Le Houga
Le Houga est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Son nom vient du gascon heugar puis folgar qui signifie « fougeraie ».
Pour les articles homonymes, voir Houga (homonymie).
Le Houga | |||||
Église Saint-Aubin | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Condom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bas-Armagnac | ||||
Maire Mandat |
Patricia Feuillet Galabert 2020-2026 |
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Code postal | 32460 | ||||
Code commune | 32155 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Folgariens | ||||
Population municipale |
1 168 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 46′ 34″ nord, 0° 10′ 46″ ouest | ||||
Altitude | 148 m Min. 87 m Max. 153 m |
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Superficie | 31,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand-Bas-Armagnac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Folgariens.
Géographie
Localisation
Le Houga est une commune de Gascogne située dans l'Armagnac. Elle est limitrophe avec le département des Landes.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 151 ha. Son altitude varie de 87 à 153 m[2].
Le Houga se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Hydrographie
Les ruisseaux de Buros et de Gioulé, affluents droit de l'Adour, prennent leur source sur la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aire Mestade », sur la commune d'Aire-sur-l'Adour, mise en service en 1991[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 915,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le département des Landes, mise en service en 1945 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Le Houga est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,2 %), zones agricoles hétérogènes (28,6 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (2,8 %), prairies (2,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le latin filicaria désignant un ensemble de fougères a donné le languedocien falguièra et le gascon heuguèra ou hoguèra, à l'origine du Houga[22].
Histoire
Ancienne juridiction du Bas-Armagnac fondée vers 1060 dont le ressort s'étendait aussi sur les paroisses de Perchède et Mormès, Le Houga relevait juridiquement de la sénéchaussée de Lectoure, puis de celle d'Auch et donc du Parlement de Toulouse. Pour l'administratif et la fiscalité elle relevait de la généralité de Montauban à la création de celle-ci, et pour le religieux de l'archevêché d'Auch, quoique l'évêché d'Aire sur l'Adour se trouvât seulement à 12 km.
Entourée à l'origine de remparts et d'un fossé, la ville vit ses défenses détruites dans les années 1620. Jusqu'en 1685 des familles notables qui avaient embrassé la Réforme avaient transformé l'église en temple et le culte catholique était déplacé à l'église de Rivière-Mau à un kilomètre. Certaines de ces familles émigrèrent ou se convertirent après avoir subi le logement de dragons.
Sous la Révolution Le Houga fut érigé en canton regroupant 16 communes sous l'autorité d'un commissaire du Directoire.
Le Houga absorbe en 1829 les communes de Saint-Aubin et Laterrade-Saint-Aubin[2]. Les anciennes paroisses de Toujun et de Rivière-Mau (Sainte Marie de Mau) lui étaient aussi rattachées. Elles sont maintenant fondues dans la même entité.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2018, la commune comptait 1 168 habitants[Note 5], en diminution de 2,1 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[26] | 1975[26] | 1982[26] | 1990[26] | 1999[26] | 2006[27] | 2009[28] | 2013[29] |
Rang de la commune dans le département | 20 | 21 | 20 | 23 | 24 | 25 | 27 | 24 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Note : À partir de 1831, le recensement inclut les populations de Saint-Aubin et Laterrade-Saint-Aubin[2].
Enseignement
Le Houga dispose d'une école élémentaire publique (53 élèves en 2013)[30] et d'une école maternelle publique (47 élèves en 2013)[31].
Il y a aussi un I.M.E (Institut Médico-Educatif) : I.M.E du Bas Armagnac qui comprend deux sections un IMP (Institut Médico-Pédagogique) et un IMPRO (Institut Médico-Professionnel). Il y a 2 formations qualifiantes : service en restauration et aussi assistant de vie aux familles (niveau V).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Elle est située au quartier de Saint-Aubin (ancienne paroisse).
L'Église et le porche d'entrée sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 1983[32].
Sont classés au titre des monuments historiques :
- Le tabernacle et le thabor du maître-autel datant du XVIIIe siècle (restauré)[33].
- La partie instrumentale de l'orgue daté de 1879[34].
Autres monuments
- Église Saint-Pierre : tour octogonale dite du Prince Noir d'une hauteur de 31 mètres, orgues.
- Chapelle Saint-Laurent de Toujun de style roman.
- Arènes : courses landaises, novilladas. La ville est membre du l'Union des villes taurines françaises.
- Espace zoologique : la ferme aux cerfs et sangliers.
- Stèle à la mémoire de Paul Lacôme d'Estalenx, érigée dans le jardin communal à proximité de la maison dans laquelle il vécut.
Personnalités liées à la commune
(Liste non exhaustive classée par années croissantes)
- Bertrandon de la Broquière, agent de Philippe le Bon ; auteur d'une relation de voyage au Proche-Orient en 1433.
- Antoine Destremau (1636-1685), médecin en Inde à la Cour de Golconde, négociant en pierres précieuses et mécène, agent-correspondant de François Martin directeur de la Compagnie des Indes à Pondichéry ; de confession calviniste. Son testament est conservé aux Archives Nationales.
- Jean Destremau sieur de Massé, dit Jean de Massé ou João Massé (pt) (~1666 — ~1745), huguenot émigré, officier d'infanterie en Irlande et aux Pays-Bas, ingénieur des fortifications au Portugal et au Brésil, général de division de l'armée portugaise[35]. Une rue porte son nom à Sao Paulo.
- Pierre (dit Pierre-Joseph) Darneuilh, homme de loi à Tarbes et député des Hautes Pyrénées à l'Assemblée Législative (1791-1792) est né au Houga le , de Jean-François d'Arneuilh et Marianne Labeyrie.
- Pierre-Sébastien Laurentie (1793-1876), journaliste, professeur et historien, est né sur la commune[36].
- Paul Lacôme d'Estalenx (1838-1920), compositeur et critique musical, est né et mort sur la commune[37].
- Joseph Lasies (1862-1927), député du Gers puis de la Seine, est né sur la commune[38].
- Joseph de Pesquidoux (1869-1946), écrivain et académicien, a vécu et est mort sur la commune[39].
- Julien Péridier (1882-1967), astronome et créateur de l'observatoire astronomique de Houga, a vécu et est mort sur la commune[40].
- Jean-François d'Estalenx (1886-1971), historien, romancier, lexicographe et musicologue[41], est né et mort sur la commune[42].
- Henri Massis (1886-1970), critique, essayiste et historien, a séjourné sur la commune durant l'été 1926.
- Luis Ocaña (1945-1994), coureur cycliste et vainqueur du Tour de France 1973, a été résident du Houga[43].
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)
- Jean-François Lacôme d'Estalenx, La République du Houga, 224 pages, Le Livre d'Histoire 2003 (1re édition 1941)
Articles connexes
Liens externes
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Houga », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Communauté de Communes du Bas-Armagnac
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Aire Mestade - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Houga et Aire-sur-l'Adour », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Aire Mestade - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Houga et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-093-9)..
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école élémentaire de Le Houga
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle de Le Houga
- « Eglise Saint-Aubin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Tabernacle, thabor du maître-autel », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Réunion de la Société Archéologique et Historique du Gers, publié le 24 octobre 2017 sur le site lepetitjournal.net (consulté le 3 janvier 2018)
- Pierre-Sébastien Laurentie (1793-1876), mise à jour du 7 février 2017 sur le site Data.bnf.fr (consulté le 3 janvier 2018)
- Identifiant : Paul Lacôme, publié le 6 octobre 2015 sur le site de l'ABES (consulté le 3 janvier 2018)
- Informations générales : Joseph Lasies, sur le site de l'Assemblée Nationale (consulté le 3 janvier 2018)
- Cimetière de la commune du Houga, visité en août 2012 sur le site landrucimetieres.fr (consulté le 3 janvier 2018)
- (en) Thomas R. Williams, Biographical Encyclopedia of Astronomers, New York, Springer Science & Business Media, coll. « Physics and Astronomy », , 1348 p., in-8° (ISBN 978-0-387-30400-7, présentation en ligne, lire en ligne), p. 889 (consulté le 3 janvier 2018)
- Jean-François d'Estalenx (1886-1971), mise à jour du 7 février 2017 sur le site Data.bnf.fr (consulté le 3 janvier 2018)
- Notice biographique : Jean-François Lacôme d’Estalenx, publié sur le site Médias 19 (consulté le 3 janvier 2018)
- Luis Ocaña, un « Grand d’Espagne », publié le 19 juin 2013 sur le site de France Bleu (consulté le 3 janvier 2018)
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