Landry (Savoie)

Landry est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Landry.

Landry

Centre de Landry en hiver.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté de communes Les Versants d'Aime
Maire
Mandat
Thierry Marchand-Maillet
2020-2026
Code postal 73210
Code commune 73142
Démographie
Gentilé Landrigeots
Population
municipale
821 hab. (2018 )
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 20″ nord, 6° 44′ 28″ est
Altitude Min. 724 m
Max. 2 680 m
Superficie 10,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bourg-Saint-Maurice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Saint-Maurice
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Landry
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Landry
Géolocalisation sur la carte : France
Landry
Géolocalisation sur la carte : France
Landry

    Commune de montagne de la Tarentaise, elle comptait 821 habitants en 2018. Elle possède une station de ski affiliée au domaine skiable des Arcs, Peisey-Vallandry.

    Géographie

    Localisation

    Landry est une commune de Savoie située à mi-chemin entre Bourg-Saint-Maurice et Aime.

    Landry et les communes voisines.

    Landry est entourée par les communes de Bourg-Saint-Maurice, de Peisey-Nancroix, et de la « commune nouvelle » de La Plagne-Tarentaise, qui appartiennent pour la plupart à la même communauté de communes des Versants d'Aime. Seule la commune de Bourg-Saint-Maurice n'en fait pas partie.

    Géologie, relief et hydrographie

    Le village se trouve à l'entrée d'une gorge qui mène à la commune de Peisey-Nancroix[1]. Cette gorge a été creusée par le Nant de Peisey ou Ponturin, torrent de montagne qui rejoint au niveau de la commune, par sa rive gauche, la rivière de l'Isère[2].

    Morphologie urbaine

    La commune de Landry comme beaucoup de villages de montagne de Savoie est constituée d'un chef-lieu et de hameaux, également appelés villages. Landry est ainsi composée du Villard, du Chêne, du Martorey, du Marterey[3], de la Vinerie et du Parchet. Toutefois, d'autres hameaux ou lieux-dits de la commune sont habités lors des estives ou de la saison des sports d'hiver, notamment le Biolley, les Rêches, les Côtes, le Praz Cartan, la Blanche murée, les Balmettes, les Charmettes, le Maîtaz et Barmont.

    Hameaux de Landry

    La Vinerie se situe à mi-chemin entre la commune de Landry. Elle tient son nom à l'ancien emplacement de vignes sur le coteau. Présence d'un verger avec nombreuses variétés d'arbres fruitiers. La Vinerie est habité par un ménage, ce qui en fait le plus petit hameau de la commune.

    Le Chêne se situe entre la Vinerie et le Martorey. Dans ce hameau d'une dizaine d'habitants, se trouve une ferme bio ainsi qu'une menuiserie.

    Le Martorey est un hameau situé à 1 150 mètres d'altitude et s'étendant sur 1 km2 sur les hauteurs de Landry. On y trouve des maisons savoyardes du XIXe siècle, dont plusieurs à colonnade[4]. Ce hameau est habité à l'année par très peu d'habitants, mais jadis il était suffisamment peuplé pour qu'il y ait une école. En 2017, le hameau comptait 15 habitants résidents à l'année.

    Un hébergement touristique se trouve dans le hameau. Cet hébergement a été édifié en 1800. Dans les années 2000, les propriétaires l'on restauré dans le style XIXe. On y trouve aussi une fontaine en pierre blanche et une petite place centrale avec un cerisier blanc (Prunus speciosa), planté en 2007.

    Le Martorey se compose de deux parties :

    • Le Martorey du haut où vivent la plupart des habitants et où se trouve le chalet Friolin ainsi que l'ancienne école ;
    • Le Martorey du bas qui est constitué d'une ancienne bergerie du XVIIIe siècle aujourd'hui divisé en deux chalets.

    Un petit ruisseau coule à proximité du Martorey, le Charbonnet (ou Bergintra en latin).

    Le Villard se trouve en amont de la route qui mène de Landry à l'ancienne commune de Hauteville-Gondon (Les Arcs 1800), aujourd'hui rattachée à Bourg-Saint-Maurice.

    Le Villard-Dessous et le Villard-Dessus occupent chacun un replat cerné de vergers et de ruches. On peut y trouver quelques très belles maisons tarines à colonnes datant du XIXe siècle.

    Le Parchet est un petit hameau situé à proximité de la ville de Landry près du hameau du Villard se trouvant entre les villes de Bourg saint Maurice et Landry.

    Les Charmettes sont un petit hameau situé en bordure de la route d'accès aux stations d'altitude de La Plagne (1 350 m). On peut y découvrir des logements traditionnels.

    Voies de communication et transports

    La gare.

    On y trouve la gare de Landry, qui cumule les deux fonctions que sont la desserte locale de Landry et des communes environnantes par les trains du TER Rhône-Alpes, et la desserte des stations de ski environnantes.

    Urbanisme

    Typologie

    Landry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65 %), prairies (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,6 %), zones urbanisées (6,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La paroisse ou le village sont mentionnés dès la fin du XIIe siècle[11],[12]. L'Ecclesia de Landriaco apparait ainsi vers 1170, pour être mentionnée peu de temps après par Ecclesia de Landric (en 1184)[11],[12]. Elle évolue en Ecclesia de Landrea (1258), puis de Landrico (1297), enfin en de Landris au XIVe siècle ou encore Landriaci (1608)[11],[12].

    Landry est un toponyme est un nom dérivé de celui d'un domaine gallo-romain, associant un anthroponyme germanique Landarius au suffixe -acum, selon l'abbé Adolphe Gros[11],[12].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Landri, selon la graphie de Conflans[13].

    Martorey ou Marterey est un toponyme ancien qui serait un dérivé de *Martyretum, lui-même dérivant de Martyrium, indiquant le lieu ou la tombe d'un « martyr » plus généralement d'un « cimetière »[14],[15].

    Histoire

    La première mention du village dans un acte du pape Eugène III, de l'année 1145, selon la Gallia Christiana (t.XII)[16],[11].

    Si la paroisse relève du pouvoir spirituel des archevêques de Tarentaise, Landry appartient à la Haute-Tarentaise qui relève pour le temporel, du Xe siècle au XIIIe siècle, de la famille seigneuriale de Briançon [17]. Toutefois, l'ascension de la famille comtale des Savoie amène ceux-ci à intervenir en Tarentaise. Le , il est décidé que le château de Briançon et le droit sur la vicomté reviennent au comte de Savoie[18]. Le , le représentant de la famille, Jean d'Aigueblanche, doyen du chapitre d'Hereford, et Aimery, chancelier d'Hereford, son frère, consentent à l'achat de leurs droits par le comte de Savoie[18]. Landry devient désormais un fief des comtes de Savoie[3].

    Au XVIe siècle, les terres ainsi que les droits sont donnés à la famille de Chabod, une famille noble originaire de Chambéry dont les origines remonterait au XIe siècle[3]. Landry resta possession de la Famille de Chabod jusqu'au date à laquelle les habitants du village s'affranchissent en payant la somme de 2150 livres[3].

    Politique et administration

    La mairie de Landry.

    La commune fait partie de la communauté de communes du canton d'Aime dont le siège se trouve dans la ville voisine de Aime.

    Tendances politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

    Élections référendaires :

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[19].

    Aux élections municipales de 2014, les quinze membres du nouveau conseil ont été désignés au scrutin majoritaire plurinominal de liste[20]. Didier Favre a été élu maire de Landry.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Landry
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 1983 Alfred Ruffier PCF  
    mars 1983 mars 2001 Lucas Curton PCF  
    mars 2001 mars 2014 Daniel Miedan-Peisey SE  
    mars 2014 mars 2016 Didier Favre SE  
    mars 2016 En cours Thierry Marchand-Maillet SE Charpentier

    Jumelages

    À ce jour, l'Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, ne répertorie aucun projet de jumelage ou de coopération décentralisée, ni pacte d’amitié à l'international pour la commune[21].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Landrigeots[22].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 821 habitants[Note 3], en diminution de 3,75 % par rapport à 2013 (Savoie : +2,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    577635618450482879724723706
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    648580537550504509476525524
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    518416396406347406410363314
    1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 -
    356490628707718852825821-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Tourisme

    La commune dispose, en régie avec la commune de Peisey-Nancroix, la station et domaine de Peisey-Vallandry (12 415 lits touristiques[27]). La commune accueille ainsi la station intégrée, dite de 4e génération, de Vallandry.

    La capacité d'accueil de la commune est estimée, en 2014, à 5 787 lits touristiques répartis dans 851 établissements[Note 4]. Les hébergements se répartissent comme suit : 85 meublés ; 2 résidences de tourisme ; 3 établissement d'hôtellerie de plein air et 1 chambre d'hôtes[27].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Michel.

    Lieux et monuments

    En terme architectural et historique, le principal bâtiment de cette commune est l'église et sa situation remarquable sur un promontoire, lui permettant de dominer tout le village.

    L'église Saint-Michel est consacrée en 1687 : elle comporte un clocher à bulbe sur un porche et une arcature lombarde d'époque Romane ; un décor floral enlumine les voûtes qui comportent également une remarquable peinture des quatre évangélistes ; le retable majeur a été rénové au XIXe siècle par Jean Tresal, habitant de Landry, avec les éléments de l'ancien retable du Rosaire du XVIIe siècle attribué à Étienne Fodéré. Le tableau central de saint Michel Archange de Giulietta date de 1816 ; la tribune sur pilier unique en son genre est un véritable chef-d'œuvre d'architecture ; tous les ornements et décorations de cet édifice font que celui-ci s'intègre parfaitement dans le circuit du « Baroque en Haute Tarentaise ».

    Patrimoine naturel

    Une partie du parc national de la Vanoise s'étend sur 11 km2 du domaine communal.

    À noter l'ancienne mine de charbon, dont les restes en ruine ont servi dans les années 1970 de terrain d'entrainement au 7e BCA.

    Espaces verts et fleurissement

    La commune obtient sa première fleur au concours des villes et villages fleuris en 2017[30].

    Patrimoine culturel

    Une chanson traditionnelle répandue dans toute la francophonie conte le désir des filles d'un petit village de trouver à se marier. Le nom du village varie selon les versions (l'interprète utilise généralement le nom de son propre village). Une version localisée à Landry (« À Landry, petit village, y a des filles à marier... ») a été reprise par le groupe Malicorne sur leur premier album[31].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 98-108. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[27].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Jean Luquet, Dictionnaire du duché de Savoie : M.DCCCXL (1840), publié dans Mémoires et documents de la Société Savoisienne d'Histoire et d'Archéologie, t. 2, La Fontaine de Siloé, coll. « L'Histoire en Savoie » (réimpr. 2005) (1re éd. 1840), 265 p. (ISSN 0046-7510), p. 204.
    2. Paul Mougin, Les torrents de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2001), 1251 p. (ISBN 978-2-84206-174-6, lire en ligne), p. 760, Nant de Peisey ou Ponthurin.
    3. Hudry, 1982, p. 125.
    4. http://www.savoie-archives.fr/archives73/dossiers_sabaudia/archirurale/document14.php
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 246..
    12. Henry Suter, « Landry », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
    13. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    14. Hubert Bessat et Claudette Germi, Les noms du patrimoine alpin : Atlas toponymique II, Savoie, Vallée d'Aoste, Dauphiné, Provence, vol. 2, Ellug, , 464 p. (ISBN 978-2-84310-052-9, lire en ligne), p. 247-252.
    15. D'après Henry Suter, « (...) Martorey », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ).
    16. Gallia Christiana, tome 12, 1770, « provinces de Sens (évêchés de Troyes, Auxerre, Nevers) et Tarentaise (Aoste, Sion) », p. 972 (lire en ligne).
    17. Hudry, 1982, p. 14.
    18. Volume 1 de Archives de l'ancien duché de Savoie. Série S A. Inventaire, Archives départementales de la Savoie, 1966, p. 59.
    19. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    20. « Accueil Municipales 2014 > SAVOIE (73) > L > Résultats reçus 1er tour », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté en ).
    21. Délégation pour l’Action Extérieure des Collectivités Territoriales - Ministère des Affaires étrangères, « Landry », Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, sur Site extranet de la Commission nationale de la coopération décentralisée (CNCD) - Ministère des Affaires étrangères - pastel.diplomatie.gouv.fr (consulté en ).
    22. « Landry », Site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
    28. Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, lire en ligne), p. 206-207.
    29. « Église Saint-Michel de Landry », notice no PA00118264, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Toutes les communes fleuries - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie et de développement du tourisme vert », sur www.villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
    31. Paroles de la chanson sur le site de Gabriel Yacoub.
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