Mervilla
Mervilla est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Mervilla fait partie de la communauté d’agglomération du Sicoval. Ses habitants sont appelés les Mervillageois.
Mervilla | |||||
L'église Saint-Jean-Baptiste et la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Sicoval | ||||
Maire Mandat |
Gérard Gardelle 2020-2026 |
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Code postal | 31320 | ||||
Code commune | 31340 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mervillageois, Mervillageoises | ||||
Population municipale |
272 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 30′ 30″ nord, 1° 28′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 185 m Max. 275 m |
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Superficie | 2,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castanet-Tolosan | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mervilla.fr/ | ||||
Commune résidentielle des coteaux du sud-est toulousain, l’originalité majeure de Mervilla, à 10 minutes de la station de métro de Ramonville, réside encore dans une identité agricole affirmée.
Géographie
Localisation
La commune de Mervilla se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 2 km de Castanet-Tolosan[3], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Vigoulet-Auzil (1,1 km), Rebigue (2,2 km), Castanet-Tolosan (2,2 km), Auzeville-Tolosane (2,3 km), Pechbusque (2,5 km), Vieille-Toulouse (2,9 km), Péchabou (2,9 km), Aureville (3,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Mervilla fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].
Mervilla est limitrophe de six autres communes.
Géologie
Mervilla est une commune du Lauragais géographique qui constitue une région naturelle dont l’identité est à la fois géologique, climatique et agricole. Le Lauragais géographique en tant que tel constitue une région agricole française. Sur le plan géologique[7], les sols de Mervilla sont représentatifs des mollasses du Lauragais, qui sont des dépôts lacustres et fluviatiles de l’Oligocène[8],[9]. Ces mollasses sont appelées terrefort quand elles sont argilo-calcaires, comme c’est le cas sur les coteaux de Mervilla, et elles ont alors une très bonne valeur agronomique notamment en tant que terre à blé[10], vocation historique du Lauragais. Ces coteaux mollassiques sont entaillés de multiples vallons avec de petits ruisseaux comme ceux qui existent sur la commune (voir le plan de Mervilla).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[16] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[18], à 14,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].
Urbanisme
Typologie
Mervilla est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[27] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[30],[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (73 %), forêts (17,9 %), terres arables (5,7 %), zones urbanisées (3,4 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Le TAD 119 du réseau Tisséo relie la commune à la station Ramonville du métro de Toulouse.
Histoire
Mervilla et les familles Bérail et Fieubet. Durant les XVIe et XVIIe siècles en particulier, l’histoire de Mervilla est notamment associée à celle de deux familles seigneuriales : les Bérail dont un des membres a été Capitoul, et les Fieubet qui s’installèrent à Mervilla en 1577 et acquirent la seigneurie de Mervilla, Rebigue et Castanet-Tolosan. Pour l'histoire des Fieubet et de leur implantation à Mervilla on consultera la notice qui leur a été consacrée [33].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[34],[35].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2018, la commune comptait 272 habitants[Note 6], en augmentation de 4,21 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[41] | 1975[41] | 1982[41] | 1990[41] | 1999[41] | 2006[42] | 2009[43] | 2013[44] |
Rang de la commune dans le département | 546 | 394 | 417 | 411 | 373 | 349 | 333 | 339 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
L’évolution démographique de la commune montre un accroissement modéré au cours de la première moitié du XIXe siècle (avec une chute inexpliquée en 1841 suivie d’une remontée et d’un maximum en 1846) puis une diminution régulière suivie d’une stagnation entre 1850 et 1950. Cette évolution se retrouve dans la plupart des communes rurales françaises avec des cinétiques variables suivant les régions et les communes. Dans le cas des communes du Lauragais, elle est communément rapportée aux crises agricoles, notamment à la baisse du prix du blé du fait des importations de blé de Russie puis des États-Unis, à partir de 1850. L’exode rural vers la ville qui offre de meilleurs salaires aux actifs salariés agricoles (brassiers, bordiers du Lauragais), joue aussi un rôle important[45], les deux facteurs étant d’ailleurs liés. Après les pertes humaines de la Grande Guerre, la revitalisation sera le fait de l’immigration, d’italiens principalement. Malgré le retour d’une situation agricole favorable avec les règlements céréaliers de La PAC dans les années 1960, l’exode rural se poursuivra parallèlement à la modernisation du système agricole dans son ensemble : mécanisation, remembrement, organisation économique.
L’expansion de l’agglomération urbaine toulousaine est associée à un accroissement démographique rapide des communes de cette agglomération. C’est le cas des communes des coteaux toulousains bénéficiant d’un bon accès aux réseaux urbains et périurbains. Par comparaison aux autres communes dans la même situation géographique, Mervilla a longtemps freiné cette urbanisation ce qui lui confère l’originalité agricole qu’elle a préservée jusqu’à présent.
Enseignement
Mervilla fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste et la dalle funéraire de Fieubet[47].
À l'intérieur de l'église se trouve la dalle funéraire armoriée datée de 1603, classée aux Monuments historiques, d'Arnaud de Fieubet, secrétaire des Etats du Languedoc, mort en 1603, et de sa femme morte en 1597. On lira avec beaucoup d'intérêt pour la connaissance des relations entre Mervilla et la maison de Fieubet, la notice que Letisserand de Sayrac a consacrée à Arnaud de Fieubet dont l'extrait suivant : " Arnaud de Fieubet avait voulu être enseveli avec Jacqueline - ou plus simplement Jacquette - de Madron, sa femme, en l'église de Mervilla. Tous deux y reposent encore, à gauche du maître-autel, « du costé de l’Evangile » et de leur chapelle, sous une grande dalle de pierre où leurs armoiries, sont gravées au trait 26 au-dessus de l’épitaphe suivante : HIC. CONDVNTVR. CINERES. NOBIL. VIRI. ARNALDI. DE. FILEVBET. DOMINI. DE. GODETZ. A *SECRETIS. COMITIORVM. GENERALIVM. OCCITA. NL2E. ET. CLARISSLM~E. CONJVGIS. JACOBAE. DE. MADRON. EX. NOBILE. FAMILIA. NAM. VT. ET. TVMVLO . SICVT . ET . THALAMO . JVNCTI . ETERNVM. QVIESCANT.... « Afin que, unis dans la tombe comme dans le lit conjugal, ils reposent éternellement... »."
- Le château de Mervilla, ou château Dubarry, ancienne résidence des Fieubet. Demeure des XVIe siècle et XVIIe siècle dans un parc formant un domaine privé.
- Le château de la Garrigue.
Personnalités liées à la commune
Vie économique
Industrie
- L'entreprise XP Metal Detectors fabrique des détecteurs de métaux et a son siège sur la commune.
Agriculture
- L'agriculture de production
- Vers une agriculture de services : agriculture et environnement aux portes de Toulouse
Autres activités
- Tourisme : deux gîtes ruraux labellisés trois épis
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Mervilla », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Mervilla et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Mervilla et Castanet-Tolosan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Mervilla », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Pierre Courjault-Radé, Philippe Le Caro, Eric Maire et Brigitte Schwal,CNRS, Le Lauragais, une entité géologique et géographique, Couleur Lauragais N°30 - mars 2001
- Jacques Hubschman, Observations pédologiques sur le Quaternaire du Lauragais toulousain,Bulletin de l’Association française pour l’étude du quaternaire, Année 1972, Volume 9, Numéro 9-1, pp. 31-49
- Jean ODOL, Le relief du Lauragais ou le Pays des Mille Collines (1re partie) Couleur Lauragais N°23 - Juin 2000
- Jean Odol, Lauragais, pays de blé, Couleur Lauragais N°23 - Juin 2000
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mervilla et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mervilla », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Mervilla », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Mervilla », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Letisserand de Sayrac : Les Fieubet
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
- Mervilla sur le site du Sicoval
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- A.Armengaud,Débuts de la dépopulation dans les campagnes toulousaines, Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, Année 1951, Volume 6, Numéro2 pp. 172-178
- http://www.sicoval.fr/fr/mon-logement/dechets.html
- Étienne de Planet Sur une église champêtre du Toulousain. La paroisse Saint Jean-Baptiste de Mervilla et les Fieubet. Editeur : Berthoumiec - Parution en 1936.
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