Limeyrat
Limeyrat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Limeyrat (homonymie).
Limeyrat | |||||
Le bourg de Limeyrat. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort | ||||
Maire Mandat |
Claude Sautier 2020-2026 |
||||
Code postal | 24210 | ||||
Code commune | 24241 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
444 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 38″ nord, 0° 58′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 143 m Max. 266 m |
||||
Superficie | 19,72 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton Haut-Périgord noir | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités
Localisée à l'est du département de la Dordogne, la commune de Limeyrat est située sur les hauteurs entre deux affluents de l'Isle, l'Auvézère et le Manoire.
L'altitude minimale, 143 mètres, se situe au nord, sur la route départementale 68, en limite de la commune de Brouchaud, à côté du Puits de Bontemps où naît la résurgence du Blâme. Le point culminant avec 266 (ou 267 mètres) se trouve tout au sud, au lieu-dit la Fon de la Marquise[1].
Le bourg de Limeyrat, desservi par la gare de Limeyrat sur la ligne ferroviaire Périgueux - Brive mais à l'écart des routes principales, est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Thenon et vingt kilomètres à l'est de Périgueux.
La commune est desservie au nord par la route départementale 68. Elle est également traversée dans sa partie nord par l'autoroute A89 dont les échangeurs les plus proches, 16 Périgueux-Est et 17 Thenon sont éloignés du bourg de Limeyrat d'une quinzaine de kilomètres par la route.
Communes limitrophes
Limeyrat est limitrophe de cinq autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Limeyrat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,9 %), zones agricoles hétérogènes (29,1 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), prairies (0,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu est attestée par un pouillé du XIIIe siècle sous la forme Limeyrac[21], latinisée ensuite en 1395 sous la forme Limeracum[22]. Cette appellation dérive d'un nom de personne germanique Lithomar[23], latinisé en Liutmarus avec le suffixe -iacum[22], correspondant au « domaine de Liutmarus ».
En occitan, la commune porte le nom de Limeirac[24].
Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[25].
Histoire
Au XIVe siècle Limeyrat (Lymayrac) faisait partie de la châtellenie d'Auberoche[26].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Limeyrac.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Limeyrat a, dès 1790, été rattachée au canton de Thenon qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Périgueux[27].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Thenon disparaît aux élections départementales de mars 2015[28]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.
En 2017, Limeyrat est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[29],[30].
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[31],[32].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Limeyrat relève[36] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2018, la commune comptait 444 habitants[Note 6], en diminution de 2,42 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Limeyrat est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Fossemagne et Saint-Antoine-d'Auberoche au niveau des classes de primaire. À la rentrée de , la commune de Saint-Antoine-d'Auberoche n'accueillera plus d'enfant scolarisés, qui seront alors dirigés vers les deux autres communes[40].
Économie
Emploi
En 2015[41], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 196 personnes, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,4 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-six établissements[42], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[43].
Entreprises
La commune accueille trois entreprises spécialisées dans l'extraction minérale : Bontemps et Occitanie Pierres pour la pierre de taille, et CMC pour des granulats[44].
Installées en 1999 à Limeyrat, « Les Carrières de Bontemps » exploitent la pierre, principalement pour le marché du dallage (50 000 à 60 000 m2 de dallage par an[45]). Elles emploient près de 60 salariés en 2019 et leur chiffre d'affaires s'effectue à 40 % à l'exportation[46].
Parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, tous secteurs confondus, « Les Carrières de Bontemps » (taille, façonnage et finissage de pierres), implantée à Limeyrat, se classe 33e en termes de chiffre d'affaires à l'exportation avec 1 410 k€[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Dolmen de Peyrelevade (ou Peyre Levade), néolithique, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1980[48],
- Église Saint-Hilaire, XIIe et XVIe siècles, dont le chœur est classé monument historique depuis 1903, le reste de l'église étant inscrit en 2006[49].
- Chapelle de la Pinolie de la fin du XVIIe siècle
- Château de l'Étang, modeste castel du XIXe siècle[50].
Le dolmen de Peyrelevade. L'église Saint-Hilaire. Sa nef. La chapelle de la Pinolie. Le château de l'Étang.
Patrimoine naturel
Au nord, limité approximativement par une ligne reliant les hameaux de la Chosédie et de la Pinolie, environ 40 % du territoire de la commune fait partie du causse de Thenon qui s'étend également sur six autres communes. Cette zone calcaire boisée remarquable pour sa flore spécifique est classée comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2[51],[52].
Distinctions culturelles
Limeyrat est « Village en poésie » depuis , label décerné par le Printemps des poètes aux villages qui donnent à la poésie une place prépondérante dans la vie culturelle locale. Ainsi, depuis 2002, Limeyrat organise tous les deux ans une manifestation poétique d'ampleur, festival alliant poésie, arts visuels et spectacle vivant. Le village accueille à cette occasion des poètes en résidence d'écriture.
Limeyrat fait partie des communes ayant reçu en 2010 l’étoile verte espérantiste[réf. nécessaire], distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Héraldique
Blason | D'azur à trois serpents volants posés en pal. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
- Gare de Limeyrat (halte ferroviaire SNCF)
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Borne 267 » sur Géoportail (consulté le 4 février 2011)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Limeyrat et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Limeyrat et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Vicomte de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (présentation en ligne), L-Z, LIMEYRAC, sur le site guyenne.fr, consulté le 13 mai 2016.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 201-202.
- A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1989, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 404.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 7 mars 2014.
- (en) Sean Czarnecki, Sol 3034: Mars Science Buffet, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
- Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, p. 242, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 30 octobre 2020.
- Sources : listes établies par la mairie de Limeyrat + registres de délibérations (période 1881-1958), consultés en 2012.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 26.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Aimée Faconnier, « À Saint-Antoine-d'Auberoche, l'école, c'est définitivement fini », Sud Ouest édition Dordogne, 4 juillet 2015, p. 14.
- Dossier complet - Commune de Limeyrat (24241) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Limeyrat (24241) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
- Grégoire Morizet, « Mécontentement général », Sud Ouest édition Périgueux, 28 novembre 2014.
- Benoît Martin, « La pierre veut rimer avec plan de carrière », Sud Ouest édition Dordogne, 7 novembre 2020, p. 18-19.
- Thoma Mankowski, « C'est ça, faire carrière », Sud Ouest édition Dordogne,10 août 2019, p. 14-15.
- « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
- « Dolmen de Peyrelevade », notice no PA00082615, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 4 février 2011.
- « Église de Limeyrat », notice no PA00082616, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 4 février 2011.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 103, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- [PDF] « Causse de Thenon »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 18 octobre 2012.
- [PDF] « Carte de la ZNIEFF 2655 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 18 octobre 2012.
- Portail de la Dordogne
- Portail des communes de France