Meximieux

Meximieux est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est chef-lieu de canton de l'Ain. C'est aussi la commune principale d'une unité urbaine de 9 743 habitants en 2011[1].

Meximieux

Le centre-ville et l'ancien hôtel de ville (à droite).

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine de l'Ain
Maire
Mandat
Jean-Luc Ramel
2020-2026
Code postal 01800
Code commune 01244
Démographie
Gentilé Meximiards
Population
municipale
7 848 hab. (2018 )
Densité 571 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 19″ nord, 5° 11′ 43″ est
Altitude Min. 206 m
Max. 310 m
Superficie 13,75 km2
Unité urbaine Meximieux
(ville-centre)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meximieux
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Meximieux
Géolocalisation sur la carte : Ain
Meximieux
Géolocalisation sur la carte : France
Meximieux
Géolocalisation sur la carte : France
Meximieux
Liens
Site web ville-meximieux.fr

    Ses habitants sont appelés les Meximiards et les Meximiardes[2].

    Géographie

    Situation

    À 37 km au nord-est de Lyon, 35 km au sud-ouest de Bourg-en-Bresse et à environ 12 km d'Ambérieu-en-Bugey, la localité est située sur le relief de la côtière qui marque la fin du plateau de la Dombes, au contact avec la plaine de l'Ain. D'un point de vue historique, elle appartient à l'ancienne province de Bresse. Sa situation lui a longtemps conféré un rôle de relais sur les routes allant de Lyon vers Genève et vers les frontières allemande ou alpine. Meximieux est également située à 16 km de Lagnieu. Elle est traversée par le Longevent.

    Climat

    Le climat y est de type semi-continental, avec des hivers parfois froids, des étés chauds...

    Voies de communication et transports

    Plusieurs routes permettent l'accès à la commune. La départementale 1084 en est la principale. Elle provient du sud-ouest depuis Rillieux-la-Pape, puis part en direction du nord-est vers Neuville-sur-Ain. La départementale 22a arrive du nord depuis Bourg-en-Bresse, la départementale 4 de l'ouest et le départementale 65 du sud. L'autoroute A42 traverse le territoire communal. La sortie la plus proche est la sortie no 7 de Pérouges.

    Urbanisme

    Typologie

    Meximieux est une commune urbaine[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Meximieux, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 10 310 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

    Meximieux, dont la population a été multipliée par trois en trente ans, est une ville en pleine expansion : de nombreux travaux ont été réalisés ces dernières années avec notamment de nouveaux parkings, la rénovation de la salle des fêtes, la construction d’une médiathèque et l’aménagement des voies routières.

    Il existe plusieurs espaces verts sur le territoire de la commune : la Coulée verte qui traverse la moitié de la ville en longueur et l'étendue autour de l'étang de L’Aubépin qui permet de rejoindre Pérouges à pied.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones urbanisées (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), forêts (8,7 %), prairies (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Quartiers et lieux-dits

    • La Citadelle
    • Le ruisseau
    • La Bovagne
    • Le clos St-Jean
    • Le Fouilloux
    • Les Galamières (cité EDF)
    • La Côte
    • Chavagneux
    • Bressy
    • Le Palais
    • Les portes de la dombes
    • Pivarel
    • Les Combières
    • Les Murgères
    • Le Menel
    • L'Aubepin
    • Les Ollières
    • Les Carronières

    Communes limitrophes

    Histoire

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, le bourg de Meximieux s'abrite derrière une courtine à flanquements circulaires, dont il subsiste des débris.

    Le bourg de Meximieux était possession de l'archevêque de Lyon de 1072 à 1270, date à laquelle Meximieux passe entre les mains du seigneure de Beaujeu puis du Dauphiné en 1327, enfin Meximieux fait partie de la Savoie à partir 1353, situation qui perdura plusieurs siècles. Pendant cette période prospère, elle acquiert une position de ville frontalière avec Pérouges. François (II) Mareschal, seigneur de Méximieux, obtient du duc de Savoie Charles III par lettres patentes du d'ériger Méximieux en baronnie[13],[14]. Ambassadeur pour le duc en Italie, il profite de son statut pour obtenir du pape Léon X « l'érection de l'église de Saint-Apollinaire en collégiale, ainsi que la création d'un chapitre de chanoines à Meximieux (1515). »[14]

    À la fin du Moyen Âge, la ville est sur une zone de marche entre Dauphiné, France et Savoie. Cependant, les luttes entre souverains de France et de Savoie, conduisent à un accord en 1601 qui changea la destinée de la ville désormais Française. C'est pendant cette période que naît Vaugelas. Sa vie entre Savoie et France est à l'image de sa ville natale.

    Renaissance

    Le Traité de Lyon proposait d'échanger des territoires. La France cédait Châteaudauphin en Piémont à la Savoie. La Savoie cédait ses provinces occidentales de Bresse et du Bugey, difficiles à tenir en cas de conflit. Chacun s'assurant ainsi un territoire plus cohérent.

    Révolution française

    Meximieux devint chef-lieu du canton éponyme. L'arrivée du chemin de fer en 1858 facilite les liaisons avec les autres points de la région.

    Bataille de Meximieux

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, fin août-début , Meximieux est le théâtre d'une bataille à la suite d'une contre-offensive allemande. À ce titre, la commune de Meximieux est l'une des rares collectivités territoriales de France, elles seront 17 au total, à recevoir la médaille de la Résistance, attribuée le . Le lieutenant-colonel Davison à la tête des troupes alliées, devint citoyen d'honneur de la ville.

    Époque contemporaine

    Dans les années 1970, la ville connait un accroissement de population avec l'implantation de la centrale nucléaire du Bugey, à Saint-Vulbas. Les cadres et techniciens d'EDF sont logés dans deux cités construites au-dessus du quartier du Fouilloux, aux Galamières. Dans les années 1980, la population continue de progresser. Le développement du transport ferroviaire et la construction de l'autoroute A42 facilite l'accès à Lyon.

    Toponymie

    Meximieux tire son nom du propriétaire d'une ferme gallo-romaine : « Maximiacus »[15],[16].

    La dernière consonne est rarement prononcée. Pour les noms multisyllabiques, « x » indique l’accentuation sur la dernière syllabe le différenciant avec le z final qui sert à marquer le paroxytonisme et ne devrait pas être prononcé dans sa langue d'origine.

    Politique et administration

    Administration territoriale

    Meximieux est le chef-lieu du canton homonyme dans l'arrondissement de Bourg-en-Bresse.

    Administration municipale

    Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du Conseil municipal de la commune :

    GroupePrésidentEffectifStatut
    25majorité
    4opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1er février 1790  ? Claude-François Mazoyer   avocat, député du Tiers-État à l'assemblée générale des trois ordres à Bourg-en-Bresse
    1820 1832 Philibert Vézu    
    1848 1865 Claude-Joseph Perrin    
    1886 1904 Claude COMTE    
    1919 1929 Fernand Berthier    
    1950 1959 Victor Fol DVD Médecin - Conseiller général (1951-1964)
    1959 1971 Jean-Claude Ronge SE Négociant en vins - Conseiller général (1964-1970)
    1971 1977 Marcel Bouchard[17]    
    1977 1984 Robert Goglu[Note 4] DVG  
    1984 1995 Alain Cavet PS  
    juin 1995 mai 2020 Christian Bussy RPR puis UMP puis LR Retraité fonction publique
    mai 2020 En cours Jean-Luc Ramel DVD  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2018, la commune comptait 7 848 habitants[Note 5], en augmentation de 5,71 % par rapport à 2013 (Ain : +4,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5651 6911 8051 7651 9972 0652 0862 2862 473
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4392 5522 5592 3872 3632 2762 2502 1372 138
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3402 1041 8581 7961 8952 0372 0442 0892 132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 3922 6693 4574 2536 2306 8407 2177 2687 655
    2018 - - - - - - - -
    7 848--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,4 %, 15 à 29 ans = 21,8 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 13,5 %) ;
    • 51,3 % de femmes (0 à 14 ans = 19,9 %, 15 à 29 ans = 21,3 %, 30 à 44 ans = 22,7 %, 45 à 59 ans = 17,7 %, plus de 60 ans = 18,4 %).
    Pyramide des âges à Meximieux en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    3,7 
    75 à 89 ans
    6,8 
    9,5 
    60 à 74 ans
    10,6 
    19,0 
    45 à 59 ans
    17,7 
    23,2 
    30 à 44 ans
    22,7 
    21,8 
    15 à 29 ans
    21,3 
    22,4 
    0 à 14 ans
    19,9 
    Pyramide des âges du département de l'Ain en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    5,2 
    75 à 89 ans
    7,9 
    12,0 
    60 à 74 ans
    12,3 
    20,8 
    45 à 59 ans
    20,2 
    22,5 
    30 à 44 ans
    22,0 
    18,1 
    15 à 29 ans
    16,7 
    21,2 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Jumelages

    La commune a développé une association de jumelage avec :

    Enseignement

    • École primaire de la Bovagne
    • École primaire du Menel
    • École primaire du Champ de foire
    • École Saint-Jean-Bosco
    • École Sainte-Blandine
    • Collège Claude-Favre-de-Vaugelas

    Santé

    • Hôpital J.-C. Ruivet.
    • Maison de retraite de la Rose d'or.

    Sports

    Il existe divers clubs notamment en football, rugby, tennis, handball, judo, basket-ball ou encore pétanque, escrime. La ville possède 3 terrains de football, 2 terrain de rugby, 2 gymnases, 2 courts de tennis couverts, 4 cours découverts, 1city stade, 1 salle de fitness, 2 terrains de beach-volley, 1 boulodrome…

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Un lavoir, place Chantabeau.
    • Beffroi de l'ancienne mairie. Il se dresse en proue et divise la rue principale.
    • Vestiges de courtines à flanquement circulaires de l'enceinte urbaine[25].
    • Architecture minimaliste des cités EDF (1973).
    • Architecture contemporaine : salle polyvalente et le gymnase.

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[26].

    étang de l'Aubépine

    Etang de l'Aubépine

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    La commune de Meximieux porte :

    D'or à la bande de gueules accompagnées de six coquilles du même posées en orle[27].

    Le blason est celui de la famille Mareschal, dont une branche a porté le titre de seigneur de Meximieux.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Réélu en 1983, il cède sa place l'année suivante à la suite de sa mutation professionnelle à Fos-sur-Mer, à Alain Cavet, premier adjoint.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Unité urbaine 2012 de Meximieux (01206) », sur insee.fr.
    2. Gentilé de la commune, sur habitants.fr
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    6. « Unité urbaine 2020 de Meximieux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Comte Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (vol. 3), Grenoble, Allier Frères, (lire en ligne), p. 342.
    14. Page, 1903, p. 18.
    15. Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Meximieux : Meximieux, Bourg-Saint-Christophe, Charnoz, Faramans, Joyeux, Le Montellier, Pérouges, Rignieux-le-Franc, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Niost, Saint-Maurice-de-Gourdans, Villieu-Loyes-Mollon, Société d'histoire et d'archéologie de la Plaine de l'Ain, , 306 p. (ISBN 978-2907656320), p. 25.
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, Librairie Droz, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 532.
    17. « Marcel Bouchard, ancien maire de 1971 à 1977 », Journal de la Côtière, no 891, , p. 10.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Évolution et structure de la population à Meximieux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Résultats du recensement de la population de l'Ain en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. Annuaire des communes jumelées.
    25. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Éditions Publitotal, , 1304 p. (OCLC 1078727877), p. 751.
    26. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    27. Armes de Meximieux, sur labanquedublason2.com

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Meximieux : Meximieux, Bourg-Saint-Christophe, Charnoz, Faramans, Joyeux, Le Montellier, Pérouges, Rignieux-le-Franc, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Niost, Saint-Maurice-de-Gourdans, Villieu-Loyes-Mollon, Société d'histoire et d'archéologie de la Plaine de l'Ain, , 306 p. (ISBN 978-2907656320)
    • Pierre Chaudet, Patrick Dalmaz, Pascal Garapon et Patrick Lemasson, Le canton de Meximieux, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, coll. « Mémoire en images »,
    • Guy Brunet, Paul Percevaux et Louis Trenard, Histoire des communes de l'Ain : La Dombes, Horvath, , p. 199-205
    • Abbé François Page, Meximieux, une commune pendant la révolution, Belley, , 309 p.
      curé de Mizérieux

    Article connexe

    Liens externes

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