Lucy-sur-Cure

Lucy-sur-Cure est une commune française (ayant absorbé Essert) située dans le département de l'Yonne et la région Bourgogne-Franche-Comté faisant partie de la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs depuis le 1er janvier 2017. Ses habitants sont appelés les Lucyats.

Lucy-sur-Cure

Vue du village.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes Chablis, Villages et Terroirs
Maire
Mandat
Frédéric Moiselet-Parquet
2020-2026
Code postal 89270
Code commune 89233
Démographie
Gentilé Lucyats
Population
municipale
201 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 38′ 00″ nord, 3° 45′ 00″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 240 m
Superficie 10,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Joux-la-Ville
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Lucy-sur-Cure
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Lucy-sur-Cure
Géolocalisation sur la carte : France
Lucy-sur-Cure
Géolocalisation sur la carte : France
Lucy-sur-Cure

    Géographie

    Lucy-sur-Cure est situé à 28 km au sud-est d'Auxerre[1] sur la rive droite (côté Est) de la Cure, affluent quelque peu mouvementé de la rivière Yonne. La Cure marque la limite de communes avec Bessy-sur-Cure en rive gauche[2].

    Le village est sur la route départementale D606 Auxerre-Avallon, à 28 km au sud-est d'Auxerre et à 24 km au nord-ouest d'Avallon. La sortie n° 21 (Nitry) de l'autoroute A6 (« autoroute du soleil ») est à 16 km au nord-est[1].

    Il est situé dans un site d’intérêt régional pour ses milieux variés et les espèces de faune et de flore qui s'y développent ; on y retrouve notamment une flore xérophile exceptionnelle en Bourgogne.[3]

    Communes voisines

    Communes limitrophes de Lucy-sur-Cure
    Vermenton Vermenton (Sacy)
    Joux-la-Ville
    Bessy-sur-Cure Arcy-sur-Cure

    Autres localités proches : Accolay, Bazarnes, Bois-d'Arcy, Cravant, Mailly-la-Ville, Prégilbert, Sainte-Pallaye, Sery.

    Urbanisme

    Typologie

    Lucy-sur-Cure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,1 %), terres arables (38,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), prairies (3,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    L'époque gallo-romaine

    Trois villae sont connues pour y avoir été repérées :
    - La Quincie, grosse villa (située au nord du village actuel) avec un dépôt de monnaies enfoui vers 286 et un buste en calcaire conservé au Musée de l'Avallonnais ;
    - La Prairie, occupée du Ier au IIIe siècle ;
    - et le village lui-même, cité comme Lucianum le 9 janvier 859 lors d'une donation ou une confirmation de donation par Charles le Chauve à l’abbaye de Saint-Germain d'Auxerre, qui a livré de nombreux vestiges de l'Antiquité et du Haut Moyen-Âge[11].

    Du XIe siècle jusqu'en 1791

    Lucy-sur-Cure et Essert ont appartenu respectivement aux abbayes bénédictine de Crisenon et cistercienne de Reigny qui y logeaient leurs famuli (serviteurs qui seront plus tard nommés frères convers).

    On a longtemps cru qu'Alix, fille du roi Robert et femme de Renaud comte d'Auxerre, avait fondé l'abbaye de Crisenon. Elle avait seulement fondé sur le lieu une modeste chapelle dédiée à saint Nicolas en 1040, année de la mort de son mari Renaud, comte d'Auxerre[12],[Note 2].

    L'abbaye de Crisenon est fondée en bord de l'Yonne par Ithier, Hugues et Nargeot ou Nargaud, trois frères seigneurs de Toucy, Bazarnes et autres lieux, qui possèdent en commun l'île de Crisenon[13]. Les croisades ont le vent en poupe à cette époque ; avec l'espoir d'acquérir des fiefs en Terre sainte ou en chemin, il est plus facile de faire des donations pour recommander son âme à Dieu et peut-être aussi compenser les aliénations des biens ecclésiastiques par les aïeux des seigneurs lors des périodes pré-carolingienne et carolingienne — le XIe siècle est particulièrement notable pour la quantité de fondations et donations au clergé par des seigneurs laïcs[14]. Les trois seigneurs de Toucy suivent le mouvement. En 1096 avant de partir pour la première croisade (1096-1099) ils font remplacer la chapelle Saint-Nicolas par une église dédiée à Notre-Dame et par un monastère ; puis ils donnent le tout à saint Robert, abbé de Molesme. En 1099 saint Robert y place une partie de ses religieux, avec un prieur[13]. L'établissement de Crisenon est donc tout d'abord un prieuré d'hommes.
    Entre cette fondation et l'année 1123, Hugues le Gros, de Mailly, et ses cousins Rainaud et Guillaume, vendent à Crisenon les terres de Lucy où des "hommes du monastère" (les frères lais, anciennement nommés famuli) demeurent[15],[16].

    Quelques dizaines d'années plus tard, au XIIe siècle, Innocent II (pape 1130–1143) cherche à favoriser les bénédictines nouvellement fondées à Juilly[Note 3], et obtient de Hugues de Montaigu (évêque d'Auxerre 1115-1136) qu'un échange soit fait : Molesme reçoit le prieuré Saint-Gervais à Auxerre et donne Crisenon à l'évêque ; les religieux de Molesme qui occupent Crisenon déménagent à Auxerre et un détachement des bénédictines de Juilly vient s'installer à Crisenon. L'acte d'échange est de 1134 ; Molesme s'y réserve la gouvernance spirituelle des bénédictines de Crisenon et tous les ans, le jour de la Purification, les bénédictines de Crisenon doivent leur donner un cierge pesant une livre[13].

    Crisenon devient rapidement l'un des établissements les plus florissants du diocèse d'Auxerre[13]. En 1145 cette abbaye-fille de Juilly reçoit l'autorisation de Clément III pour fonder un nouvel établissement, qui est le prieuré de la Ferté près de Decize. L'affluence de candidates est telle que Crisenon reçoit l'ordre de limiter le nombre de ses religieuses à cent[14].

    En 1240, la 7e abbesse de Crisenon est une certaine Beatrix de Bourbon (d'une lignée autre que royale) ; trois abbesses sont issues de la maison de Chastellux[18]. En 1409 l'abbesse est Alixant de Tanlay[19],[Note 4]

    Au XVIIIe siècle :

    Peu de temps avant la fin de l'existence de l'abbaye de Crisenon en 1790, il est à noter qu'un curé de Lucy-sur-Cure, M. Louvrier, avait secondé sa chanoinesse, Madame Du Mouchet, afin d'effacer les dettes qui lui étaient reprochées.

    Lucy-sur-Cure était à cette époque un village viticole dans lequel il était possible d'exercer plusieurs métiers (vigneron, tonnelier, laboureur, notaire, greffier) outre celui de chantre[20].

    Après la Révolution

    Au XIXe siècle :

    Le village de Lucy-sur-Cure est resté longtemps isolé, la route royale puis l'impériale empruntant un autre chemin après Vermenton, avant qu'une ordonnance royale du 20 août 1839 ordonnât la rectification du trajet de la route no 6 pour permettre, en 1846 seulement, que la chaussée passant par Lucy-sur-Cure soit ouverte à la circulation jusqu'à Arcy-sur-Cure uniquement[21], le tunnel de Saint-Moré n'ayant été inauguré qu'en 1852[22].

    La voie de chemin de fer et la gare de "Lucy-sur-Cure / Bessy" ont été construites à partir de 1869 et jusqu'en 1873, mais la compagnie PLM ne s'est engagée "à exécuter les chemins de fer" qu'à partir de 1880.

    Une maison d'école est construite en 1841.

    En 1884 Lucy-sur-Cure comptait 262 habitants et son maire était M. J.B. Bréchat, mais il n'y avait pas d'orphéon, d'harmonie ni de fanfare, pas plus que de chef de gare : et pour cause ! l'aiguillage de Cravant-Bazarnes n'a été mis en service qu'en 1890[23], date à laquelle on remarque d'ailleurs une légère baisse de la population locale, exode rural dû également à la crise du phylloxéra, entraînant, comme dans l'Auxerrois, un changement de paysage[24] en raison de la régression brutale des vignes au profit des pommiers et autres arbres fruitiers permettant de remplacer le raisin pour la production d’alcool.

    En 1884, pas de service vicinal non plus puisqu'aucun chemin de grande communication ne passait par là, mais on y trouvait malgré tout un instituteur, M. Gautard, et un curé, M. Picq, également curé d'Essert dont les instituteurs étaient MM. Vitout et Mossot et le maire M. Garnier, pour 148 habitants[25].

    La toponymie d'Essert a conservé le souvenir du défrichement de ses terres effectué dès le XIe siècle par les moines d'une abbaye cistercienne de Fontenoy ou Fontemoy (fons humidus) avant que ses frères convers ne créent le village lui-même au XVIe siècle lors du transfert de leur abbaye à celle de Reigny devenue fondation royale à la demande de Charles VIII. Son nom change au cours des temps où il a pu être nommé : Essars, Essartæ ou encore Essarz.

    Une école et la mairie y ont été construites en 1825, puis de 1895 à 1900 c'est une école mixte qui est construite, avec acquisition d'un terrain pour le jardin de l'instituteur en 1906.

    Au XXe siècle :

    L'école mixte et la mairie de Lucy-sur-Cure trouvent place dans le presbytère (1911-1914), un bâtiment qui avait été acquis en 1826.

    En 1927 a lieu un nettoyage du puits de la gare puis une recherche d'eau potable est entreprise de 1929 à 1932 postérieurement à des travaux d'adduction et de distribution d'eau qui avaient eu lieu de 1928 à 1931.

    Ce n'est que dans la seconde moitié du XXe siècle (le par arrêté préfectoral du ) que Lucy-sur-Cure a administrativement absorbé le village d'Essert (après une fusion momentanée de 1973 à 1982 avec Bessy-sur-Cure), sans doute à cause d'une ré-augmentation momentanée de sa population.

    La Cure et son influence au cours des temps

    Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle les trains de bois en provenance du Morvan passaient par le village comme le montre la carte n̝° VII levée entre 1732 et 1737 par l'abbé Jean Delagrive[26]

    Mais de nombreuses crues y ont eu lieu car c'est un village connaissant des risques naturels d'inondation[27].
    On peut citer les inondations hivernales de janvier 1910 et 1955, et parmi les plus récentes, celle du 14 mars 2001 : ce jour-là, la Cure est montée jusqu'à la place du Calvaire, soit environ 1,5 mètre, le jour même où, sur une période de 46 ans, un débit instantané maximal était enregistré à proximité. Une crue de janvier 2004 fut moins importante. Une crue estivale due aux orages avait eu lieu en septembre 1866.

    Lieux et monuments

    • L'église d'Essert.
      Église Saint-Barthélémy d'Essert.
      La chapelle érigée après la Révolution de 1789 est réparée et le clocher reconstruit de 1843 à 1847, d'autres travaux ayant lieu de 1863 à 1868. Des terrains sont acquis en 1860 pour l'agrandissement du cimetière. Un sonneur est nommé en 1865.
    • Église Saint-Amâtre, près de la Cure. Une partie de la nef daterait du XIIe ou du XIIIe siècle. Elle a été agrandie vers 1760 pour Marie de Sennevoy, abbesse de Crisenon. Le clocher a été construit en 1868. La façade porte la date de 1834. L'église est principalement constituée de calcaire, de moellons et d'enduit. À l'intérieur se trouve un document racontant le financement des aménagements de l'église. On y trouve également plusieurs statues, ainsi qu'un triptyque.
    • Cimetière, dans la partie haute du village. On peut y trouver un monument dédié aux morts durant les guerres.
    • Gare. En 1908, une boite aux lettres y avait été installée.
      Cette gare a été vendue par la SNCF en 1989 à la commune de Lucy-sur-Cure et son quai est devenu pendant quelque temps halte-ferroviaire.
      Les trains ne s'y arrêtent plus depuis le 5 juillet 2015.
    • Salle des fêtes
    • Place du Calvaire
    • Parc : il borde la Cure, limpide à cet endroit. Il s'y trouve des bancs et des jeux pour enfants.

    Le GR 13 longe la commune à l'ouest, sur la rive gauche de la Cure (commune de Bessy-sur-Cure).

    À km au sud du bourg se trouvent les grottes d'Arcy-sur-Cure.

    Personnalités liées à la commune

    Politique et administration

    Liste des maires [29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1900 1912 Ferdinand Huot    
    1912 1919 Hyppolyte Barraut    
    1919 1926 Émile Boullé    
    1926 1929 Henri Marceau    
    1929 1937 Émile Boullé    
    1937 1944 Adrien Darlot    
    1944 1950 Marcel Bréchat    
    1950 1973 Maurice Huot    
    1973 1977 Robert Dumont    
    1977 2001 Gérard Huot    
    2001 2019 Christiane Colas    
    2019   Anne-Marie Urbain    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 201 habitants[Note 5], en diminution de 10,27 % par rapport à 2013 (Yonne : −1,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    255294279325341325280276285
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    251255252253260262252233221
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    214197169150152143137143143
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    126117332201186171201205224
    2017 2018 - - - - - - -
    203201-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • [Leclerc 1844] Leclerc, Abbaye de Crisenon, Auxerre, Annuaire historique de l'Yonne, , 20 p. (lire en ligne), p. 25-45.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

      Notes sur la démographie
      1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. Renaud est en conflit avec son beau-frère Robert duc de Bourgogne au sujet des limites du comté d'Auxerre. Une bataille a lieu le 29 mai 1040, au cours de laquelle Renaud est tué. Le lieu exact de la bataille est inconnu : il est seulement indiqué Sylviniacum. Supposant une erreur de copiste, l'abbé Lebeuf indique Seignelay, qui est effectivement situé à une frontière du comté d'Auxerre en direction de Sens et de la Champagne — et s'appelait autrefois Saliniacum. Mais M. Chardon (Histoire d'Auxerre) fait remarquer que Renaud n'avait pas de conflit de ce côté, et était nettement plus susceptible d'en avoir du côté du Nivernais. Selon l'usage à l'époque, la veuve a pu faire construire un memoriam à son mari sur le lieu de cette bataille. Voir Leclerc 1844, p. 25-26.
      3. Juliacum castrum ou Juilly-le-Chastel, devient Juilly-les-Nonains après l'installation de bénédictines avec sainte Humbline, sœur de saint Bernard, comme première abbesse. Le village est une annexe de la paroisse de Villemorien dans le comté de Bar-sur-Aube[17] ; de nos jours il existe un village appelé Jully-sur-Sarce à quelque 3 km au nord de Villemorien (voir « Villemorien et Jully-sur-Sarce » sur Géoportail.)
      4. « Plan de l'abbaye de Crisenon et de ses dépendances immédiates en 1788 », sur archivesenligne.yonne-archives.fr (consulté le ).
      5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

      Références

      1. Lucy-sur-Cure sur la carte de google.fr.
      2. « Lucy-sur-Cure, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
      3. Boisements et vallées du bord de la Cure entre Vermenton et Lucy-sur-Cure - https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/260008529/tab/commentaires
      4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      11. (2008) [Nouvel 2008] Pierre Nouvel, « La vallée de la Cure à l'époque gallo-romaine : Découvertes anciennes et apports des prospections aériennes et terrestres 1991-2008 », Bulletin de la Société d'Études d'Avallon, no 84, , p. 14-43 (lire en ligne, consulté le ), p. 12.
      12. Leclerc 1844, p. 25.
      13. Leclerc 1844, p. 27.
      14. Leclerc 1844, p. 28.
      15. « Jugement par Guillaume II comte d'Auxerre de Tonnerre et de Nevers », cartulaire du prieuré Saint-Gervais d'Auxerre, sur cn-telma.fr (consulté le ).
      16. « Recueil de chartes copiées après 1508 concernant les biens du prieuré de Saint-Gervais, dépendant de l'abbaye de Molême », scan d'archives, sur archivesenligne.yonne.fr (consulté le ).
      17. Leclerc 1844, p. 27, note (1) en bas de page.
      18. Leclerc 1844, p. 30.
      19. [Anselme 1713] Père Anselme, Histoire généalogique de France, Amsterdam, Frères Chatelain, , 3e éd., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 242.
      20. Base de données prosopographique des musiciens d'Église en 1790 : HOUDOT, Pierre Paul (1745-1816) - http://philidor.cmbv.fr/ark:/13681/1hdkx5xyrvgnzebqi6j6/not-510657
      21. [Déy 1844] Déy, « Précis historique sur la construction des routes impériales du département de l'Yonne », Annuaire historique de l'Yonne, , p. 17 (lire en ligne [sur echo.auxerre.free.fr], consulté le ). Route n°6 : pp. 13-19.
      22. Cf. Le tunnel routier de la Nationale 6 à Saint-Moré (89) - https://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=89362_9
      23. Cf. Préservation du poste de Cravant-Bazarnes de 1890 - http://ajecta.unblog.fr/2008/04/19/preservation-du-poste-de-cravant-bazarnes-de-1890/
      24. Cf. Le paysage rural du vignoble auxerrois aux XIXe-XXe siècle - https://www.persee.fr/doc/htn_0018-439x_1988_hos_1_1_3098
      25. Source : Annuaire Historique du Département de l'Yonne, 49e année, 1885.
      26. Cours de la Seine et des rivières et ruisseaux y affluant - http://lemorvandiaupat.free.fr/pdf/cure.pdf
      27. http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Securite-et-prevention-des-risques/Risques-majeurs/Acces-par-commune-aux-servitudes-d-utilite-publique-relatives-aux-risques/Lucy-sur-Cure/Risques-naturels-d-inondation-de-la-Cure
      28. « Albert Piault », fiche biographique, sur ordredelaliberation.fr (consulté le ).
      29. Source : https://www.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-lucy-sur-cure.html
      30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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