Le Bastit

Le Bastit est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Le Bastit-Saint-Hilaire.

Le Bastit
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Éliette Angelibert
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46018
Démographie
Gentilé Bastitois, Bastitoises
Population
municipale
141 hab. (2018 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 43′ 25″ nord, 1° 39′ 58″ est
Altitude 350 m
Min. 258 m
Max. 406 m
Superficie 28,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gramat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Bastit
Géolocalisation sur la carte : Lot
Le Bastit
Géolocalisation sur la carte : France
Le Bastit
Géolocalisation sur la carte : France
Le Bastit

    Les habitants du Bastit sont les Bastitois et les Bastitoises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy, sur l'ancienne route nationale 677 entre Labastide-Murat et Gramat.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 051 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7]et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune fait ainsi partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[14]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[15],[16]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy, faisant dès lors partie du Réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17],[18].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[19],[20].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « zone centrale du causse de Gramat »[22], d'une superficie de 6 413 ha, un site comprenant diverses espèces remarquables d'orthoptères (Stenobothrus nigromaculatus, Arcytera fusca, Oedaleus decorus), de lépidptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Polyommatus dorylas) et de coléoptères (Cyrtonus dufouri, Chrysolina femoralis, Chrysolina obscurella)[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[24] : les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » (1 961 ha), couvrant 5 communes du département[25] et la « zone centrale du causse de Gramat » (7 127 ha), couvrant 11 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Bastit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,8 %), forêts (34,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,4 %), prairies (1,5 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Le Bastit est la forme masculine de Bastide et serait basé sur le verbe bastir issu du germanique bastjan. Ce terme désignait un édifice, une maison importante, un village nouvellement bâti et fortifié[33],[34].

    Au XIIIe siècle, Le Bastit correspond à la commanderie, la paroisse étant quant à elle sous le vocable de Saint-Martin de Bessols[35]. L'église détruite au début de la guerre de Cent Ans fut reconstruite avec le vocable de Saint-Blaise du Bastit

    Histoire

    Antiquité

    Un établissement romain a été signalé au XVIIIe siècle dans les environs du lieu-dit Pech de Rode. Les vestiges : substructions de murs, tesselle de mosaïque, tegulae, tessons de céramique ont été interprétés comme faisant partie d'une villa romaine[36].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    À partir de 1250, Le Bastit devient une commanderie de l'ordre du Temple qui faisait partie de la province de Provence[37]. Cette commanderie templière administrait également une partie des possessions de l'ordre dans le Quercy, notamment les fiefs de Cras, Pomarède ou encore le domaine de Septfons. Après l'arrestation des Templiers en 1307 et le procès qui s'est ensuivi, Le Bastit fut dévolu en 1315 aux Hospitaliers.

    À proximité de la commanderie, on trouve un certain nombre de mas (fermes) ayant appartenu aux Templiers du Bastit:

    Les Templiers possédaient tout ou partie de la dîme des villages suivantes:

    La commanderie du Bastit du Causse une fois devenue hospitalière appartenait à la langue de Provence et faisait partie du grand prieuré de Saint-Gilles. Au XVIIIe siècle, elle administrait les membres suivants[41]:

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[42]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1796 Antoine Durieu    
    1796 1798 François Villies    
    1798 1815 Antoine Durieu    
    1815 1820 Jean Pierre Rossignol    
    1820 1826 Amans Rossignol    
    1826 1830 Joseph Lapeze Lunegarde (de)    
    1830 1836 Amans Rossignol    
    1837 1843 Antoine Durieu    
    1843 1846 Alban Calmels    
    1846 1863 Antoine Durieu    
    1864 1865 Ludovic Durieu    
    1865 1870 Antoine Vilhes    
    1871 1874 Antoine Durieu    
    1874 1888 Jean Pierre Chalvet    
    1888 1902 Pierre Hereil    
    1995 2014 Jean-Paul Gratias    
    2014 En cours Hervé Destrel    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

    En 2018, la commune comptait 141 habitants[Note 12], en diminution de 18,02 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4364091 0088861 1421 1211 1741 3161 321
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3401 218529524500525527459445
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    331364303272240197187191150
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    141122113118100106124127166
    2017 2018 - - - - - - -
    143141-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Adrien Martinaud, « Le bornage des possessions de la commanderie du Bastit (1693-1741) », Bulletin de la société des études du Lot, t. CVII, , p. 217-221, lire en ligne sur Gallica
    • Annie Charnay, « La commanderie des Templiers du Bastit de 1250 à 1315 », dans Etudes sur le Quercy et les commanderies des ordres militaires : actes du XLIIe Congrès d'études régionales organisé par la Société des études du Lot à Souillac et Martel les 19, 20 et 21 juin 1987, Fédération des Sociétés académiques et savantes de Languedoc-Pyrénées-Gascogne, (présentation en ligne), p. 138-...
    • Jacques Juillet, Templiers et hospitaliers en Quercy : commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Le Mercure Dauphinois, , 3e éd., 332 p. (ISBN 978-2-35662-213-6, présentation en ligne)

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Bastit et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les différents espaces protégés. », sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
    13. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    15. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    18. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    20. « Bassin de la Dordogne - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duBastit », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7300909 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune duBastit », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « zone centrale du causse de Gramat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 106.
    34. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 117 (lire en ligne)
    35. Juillet 2010, p. 63.
    36. Jean-Pierre Girault, « L'habitat gallo-romain de la vallée de la Dordogne », Bulletin de l'Association RACINES, no 17, , p. 4-5.
    37. Charnay 1988.
    38. Charnay 1988, p. 139, 143-44.
    39. Bourg 1883, p. 547.
    40. Charnay 1988, p. 139-40, 143.
    41. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 117, lire en ligne sur Gallica.
    42. « Les maires du Bastit (Le) », sur francegenweb.org, (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Lavaur ou Larcux? Les deux graphies figurent dans l'ouvrage de du Bourg… Ne pas confondre avec le membre de Lavaur durant la période hospitalière car ce mas de Lavaur [non localisé] a été acheté en 1264 et se trouvait dans la paroisse de Bessols (du bastit) au même titre que Lavaysse [localisé] et Le Puy [non identifié] (Charnay 1988, p. 139).
    8. Lavaysse, lieu-dit et ferme au nord du village et du site de l'ancienne commanderie 44° 43′ 47″ N, 1° 39′ 23″ E .
    9. Le membre de Lavaur se trouvait sur la commune de Foissac en Aveyron (Juillet 2010, p. 70). À deux lieues (~8 km) de Villefranche de Rouergue en direction du Bastit d'après la description de la visite du 05 juin 1760 (Nicolas 1906, p. 117). Le toponyme Lavaur ne figure plus sur les cartes IGN mais on le trouve sur la carte d'état-major et sur la carte de Cassini 44° 29′ 06″ N, 2° 01′ 47″ E . Territoire qui se chevauche avec Villeneuve (Aveyron) sur la D922 entre Les encastrades et Cance.
    10. Il s'agit de la chapelle dite de Saint-Julien des Quatre Combes, cf. Juillet 2010. Actuellement Saint-Julien, lieu-dit au sud de la commune de Cras au bord de la rivière la Rauze: 44° 32′ 39″ N, 1° 32′ 57″ E .
    11. À cette époque, il n'y avait plus qu'une chapelle. Initialement il s'agit du membre dit de La Pomarède qui d'après l'acte de vente au seigneur Jean d'Auriole en 1488 se trouvait près de Saint-Thomas (de Las Lauzettes, lieu-dit Les Landes) sur la commune de Peyrilles et n'a donc rien à voir avec Pomarède plus à l'ouest.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    13. 44° 43′ 26″ N, 1° 39′ 43″ E .
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

    • Portail du Lot
    • Portail des communes de France
    • Portail de l'ordre du Temple
    • Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.