Mareil-en-France

Mareil-en-France est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mareil.

Mareil-en-France

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Chantal Romand
2020-2026
Code postal 95850
Code commune 95365
Démographie
Gentilé Mareilloises, Mareillois
Population
municipale
702 hab. (2018 )
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 00″ nord, 2° 26′ 00″ est
Altitude 155 m
Min. 109 m
Max. 186 m
Superficie 7,00 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Mareil-en-France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
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Mareil-en-France
Liens
Site web mareil-en-france.fr

    Ses habitants sont appelés les Mareillois(es).

    Géographie

    Description

    Mareil-en-France se situe en plaine de France, près de l'intersection de la Francilienne avec la RN 16 (actuelle RD 316), à une distance orthodromique de de 25 km au nord-nord-est de Paris.

    Mareil-en-France fait partie du parc naturel régional Oise-Pays de France créé par décret du [1].

    La distance routière de la capitale est de 30 km par Villiers-le-Sec et la RD 316, et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est à 16 km par Fontenay-en-Parisis et la Francilienne.

    L'accès routier à Mareil est particulier. Bien que l'échangeur entre la Francilienne et la RD 316 se situe sur le territoire communal, il n'y a aucun lien entre ces routes et le village, exception faite de la voie communale d'Épinay-Champlâtreux, qui permet de quitter Mareil sur la RD 316 en direction du Nord, vers Luzarches et Chantilly. (Le contraire n'est pas autorisé). Sinon, il faut passer par la Francilienne pour atteindre la RD 316, et choisir entre les sorties de Fontenay-en-Parisis (à l'est) et de Villiers-le-Sec (à l'ouest).

    Vue vers la butte de Montmélian depuis Mareil.

    Sur le plan des transports en commun, Mareil est desservie par la ligne R8 Goussainville RER - Mareil, à raison de trois aller-retours le matin et trois aller-retours le soir. Le matin, les bus sont sans arrêt entre la gare et le terminus de la ligne, et le soir, une fois atteint le terminus, rentrent sans arrêt à la gare (desserte en boucle de Mareil). À la gare de Goussainville, la correspondance avec le RER D est établie. Concernant la randonnée pédestre, elle se heurte sur la commune à l'interruption de la plupart des chemins ruraux qui se terminent au milieu de champs ou devant les remblais des grandes routes. Reste toutefois le Chemin Blanc en provenance du Mesnil-Aubry.

    Le village de Mareil est visible de loin grâce à sa situation sur le versant sud-est d'une butte-témoin de 175 m d'altitude, le village lui-même étant bâti autour de 155 m, dominant la plaine d'une vingtaine de mètres. De ce fait, des points de vue existent à Mareil, permettant d'apercevoir la forêt de Carnelle, la forêt de Chantilly et la butte de Montmélian. Le territoire communal est pour l'essentiel couvert de surfaces agricoles, dont quelques vergers, mais grâce à la présence de plusieurs petits bois et de haies vives ou d'allées d'arbres fruitiers le long de certains chemins, le paysage est loin d'être monotone. Les cours d'eau sont absents à Mareil, mais il y a quelques sources.

    Communes limitrophes

    Mareil compte cinq communes limitrophes, dont la plus importante est Fontenay, petit bourg avec quelques commerces de proximité et des cabinets de médecin.

    Hydrographie

    Le Croult prend sa source à Mareil-en-France. C'est un affluent de la Seine où il se jette à Saint-Denis.

    Urbanisme

    Typologie

    Mareil-en-France est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[5],[6].

    Toponymie

    Marolium en 704, Marul en 1150, Mareuil, Mareil-en-France[7].

    Son nom provient du gaulois maros, grand, et ialos, espace découvert.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[8], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Luzarches[9]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Mareil-en-France fait partie du ressort du tribunal d'instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [10]), et celle du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise[11],[12].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Fosses

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Mareil-en-France était membre de la communauté de communes du pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette petite intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Carnelle Pays de France dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[13]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1816   Alexandre Thibault    
    1871 1879 Alexis Jean Victor Girard-Boisseau    
    avant 1874   Gérard Boisseau    
    avant 1890   Pierre Jumentier    
    mai 1925   Constant Jumentier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Pierre Coulon    
    2014[14] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Chantal Romand   Réélu pour le mandat 2020-2026[15]

    Équipements et services publics

    Le foyer rural.

    La commune s'est dotée de caméras de vidéosurveillance en 2017[16].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2018, la commune comptait 702 habitants[Note 3], en augmentation de 1,01 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    424468435379377368356402384
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384403435457510404306310311
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    299335341306283319285281304
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    330315369450475498571675693
    2018 - - - - - - - -
    702--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade ouest de l'église.

    Mareil-en-France compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Martin, rue de l'Église (inscrite monument historique en 1914[20]) :
      De l'extérieur, seuls le clocher et la façade occidentale du milieu du XIXe siècle sont visibles depuis le domaine public, et dénués d'intérêt. Tout le reste de l'église a été édifié pendant une unique campagne de construction au début du dernier quart du XVIe siècle et séduit par l'homogénéité et la qualité de son architecture Renaissance.
      L'ordonnancement et la sculpture monumentale portent la signature artistique du maître-maçon Nicolas de Saint-Michel, de Luzarches, et montrent une ressemblance frappante avec l'église Saint-Martin d'Attainville. À l'instar de toutes les autres églises bâties par le même architecte, le voûtement d'ogives et la disposition générale sont hérités de l'architecture gothique, mais si l'on ne regarde que les supports, l'on pourrait se croire dans un édifice antique. Ce qui distingue l'église de Mareil-en-France est son plan exceptionnel avec déambulatoire complet, sans chapelles rayonnantes, mais avec une enfilade de chapelles peu profondes tout autour de l'église, grâce à des contreforts tournés vers l'intérieur. Comme seul inconvénient, l'abside est insuffisamment éclairée, car le chevet est entouré par le déambulatoire. Néanmoins, les auteurs s'accordent pour considérer l'église Saint-Martin comme un chef-d'œuvre de la Renaissance en pays de France[21],[22],[23].

    On peut également signaler :

    • La mairie, rue Regnault / rue Montguichet :
      Elle a la particularité d'être construit sur un promontoire, résultant visiblement des travaux de terrassement pour la construction routière. En effet, Mareil est situé sur le flanc méridional et sur le sommet d'une butte-témoin, et la rue Montguichet à côté de la mairie, tout comme la rue Neuve devant la mairie, présentent une déclivité considérable. La petite place devant la mairie ne correspond pas au relief naturel.
      La maison n'a pas toujours été une mairie ; elle remonte à 1765 et a été acquise par la commune en 1842 pour être transformée en mairie-école.
      L'aile latérale à l'ouest était une salle de classe supplémentaire ; elle a été ajoutée en 1867 suivant les plans de l'architecte Boulogne.
      Le style de sa façade en meulière avec utilisation de briques rouges pour les chaînages se retrouve au rez-de-chaussée de la mairie, indice d'un remaniement de la façade d'origine vers la même période. En 1871, la salle du conseil municipal a été décorée de fines boiseries en chêne, toujours en l'état. L'on peut encore voir, dans le mur de soutènement, une porte et deux fenêtres grillagées, ouvrant sur une pièce voûtée taillée en partie dans la roche : ce fut le corps de garde.
      La salle de classe de 1871 ne sert plus d'école[24],[25], mais l'école élémentaire est toujours présente sur le même terrain, derrière la mairie, dans des bâtiments modernes (classes CM1 et CM2)[26].
    • Le lotissement bourgeois « Les Fabriques », RD 47, avenue des Tilleuls (impasse privée) et avenue du Curé :
      Cet ensemble architectural est commandé par le banquier syrien Eugène Chaloub et réalisé entre 1895 et 1904, sur le terrain d'une sucrerie qui avait fait faillite.
      L'architecture de chacune des cinq villas est différente. Elles s'appellent « le château », « villa Beauséjour », « villa Maurice », « villa Notre-Dame » et « villa des Sapins ». Cette dernière, inspirée d'un chalet, est la seule à ne plus conserver son aspect d'origine. Leur architecte n'est pas connue, mais l'on peut constater son goût pour l'éclectisme et le pastiche historique. Toutes les maisons et leurs dépendances furent exécutées avec grands soins et disposaient de tout le confort, mais le lotissement se démarque surtout par sa « salle de récréation » (avec théâtre et salle de gymnastique) commune à tous ses habitants, et par son parc paysager avec verger, potager, sapinière, roseraie, reproduction de la grotte de Lourdes, rivière artificielle avec cascade, kiosques, labyrinthe et serre chauffée. Le lotissement avait même son système indépendant d'adduction d'eau.
      Un projet d'agrandissement prévu en 1913 n'a pas vu le jour en raison de la Première Guerre mondiale, et Chaloub, ayant perdu femme et enfant, vend le domaine en 1925[27].
    • La grande ferme avec les vestiges de l'ancien château de Mareil, entre mairie et église :
      Implantée en haut de la butte sur une terrasse artificielle, elle domine la RD 47 en provenance de Fontenay-en-Parisis. L'on aperçoit de loin le haut mur de soutènement aux limites sud et est de la propriété, avec un escalier d'honneur descendant aujourd'hui vers un champ cultivé. Le logis du XVIIIe siècle, bâti en équerre à l'extrémité sud-est de la cour d'exploitation, intègre des parties de l'ancien château de Mareil du XVIIe siècle démoli partiellement en 1793. Quelques vestiges sont également visibles depuis la route. Le grand portail de la cour s'ouvre sur la rue Regnault, à droite de la mairie. Les écuries et la chartrie, à quatre arcs plein cintre, sont d'une grande qualité architecturale[28]. Par ailleurs, l'ancienne bergerie, grande salle voûtée, constitue le dernier vestige d'un ancien couvent dépendant du prieuré de Gonesse, démoli aux XVe et XVIe siècles[29]. Les bâtiments de cette vaste ferme remarquable se trouvent aujourd'hui dans un état de délabrement, et les détails des décors des façades se perdent.
    • Le capteur de source, au lieu-dit « la Tourelle », au nord-ouest du village, non loin du chemin communal vers la RD 316 :
      Le bâtiment se présente comme une petite tour ronde sans étage, construite en pierres brutes, avec un toit conique également en pierre, mais aujourd'hui recouvert de tuiles plates. La porte est entourée d'un chaînage par des pierres d'apparat de grand format. L'eau de la source était conduite au village par une canalisation, bien qu'une cuvette ait dû être traversée. Après la désaffection de la canalisation, le bâtiment a été utilisé comme cabane de chasse[30]. La tourelle, menacée de tomber définitivement en ruine, a été restaurée vers 2005 avec le soutien du Parc naturel régional Oise-Pays de France. Située au sein d'un champ, l'on ne peut pas s'en approcher.
    • Le lavoir, au nord du cimetière en dehors du village : le bassin est aujourd'hui complètement caché par la végétation, et ses bordures en grès ne sont pratiquement plus visibles. La fontaine couverte alimentant le lavoir est encore assez bien visible. Il s'agit d'un petit édicule en pierres de taille de peu d'épaisseur, couverte par une unique dalle et ouverte vers le nord. À côté, un escalier en blocs de pierre descend vers le niveau du bassin. Un mur de soutènement de faible hauteur, élevé en pierre sèche, délimite l'espace autour du lavoir à l'est.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1) d'or à la bande d'azur, au 2) d'or à la corneille de sable, au 3) d'azur à la main dextre appaumée d'or, au 4) d'azur au chevron d'or ; à la croix de gueules brochant sur la partition et chargée en cœur d'une fleur de lis d'or[31].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Personnalité liée à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Cf. « Journal officiel de la République française du , p. 1143-1144 » [PDF], sur Dréal Picardie (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    8. Loi no 64-707 du portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du , p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    10. Décret du publié au Journal Officiel du .
    11. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise.
    12. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise.
    13. « Les maires de Mareil-en-France », sur francegenweb.org (consulté le ).
    14. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    15. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
    16. T.C., « Mareil-en-France : les caméras de vidéosurveillance arrivent », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Notice no PA00080117, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Dominique Foussard, « Mareil-en-France - Saint-Martin », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 176-178 (ISBN 9782953155402).
    22. Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville. Images du patrimoine, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'Île-de-France et Conseil général du Val d'Oise, , 104 p. (ISBN 2-905913-23-1), p. 28, 39, 41 et 47.
    23. Charles Terrasse, « Les œuvres de l'architecte Nicolas de Saint-Michel, au XVIe siècle, en Parisis », Bulletin monumental, Paris, A. Picard, vol. 81, , p. 165-188 (ISSN 0007-473X, lire en ligne) ; p. 179-184.
    24. Yann Audino et Christian Garcia, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Mareil-en-France », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 480-482 (ISBN 2-84234-056-6).
    25. « Histoire de la Mairie-École », sur Mareil-en-France (site officiel) (consulté le ).
    26. Cf. « L'école à Mareil », sur Mareil-en-France (site officiel) (consulté le ).
    27. En pays de France, op. cit., p. 81.
    28. Cf. « Histoire de la ferme » et « Vues de la ferme » sur le site « Mareil-en-France (site officiel) » (consulté le ). En dépit du titre, cette source ne renseigne toutefois pas sur l'histoire de la ferme et du château. Cf. aussi En pays de France, op. cit., p. 70-71.
    29. Cf. « Histoire du Village », sur Mareil-en-France (site officiel) (consulté le ).
    30. Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Mareil-en-France, op. cit., p. 482, sauf pour l'état actuel.
    31. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=4408
    32. Claude Augé (dir.), « Mois musical et artistique : Les Prix de Rome », Larousse mensuel illustré, Paris, , p. 953 / 1189 (notice BnF no FRBNF34425120, lire en ligne, consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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