hameaux.
Toponymie
Le nom de la commune vient de l'occitan molin « moulin ».
Histoire
Antiquité
Le hameau d'Aubert a une origine antique. Des fouilles ont permis d'y découvrir de nombreux objets gallo-romains. La carrière de marbre d'Aubert était déjà exploitée à cette époque et des monnaies et outils antiques y ont été retrouvés. Elle a fourni des parements à la basilique Sainte-Sophie de Constantinople inaugurée par l'empereur Justinien en 537. Le roi mérovingien Childebert Ier avait répondu favorablement à une requête de l'empereur Justinien entre 532 et 537[26].
Un édicule gallo-romain a survécu jusqu'à nos jours, il s'agit de la « pile romaine de Luzenac », sans doute un ancien mausolée.
Époque contemporaine
Le tramway électrique de la ligne de Saint-Girons à Castillon et à Sentein a desservi la commune de 1911 à 1937 avec halte au village et à Luzenac.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Saint-Girons de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du canton du Couserans Ouest (avant le redécoupage départemental de 2014, Moulis faisait partie de l'ex-canton de Saint-Girons ) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de l'Agglomération de Saint-Girons.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2018, la commune comptait 759 habitants[Note 6], en diminution de 4,17 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[33] | 1975[33] | 1982[33] | 1990[33] | 1999[33] | 2006[34] | 2009[35] | 2013[36] |
Rang de la commune dans le département | 34 | 28 | 25 | 24 | 23 | 26 | 27 | 26 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Économie
Carrière d'Aubert
Se trouve à Aubert une très ancienne carrière de marbre. Le marbre extrait est appelé "Grand Antique"[37].
La carrière, actuellement propriété de la société Rocamat, fut exploitée dès l'Antiquité romaine. Le marbre, alors appelé Marmor Celticum[37], fut utilisé dans de nombreux bâtiments à Rome et Constantinople. Rouverte au XIXe siècle, elle fut abandonnée en 1952, se transformant en un petit lac appelé le "Trouc de Desmembreri" (Trou de l'Oubli)[37]. Depuis 2014, elle est à nouveau exploitée par la société italienne Escavamar[38].
En 2015, la marque marbre «Grand antique d'Aubert» a officiellement été déposée. Le marbre moulisien s'exporte désormais à Londres, à New York, au Japon...
Artisanat et commerce
- « Le Moulis » est un fromage de vache au lait cru affiné au village dans la tradition des fromages du Couserans.
- Fromage fermier de vache au lait cru « Le Cazalou », façon Bethmale, au Pouech.
- Pizzeria café épicerie multiservices.
- Dépôt-vente.
- École de parapente, stages, vol biplace...
- Deux campings à Luzenac, gîtes en différents lieux de la commune.
Enseignement
Moulis a une école maternelle et une école primaire et fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
- Musée de la vie souterraine René Jeannel devenu Centre expérimental européen pour l'étude de la biodiversité du CNRS[39].
- La commune dispose d'une grande salle des fêtes.
Activités sportives
- Roc’Aventure est un parcours en hauteur situé au-dessus du canyon d’Aubert et de ses nombreuses falaises. Permet d'évoluer en hauteur (jusqu’à 100 m) d’une rive à l’autre du canyon en alternant ponts de singe, passerelles, tyroliennes (jusqu’à 200 m de longueur), mains-courantes, via ferrata. L'encadrement d'un moniteur diplômé est obligatoire[40].
- Le Char de Moulis, surplomb à 850 m au dessus du village, accessible par le hameau de Montfaucon, constitue un site de pratique[41] de parapente référencé de la Fédération française de Vol libre.
- Randonnée pédestre, spéléologie,
Écologie et recyclage
Une unité de recherche du CNRS fonctionne à Moulis, elle travaille notamment sur le réchauffement climatique, les aquifères karstiques, les biotopes souterrains avec l'étude d'un étrange animal cavernicole, le protée.
La déchetterie intercommunale la plus proche se situe au lieudit Palétès à Saint-Girons.
Culture locale et patrimoine
Spécialité locale
Depuis le début du XXe siècle, deux familles de Moulis possédaient un moulin à meules de pierre permettant d'élaborer une moutarde au raisin réputée[42] ; elle peut à nouveau être dégustée à l'occasion de la manifestation traditionnelle « Autrefois le Couserans » qui se déroule le premier week-end d'août à Saint-Girons.
Culture locale et patrimoine
- Église Notre-Dame de Luzenac, classée Monument historique en 1961.
- Église Saint-Jacques d'Aubert.
- Église Saint-Jean-Baptiste du Pouech.
- Église Saint-Lizier de Moulis.
- Église Notre-Dame de Luzenac.
- Portail de l'église Notre-Dame de Luzenac-de-Moulis. Le portail possède deux archivoltes reposant sur des chapiteaux ornés de palmettes et de visages humains.
- Église Saint-Jacques d'Aubert.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Pouech.
- Moulis avec en arrière plan l'église Saint-Lizier de Moulis.
- Pile romaine de Luzenac, classée Monument historique en 1905.
- Cascade d'Aubert.
- Carrière de marbre d'Aubert.
- Le col de Portech (868 m) permet de rejoindre par la D 137 la commune d'Alos et, au-delà, le Haut-Salat par Sentenac-d'Oust.
- Hameau de Saint-Martin.
- La campagne, au loin Sourroque.
- Granges à Montfaucon d'en Haut.
- La vallée du Lez.
- Ancienne carrière de marbre d'Aubert.
- Moulis, rue de la Mairie.
Personnalités liées à la commune
- Auger II de Montfaucon (?-1303), évêque de Couserans.
- Jacques-Arnaud Penent, écrivain (° à Toulouse, † à Moulis).
- Pierre Géraud (° , † ), âgé de 106 ans, dernier poilu de l'Ariège, soldat 2° classe du 14e RI muté au 113e RI, prisonnier en Allemagne durant la Première Guerre mondiale, chevalier de la Légion d'honneur le .
- Albert Vandel, créateur en 1948 du laboratoire souterrain de Moulis avec Louis Fage, Bernard Gèze directeur et Pierre-Alfred Chappuis sous-directeur.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Moulis », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Moulis et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Moulis et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Moulis », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Girons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Moulis et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Pierre le Silentiaire (traduit par Marie-Christine Fayant et Pierre Chuvin), Traduction et commentaire de la Description de Sainte-Sophie de Constantinople de Pierre le Silentiaire, éditions A. Die, Paris, 6 janvier 563 (parution du livre 1997)
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014, ministère de l'Intérieur.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- http://www.escavamar.com/fr/notre-carriere.php
- De notre correspondante Sylvie Cazalé, « Moulis. Le marbre grand antique d'Aubert sort de l'oubli », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- http://www.ecoex-moulis.cnrs.fr/spip.php?article179
- « Horizon vertical ».
- « Site Moulis », sur Fédération française de Vol libre.
- « La saveur oubliée de la moutarde de Moulis », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
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