Montpitol

Montpitol est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Montpitol

Le Lac du Laragou.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des coteaux du Girou
Maire
Mandat
Jean-François Casale
2020-2026
Code postal 31380
Code commune 31388
Démographie
Gentilé Montpitolois, Montpitoloises
Population
municipale
389 hab. (2018 )
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 19″ nord, 1° 39′ 00″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 242 m
Superficie 5,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pechbonnieu
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montpitol
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Montpitol
Géolocalisation sur la carte : France
Montpitol
Géolocalisation sur la carte : France
Montpitol
Liens
Site web http://www.mairie-montpitol.fr

    Anciennement appelé Montpitol-la-Gascogne ou Montpitol-la-Soulade. La commune de la Soulade a été rattaché à Montpitol par une ordonnance royale de 1817.

    Ses habitants sont appelés les Montpitolois et Montpitoloises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Montpitol se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 15 km de Pechbonnieu[3], bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montastruc-la-Conseillère[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Azas (3,0 km), Saint-Jean-Lherm (3,2 km), Roquesérière (3,4 km), Bonrepos-Riquet (3,8 km), Montastruc-la-Conseillère (4,9 km), Verfeil (5,3 km), Garrigues (5,7 km), Gémil (5,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montpitol fait partie du Frontonnais, un pays entre Gaonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits[5].

    Montpitol est limitrophe de sept autres communes, dont une dans le département du Tarn[6].

    Carte de la commune de Montpitol et de ses proches communes.

    Géologie et relief

    Le point culminant du village (242 m) situé sur la route des crêtes (D30) en haut du lieu-dit Prats Vidal permet de dominer, au nord le bassin versant vers la vallée du Tarn et au sud le bassin versant vers la vallée de la Garonne et de voir distinctement par temps clair les monts de l'Aveyron, la chaine des Pyrénées et la Montagne noire.

    Hydrographie

    La commune est bordée au sud par le ruisseau du Laragou, qui grâce à un barrage construit en 1995 alimente le lac du Laragou situé en partie sur son territoire.

    Les ruisseaux de Ferrus, Verdensol, Gayssou, Labanal et Crabe negue alimentent le versant sud de la commune pour rejoindre la vallée de la Garonne par le Laragou puis le Girou.

    Les ruisseaux d'En Marignol, Las Canal et Prat Vassal alimentent le versant nord-ouest de la commune pour rejoindre la vallée du Tarn à Buzet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaur », sur la commune de Lavaur, mise en service en 1985[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 724,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 22 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Montpitol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), forêts (2,3 %), eaux continentales[Note 6] (2,1 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et écarts

    Les principaux écarts sont, pour l'ancien territoire de La Soulade au nord et à l'est de la commune; En Marignols, La Gardière, La Negro, Castelfret (Castelfort), En Jannat, En Cansalade, En Danis, Saint-Puzet, La Soulade, Sarrail, Noubelly, Stoupignan et Trantoul, et pour l'ancien territoire de Montpitol-la-Gascogne à l'ouest et au sud de la commune; Le Fort, En Gineste, La Serre (Serre de Malconseil), Prats Vidal Bas, Prats Vidal Haut, En Cuns, Mazeillé, La Bourdette, En Maury, Le Moulin, Lissard, Lespiau, Daréou, La Goubertarie, Landillac et Landillac Bas.

    Voies de communication et transports

    La commune est principalement desservie au nord par la route départementale 30, dite route des crêtes, ligne de partage des eaux entre le bassin de la Garonne et le bassin du Tarn, sur l'axe Montastruc-la-Conseillère - Lavaur.

    Au sud la D20c permet de rejoindre Gragnague en suivant le cours du Laragou et la D22 permet d'accéder à Verfeil et Bonrepos-Riquet.

    Toponymie

    Avant la Révolution, Montpitol portait le nom de Montpitol-la-Gascogne.

    Histoire

    Au milieu du XIIe siècle le cartulaire de l'abbaye de Saint-Sernin cite une église nommée Sanctus Projectus dévolue à Saint-Projet sur le territoire de Montpitol[28].

    Au Moyen Âge Montpitol faisait partie de la seigneurie de Verfeil qui comptait alors vingt places fortes alentour. Jusqu'à la Croisade des Albigeois (1208-1229) la puissante famille de Portal[29], adeptes du Catharisme, était seigneurs de Montpitol et entretenait le fort dont seul un lieu-dit dominant le village sur la route des crêtes rappelle l'existence.

    En 1215 Simon de Montfort se fait attribuer les terres du comte Raymond VI de Toulouse protecteur des cathares et le revenu du fief de Verfeil dont fait partie Montpitol est alors attribué aux évêques de Toulouse.

    En 1278, Bérenger de Portal obtient la restitution de ses biens.

    Le fort de Montpitol fut probablement édifié au moment de la Guerre de Cent Ans pour défendre les villageois contre la menace anglaise et les mercenaires. Des murailles de terre édifiées et entretenues par les habitants, entouraient les maisons.

    L'avancée de la Réforme protestante au début du XVIe siècle permit à Jehan de Portal dit le Jeune de recouvrer en dot les propriétés (terres et forteresse) de Montpitol mais pas la seigneurie et son droit de haute et basse justice qui restèrent à l'archevêque de Toulouse.

    En 1570, sous la conduite de l'amiral de Coligny, les troupes des religionnaires, grossies de celles des princes de Condé et de Navarre, s'emparaient des forts qu'ils trouvaient sur leur passage qui n'étaient défendus que par quelques paysans mal armés et sans expérience militaire. En 1574, ils réparaient celui de Montpitol avec les matériaux de l'église qui avait été saccagée récemment par les huguenots[30].

    Le , Anne de Levis, Duc de Ventadour, Lieutenant-Général pour le roi Henri IV de la province du Languedoc, dans sa lutte contre les ligueurs sur le chemin de Lavaur à Toulouse, assiégea et brula le fort de Montpitol dont les consuls furent pendus "pour avoir oser soutenir le canon !"[31].

    En 1683 les bénéficiaires des revenus du fief de Montpitol étaient les dames Feuillantines, une congrégation de religieuses qui suivait la règle de Saint Bernard, et qui se consacrait surtout à l'éducation des jeunes filles. Elles étaient établies au faubourg Saint-Cyprien de Toulouse.

    En 1733, Jacques Duilhé, bourgeois de Toulouse et propriétaire à La Soulade fut anobli par le capitoulat de Toulouse. Il devint alors coseigneur de La Soulade et rajouta à son patronyme le nom de fief de Saint-Projet.

    Héraldique

    Son blasonnement est : Palé d'azur et d'or de six pièces.

    La commune de la Soulade, rattachée en 1817 à celle de Montpitol, portait "d'Argent à un chef-bande de sable".

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[32],[33].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux du Girou et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Montpitol faisait partie de l'ex-canton de Montastruc-la-Conseillère).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1983 Roger Gasc    
    1983 2001 Jean Casale    
    2001 2020 Thierry Auriol    
    mai 2020 octobre 2020 Christophe Marty    
    octobre 2020 En cours Jean-François Casale    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35]. En 2018, la commune comptait 389 habitants[Note 7], en diminution de 4,89 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    182203203286335349364372334
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    353341344320299301292286274
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    254253239221221205228204162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    169141121176251332369407389
    2018 - - - - - - - -
    389--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Montpitol fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune de Roquesérière école maternelle et pour l'école élémentaire sur la commune[38].

    Sports

    Le village de Montpitol est dynamisé par un club d'aviron nommé Montpitol Aviron Club du Lac du Laragou. Ce petit club d'une soixantaine de licenciés est situé sur les berges du Lac du Laragou. Ce club mélange rameurs-loisir et rameurs-compétition, la formation des jeunes y est exemplaire. Le club est une association créé en 1996 qui fait partie de la Fédération française des sociétés d'aviron. Le club se qualifie chaque année pour les championnats de France et il peut compter à son palmarès deux médailles d'or (saison 2009-2010 et saison 2010-2011), deux médailles d'argent (saison ????-????, saison 2009-2010) et une médaille de bronze, ainsi que plusieurs titres de champion du Sud-Ouest. Terrain de basketball,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux du Girou[39],[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Monseigneur François Duilhé de Saint-Projet[41], né le à Toulouse, prêtre, chanoine, professeur de rhétorique, lauréat des Jeux Floraux en 1853, 1854, 1855 et 1856, en a été élu mainteneur en 1857. Docteur en théologie la même année. Auteur du livre Apologie scientifique de la foi chrétienne, il fut l'initiateur de la fondation de l'Institut catholique de Toulouse dont il fut nommé recteur en 1894. Il mourut le à Toulouse. Il était propriétaire et conseiller municipal de Montpitol et ses ancêtres étaient seigneurs de Saint-Projet et co-seigneurs de la Soulade au XVIIIe siècle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Site officiel

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Montpitol », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Montpitol et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Montpitol et Pechbonnieu », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Montpitol », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 309-310.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Lavaur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Montpitol et Lavaur », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Lavaur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Montpitol et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montpitol », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montpitol », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune de Montpitol », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. In Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France - 1993 (T53) pages 187 à 189 – l'Archidiaconé de Villelongue au XIIe siècle par Pierre Gérard
    29. Portal, Frédéric (Pierre-Paul-Frédéric de), « Les Descendants des Albigeois et des huguenots, ou Mémoires de la famille de Portal ».
    30. In article "Les anciens forts des villages" de P.A. Chauliac in L'Auta : organe de la société les Toulousains de Toulouse et amis du vieux Toulouse 1960/01 (N287) pages 5 à 9.
    31. In Bulletin de la Commission des antiquités de la ville de Castres et du département du Tarn - 1879 (T2,A2) pages 184 à 189
    32. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. http://www.mairie-montpitol.fr/fr/enfance-et-jeunesse/l-ecole.html
    39. http://www.cc-coteaux-du-girou.fr/index.php/ramassage-et-tri-des-dechets
    40. http://www.mairie-montpitol.fr/fr/infos-pratiques/dechets.html
    41. M. Le Chanoine Valentin, « Éloge de Mgr Dhuilé de Saint-Projet », sur Gallica, Recueil de l'Académie des Jeux Floraux, .
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